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Affichage du contenu le plus aimé le 16/04/2024 dans toutes les zones

  1. 22 points
    Voila les dernière nouvelle de la grosse Shooté des que je la vois dans le chercheur pointage avec le goto Hier finalement le ciel c'est ouvert mais suis allez au lit dommage pour ma région preferer sur la lune 2024-04-13-1809_2-- 14 -W-L-Jupiter Taka 250-4-6142 2024-04-14-1803_9-- 13 --L-Jupiter Taka 250-4-6122_-V- Voila les news fraiche bon ça risque d'etre les dernière je vais essayer mais c'est pas gagné Plus qua essayer Saturne du matin a l'aube bonne journée
  2. 18 points
    ah ca fait plaisir de retrouver un ciel clair avec une turbulence acceptable voila quelques classiques une grosse partie attend le traitement doctelescope 460 f 4.2 asi 290 mm barlow 2 filtre ir 742 dont 1 ou 2 filtre rouge ( premiere fois de l annee)
  3. 17 points
    Salut à tous En avril...ne découvre pas le télescope Bon, après une lunaison de février compliquée, celle de mars tout pareil, je me disais que celle d'avril serait favorable côté météo ! ben que nenni ! Un coup il fait 5°, 2 jours après c'est 28, entre deux on se prend une averse...de sable...A quoi ils s'amusent là haut ? Et comme je peux difficilement imager depuis chez moi, chaque sortie astro me prend 1h30 de manutention, entre remplir la voiture, me déplacer sur mon site, installer et régler le bazar...et rebelote en fin de séance, les réglages en moins! Je me fie donc aux prévisions météo pour me décider . Sauf qu'entre meteoblue, ventusky et meteofrance, la fiabilité n'est pas leur point fort actuellement! Toutefois, sur un malentendu, j'ai pu sortir ces quelques bonnes images les 13 et 14 avril. le 13 sur mon site et le 14 depuis chez moi en vallée, exceptionnellement. En effet, les 3 sites météo prévoyaient entre 80 et 100% de couverture nuageuse dès 20h, malgré un bon seing. A 20h, pas un nuage mais je n'ai rien préparé, c'était pas prévu! quelques jurons accompagnent mon installation vite fait dans min jardin! Bon, par chance, la température extérieure est exactement la même que celle du lieu de stockage donc pas de problème de mise en température. Et finalement, les nuages sont bien arrivés...à minuit! Avec un bon seing de 20h30 à 21h15, et ensuite médiocre puis bouillie. Sur mon site d'observation, cela aurait été encore meilleure, comme dans 100% des cas, mais tant pis! Suis quand même content de ces 2 courtes séances Rappel du set up: T500/2000 sur table équato Barlow APM 2,7x (réglée entre 2,3x et 2,7x suivant les images Caméra QHY 678 mm Filtre IR642 le 13, Rouge le 14! Pour toutes les images, j'essaye de prendre entre 4000 et 5000 frames pour en conserver environ 10% avec AS3 Traitement registax, astrosurface, Gimp pour la finition Commençons par le 13 au soir avec Hercule et atlas...Je trouve l'image de Thierry, faite au T450, bien meilleure que la mienne (pour une fois ) Puis un petavius plus sympa Sur le terminateur, les remparts de Théophile apparaissent au delà de la mer du Nectare et de fracastore Quelques soucis de reflet sur cette image, je ne sais pas pourquoi... Le 14 au soir, à 20h30 dans pile au coucher de soleil, le seing est bon. J'en profite! C'est ma meilleure image obtenue du célèbre trio ! Posidonius est également sous un bon éclairage, mis je pensais faire mieux...Un seing déjà en léger retrait peut-être ? Et celle là je l'attendais depuis 3 ans: une vue de la mer de la tranquillité (pas si tranquille que ça!) avec un éclairage rasant, avec le cratère fantôme Lamont et les dômes volcaniques au dessus et à gauche de Arago visibles uniquement sous cette configuration J'ai un peu forcé les contrastes pour faire apparaitre toutes les plissures de la mer, mais je peux faire plus doux si vous préférez Jai continué mes films mais dès 21h15 la turbu haute fréquence est revenue J'ai donc décidé de sortir la petite nouvelle: une lunette triplet APO 80/500 achetée la veille à vil prix à la Journée de l'Occasion de l'Astronomie à Communay près de Lyon je ne sais pas encore ce que je vais en faire, mais sur la lune elle se débrouille très bien! Posée sur monture vixen porta manuelle (j'ai rien d'autre) Filtre vert vu la focale Sans barlow (donc sous échantillonnée mais y a toute la lune) Avec barlow 2x; c'est bien mieux mais il manque un morceau ! prochaine fois je ferai une petite mosaique... Voilà c'est tout pour aujourd'hui (c'est déjà pas mal! ) A priori pas d'autres images sur cette lunaison sauf si les prévisions météo se plantent complètement...mais je n'y crois pas! il fera beau...pour la pleine lune ! J'édite ce fil pour ajouter Janssen oublié, le pauvre, imagé le 13 avril également lorsqu'il sortait de la nuit lunaire. ç'eut été dommage !!
  4. 17 points
    Bonjour à tous, c'est sans doute l'une des images les plus mythiques de la mission Apollo 11, le lever de Terre sur Mare Smythii ! Je pensais qu'il était possible de reproduire depuis la Terre ce survol lunaire...la libration étant très favorable le 13 avril et le ciel laiteux (mais capturable) j'ai cherché les cratères, la forme des parties sombres,... sans succès avant de réaliser que ma photo est prise depuis le croissant bleu !!! Donc Apollo 11 est bien passé sur la partie gauche de la photo ci-dessous (pour ceux qui en doutent encore) - j'ai gardé la capture couleur, je trouve le contraste meilleur Photo toujours au Mak 180 et Uranus-C, deconvolution wiener dans Astrosurface Bon ciel à tous ! Laurent
  5. 16 points
    Bonjour J'ai passé près de 3 semaines aux USA, entre autre pour voir l'éclipse du 8 avril, que finalement je n'ai pas vu . La malchance total ; j'ai pu suivre toute la phase partielle jusqu'à 10 min de la totalité, ensuite le ciel s'est couvert très rapidement et il s'est redégagé 10 min après la fin de la totalité . Mais bon, pendant 12 jours je me suis régalé en Arizona, dans des sites exceptionnels (Meteor Crater, Petrified Forrest, Grand Canyon, Bryce Canyon, Antelope Canyon…), alors j'en ai presque oublié la déception de ne pas avoir vu l'éclipse. Le 3 avril, je suis allé au point de vue Horseshoe Bend, près de Page, où le Colorado fait une magnifique courbe dans la roche rouge rouge/orangée. L'occasion de faire mon adieu à la comète Pons-Brooks, très basse sur l'horizon et noyée dans la lumière zodiacale. L'image suivante est un panoramique constitué de 31 photos prises avec un Canon 6D (refiltré Astrodon), un objectif Tamron 24 - 70 mm à f/2.8. Pose de 13 secondes à 6400 ISO. Sur un grand pano comme ça, la comète est toute petite, bien visible en bas à droite de Jupiter. Patrick
  6. 14 points
