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Affichage du contenu le plus aimé le 30/05/2024 dans Messages

  1. 14 points
    Bonjour à toutes et tous, C'est toujours long, vraiment, mais voici enfin le montage de mes time lapses du 10 et 11 mai. Nous en avons pris plein les yeux, fascinés, cloués, à juste regarder le ciel de cette improbable nuit. Et ne rien dire de plus devrait suffire. Malgré tout, je vais pour une fois faire l'effort de détailler un minimum notre propre expérience de cette nuit du 10 au 11 mai 2024. Le 8 et 9 mai, comme beaucoup d'entre vous, j'étais à l'affut du groupe de CME qui se dirigeait droit sur notre planète (ça fait très film de SF comme intro, non ?). Les différents sites d'info sur le sujet montraient tous des conditions idéales, la météo aussi et pas de Lune, donc nous avons décidé de tenter notre chance sur un site parfaitement orienté pour une possible tempête solaire. 16h le 10/05 on charge le camion et direction la montagne de Lure, à une quarantaine de km de chez nous. Arrivée vers 19h au spot prévu, il y a déjà un couple avec un camion, table de camping et vtt... et un apn sur trépieds... Pour ceux qui connaissent, on était sur le virage suivant le spot astro à côté de la stèle, un belvédère y est aménagé avec pleine vue à quasi 180 degrés vers le nord et à 1700m d'altitude. On fait un tour rapide des lieux, mise en place du lit dans le camion, des chaises dehors, casse-croûte, et tenues chaudes et bien sûr du matos de pdv... Pendant ce temps-là, on fait aussi connaissance avec nos voisins eux aussi en camion, des chasseurs d'aurores passionnés, tiens donc ! Ils vont parfois plusieurs fois par an sous des latitudes plus nordiques depuis une dizaine d'années. Tous les compteurs sont donc bien au vert ! Vers 21h et quelques, je tente une première image ; et bim ! Direct, il y a du rouge ! C'est parti, je lance les time lapses (je galère un peu, il ne fait pas nuit, et c'est pour moi la première fois que je photographie des aurores boréales, provençales qui plus est). Je bataille un moment avec le téléphone pour prévenir les proches, mais le réseau passe très mal, j'arrive juste à faire un petit poste ici dans le topic astronomie générale dédié, au bout de plus de 20 minutes… Sans photos. Le reste est une de ces nuits d'astro qui marque cette passion d'une pierre blanche sur le compteur des années. Petit stress au moment du maximum, vers minuit ! mon vieux a7s défiltré maison bug !!! Bon, il approche les 2 millions de photos, ça lui arrive de temps en temps, mais jamais comme là, ça sera sûrement son chant du cygne, car la relève arrive. Rien n'y fait, je bataille un quart d'heure, il redémarre sans cesse, perd ses paramètres, dates, heures, etc, dès la première photo prise. Dégoûté et après un retour rapide de mes chromosomes bretons, je choisis de le laisser de côté et de profiter visuellement (avec les yeux, soyons clairs !), du spectacle. Passe encore un quart d'heure, calmé, je retente de lancer les prises de vues, deux ou trois essais et miracle, ça remarche ! Il tournera ainsi tout le reste de la nuit sans que j'ose y toucher, et moi, je ne dormirai pas. Il me manque donc environ une demi-heure de la nuit. Un effet des perturbations électromagnétiques ??? Le lendemain soir, on retentera depuis un spot à côté d'Entrevennes, avec bien moins de choses à voir niveau aurores, mais un a7s qui marche à nouveau. Pour le montage : Approximativement 7000 ou 8000 images raw, soit environ 5x plus durant les traitements et montages. Objectifs, samyang 14 mm, 24 mm, et 85 