Nom Description
AATAnglo-Australian Telescope ou AATSigle de Anglo-Australian Telescope.

Pour plus d'information :
Télescope anglo-australien : http://fr.wikipedia.org/wiki/T%C3%A9lescope_anglo-australien

Algonquin (observatoire)L'observatoire Algonquin de radioastronomieObservatoire radioastronomique canadien, dans l'Ontario. Son principal instrument est un radiotélescope à antenne parabolique entièrement orientable de 46 m de diamètre, mis en service en 1967. Opérant à une longueur d'onde de 2 centimètres, elle est utilisée pour l'étude d'objets galactiques et extragalactiques qui émettent des ondes radio comme les quasars. En 1968, le radiotélescope de 46 mètres est utilisé conjointement avec celui de 26 mètres de l'Observatoire Fédéral de Radioastrophysique de Penticton (Dominion), en Colombie-Britanique, pour simuler un radiotélescope géant de 3074 kilomètres (soit la distance séparant les deux observatoires). Il s'agit de la première expérience réussie d'interférométrie à très grande séparation jamais réalisée.

Pour plus d'information :
L'Observatoire Algonquin de Radioastronomie : http://astro-canada.ca/_fr/a2106.html

Allegheny (observatoire)L'observatoire AlleghenyConstruit en 1859 à Pittsburgh, en Pennsylvanie, aux Etats-Unis, cet observatoire était à l'origine consacré aux taches solaires. En 1872, il est le théâtre d'une sombre affaire de lentille volée. Le kidnappeur n'a jamais obtenu la rançon demandée, mais son identitée est restée secrète. A présent, l'observatoire est un haut lieu de la recherche d'exoplanètes.

Pour plus d'information :
Observatoire Allegheny : http://fr.wikipedia.org/wiki/Observatoire_Allegheny

AlmaL'antenne d'essai VertexRSI pour le vaste réseau millimétrique d'Atacama (ALMA)ALMA (Atacama Large Millimeter Array) est un interféromètre radio dans les domaines millimétrique et submillimétrique (dans des fenêtres atmosphériques entre 80 et ~600 GHz) actuellement en cours de construction au Chili. Celui-ci est localisé à une soixantaine de kilomètres à l'est de la ville de San Pedro de Atacama, sur le site de Llano de Chanjnator, un haut plateau du désert d'Atacama (5100 m). C'est là que se trouve déjà le radiotélescope APEX.
En décembre 2008, la première des 50 antennes de 12 m de l'interféromètre Alma vient d'être installée dans les Andes chiliennes. Elle subit désormais toute une batterie de tests. En 2012, le réseau comptera 66 antennes (dont 16 de 7 m) et permettra de voir l'Univers en ondes submillimétriques avec une précision 10 fois meilleure que celle du télescope spatial Hubble.

Et de deux pour Alma !

En février 2009, la deuxième antenne de 12 m de diamètre de l'observatoire international Alma vient d'être livrée sur son site chilien, dans le désert d'Atacama. Alors que la première avait été livrée en décembre 2008 par les Japonais, celle-ci vient des partenaires nord-américains du projet. 64 autres antennes seront installées d'ici 2012.

Alma : premier test en tandem

En mai 2009, sous le ciel azur du désert d'Atacama, au Chili, les ingénieurs d'Alma ont réussi à faire interférer le rayonnement capté par deux antennes de 12 m du futur réseau submillimétrique. C'est une première étape importante dans la construction d'Alma, qui sera constitué à terme de 66 antennes de 7 et 12 mètres observant simultanément depuis le plateau de Chajnantor, à 5000 m d'altitude.
L'interféromètre offrira alors une résolution supérieure à celle du télescope spatial Hubble. Pour le moment, les tests ont été réalisés près du centre de commande, à 2900 m d'altitude. Le directeur du grand instrument, Thijs de Graauw, indique qu'ils auront lieu à 5000 m avant la fin de l'année 2009, l'objectif étant d'observer avec les 16 premières antennes d'ici fin 2011.

ALMA observe avec trois antennes

Trois paraboles de 12 m fonctionnent déjà sur le site d'ALMA, qui comptera au final 66 antennes. L’observatoire submillimétrique ALMA peut maintenant scruter le ciel avec trois antennes fonctionnant simultanément. Fin octobre 2009, les deux premières paraboles de 12 m de diamètre avaient été acheminées à 5000 m d’altitude, sur le plateau de Chajnantor, au nord du Chili.
Le 20 novembre 2009, une troisième les a rejointes. Elle a été reliée aux deux autres et le trio a pointé un quasar bien connu des astronomes en guise de première cible. Les observations scientifiques devraient débuter en 2011. À terme, ALMA sera un réseau constitué de 66 antennes.