    Coucou les ami(e)s, le soir de ce jour du 13 fut une toute autre affaire que pour le soleil quelques temps plus tôt, des conditions très cools nom di diou. Et bien que le C9 n'est pas très vieux en ma possession, je crois bien qu'il m'a déjà pondu mon plus beau croissant ! C9 + ASI462MM au foyer, 15 sers de 4000 images, 300 images retenues par film dans AS3, traitement Astrosurface. Mosaïque à la taille de 100% : J'ai voulu profiter ensuite du moment en mettant la Powermate 2x pour quelques vues. Je suis un peu déçu par contre des résultats, j'ai un ressenti de bougé quelque soit le traitement et la taille des APs. Les causes peuvent être multiples, dégradation des conditions, MAP pas top, collimation pas top ? ( non vérifiée, mais bon je l'aurais décelée au foyer déjà ). J'ai réduit ces petites mosaïques à la taille de 80% ( films de 4000 images, 400 images retenues par film ) : - Région d'Hercule et Atlas ( 2 images ) : - Région de Boussingault ( 4 images ) : - Région de Janssen ( 2 images ) :
  7. 12 points
    Bonsoir ! Bon ce soir c'est voilé d'ou un peu de temps pour posté pas de juju pour ce soir bon des images bruité peu de temps de pose et j'ai pas assez bossé au Sony objo 200 c'est bruité je pense que l'iso 100 c'est vraiment pas top je ne vous l'avais pas présenté ca c'etait le 11 Le 12 C-2023 A3 (Tsuchinshan-ATLAS) r pp result_3060s crop hier en mode compo 571Mc en fichier ser 350ms gain a fond sans refroidissement c'était la surprise de la voie encore Ser traité Siril Asi3 pour le terrain c'est la dernière pour ma part Bon désoler je m'embrouille un peu car cp Juju comete lune seestar du coup j'oublie et j'en oublie que je capture et traite vite fais puis je sais plus ou elle sont au moment de posté Je vais demandé des vacances
  8. 11 points
    Salut, Quelques images traitées avec du retard, le we était chargé en émotions, on a encore perdu un copain du club, le troisième en l'espace de 6 mois ! Mercredi dernier, la comète 12P passait sous la Lune, Jupiter et Uranus étaient également visibles dans le même champ à 135mm de focale avec le Canon 70-200 /f4 + Canon 1200D Et la comète qui s'enfonce dans la pollution lumineuse : Samedi après midi, une sortie rapide pour se changer les idées, beaucoup de cirrus , mais quelques détails sont visibles sur le Soleil : Skywatcher 72 ED + ND16 + Sol'Ex + ZWO 178 mm + Halpha 12nm Puis en lumière blanche, Skywatcher 72 ED + Astrosolar 3.8 + Baader K Line + ZWO 178mm Enfin, une animation de la transition Halpha vers LB Daniel
  9. 10 points
    Après une longue période sans astro, due à la météo mais aussi à de bonnes et mauvaises raisons personnelles, j'ai ressorti le matériel ce week end pour profiter du beau temps (qui n'a pas duré.......) Finalement, je n'ai pu imager que dimanche soir et déjà les nuages revenaient...... je me suis donc dépêché et je n'ai pas vérifier la collimation -sûrement perfectible- . Comme il y avait de la turbulence, j'ai mis un filtre IR642 pour améliorer les choses..... Voici l'image des cratères Theophilus et Cyrillus (si je ne me trompe pas....) faite avec le SC Meade 254 et une caméra ZWO ASI462MM et le filtre IR642. J'ai eu plaisir à me retrouver sous les étoiles (enfin, entre le passage des nuages....) après cette longue absence, c'est pourquoi je partage avec vous cette image qui n'est pas l'image du siècle (ni même de l'année...) A+ Eric PS : traitement AS 4.0 et ondelettes avec AstroSurface.......
  10. 8 points
    Bonjour à tous, J'ai vous propose ce classique mais que j'aime refaire de temps en temps, j'ai pas mal de retard dans mes traitements mais ça revient doucement. Bon ciel, Jérôme
  11. 7 points
    Un test de magnitude limite avec un Vespera II utilisé malheureusement dans des conditions délicates (filtre anti-pollution indispensable) depuis Antibes, en poussant le temps de pose jusqu'à 10 heures. Ma cible a été l'amas d'Hercule... pas le globulaire, mais de galaxies ! Verdict, magnitude 18,5 (bande visible Gaia). Je trouve que c'est pas mal et j'anticipe la magnitude 19,0 - 19,5 avec un ciel bien noir et un temps de pose équivalent, ou magnitude 18 en une heure de pose. Il y a du potentiel pour de la science et de beaux challenges... qui changent de l'ordinaire . Noter qu'il n'y a aucun filtrage de l'image, je m'interdit absolument ce genre de chose pour conserver toute l'intégrité de l'image : Je me suis particulièrement concentré sur cet amas pour aussi mesurer son décalage vers le rouge, via la galaxie NGC 6041. Ce n'est pas un cadeau avec un diamètre de 150 mm et en ville, mais j'ai tout de même pu mesurer un z de 0,036 à comparer avec que la valeur admise de 0,035. Pas mal pour un le setup et le Star'Ex qui oberve ici ls détails du spectre d'objet situé à 500 millions d'année lumière et qui file à 10 000 km/s ! Les deux setup (Vespera II et Newton) fonctionnaient en même temps : Christian B
  12. 7 points
    Bonsoir à tous, belle activité aujourd'hui encore ... AR 3628 Lunette 228mm H-alpha F/11.25 modifiée PST + BF-15 + Barlow 2.7x APM / Basler 1920-155 Seeing pas terrible et pas mal de brumes. Phil : photoastro.com Ar 3634 n'est pas en reste aussi
  13. 7 points
    Malgré les difficultés, la longue et incroyable balade martienne continue ! Mais la progression sur ce terrain copieusement couvert de gros blocs rocheux est toujours aussi délicate !. Sur les trois étapes des 10, 11 et 14 avril le rover a parcouru successivement 16,5 mètres, 9 mètres et 20 mètres (en légère montée). L’un des objectifs est de se rapprocher de la crête (et donc du canal) pour l’imagerie. L’étape du 11 avril s’est arrêtée prématurément au bout de 9 mètres (arrêt de sécurité) la roue avant droite de Curiosity restant perchée sur un bloc rocheux proéminent. L’équipe ayant déterminé que l’équilibre n’était malgré tout pas instable ils ont pu dégager le bras robotique et l’utiliser en toute sécurité pour les activités scientifiques de contact à cet endroit.. POSITION AU 14 AVRIL 2024 (SOL 4155) : CONTEXTE : POSITION RELATIVE AU TRAJET PRÉVISIONNEL : Je cite Abigail Fraeman, géologue planétaire - 10 avril : "Le dimanche 7 avril (sol 4148), Le terrain extrêmement rocailleux n'a pas posé de problème aux conducteurs du rover, et nous avons appris ce matin que le trajet planifié le 10 avril (sol 4151) s'est achevé avec succès. Le plan des 11 et 12 avril (sols 4152/4153) prendra la forme familière d'un "touch and go à deux sols". Dans ce type de plan, nous effectuons les activités scientifiques de contact et la conduite sur le premier sol, puis nous passons le second sol à effectuer des observations scientifiques "non ciblées", qui peuvent être planifiées sans connaître la position du rover. Pour la cible scientifique de contact, l'équipe a décidé d'étudier un morceau du substrat rocheux devant nous qui est suffisamment plat pour être brossé et ensuite analysé par MAHLI et APXS. Nous avons baptisé cette cible "Burro Pass". Nous recueillerons également quelques données de télédétection avant de partir, en pointant la Mastcam et la ChemCam RMI sur diverses caractéristiques géologiques autour de nous, et en zappant une roche plus sombre avec le laser de la ChemCam sur une cible que nous avons nommée "Graveyard Peak". Nous ferons ensuite