mm, ttartisan 50 mm Dxo pureraw3, lightroom, sequator, PIPP, Premiere pro. Environ 2 To d'occupation sur les SSD avec les fichiers intermédiaires… Et un pc qui tourne h24 durant des jours... Certaines scènes auraient mérité encore un peu plus de travail, notamment des dérives de colorimétrie après le bug de l'apn. Je passerai les soucis de compression de l'ensemble qui pourrissent l'image finale, et là aussi mériteraient d'y travailler encore... Mais là, j'en ai marre :)) . Musique : Comme à notre habitude, c'est une compo en cours de ma moitié qui est choisie, le parti pris sur le style est assez fort et assumé, donc pour ceux qui auront des goûts différents, baissez le son Et si vous aimez, n'hésitez pas à le lui dire (c'est sensible les artistes ) Pour les scènes notables (dans l'ordre) : Le début de nuit. L'arrivée timide des premières lueurs vertes. La Lune cendrée sur fond de ciel rougeâtre. Ngc 7000 et les piliers auroraux. Le plateau de Bure sous les aurores. Le maximum au 14mm. La Voie lactée et le halo auroral. L'arrivée du jour. Un petit star trail en mode comètes avec le maximum. Et en bonus la Voie lactée avec un peu de rouge depuis Entrevennes le soir du 11. Les Starlink sont toujours là sur la scène finale... Si vous souhaitez voir les scènes séparément, j'ai fait un album ici, mais encore une fois la compression (de flickr en l'occurrence) est à c.., catastrophique : https://www.flickr.com/photos/basses-lumieres/albums/72177720317180014/‌ C'est en 4k 60 fps, et à écouter au casque ou avec un truc qui sait faire des vraies basses, donc de préférence pas sur téléphone. La chronologie de la nuit est respectée dans le montage. En souhaitant que cela vous plaise. Et on croise les doigts pour une possible deuxième nuit à venir... Joseph
  2. 13 points
    Salut la compagnie Bon pour une fois, j'ai eu une bonne nuit le soir ou j'ai décidé de faire une cible que j'apprécie particulièrement : l'amas de galaxies Abell2151 dans hercule. on y trouve de nombreuses galaxies intéressantes, de belles spirales en interaction particulièrement esthétiques ( pas mal d'objets Arp dans le lot je crois ) Le seeing était le meilleur que j'ai eu depuis mon déménagement il y a 6 mois. Seul problème : beaucoup trop peu de temps puisque j'ai pu y rester seulement deux heures, et de plus ces fichues aurores boréales qui pourrissaient le fond de ciel... Donc j'ai essayé de faire pas mal jouer de l'antibruit pour faire apparaitre les extensions, je sais que ce ne sera pas au goût de tout le monde mais je suis assez satisfait du résultat personnellement. Il faut juste ne pas trop regarder les coins de près Enfin, j'ai quand même l'impression que les pose de 500ms sont vraiment trop courtes pour être "confort" en détection avec cette caméra. Etant dans une zone assez polluée je me disais que raccourcir ne poserait pas de problème ; bref j'essayerai 1s la prochaine fois pour voir. T560 à F4, Altair 26M en crop carré. 13500 x 500ms pour le fond ( FWHM = 1.35" ) 4000 x 500ms pour les détails ( FWHM = 1.15" ) Traitement Siril, Iris, Rawtherapee, Topaz. Nuit du 10 au 11 mai En espérant que ça vous plaise Romain
  3. 10 points
    Première lumière de ma FS60CB avec réducteur 0.72x (F256 mm) montée sur EQ6Pro et équipée d'une ASI2600MC. Filtre L-Enhance, Guidage OAG-L avec 290MMmini. ASIAIR Pro. 14 poses de 360 secondes. Prise depuis mon jardin avec un lampadaire boule LED réflechi par un mur blanc en plein dans l'axe de visée à 30 mètres. Pré-traitement et Traitement PixInsight, GraXpert, BlurrXterminator, NoiseXterminator, StarXterminator.