Une nuit de tests pour les télescopes d’Alma

Une future forêt de radiotélescopes

Installé à 5000 mètres d'altitude sur le plateau de Chajnantor, au Chili, l'Atacama Large Millimeter Array (Alma) est en construction. Une fois terminé, il comptera 66 à 80 télescopes spécialisés dans l'observation du ciel à des longueurs d'onde millimétriques. Ce projet à 1 milliard d'euros est le fruit d'une collaboration internationale entre l'Europe, les États-Unis, le Japon et le Chili. Reliés entre eux par interférométrie, ces radiotélescopes vont notamment étudier les galaxies primordiales et la formation des étoiles.

Un test grandeur réelle

En février 2011, alors que trois des premiers télescopes sont en phase de test, d'autres sont en cours d'assemblage ou en maintenance dans les ateliers situés à 2900 mètres d'altitude. Cette phase d'évaluation entamée début 2010 se poursuit afin de vérifier les spécifications exigeantes imposées aux constructeurs. Chaque télescope doit notamment pointer avec une précision de 2", ce qui équivaut à viser une balle de golf distante de 4,4 km. La précision de suivi des objets est encore plus pointue puisque l'axe de visée des instruments ne doit pas dévier de plus de 0,6". Cet angle correspond à celui représenté par une balle de golf située à 15 km. Ces exigences permettent de parfaitement synchroniser les télescopes sur la même cible des heures durant.

Pour plus d'information :
Atacama Large Millimeter Array : http://fr.wikipedia.org/wiki/Atacama_Large_Millimeter_Array
Ciel & Espace : http://www.cieletespace.fr/node/6858

Anglo-australien (observatoire)Anglo-Australian Telescope ou AATObservatoire fondé par les gouvernements d'Australie et du Royaume-Uni, et implanté sur le site de l'observatoire de Siding Spring, en Nouvelle-Galles du sud (Australie). Ses deux principaux instruments sont le télescope Anglo-Australien (AAT) de 3,90 m d'ouverture, mis en service en 1975, et un télescope de Schmidt (UK Schmidt Telescope [UKST]) de 1,20 m, installé par le Royaume-Uni en 1973.

Pour plus d'information :
Observatoire anglo-australien :http://fr.wikipedia.org/wiki/Observatoire_anglo-australien
Observatoire de Siding Spring : http://www.astrosurf.com/adagio/voyages/australie2002/siding.html

Anglo-Australien (Télescope) [AAT]Anglo-Australian Telescope ou AAT Anglo-Australian Telescope ou AATLe Télescope Anglo-Australien (AAT pour Anglo-Australian Telescope) est un télescope à monture équatoriale de 3,9 m de diamètre situé à l'observatoire de Siding Spring, en Australie, à une altitude d'environ 1000 m. Son fonctionnement est financé conjointement par l'Angleterre et l'Australie et il est accessible sans contrainte de nationalité aux astronomes du monde entier.

Pour plus d'information :
Télescope anglo-australien : http://fr.wikipedia.org/wiki/T%C3%A9lescope_anglo-australien

Arcetri (observatoire d'astrophysique)ArcetriObservatoire fondé en 1872 sur la colline d'Arcetri, au sud de Florence, en Italie, à proximité de la maison où Galilée passa les dernières années de sa vie. Longtemps spécialisé dans l'étude du Soleil, Arcetri comporte une tour solaire, mise en service en 1925, dont l'objectif a une longueur focale de 18 m.

Pour plus d'information :
Osservatorio Astrofisico di Arcetri : http://www.arcetri.astro.it/