nos bagages et roulerons quelques dizaines de mètres vers le sud-ouest, en nous rapprochant de la crête Gediz Vallis pour obtenir de bonnes opportunités d'imagerie." HAZCAM AVANT 10 AVRIL 2024 (SOL 4151) : NAVCAM - 10 AVRIL 2024 (SOL 4151) : PANO NAVCAM - 10 AVRIL 2024 (SOL 4151) – Jan van Driel : Je cite Conor Hayes, étudiant diplômé de l'Université de York - 12 AVRIL : "Au fur et à mesure que nous avançons dans Gediz Vallis, le sol devant nous est de plus en plus jonché de gros rochers émergeant du sable. S'ils sont certainement utiles pour la géologie, ces rochers ralentissent souvent notre progression, car même notre équipe de planificateurs chevronnés ne peut pas anticiper tous les défis que Mars aime nous lancer. Le 11 avril (sol 4152), nous avions prévu un trajet d'un peu plus de 20 mètres pour nous rapprocher du bord du canal de Gediz Vallis. Lorsque nous sommes arrivés ce matin, nous avons appris que le parcours s'était terminé prématurément après environ neuf mètres. Une analyse rapide des images de la Hazcam frontale prises après le déplacement a révélé que la roue avant droite de Curiosity était perchée sur l'un des nombreux rochers situés le long de l'itinéraire prévu. Bien que l'on ait d'abord craint que cela nous empêche de dégager le bras en toute sécurité pour les activités scientifiques de contact à cet endroit, il a finalement été déterminé qu'il n'y avait aucun risque que le rover se déplace de son perchoir si nous le faisions." HAZCAM AVANT – 11 AVRIL 2024 (SOL 4152) : Face au soleil NAVCAM - 11 AVRIL 2024 (SOL 4152) : PANO NAVCAM - 11 AVRIL 2024 (SOL 4152) – Jan van Driel : Citation Conor Hayes (suite) : "Bien que nous n'ayons pas atteint l'emplacement prévu au bord du canal, le programme de ce week-end est encore très riche sur le plan scientifique. Nous commençons par deux heures d'activités, en commençant par une LIBS (Laser-Induced Breakdown Spectrometer) ChemCam de la cible rocheuse "Kaweah River". La caméra ChemCam RMI « longue distance » prendra ensuite une mosaïque de « Fascination Turret », qui a fait l'objet de nombreux messages de mise à jour de la mission au cours des dernières semaines. Une fois que ChemCam aura terminé son travail pour ce premier sol (4153), nous disposerons d'une heure complète d'imagerie Mastcam. Cette heure commence par des images de documentation de la cible LIBS, puis se poursuit par une mosaïque de la zone vers laquelle nous nous dirigerons. Nous prendrons ensuite des photos de la "Montagne Goodale", un bloc de roche fracturée orienté verticalement situé à environ 6,5 mètres de notre position actuelle. La principale activité de la Mastcam pour ce plan est une mosaïque d'une cuvette rocheuse visible sur les images orbitales. Mastcam termine son premier sol avec une mosaïque de quelques rochers à droite du rover. Ces deux heures se terminent par un film suprahorizon de la Navcam pour observer la poussière et l'activité nuageuse au-dessus de Gale, ainsi que par une ligne de visée de la Navcam pour mesurer la quantité de poussière dans le cratère. Après une sieste dans l'après-midi, Curiosity se réveillera environ une heure avant le coucher du soleil pour effectuer quelques activités sur le bras. Tout d'abord, APXS sera employé sur la cible "Hetch Hetchy". Nous effectuerons ensuite un "test de hauteur de brosse" du DRT. Le DRT sera abaissé à trois hauteurs différentes au-dessus de la cible « Hetch Hetchy » et tournera pour frôler la cible. En plus des images Navcam et Hazcam qui accompagnent généralement les activités DRT, MAHLI prendra des images de Hetch Hetchy avant et après chaque hauteur afin de déterminer dans quelle mesure la brosse DRT élimine la poussière à chaque distance de la cible. Pendant la nuit, APXS effectuera deux longues intégrations, d'abord de sa cible d'étalonnage, puis de Hetch Hetchy avant que le bras ne soit rétracté. Le deuxième sol (4154) contient plus de temps scientifique. Une fois de plus, nous commençons par une observation LIBS, cette fois-ci des "lacs jumeaux", situés à mi-chemin entre Kaweah River et Hetch Hetchy. Nous prendrons ensuite une autre mosaïque RMI de Fascination Turret, puis nous prendrons une image de la deuxième cible LIBS de ce plan avec la Mastcam. Comme à l'accoutumée, des observations en sciences de l'environnement complètent le deuxième sol, avec une série de courts films à la recherche de tourbillons de poussière autour du rover et une mosaïque Navcam du pont du rover pour surveiller comment la poussière accumulée se déplace avec le vent et pendant que nous roulons Après avoir quitté notre emplacement actuel, le troisième sol de ce plan (4155) sera consacré à l’activité scientifique à distance non ciblée. Cela comprend une activité ChemCam AEGIS (Autonomous Exploration for Gathering Increased Science) (*) ainsi qu'un autre film suprahorizon, un film sur les tourbillons de poussière et une mosaïque du pont du rover après le trajet. En milieu d'après-midi, Curiosity se réveillera brièvement pour effectuer une observation avec la Mastcam tau afin de mesurer la quantité de poussière dans l'atmosphère. Après avoir dormi toute la nuit, nous nous réveillerons une dernière fois avant de confier le rover à l'équipe de planification de lundi 15 avril pour effectuer des observations scientifiques environnementales tôt dans la matinée : un autre film tau et suprahorizon de la Mastcam, un film zénithal et une autre ligne de visée de la Navcam. Comme toujours, REMS, RAD et DAN s'acquitteront avec diligence de leurs tâches tout au long de ce plan." HAZCAM AVANT – 14 AVRIL 2024 (SOL 4155) : NAVCAM - 14 AVRIL 2024 (SOL 4155) : Au bord du canal La finesse et la beauté des rides de sable martien sont toujours saisissantes PANO NAVCAM - 14 AVRIL 2024 (SOL 4155) – Jan van Driel : PANO MASTCAM – 7 AVRIL 2024 (SOL 4148) – Neville Thompson : https://www.gigapan.com/gigapans/234576 MOSAÏQUES MASTCAM - Neville Thompson : 10 AVRIL 2024 (SOL 4151) : http://www.gigapan.com/gigapans/234558 7 au 11 AVRIL (SOLS 4148 à 4152) : http://www.gigapan.com/gigapans/234551 (*) Le système de visée autonome baptisé AEGIS fonctionne selon deux modes. En mode "raffinement de pointage autonome" , le système corrige les erreurs de pointage transmises par les opérateurs terrestres afin d’obtenir une plus grande fiabilité lors des analyses LIBS. En mode "sélection de cible autonome", AEGIS identifie les cibles géologiques au sein des images transmises par les caméras de navigation du rover et choisit lui-même les cibles qui correspondent aux paramètres spécifiés par les scientifiques de la mission. ChemCam procède alors à leur analyse sans demander validation au centre de commande. AEGIS peut sélectionner tout seul des zones d’intérêt correspondant à différents types de contexte géologique. Ce mode confère à ChemCam une plus grande autonomie lui permettant d’opérer même lorsque les communications avec la Terre sont impossibles ou interrompues.