  4. 8 points
    Le communiqué de la NASA (traduction automatique) : https://blogs.nasa.gov/webb/2024/05/30/nasas-james-webb-space-telescope-finds-most-distant-known-galaxy/ Le télescope spatial James Webb de la NASA trouve la galaxie la plus lointaine connue Note de l’éditeur : Cet article met en évidence les données de Webb Science en cours, qui n’ont pas encore été soumises au processus d’examen par les pairs. Au cours des deux dernières années, les scientifiques ont utilisé le JWST pour explorer ce que les astronomes appellent l’aube cosmique – la période des premières centaines de millions d’années après le Big Bang où les premières galaxies sont nées. Ces galaxies fournissent des informations vitales sur la façon dont le gaz, les étoiles et les trous noirs changeaient lorsque l’univers était très jeune. En octobre 2023 et janvier 2024, une équipe internationale d’astronomes a utilisé Webb pour observer les galaxies dans le cadre du programme JWST Advanced Deep Extragalactic Survey (JADES). En utilisant le spectrographe NIRSpec (Near-Infrared Spectrograph) de Webb, ils ont obtenu un spectre d’une galaxie record observée seulement deux cent quatre-vingt-dix millions d’années après le Big Bang. Cela correspond à un décalage vers le rouge d’environ 14, qui est une mesure de la quantité de lumière d’une galaxie étirée par l’expansion de l’univers. Nous avons invité Stefano Carniani de la Scuola Normale Superiore de Pise, en Italie, et Kevin Hainline de l’Université de l’Arizona à Tucson, en Arizona, à nous en dire plus sur la façon dont cette source a été trouvée et sur ce que ses propriétés uniques nous disent sur la formation des galaxies. "Les instruments de Webb ont été conçus pour trouver et comprendre les premières galaxies, et au cours de la première année d’observations dans le cadre du JWST Advanced Deep Extragalactic Survey (JADES), nous avons trouvé plusieurs centaines de galaxies candidates des 650 premiers millions d’années après le Big Bang. Au début de 2023, nous avons découvert une galaxie dans nos données qui avait de fortes preuves d’être au-dessus d’un décalage vers le rouge de 14, ce qui était très excitant, mais certaines propriétés de la source nous rendaient méfiants. La source était étonnamment brillante, ce à quoi nous ne nous attendrions pas pour une galaxie aussi lointaine, et elle était très proche d’une autre galaxie, de sorte que les deux semblaient faire partie d’un objet plus grand. Lorsque nous avons observé à nouveau la source en octobre 2023 dans le cadre du champ JADES Origins, de nouvelles données d’imagerie obtenues avec les filtres NIRCam (Near-Infrared Camera) plus étroits de Webb pointaient encore plus vers l’hypothèse d’un décalage vers le rouge élevé. Nous savions que nous avions besoin d’un spectre, car tout ce que nous apprendrions serait d’une immense importance scientifique, soit comme une nouvelle étape dans l’étude de Webb sur l’univers primitif, soit comme une bizarrerie déroutante d’une galaxie d’âge moyen. "En janvier 2024, NIRSpec a observé cette galaxie, JADES-GS-z14-0, pendant près de dix heures, et lorsque le spectre a été traité pour la première fois, il y avait des preuves sans ambiguïté que la galaxie était effectivement à un décalage vers le rouge de 14,32, pulvérisant le précédent record de galaxie la plus lointaine (z = 13,2 de JADES-GS-z13-0). Voir ce spectre était incroyablement excitant pour toute l’équipe, étant donné le mystère entourant la source. Cette découverte n’était pas seulement un nouveau record de distance pour notre équipe ; l’aspect le plus important de JADES-GS-z14-0 était qu’à cette distance, nous savons que cette galaxie doit être intrinsèquement très lumineuse. D’après les images, la source se trouve à plus de 1 600 années-lumière de diamètre, prouvant que la lumière que nous voyons provient principalement de jeunes étoiles et non d’une émission près d’un trou noir supermassif en croissance. Cette quantité de lumière stellaire implique que