Arecibo (radiotélescope d')AreciboRadiotélescope paraboloïdal américain de 305 m de diamètre (le plus grand du monde), installé dans une dépression naturelle du sol, au NE de Porto Rico, et mis en service en 1963. La surface collectrice, constituée d'un assemblage de 38 778 panneaux d'aluminium de 1 m sur 2 m chacun, ajustés à moins de 1 mm près, couvre plus de 73 000 m². L'équipement de réception est disposé sur une plate-forme mobile suspendue à 130 m au-dessus du sol grâce à un jeu de câbles supportés par trois pylônes. En déplaçant convenablement cette nacelle, on parvient à utiliser l'instrument dans un champ d'environ 20° autour du zénith. L'adjonction d'un réflecteur secondaire suspendu à 135 m au-dessus du collecteur principal donne à l'instrument, depuis 1998, de nouvelles possibilités et lui permet de fonctionner sur une gamme de fréquences beaucoup plus large, s'étendant de 300 MHz à 10 GHz. Exploité par l'université Cornell, ce radiotélescope est utilisé non seulement comme récepteur, pour l'étude de radiosources célestes, mais aussi comme émetteur. Il a servi à émettre, le 16 novembre 1974, sur la fréquence de 2 380 MHz, en direction des étoiles de l'amas M13 de la constellation d'Hercule, distant de 25 000 années de lumière, le premier message radio jamais envoyé par l'humanité à l'adresse d'autres civilisations du cosmos.

Pour plus d'information :
Radiotélescope d'Arecibo : http://fr.wikipedia.org/wiki/Observatoire_d'Arecibo

Armagh (observatoire d')Armagh PlanetariumObservatoire fondé en 1790 à Armagh, en Irlande du Nord. J.L.E. Dreyer, qui en fut directeur de 1882 à 1916, y dressa son célèbre catalogue de nébuleuses, d'amas stellaires et de galaxies, intitulé New General Catalogue of Nebulae and Clusters of Stars. C'est à présent un établissement à caractère éducatif, doté d'un planétarium qui a été mis en service en 1968.

Pour plus d'information :
Armagh Planetarium : http://digistardomes.org/mwiki/index.php?title=Armagh_Planetarium

Asiago (observatoire d'astrophysique d')L'observatoire d'AsiagoObservatoire fondé en 1940 sur une colline voisine du bourg d'Asiago, à 90 km au nord de Padoue, en Italie. Asiago constitue le principal centre d'observation du département d'astronomie de l'université de Padoue et de l'observatoire de Padoue. Il a été équipé d'abord d'un télescope de 1,22 m d'ouverture, mis en service en 1942, puis de deux télescopes de Schmidt : l'un de 50 cm, mis en service en 1958, l'autre de 60 cm, mis en service en 1968. A 12 km à l'est, sur le mont Eka, plus propice à présent aux observations astronomiques, a été inauguré en 1973 un télescope de 1,82 m d'ouverture, dédié à Copernic, qui est le plus puissant télescope implanté en Italie.

Pour plus d'information :
Observatoire d'Asiago :http://fr.wikipedia.org/wiki/Observatoire_d'Asiago
ASIAGO OBSERVATORY : http://www.pd.astro.it/asiago/index.html

Australia TelescopeAustralia Telescope Compact Array (ATCA)Radio-interféromètre australien, en Nouvelle-Galles du sud. Mis en service en 1988, il comprend deux composantes principales : d'une part, un réseau compact de six antennes de 22 m de diamètre, installées à l'observatoire Paul Wild de Culgoora (cinq d'entre elles sont mobiles sur une base est-ouest de 3 km de long, la sixième sur une voie distincte, située à 3 km plus à l'ouest); d'autre part, pour obtenir un meilleur pouvoir de résolution, un réseau à longue base, reliant à une ou plusieurs des antennes précédentes une autre antenne de 22 m, située à Mopra, à quelque 100 km plus au sud, et le grand radiotélescope de 64 m de l'observatoire de Parkes, à quelque 200 km encore plus au sud. Enfin, l'utilisation conjointe d'antennes situées à Perth, Alice Springs, Hobart, Tidbinbilla et Sydney permet d'obtenir des performances équivalentes à celles que fournirait un radiotélescope de 3 000 km de diamètre, avec un pouvoir de résolution atteignant 0,002" à 3 cm de longueur d'onde. Principal radio-interféromètre à synthèse d'ouverture de l'hémisphère sud, l'Australia Telescope permet des observations dans une large gamme de longueurs d'onde et est utilisé notamment pour l'étude des molécules présentes dans le milieu interstellaire.

Pour plus d'information :
Australia Telescope Compact Array : http://fr.wikipedia.org/wiki/Australia_Telescope_Compact_Array

Australia Telescope Compact Array (ATCA)Australia Telescope Compact Array (ATCA)Voir Australia Telescope.

Pour plus d'information :
Australia Telescope Compact Array : http://fr.wikipedia.org/wiki/Australia_Telescope_Compact_Array