  14. 6 points
    Bonjour a tous le 13 m a plutot porté chance en fin il ne faut pas etre superstiieux,ça porte malheur du foyer de la barlow et 2mosaiques mak 127 cam sc 705C ce mak arrive encore a me surprendre et je suis sur qu il e a encore sous le pied bonne journée
  15. 6 points
    Sinon ça structure du télescope avance. La structure qui portera la cellule du M1 se met en place.
  16. 6 points
    Lame démontée et nettoyée Il y a quelques petites marques mais je ne vais pas insister : Et je vous montre aussi le Astrola Cave 8" que je restaure : Merci pour précédents vos conseils avisés, Frank
  17. 5 points
    Bonjour, Hier j'avais posté une image du croissant lunaire réalisé avec un Fuji X-S10 au foyer de la lunette Takahashi TS152/1216 mm de l'association Repères. Dans la foulée j'ai aussi tenté une série d'image avec une barlow Celestron 2x X-Cel LX afin de réaliser uen mosaïque. Traitement avec Capture One, puis compilation de 6 tuiles de 25 images avec Astrosurface, assemblage avec Hugin et finalisation avec Photoshop. Stéphane
  18. 5 points
    bonsoir content je suis .... après avoir eu des déboires certains, sur ma précédente images , M106 avec des franges colorées sur la brute empilée , je suis heureux de mon image du 12 avril dernier ; les franges ont disparu sur la brute empilée , ce que j'ai changé pas grand chose , toujours pas de dithering , j'ai juste viré le filtre optolong LPro..??? pourtant à l'heure où j'ai imagé , la lune était présente et l 'objet presque au sud ....!!! du coup le traitement a été un régal si on peut dire , entièrement réalisé sous PI , je remercie mon fils pour son aide pour les couleurs car étant daltonien je me suis un peu perdu... si JF (JEFFBAX) passe par là , je voudrais te demander comment ne pas avoir une montée de bruit significative lors d'un retrait de gradient ? j 'ai essayé dans Siril , Pixinsight , GarXpert ,en polymonial , RSB , AI etc toujours du bruit celà est surement dû à l'algorithme.. ne perdez pas à l'esprit que c'est fait à l 'APN !! j'ose montrer un crop à 100% lunette FS 60 correcteur + Sigma FP refiltré 127 images de 60 s à 1250 iso prétraitement Siril traitement PI bonne soirée Olivier
  19. 5 points
    Bonsoir les astrams, Petite image du soleil de samedi dernier. "Beau temps" sur la région parisienne mais le ciel était loin d'être pur. Léger voile permanent. Turbulence pas négligeable non plus ... Bref c'est sans conteste très perfectible mais ça me laisse un souvenir. composition de 2 images (surface et protubérances) bonne semaine et bon ciel à tous 2024-04-13-1206_4-U-L-Sun_Halpha_lapl6_ap1226_finale_legendée_2.tiff
  20. 5 points
    Bonjour les Astros, Petite prise du "CASQUE DE THOR" qui date d'une semaine, que je pensais perdu dans les abysses des clichés mais qui a pu être récupérée, toujours au Seestar 20 minutes de pose. Merci à @Bob Saint-Clar pour son aide pour le traitement ... et le sauvetage de cette photo.
  21. 5 points
    Vendredi j'ai profité de la soirée pour faire quelques plans lunaires, la turbu était variable mais pour une fois plutôt correcte pour mon site. Mer des crises. Petavius. Atlas et Hercule. Gros plan sur Messier et ses éjectas. Bonne soirée.
  22. 4 points
    Bonsoir, Sans être un objet peu connu, elle semble un peu délaissée car on ne la voit pas très souvent j'ai l'impression : je vous propose ce soir, une petite image de NGC404, alias le fantôme de Mirach, une petite galaxie lenticulaire naine de mag 11 située à 6' seulement de la brillante Beta And (Mirach) de magnitude 2. Attention, je vous livre cette image avec une galaxie non résolue et sans retirer Mirach Mais le résultat est sympa quand même, en tout cas il me satisfait : Outre NGC404, il y a quelques petites tâchouilles dans le champ, la plus belle étant sans doute UGC 748 : Voici donc le champ complet, si vous souhaitez vous y balader : ( Clic droit puis Ouvrir dans un Nouvel Onglet/Nouvelle Fenêtre pour voir l'image à 100% ) Newton SW 200/800 avec correcteur de coma, caméra ASI 294-MCpro + IR-cut, Nord à peu près en Haut Monture AZ-EQ6 - ASIAir - poses guidées avec dithering Sur 3 nuits successives les 09/10, 10/11 et 11/12 octobre 2023 65 poses 3min à -10 ou -15°C, Temps d'intégration de 03 h 15 min Traitement Siril-1.2.1, Finition avec Gimp 2.10.28 Échantillonnage natif de 1,25"/pixel et de quoi identifier les tâchouilles : Bonne soirée et bon ciel à toutes et tous
  23. 4 points
    Bonsoir tout le monde, Une question svp. Une personne m'a donné un C14 des années 75 qui ne servait plus depuis des années. Le C14 est accompagné de deux fourches. Mon but est de le remettre en état d'origine. Dans un premier temps, je dois nettoyer la lame qui est sale coté intérieur. Avant de tout démonter (en repérant bien sûr l'orientation); y-a-t-il autre chose que je devrais savoir pour éviter toute mauvaise surprise ? Frank Merci.