la galaxie a plusieurs centaines de millions de fois la masse du Soleil ! Cela soulève la question suivante : comment la nature peut-elle créer une galaxie aussi brillante, massive et grande en moins de 300 millions d’années ? "Les données révèlent d’autres aspects importants de cette étonnante galaxie. Nous voyons que la couleur de la galaxie n’est pas aussi bleue qu’elle pourrait l’être, ce qui indique qu’une partie de la lumière est rougie par la poussière, même à ces temps très précoces. Le chercheur JADES Jake Helton de l’Observatoire Steward et de l’Université de l’Arizona a également identifié que JADES-GS-z14-0 a été détecté à des longueurs d’onde plus longues avec l’instrument MIRI (Mid-Infrared Instrument) de Webb, une réalisation remarquable compte tenu de sa distance. L’observation MIRI couvre les longueurs d’onde de la lumière émise dans la gamme de la lumière visible, qui sont décalées vers le rouge hors de portée des instruments dans le proche infrarouge de Webb. L’analyse de Jake indique que la luminosité de la source impliquée par l’observation de MIRI est supérieure à ce qui serait extrapolé à partir des mesures des autres instruments Webb, indiquant la présence d’une forte émission de gaz ionisé dans la galaxie sous la forme de raies d’émission brillantes d’hydrogène et d’oxygène. La présence d’oxygène si tôt dans la vie de cette galaxie est une surprise et suggère que plusieurs générations d’étoiles très massives avaient déjà vécu leur vie avant que nous n’observions la galaxie. "Toutes ces observations, ensemble, nous disent que JADES-GS-z14-0 n’est pas comme les types de galaxies qui ont été prédits par les modèles théoriques et les simulations informatiques pour exister dans l’univers très jeune. Compte tenu de la luminosité observée de la source, nous pouvons prévoir comment elle pourrait croître au cours du temps cosmique, et jusqu’à présent, nous n’avons trouvé aucun analogue approprié parmi les centaines d’autres galaxies que nous avons observées à fort décalage vers le rouge dans notre enquête. Compte tenu de la région relativement petite du ciel que nous avons recherchée pour trouver JADES-GS-z14-0, sa découverte a de profondes implications pour le nombre prédit de galaxies brillantes que nous voyons dans l’univers primitif, comme discuté dans une autre étude JADES concomitante (Robertson et al., récemment acceptée). Il est probable que les astronomes trouveront de nombreuses galaxies lumineuses de ce type, peut-être même plus tôt, au cours de la prochaine décennie avec Webb. Nous sommes ravis de voir l’extraordinaire diversité des galaxies qui existaient à Cosmic Dawn !
  5. 7 points
    Gerd Hudepöl avec qui j'avais volé au dessus de Paranal il y a quelques année vient de sortir une super vidéo drone du VLT. Il est passé quelques jours après moi, et visiblement il n'y avait pas trop de vent, je suis loin d'avoir pu en faire autant (les conditions étaient vraiment à la limite). Ensemble on avait fait ça, l'image est régulièrement reprise par l'ESO. Je l'ai même retrouvée dans une conf de Michel Mayor
  6. 6 points
    non, elle était à la piscine pour perfectionner sa brasse
  7. 6 points
    Belle compo, mais un peu éloignée de l'astro pour un APOD à mon goût. C'est Hidalgo qui a posté ? 😅
  8. 6 points
    très beau tout ça ! et revoir des dessins de Denis et Boris, ça fait plaisir. J'en ai une petite collection, visible sur on site : http://www.astrosurf.com/magnitude78/serge/lune.html J'aime bien ce détail de Shroter : Ou ces effets de limbe sur Drygaslki sur des zones rarement visibles, selon les librations favorables :
  9. 5 points
    bonjour, vu le temps couvert je traite les animations du 28 mai celle là sur moins d'une heure. Paul
  10. 5 points
    Ben disons que quand tu vas dans ce type de lieu tu as vite fait d'investir dans la focale la plus courte possible Au 12 mm ça rentre. Au VLT, UT4, ça rentre même en paysage. Je dois avoir des photos du SALT qui trainent aussi quelque part.
  11. 4 points
    Une cible déjà vue bien des fois En voici ma modeste interprétation Je ne sais pas pourquoi mais lorsque j'intègre ma couche L je perds en qualité sur le FDC SW 250/1200, Neq6, camera Starlight Xpress 694 mono, RAF SLX, filtres astronomic, guidage avec PHDguiding 30x300 sec en L, 4x300 sec en R et B et 3x300 sec en V les prises de vues datent de 2018 mais j'ai repris le traitement avec Pixinsight Photoshop et Lightroom
  12. 4 points
    Encore depuis le Chili avec mon Samyang 135 + ASI 6200, le premier panneau d'une mosaïque de 4 tuiles, tirée depuis San Pedro de Atacama. L'objectif étant de faire le lien entre notre vue de la voie lactée et celle de l'hemisphere sud. Imaging Lenses: Samyang 135mm F2.0 ED UMC Imaging Cameras: ZWO ASI6200MM Pro Mounts: ZWO AM5 Filters: Baader Blue (CMOS-Optimized) 50 mm · Baader Green (CMOS-Optimized) 50 mm · Baader H-alpha Ultra-Narrowband 3.5nm (CMOS-Optimized) 50.4 mm · Baader Red (CMOS-Optimized) 50 mm · Baader UV/IR CUT Luminance (CMOS Optimized) 50 mm Accessories: Pegasus Astro Powerbox Micro Software: Pleiades Astrophoto PixInsight · Stefan Berg Nighttime Imaging 'N' Astronomy (N.I.N.A. / NINA) Dates: May 8, 2024 May 13, 2024 Frames: Baader Blue (CMOS-Optimized) 50 mm: 30×60″(30′) Baader Green (CMOS-Optimized) 50 mm: 30×60″(30′) Baader H-alpha Ultra-Narrowband 3.5nm (CMOS-Optimized) 50.4 mm: 30×120″(1h) Baader Red (CMOS-Optimized) 50 mm: 30×60″(30′) Baader UV/IR CUT Luminance (CMOS Optimized) 50 mm: 30×60″(30′) Integration: 3h Avg. Moon age: 2.98 days Avg. Moon phase: 15.54% >> Full en cliquant ici << Spoil, preview de la mosaïque (oui je me suis un peu foiré sur l'angle de la caméra 😅). Donc à venir, nébuleuse de la crevette (j'aime bien l'appeler le cœur Australe, Cat's paw, pipe) et bien d'autres nébuleuses et amas d'étoiles Et de l'importance de la couche Ha sur ces images (c'est toujours intéressant d'avoir des vues de ce qui se passe en backstage :p) : Ha vs L
  13. 4 points
    Hello pour alimenté le fofo Bon c'est sur que certain pense que je perd mon temps bein il on peut etre raison, mais bon ca m'occupe je fait joujou a essayer de de tiré le meilleurs du telephone modifier apres tout c'est un capteur comme un autre maintenant et j'arrive a interfacer dans nina en mode fichier mais me suis pas embêté dans cette session - J'ai pas réussi a viré le filtre bleu qui accrois la sensibilité en H alpha mais bon je tenterais a nouveau dés que j'aurai fait plus de test Il a une bonne sensibilité on peut faire la map sur une étoiles brillante sans problème avec le masque de Bathinov @MCJC bon je sais je l'ai deja faite a la lulu de 66 mais je n'avais pas de bon correcteur La c'est avec ma 80 que vous connaissez pour avoir eu des souci avec l'achat d'ou modifier par mes soins bon le capteur fait 7,29mm x 5,47mm autant dire qu'il est pas bien grand et comble il a de très petit pixel mais bein il peut monté a 16000 iso en mode video mais faut bien étalonné le goto pour être dedans c'est pas une 10 micron l'equ6 r pro mais bon la je me débrouille pas mal Je voulais faire la nuit et faire dodo en laissant tournée mais une bague a cause du bras de levier qu'exerce le telephone capteur au bout ca a tournée et foiré la map sur beaucoup de capture sans compté les nuages Alors voila la rescapé image réduite au traitement 161 fichier de 30 secondes iso 800 sans autoguidage traitement Siril Gimp léger floue sur les étoiles pas de blur machin ça marche plus j'ai joué et perdu Et en cadeau une daube au C8 tapez pas la tête bricolage car pas de flat et une partie de la galaxie était toucher la c'était quand le blur machin marchait encore enfin lui marche certainement c'est l'autre pas top la météo je crois que Saturne ne m'as pas données rendez vous pour demain matin bonne soirée a vous