  24. 4 points
    Salut à tous, Hier soir la Lune occultait 2 étoiles de magnitude 5.9 et 6.3. J'ai essayé de mesurer la courbe de lumière avec le T400 de l'Observatoire de Nice, et une caméra ASI174. Les étoiles sont suffisamment brillantes, alors j'ai voulu tester le temps de pose minimum pour avoir une bonne résolution temporelle, c'est à dire environ 0.55 ms. J'ai utilisé Firecapture pour l'acquisition et Iris pour l'analyse. SAO 79861 est une géante de type G8III, de distance 610 a.l., SAO 79861 est une étoile de la séquence principale, de type A1V comme Sirius, de distance 430 a.l. Le champ: SAO 79861: En gif (images binnées 2 à 2, animation fortement ralentie !) Si on regarde la durée de l'assombrissement (pointillés), ça donne grossièrement 25 millisecondes. Compte tenu de la vitesse de déplacement de la Lune et de l'angle d'attaque du bord lunaire (~45°), ça équivaudrait à un diamètre de 6 millisecondes d'arc, si on considère que l'assombrissement correspond bien à la progression de la Lune sur le disque stellaire. Seulement, à la distance de SAO 79861, cela correspond à un diamètre de 170 millions de km, un peu élevé pour une géante. SAO 79869: Le gif: Cette fois, on a un assombrissement qui dure environ 15 ms, soit un angle de 7 millisecondes d'arc, soit environ 140 millions de km. Mais l'étoile est de type A1V, donc son diamètre ne devrait pas trop dépasser 10 millions de km. Tout comme pour SAO 79861, on devine des effets de diffraction juste avant l'occultation, mais je ne sais pas si ça joue beaucoup dans notre cas. Est-il possible que ces mêmes effets de diffraction font qu'on continue à voir l'étoile même quand elle est physiquement passée derrière la Lune? A moins que ce ne soit des effets relativistes. Si le Soleil peut dévier de 2" la position des étoiles, alors la Lune doit bien pouvoir la dévier de quelques millisecondes... S'il y a des spécialistes dans le coin. Les courbes un peu plus complètes: Matthieu
  25. 4 points
    Hello, Les occasions de faire du planétaire ou du CP se font rares en ce moment. Malgré un bon paquet de sirrus, j'ai quand même tenté le coup... et j'ai bien fait finalement Difficulté supplémentaire, la HEQ5 me fait payer le fait de rester seule dans le jardin, perchée en haut de sa colonne fixe, sans pouvoir se dégourdir les courroies.... Elle est devenue capricieuse, avec un suivi saccadé... contrainte sur la roue dentée en AD, j'ai dû ajuter le backlash à la lampe torche, un vrai "plaisir" je vous assure... Bref tout a fini par enfin fonctionner nomdidioussss. NGC 2685 est une galaxie lenticulaire à anneau polaire située dans la constellation de la Grande Ourse. Elle est aussi connue sous le nom de galaxie de l'Hélice. Sa vitesse par rapport au fond diffus cosmologique est de 1 003 ± 9 km/s, ce qui correspond à une distance de Hubble de 14,8 ± 1,0 Mpc (∼48,3 millions d'al). NGC 2685 a été découverte par l'astronome allemand Wilhelm Tempel en 1882. Cette galaxie dont la taille est d'environ 50 000 années-lumière présente un anneau fait de poussière, de gaz et d'étoiles qui est perpendiculaire au plan de son disque. Les propriétés observées de la galaxie suggèrent que cet anneau est remarquablement stable et âgé. On pense que cette configuration très rare proviendrait de la collision entre deux galaxies. Les infos: Celestron C8 + réducteur f6.3 Antares @ 1350mm Player One Artemis-c imx294 + filtre Optolong L-quad Monture HEQ5 kit courroie Rowan Autoguidage via lunette guide 60/270, Asi290mm / PHD2 Map auto avec EAF Acquisition NINA 189 x 120s (un peu plus de 6H d'intégration) Gain 120 capteur -10°C Traitement Siril, Pixinsight. une brute de 120s: C'était aussi l'occasion de tester avec le C8 le filtre Optolong L-quad, mieux adapté que le L-pro car il laisse passer plus de bleu... L-pro: L-quad: Les couleurs sont mieux équilibrées maintenant
  26. 4 points
    Salut! j'ai fais un peu de lune hier et avant hier au 250 (Avant Juju que je posterai plus tard et la comete et du cp ) Asi 178mm filtre rouge au foyer pour le 13 et a la 662 mc juste pour tester avec et sans gamma pour voir la difference pour me donnée une bases pour juju de plein jour image a 100/100 (clic ou pas😁) ondelette douce je pense et un peu de local contraste et gamma dans astrosurface 2024-04-13-1848_6-U-L-Moon_Taka-4-6372 2024-04-13-1850_6-U-L-Moon_Taka-4-6353 2024-04-13-1851_4-U-L-Moon_Taka-4-6374 2024-04-13-1852_3-U-L-Moon_Taka-4-6368_stitch Hier c'est vraiment pour tester avec ou sans gamma a la capture Avec même traitement 2024-04-14-1749_3-U-L-Moon_Taka-4-6250_red Sans 2024-04-14-1750_4-U-L-Moon_Taka-4-62071_red Bonne soirée a tous et bon ciel Sauveur
  27. 4 points
    En effet.. on va dire "qu'il sort un peu des clous" lui aussi . https://fr.wikipedia.org/wiki/Laurent_Nottale Je cite : "Laurent Nottale apparait comme l'archétype du scientifique reconnu en début de parcours, puis prenant le risque personnel de compromettre sa carrière par ses choix de recherche vers une théorie transdisciplinaire de rupture complète : ayant acquis un fort "capital scientifique" dans son domaine d'origine (l'astrophysique) il décide en effet de bifurquer (à partir de 1984) vers l'élaboration de la théorie de la Relativité d'échelle (TRE en Français, SR en Anglais)8, qui ne se greffait sur aucun champ de recherche antérieur (bénéficiant donc de peu de soutiens), et posait indirectement la question d'enjeux scientifiques "établis" atteints par une théorie nouvelle. Puis, deuxième prise de risque, il étend (1999) sa théorie à d'autres disciplines, (biologie, sciences de la terre, physique théorique, etc), et achève ainsi de monter contre sa démarche les tenants d'une astrophysique "stabilisée et sanctionnée". Mais certains secteurs y restent plus ouverts (entre autres en physique théorique ou en systémique). Par ailleurs, ses approches holistiques en matière d'épistémologie, exposées en marge de sa carrière professionnelle, ont contribué au rejet de ses thèses par certains de ses pairs." Autres sources : http://thomas.lepeltier.free.fr/cr/nottale-relativite-echelle.html Un peu ancien mais intéressant : https://www.liberation.fr/portrait/1998/12/16/laurent-nottale-46-ans-astrophysicien-injecte-de-la-rugosite-dans-l-univers-et-rend-la-mecanique-qua_253473/
  28. 4 points
    Quelques photos (avant les films) des falcon9 que Mr. Burk envoie au-dessus des mexicains tous les 3j: Depuis Loreto au 135mm: Depuis Mazatlan au 24mm un peu derrière les nuages et à côté de Jupiter, avec un ciel à SQM=17
  29. 4 points
    Je me demande en fait ce qui est attendu ici ?! Qu'est-ce qu'un modèle alternatif ? 1. Qu'est-ce que la cosmologie ? La première chose que l'on constate souvent dans le grand public, c'est l'incompréhension autour du modèle de concordance, perçu comme sorte de théorie monolithique. Comme si la cosmologie reposait sur la seule relativité générale. En réalité, la cosmologie nécessite de comprendre de nombreux phénomènes physiques qui interagissent ensemble. Aussi, la cosmologie repose sur l'étude de : - La relativité générale pour comprendre la dynamique globale de l'Univers en terme d'expansion - La gravitation (je nuance par rapport à la RG) pour étudier la formation des galaxies et des structures galactiques - La physique nucléaire pour comprendre la nucléosynthèse - Les deux domaines précédents pour comprendre la formation des étoiles - La physique des particules pour comprendre, entre autres, la baryogénèse - La physique des plasmas nécessaire sur plusieurs niveaux précédents - etc, etc... La cosmologie peut se ranger dans ce que l'on nomme aujourd'hui la multiphysique, i.e. l'étude des phénomènes complexes qui demandent des calculs faisant intervenir différents champs de la physique. N'en déplaise à certains, il n'y a pas d'ayatollahs du modèle de concordance. Les gens qui affirment cela sont des ignorants dont la suffisance les conduits à affirmer des contre-vérités qui appuient leurs délires complotistes, et dont la paresse intellectuelle ne les encourage pas à s'informer ce qui leur permet de se complaire dans leurs certitudes (l'éternel fantasme de la lutte du bon peuple contre les notables pervertis). Au passage, il est amusant de voir des gens défendre JPP en surfant sur son délire de "il n'y a pas de matière noire" alors que Janus EST un modèle de matière noire (indépendamment de sa cohérence physique et mathématique). Je ne connais aucun cosmologiste qui affirme que tout est compris. En l'occurrence, si c'était le cas, on arrêterait les missions d'études et on ne verrait pas fleurir des articles théoriques à la pelle ! Donc, ce qu'il faut comprendre, c'est que quand on s'interroge par exemple sur la formation des galaxies, cela ne signifie pas pour autant que l'ensemble de la physique connue est à revoir ! On ne commence pas par dire qu'il faut fiche à la poubelle la physique nucléaire et la physique des plasmas ! 2. Comment fonctionne la recherche ? De même, en physique, quand on a une théorie qui a marché parfaitement dans 999 expériences différentes, on ne la fiche pas à l'air à la première expérience qui semble en désaccord. On va déjà essayer de voir si cette dernière expérience ne comporte pas d'erreurs, et ensuite la répéter de diverses manières pour confirmer le résultat. Ensuite seulement il faudra retravailler la théorie. Mais là encore, cela ne signifie pas forcément de tout devoir repenser. Certains parlent de la matière noire comme d'une théorie des épicycles. C'est là encore mal comprendre le fonctionnement de la science. Ainsi, on aurait pu taxer le modèle de Bohr de l'atome comme une sorte de théorie des épicycles, une tentative de concilier maladroitement la mécanique classique avec les observations. Cela serait faire un procès injuste au travail de Bohr qui a justement permis à de Broglie de poser les bases de ce que l'on allait nommer la mécanique ondulatoire qui deviendra la physique quantique. Si on n'enseigne plus la théorie des épicycles (sinon en histoire des sciences), le modèle de Bohr est encore enseigné comme accroche à la physique quantique. Autre exemple : depuis que l'on connait la relativité restreinte, les ingénieurs en automobile continuent à utiliser la mécanique classique ! La physique classique est inclue dans la physique relativiste. Pour dépasser quelque chose, on a besoin de s'appuyer sur l'existant au risque sinon de s'égarer totalement (et surement). Pour reprendre Oscar Wilde : "Appuyez-vous sur les principes, ils finiront bien par céder". De même, certains ont une vision totalement erronée du fonctionnement de la science en terme de temporalité. Ceci dit, les scientifiques en sont aussi parfois victimes, un peu comme si une recherche qui s'inscrivait dans un temps trop long était synonyme d'absence de découverte possible. C'est la différence entre Katalin Karikó (prix Nobel pour le vaccin à ARN) ou Isamu Akasaki (prix Nobel pour la LED bleue) et les autres : l'opiniâtreté là ou les autres ont jeté l'éponge, abandonnés par l'espoir de découverte ou de profit rapide en terme de publications. A ce compte-là, on pourrait aussi abandonner toutes les recherches contre le cancer au motif que ça fait plus d'un siècle qu'on cherche à le traiter ! 3. Mais alors c'est quoi un modèle alternatif de la cosmologie ? Au sens strict, il n'y en a pas vraiment ! En revanche, le modèle de concordance n'est pas défini à certaines échelles de temps qui correspondent justement à des trous dans le tissu de nos connaissances en physique. Un exemple : la baryogénèse. En fait, il ne devrait pas y avoir de matière dans l'univers (ou presque) ! Dans les premiers instants, il y avait un équilibre thermodynamique entre le bain de photons et les particules élémentaires. Pour ces dernières, on doit avoir autant de particules que d'antiparticules. Avec l'expansion et le refroidissement de l'Univers, les particules et les antiparticules auraient dû pratiquement totalement s'annihiler pour ne laisser qu'un résidu de particules et d'antiparticules dans des quantités considérablement inférieures à ce que l'on observe aujourd'hui. En l'occurrence, on n'observe pas de structures constituées d'antimatière, et notre univers est largement dominé par la matière, même s'il y en a très peu : en gros 1 proton pour 4 mètres cubes. C'est ce que l'on nomme le problème de la baryogénèse. Sakharov a montré que cela n'était possible qu'à 3 conditions (qui portent désormais son nom) présentes au moment de la baryogénèse : - Les particules et les antiparticules doivent avoir un comportement différent (en terme techniques, on parle de violation C/CP). - Il doit exister un processus qui viole la conservation du nombre baryonique, celui-ci étant nul avant la baryogénèse, et non nul après. - Il doit y avoir une rupture de l'équilibre thermodynamique. Aujourd'hui, on ne sait pas ce qui est à l'origine de la baryogénèse. En revanche, on ne manque pas de modèles ou théories candidates pour l'expliquer. En ce sens il y a de nombreux modèles alternatifs. A ce stade, ce qui manque, c'est des expériences pour invalider des modèles ou confirmer quelle est la bonne interprétation. 4. Pourrait-on parler de ça ici ? Objectivement, cela n'est pas forcément évident. Concernant la violation C/CP, certains mécanismes permettant de la décrire sont terriblement abstraits et techniques. On ne peut qu'en dresser l'idée générale et à ce stade, le lecteur curieux et non spécialiste doit accepter de faire confiance aux chercheurs, car aucun quidam n'est jamais assez fort pour ce calcul.
  30. 3 points
    Hello les surfers, Bien que les galaxies ne soient pas le fort de ce setup, j'ai tenté un plan large sur m81en essayant d'avoir le plus de détails possible sur les galaxies en elles même malgré l'échantillonage pas du tout adapté. Comme d'habitude, le Bortle 7 et les projecteurs de l'entrepôt à côté de chez moi on considérablement compliqué le traitement du fond de ciel et son gradient. Même GraXpert était aux fraises. Je ne vais pas dire que je suis cantoné aux bandes étroites, mais de chez moi le RVB est très compliqué et ça fausse pas mal la colorimétrie. Bref j'espère que vous apprécierez: 26 poses de 180s = 1h18 Epsilon 130ED Asi 2600 Duo AM5 Asiair Plus
  31. 3 points
    Hello, je suis encore un rodage après une (énième) reprise de l'astrophoto. En attendant que M3 passe au-dessus des arbres j'avais shooté un peu au pif des RGB sur M106. J'ai ajouté des poses L ces derniers jours, entre deux averses. Par contre, et ça fait des années que ça dure, je n'ai pas de résistance chauffante ce qui fait que j'ai pratiquement tout le temps de la buée. Faut vraiment que j'investisse là-dedans, si vous avez des suggestions je suis tout ouïe. Mes RGB ont été prises lors de la pleine lune donc le signal est très faible, et il faudra que je les refasses. On devine à peine la partie extérieur de la galaxie. Mes L sont affectées par la buée donc le signal s'effondre au cours des poses. Le temps total est assez conséquents mais la qualité très mauvaise des brutes limite le résultat final. Sans parler du cadrage inexistant. Tout ça est néanmoins l'occasion de tester tout un tas de nouveauté, BlurXTerminator et autres, et le process GHS de Pixinsight qui est absolument génial ! C'est un outil de montée d'histogramme d'une grande finesse. Il permet de régler avec précision les contrastes. Et je suis encore loin de le maitriser ! Altair 183M non refroidie + Evostar 72ED sur HEQ5 RGB : 12/10/10 x120s soit 1h04mn L : 250x120s soit 8h20mn Traitement full Pixinsight
  32. 3 points
    Le spectre de la galaxie NGC 6041 dans l'amas Abell 2151 (amas de galaxies de Hercule) fait avec un Star'Ex LR monté sur Newton 150 f/4 Quattro Sky-Watcher. Le but était de mesurer le red-shift (pas un cadeau sur une elliptique de magnitude 15 en ville et un tel setup très compact). J'obient z = 0,036, alors que la valeur admise est z = 0,035. Pas mal. La galaxie est à 500 millions d'années lumière et file à 10 000 kms/ à cause de l'expansion de l'Univers : En parallèle, l'imagerie de l'amas avec un Vespera II sous un ciel très pollué. C'est un test de magnitude limite. Avec 10 heures de poses (tout de même), j'ai une magnitude limite de 18,5 (surement 19,2 à 19,5 sous un ciel noir). Pas mal aussi je trouve et un bon tandem : Christian
  33. 3 points
    @XavS ton imag est pleine de potentiel Voici ce que j'obtiens de mon côté (réduite à 75% de l'échantillonnage d'origine) :
  34. 3 points
    j ai un autre jansen un peu plus resolu il me semble qu en pensez vous?