  14. 3 points
    Il y a des astres qui nous hantent des années, des décennies durant. L’amas Coma, Abell 1656, est de ceux-là, en tout cas pour moi. Cette agglomération monstrueuse – plus de mille galaxies – rassemblées autour de deux galaxies monstrueuses, NGC 4874 et NGC 4889, m’a toujours fasciné. Quand on contemple Coma, et les halos gigantesques qui auréolent ses deux supergéantes, on est pris de vertige : ces halos, ce sont des centaines de milliards d’étoiles perdues parmi ces galaxies qui chutent inexorablement vers les deux puits gravitationnels sans fond des deux supergéantes. Sans fond ? Oui, au centre de NGC 4889, un trou noir de 20 milliards de masses solaires. Alors avec @jeffbax , on s’est dit « aller, c’est parti, on se lance quelques mois sur les flots glacés de la Chevelure de Bérénice… ». Mais quelle galère, entre mauvais temps et Lune. Comme d’habitude, c’est Jeff qui a sublimé les données, parfois prises dans des conditions de lumière dantequses… Alors Coma : regardez bien, regardez mieux : ces galaxies brillantes, vous les connaissez bien. Mais ce semis de petites taches qui auréolent NGC 4874, à droite, NGC 4889, à gauche, et IC 4051, à l’extrême gauche ? Voui, ce sont des amas globulaires, à 320 millions d’années-lumière d’ici… Il y en a 30 000, peut-être, dans Coma, entre les magnitudes 20 et 28. Le pic se trouve à 25.5, nous sommes à 25.1. Mais c’est pas tout, ce qui est fascinant, quand on plonge profondément dans l’abîme de l’espace-temps, c’est le fond de ciel, le fond de l’Univers, uniformément couvert de galaxies lointaines… En clair, si vous voulez profiter de l’image, ouvrez-la sur un grand écran… Personne ne sait combien il y a d’étoiles – essentiellement des naines rouges et des géantes rouges, dans les deux supergéantes de l’amas Coma, probablement, au moins, dix mille milliards. Coma, Abell 1656, S.Brunier, J.F Bax, C2PU/OCA Télescope de 1 m Omicron à F/3.2 Caméra QHY 600 à -5°C Remote Observing Luminance : 5 h 30 min à 2 arcsec, 1 h 30 à 1.35 arcsec RVB : 3 x 60 min. Traitement Jeff Bax
  15. 3 points
    https://apod.nasa.gov/apod/astropix.html
  16. 3 points
    Je l'ai dessinée et photographiée le 27 au soir en pleine ville (à Versailles). Cela n'empèchait pas de bien voir la queue sur plus de 6'. Visuellement je l'ai estimée à m1=11.3, et 10.9 en photo. Le ciel pollué (SQM=18.7) m'a probablement fait un peu sous-estimer sa brillance, mais elle faiblit un peu depuis l'opposition. Etant loin encore la coma et la queue restent peu étendues et avec une bonne brillance de surface. 33s cumulées au foyer du T407 sans suivi (poses 1/3 à 1/4s): Nicolas
  17. 3 points
    Salut à tous, Je ne sais pas chez vous, mais ici la météo n'est vraiment pas top depuis le début de la saison solaire. Il y a tout de même eu une éclaircie inespérée le 21 mai. D'abord avec le filtre Altair 393-3 nm : Avec le filtre Ca K 0.14 nm en simple stack : Puis j'ai conservé l'IMX533 en augmentant la focale (et en passant en double-stack) pour voir ce que cela donne. Bon, il y a quand même des problèmes de couverture de champ au-delà de 2000x2000 pixels environ. Fallait pas rêver, le télécentrique n'était pas conçu pour cela. La Player One avec son IMX533 s'en tire pas mal malgré la cadence réduite. Le bruit reste faible. Un stack de 60 images fait l'affaire. Ne pas hésiter à cliquer sur les images pour les afficher avec toute la résolution.
  18. 3 points
    C’est bien de montrer des dessins avec du matériel accessible dans le contexte de cette opération j’en ai deux “rigolos” au dobson 150 manuel : Il en faudrait avec des lunette de 60-90mm aussi!