  35. 3 points
    oui alain j avais tendance a forcer le traitement pour obtenir le plus de details j ai changé d avis !
  36. 3 points
    Merci Paul Merci jean-pierre merci Xavs merci merci jeff c'est effectivement l'occasion de faire mieux ou différent des fois précédentes, j'aime bien après plusieurs année revenir sur certains objets, merci merci sauveur merci
  37. 3 points
    une petite ngc 3184 a la lulu 103 , je n es pas fait de dofs .Ce n est que 28 images empilées sous siril , pour homogénéiser le fond du ciel sans dofs , fitswork fait très bien ça .....prises faite avec l a ASI 533 . j ai cropsé , la camera était mal fixée du cp un légé tilt , et me suis un peut planté sur la distance du correcteur de champs et capteur , bref on sort quand même quelque chose .... une petite galaxie souvent imagée de face a 40 AL magnitude , environ 14 prises sous ciel Bo4 un peut brumeux , d ou cette cible au zénith Vixen AX103s sur AM5 lunette guide svbonny de 60 avec asi 178 28 img de 300s empilées sous siril post traitement dartktable et fitswork pas de dofs bon dimanche
  38. 3 points
    J'ai démonté uniquement la lame, pas le secondaire. Il y avait deux petites cales dans l'épaisseur de la lame mais celle-ci avait du jeu au niveau diamètre "+/- 1mm". J'ai utilisé des cales de réglage pour remettre tout exactement comme c'était. Nettoyage au Purosol (pas trouvé de bassine assez grosse pour le trempage avec liquide vaisselle) mais impec, c'est propre. Je pense que cette lame a déja été démonté donc j'espère que cela a été fait dans les règles de l'art... Prochaine étape, fixer ce C14 sur sa fourche. Il me manque les vis de fixation et je ne sais pas ce qu'il faut. Un pas américain certainement. Pour l'Astrola; Les charlottes, elles sont d'époques Sur cette monture, il me manque la commande du moteur en DEC et je ne comprends pas comment on bloque cette DEC. Je me suis inscrit sur un forum pour comprendre un peu mieux. La personne qui m'a donné tout ce matériel n'est plus très en forme donc je n'ai pas d'infos. Quand au moteur, 110v... Je vais récupérer un transfo 220/110v mais quid de la fréquence 50Hz au lieu de 60Hz. Je verrai ça plus tard. En tout cas, c'est assez génial de remettre ce matériel en état.
  39. 2 points
    Hellooo Après un long silence dû à des engagements associatifs exigeants (mais passionnants !) je trouve enfin le temps de commencer à publier quelques travaux que j'ai sous le coude Ce fil est une étude des couleurs de Saturne par photométrie, c'est le même travail que j'ai déjà fait sur Jupiter, mais c'est la première fois que je m'attaque à la planète aux anneaux. La cible est plus compliquée que Jupiter, à cause des anneaux justement. Au départ je pensais trouver dans la littérature des équations permettant de retrancher la luminosité de ces derniers, mais je n'ai pas réussi à trouver comment faire. Cependant, comme je travaille sur des images résolues, contrairement aux susdits papiers, il m'est possible d'isoler le globe des anneaux extérieurs et d'en calculer la magnitude. Il reste une portion du système d'anneaux devant le globe. Ce n'est pas grave pour le projet qui est de calibrer la luminosité du disque, mais ça limite la comparaison aux références de magnitudes qui existent... Le comportement photométrique de Saturne diffère également de celui de Jupiter, sans parler des anneaux, car il y a des variations saisonnières marquées qui font que l'éclat de la planète dans le rouge et l'infrarouge en particulier connait des évolutions très sensibles. Le globe est moins rouge aux équinoxes, plus aux solstices (quand on réintègre les anneaux, c'est l'inverse : le système complet est plus bleu aux solstices) Comme vous le savez, Saturne s'avance vers sa prochaine équinoxe, qui aura lieu en 2025 - passage à l'automne pour l'hémisphère nord. En conséquence, il y a des variations d'éclat et de couleurs assez marquées et rapides, en particulier de l'hémisphère sud qui sort de l'hiver. Les observations ont été faites en deux fois au mois de septembre de l'année dernière, juste après l'opposition, en utilisant deux étoiles dans le Capricorne et le Verseau. Le seeing était très bon pour la série UV-visible. Je mets des séries de 2022 pour comparaison, mais je n'ai pas fait de calibration pour cette année-là. Voilà d'abord un graphique avec les valeurs de magnitude et d'albédo. Je suis très bien sur les références en UV, bleu et visible, mais je trouve une variation à la baisse sensible en R et IR. Il est possible que ce soit justement dû à l'approche de l'équinoxe, en tous cas les deux valeurs en bande R, obtenues sur 2 nuits différentes et avec 2 filtres différents, sont identiques donc ça sent quand même bon ! La comparaison avec les références n'est possible cependant que parce que la luminosité des anneaux, de l'UV au bleu, est très proche du globe en 2023. Pour le méthane par exemple, il est évident que l'albédo de 12% est trop élevé pour le globe tout seul... Enfin, j'ai encore ajouté le B425 dans la boucle. La bande passante de ce filtre encadre la partie du spectre des planètes joviennes où les variations de contraste sont les plus fortes dans le système de bandes. Ca ne sera pas très notable pour Saturne a priori, par contre pour Jupiter ça sera un filtre clé ! Voici les planches d'images en version psf, pour mieux se rendre compte. En couleurs : on voit bien la variation de l'hémisphère sud qui passe du bleu au vert (spoiler : dans l'épisode 2 à venir, j'arrive à démontrer la variation avec des chiffres) Planche UV-visible : Planche IR : j'ai l'impression que la luminosité du globe a diminué en IR et CH4, mais je n'ai pas encore fait la comparaison, on verra ce que ça dit... suspense A venir l'épisode 2 où on parlera du profil photométrique de pôle à pôle. Dans le 3ème on parlera des anneaux je mettrai les résultats ici même.
  40. 2 points
    Bonjour Un petit soleil du matin à travers un léger voile de nuages. Lunette TS de 80/480, caméra zwo asi 178mm. 300 images stackkées sur 1000. Traitement as3, astrosurface et gimp. Maintenant le C14 à remplacé la lunette et attend la moon! Normalement le ciel est ok jusqu'à 21h30-22h ensuite ça se voile mais j'en aurais assez pour la mater et faire une image ou 2 si pas trop de turbule.