  19. 3 points
    https://www.lemonde.fr/sciences/article/2024/05/30/le-telescope-james-webb-detecte-la-plus-lointaine-des-galaxies-jamais-decouverte_6236411_1650684.html
  20. 3 points
    Merci beaucoup Arno c'est sympa, merci Guy Merci Marc et heureux de pouvoir partager cette passion ici Et pourtant ce soir-là, je n'avais qu'un boitier (et je m'en mords encore les doigts d'ailleurs...). Pour le fondu, on y a pensé et oublié... Pour la longueur, en effet 8 MN, mais certaines scènes sont déjà accélérées pas mal. La problématique est de coller au mieux au rythme du morceau en fait. Je prends l'idée des transitions en post prod (même s'il y a peu de marge sur des raw 12mp exploités en 4k). Finir avec le levé du jour… on a hésité, mais j'ai préféré garder la chronologie réelle, mais oui à voir ! Ah oui, il faut retenter, c'est vraiment un très beau coin et qui plus est accessible en véhicules normaux ! Un grand merci pour ta réponse et l'analyse C'est très gentil, merci Christophe Z Et merci aussi à ceux qui sont passés en loucedé
  21. 3 points
    tu entends quoi par "inquiéter"? il y a plein de sujets qui sont plus inquiétant en ce moment que le risque de voir des aurores.... Au pire t'as quelques satellites HS et ou transformateurs... on est pas non plus dans le film '2012" (nanar par excellence au passage!) personne ici n'a le don de divination pour en voir en Guyane ça sous entend une tempête solaire bien plus violente que celle du 10 mai, qui elle était déjà exceptionnelle ! c'est probablement déjà arrivé , donc il y a une possibilité pour que ça arrive.. mais quand....ça comme je te disais, on en sait rien! Demain, dans 2 mois,l'année prochaine, dans 300 ans... wait and see
  22. 3 points
    Bonsoir à tous, Utilisateur le plus fréquent de cette coupole de la Montagne de Lure, à peu près "ex-aequo" avec mon ami Philippe alias Pfil, je peux vous confirmer que nous y avons très probablement plusieurs nuits par mois offrant une FWHM inférieure à 1,5" dont peut-être une ou deux autour de 1,0". Pour ma part, je pense que c'est à longueur d'année (j'ai l'expérience de plus de 20 ans de ce site d'observation). Je ne publie presque jamais sur les forums (et j'ai sans doute tort), mais j'ai sous la main des liens vers plusieurs images, que j'ai acquises là et traitées au cours des 12 derniers mois avant de les mettre en ligne sur le site Web de la SAML, présentant une FWHM moyenne en luminance entre 1,0" et 1,5"... je pense à celles-ci prises avec ce même télescope C14 et avec ma caméra du même modèle que celle de Pfil (ZWO ASI 2600 MM , avec sa roue à filtres ZWO et son diviseur optique OAG) : http://www.astrosurf.com/saml/PHOTO_NGC6946_SD2023.html http://www.astrosurf.com/saml/PHOTO_NGC1514.html http://www.astrosurf.com/saml/PHOTO_NGC3992.html http://www.astrosurf.com/saml/PHOTO_NGC5395+5394.html http://www.astrosurf.com/saml/PHOTO_NGC5566_Arp286.html Comme Pfil, hélas, je ne peux pas être sur place très souvent, d'autant que je réside à Aix-en-Provence donc à un peu plus d'1h30 de voiture de ce magnifique site d'astrophoto de la Montagne de Lure. Et puis aussi, comme l'a évoqué Pfil, on n'est pas tout le temps en période de nouvelle Lune (donc on n'utilise pas certaines nuits pourtant très calmes, au motif que la nuit noire est trop courte pour de l'astrophoto de ciel profond). Enfin, s'agissant des seuils de visualisation, je suis parfaitement d'accord avec Pfil pour ne pas excéder 13 ou 14 (dans la plage 0...255) pour le fond de ciel : mieux vaut regarder dans l'obscurité ou la quasi-obscurité et, naturellement, sur un écran bien calibré. Astronomic@lement, Stéphane (alias Mascotte, du nom du renard sauvage que j'ai apprivoisé à la Montagne de Lure et que j'y ai côtoyé durant 2 ans, il y a déjà une vingtaine d'années)
  23. 3 points
    Bah, en Delorean c'est l'affaire de 5 minutes ! On était encore sur Saturne lundi dernier en 2055. Et tu sais quoi ? L'ESA vient de découvrir des crevettes encelade !