  41. 2 points
    Excellent Stéphane Bonne soirée, AG
  42. 2 points
    J'ai joué un peu avec dans Astrosurface . . . au gré de mes envies Elle est assez sympa en fait Bonne soirée, AG
  43. 2 points
    Merci Paul! Pour le driver ascom c'était une erreur, je pensais qu'il me manquait le driver natif PO sur ce PC, ce qui n'était pas le cas. Merci Alain
  44. 2 points
    https://www.eso.org/public/france/news/eso2408/?lang Découverte du trou noir stellaire le plus massif de notre galaxie Des astronomes ont identifié le trou noir stellaire le plus massif découvert à ce jour dans la Voie lactée. Ce trou noir a été repéré dans les données de la mission Gaia de l'Agence spatiale européenne parce qu'il impose un étrange mouvement d'oscillation à l'étoile qui l'accompagne et qui est en orbite autour de lui. Les données du Very Large Telescope (VLT) de l'Observatoire Européen Austral et d'autres observatoires au sol ont permis de vérifier la masse du trou noir, qui atteint le chiffre impressionnant de 33 fois celle du Soleil. Les trous noirs stellaires sont formés par l'effondrement d'étoiles massives et ceux qui ont été identifiés précédemment dans la Voie lactée sont en moyenne 10 fois plus massifs que le Soleil. Même le deuxième trou noir stellaire le plus massif connu dans notre galaxie, Cygnus X-1, n'atteint que 21 masses solaires, ce qui rend exceptionnelle cette nouvelle observation de 33 masses solaires [1]. Fait remarquable, ce trou noir est également extrêmement proche de nous : à seulement 2 000 années-lumière dans la constellation de l'Aigle. En termes de distance par rapport à la Terre il est donc en seconde position parmi les trous noirs connus à ce jour. Baptisé Gaia BH3 ou BH3 en abrégé, il a été découvert alors que l'équipe examinait les observations de Gaia en vue d'une prochaine publication de données. "Personne ne s'attendait à trouver un trou noir de grande masse tapi à proximité, non détecté jusqu'à présent", explique Pasquale Panuzzo, membre de la collaboration Gaia et chercheur du Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) français à l'Observatoire de Paris - PSL. "C'est le genre de découverte que l'on ne fait qu'une fois dans sa vie de chercheur." Pour confirmer cette découverte, la collaboration Gaia a utilisé des données provenant d'observatoires au sol, notamment du spectrographe UVES (Ultraviolet and Visual Echelle Spectrograph) du VLT de l'ESO, situé dans le désert d'Atacama au Chili [2]. Ces observations ont révélé des propriétés essentielles de l'étoile compagnon qui, associées aux données de Gaia, ont permis aux astronomes de mesurer avec précision la masse de BH3. Des astronomes ont découvert des trous noirs de masse similaire en dehors de notre galaxie (en utilisant une méthode de détection différente) et ont émis la théorie qu'ils pourraient se former à partir de l'effondrement d'étoiles dont la composition chimique ne contient que très peu d'éléments plus lourds que l'hydrogène et l'hélium. On pense que ces étoiles pauvres en métaux perdent moins de masse au cours de leur vie et qu'il leur reste donc plus de matière pour produire des trous noirs de grande masse après leur mort. Mais jusqu'à présent, il n'existait pas de preuves établissant un lien direct entre les étoiles pauvres en métaux et les trous noirs de grande masse. Les paires d'étoiles ont tendance à avoir des compositions similaires, ce qui signifie que le compagnon de BH3 contient des indices importants sur l'étoile qui s'est effondrée pour former ce trou noir exceptionnel. Les données UVES ont montré que le compagnon était une étoile très pauvre en métaux, ce qui indique que l'étoile qui s'est effondrée pour former BH3 était également pauvre en métaux, comme prévu. L'étude, dirigée par Pasquale Panuzzo, est publiée aujourd'hui dans la revue Astronomy & Astrophysics. "Nous avons pris la décision exceptionnelle de publier cet article basé sur des données préliminaires avant la publication prochaine des données Gaia, en raison de la nature unique de cette découverte", explique Elisabetta Caffau, chercheuse CNRS à l'Observatoire de Paris - PSL, co-autrice de l'article et membre de la collaboration Gaia. La mise à disposition précoce des données permettra à d'autres astronomes de commencer à étudier ce trou noir dès maintenant, sans attendre la publication des données complètes, prévue pour la fin de l'année 2025 au plus tôt. D'autres observations de ce système pourraient permettre d'en savoir plus sur son histoire et sur le trou noir lui-même. L'instrument GRAVITY de l'interféromètre du VLT de l'ESO, par exemple, pourrait aider les astronomes à déterminer si ce trou noir attire de la matière de son environnement et à mieux comprendre cet objet passionnant. Vue d'artiste décrivant l' étoile qui gravite autour du TN Animation (le TN est en rouge) : Les 3 TN découverts dans notre galaxie grâce à GAIA :
  45. 2 points
  46. 2 points
    La grosse . . . la grosse . . . elle a quand même sacrément maigri la gamine Hello Sauveur, Encore deux superbes images de l'extrême d'une Juju en plein jour Et tant pis pour la Lune, prends quand même un peu soin de ta santé Bonne journée, AG
  47. 2 points
    Salut Florent En complément des essais de cet AM, j'ai lancé le programme FLIfocus qui fonctionne cette fois-ci avec le FLI PDF, après installation du driver ASCOM " Kepler Camera ASCOM driver v.6.5.8325", ce qui n'était pas le cas avant. En regardant ta copie écran de près, je me rend compte que suite à l'installation du driver ASCOM " Kepler Camera ASCOM driver v.6.5.8325", une nouvelle ligne apparait dans la liste des focuser, et ça, je ne l'avais pas remarqué ! En plus de la la ligne "FLI ASCOM Focuser" d'origine, la ligne "ASCOM Focuser Driver for FLI" est venue s'ajouter. La feinte ! En sélectionnant ce driver, le focuser fonctionne ! Super ! Par contre, à ce stade, il n'est pas utile de lancer le programme FLIfocus. J'ai modifié les paramètres de fonctionnement du focuser directement via NINA via l’icône de configuration. Dans cette histoire, ce que je trouve pénible (je reste poli), c'est que lorsque j'ai contacté FLI pour leur signaler la problématique, ils m'ont répondu que le produit n'était plus suivi et qu'aucun correctif ne serait disponible. Dit d'une autre façon, le focuser était "perdu" ! J'avais quand même lancé une réflexion pour remplacer l'électronique intégré par un Arduino avec driver de moteur PAP, tout en gardant la partie mécanique. Bilan, il y a finalement 2 méthodes pour faire fonctionner nos chers focuser FLI. Au tarif de ces joujoux, c'est quand même bien de pouvoir les utiliser. Merci à toi pour la solution apportée. JP
  48. 2 points
    ------------------------- EDIT : JE FAIS UN PETIT UP désolé, mais je me suis aperçu que la visualisation plein format sur Astrosurf faisait apparaitre l'image bien plus grosse que dans mes logiciels classiques. Je poste ici une image réduite à 0,7, qui visualisée en plein format sous Astrosurf apparait maintenant à une échelle raisonnable. Comment gérez-vous cela de votre côté ? ------------------------- L'image à l'échelle 0.7 est celle-ci :
  49. 2 points
    Je me suis jamais posé la question, je n'ai jamais calculé! Si je voulais avoir le bon échantillonage, le soleil et la lune ne tiendrait plus dans le cadre? Tu vois, malgré mes années de pratique, je suis encore une buse avec ces notions d'échantillonage.... J'en ai une en stock moins sombre.
  50. 2 points
    pourquoi prendre ce type de matériaux ? Bonne résistance aux chocs thermiques, déformabilité très faible à la chaleur, coefficient de dilatation pratiquement nul... https://www.verrehaget.fr/la-vitroceramique/ Alors attention !!... Selon certaines sources, cette personne pourrait bien venir roder dans les parages à Paranal !!! Vigilance !!!!!