  24. 3 points
    Une photo signée Michael Karrer : https://spaceweathergallery2.com/indiv_upload.php?upload_id=208944 "...À partir d’environ 6h00 TU, j’ai enregistré de faibles boucles pour une animation en lumière H-alpha. À partir d’environ 6h35 TU, une région est devenue de plus en plus brillante - un signe d’une activité intense possible. Je n’étais pas préparé à ce qui s’est passé ensuite : dans la demi-heure suivante, j’ai vu une explosion comme jamais auparavant en 40 ans d’observation du soleil ! Si vite, si loin dans l’espace ! Gigantesque! Je ne pouvais pas suivre les enregistrements, tout s’est développé si rapidement. Toujours « derrière le soleil » a explosé une éruption X2 de la zone active continue AR3664..." Photo du satellite SDO : https://blogs.nasa.gov/solarcycle25/2024/05/28/strong-solar-flare-erupts-from-sun-16/
  25. 3 points
    Bonjour, Suite au message de @Guillaume BERTRAND, j'ai enfin pu imager en HR hier soir dans un "trou de souris" météo, seulement 3 poses de 900s (la dernière déjà perturbée par les passages nuageux . La raie Halpha est encore visible même si le flux à bien baissé, mais elle est bien marquée en absorption, elle a peut-être remonté depuis le 24/05 : A noter que la baisse sur H alpha est en corrélation avec une baisse régulière de la magnitude B depuis le 12/05 (JD 31 sur le graphe ci-dessous en mauve, je passe maintenant systématiquement une série photométrique lors de mes captures spectrales) : Et la baisse de flux H Alpha sur le GIF ci-dessous entre le 12 et le 27/05/2024 : Je vais sans doute dire une bêtise , mais je sais que mon calcul de phase orbital est sujet à caution selon les références retenues, la baisse de flux conjointe entre Halpha et la bande B ne pourrait-elle pas être liée a un passage autour de la phase 0 (mon calcul s'approche de 0.1), soit en conjonction inférieure de la géante rouge, son spectre prendrait alors le dessus sur la WD ??? Pour compléter mon suivi de T CrB, je viens d'implémenter dans mon script python les fonctions d'autocorrélation Scargle et Edelson-Krolik, cela permet de valider le Flickering photométrique avec certitude comme sur cet exemple ci-dessous du 5 mai 2024, même si les courbe brutes laissent déjà présager une belle détection : Et sur la série de cette nuit, on voit bien qu'il n'y a pas de flickering, malgré les mauvaises conditions, le peu de poses et les données que j'ai supprimé lors des passages nuageux en fin de cession, le graphe brut est lui difficilement lisible : Bon ciel Xavier
  26. 2 points
    Salut à tous, j'ai commencé une campagne de mesure des étoiles variables de l'amas globulaire M3. C'est un amas qui contient un grand nombre de RR Lyrae (environ 200, avec des périodes comprises entre 8 et 15 heures). Les plus brillantes sont de magnitude 15.5, facilement accessibles avec un petit télescope. Avec le T400 de l'Observatoire de Nice (télescope Schaumasse), et une QSI583ws au foyer primaire f/5, je fais des poses unitaires de ~90 secondes. J'ai repéré pour le moment 172 variables, qu'on voit bien avec cette animation (10.9 Mo, animation prise le 19 avril sur 4.5 heures, chacune des 18 images étant la somme de 6 poses individuelles). Ça clignote pas mal! Je vous joins la carte des étoiles que j'ai repérées: J'aurais bien voulu faire plus de mesures, mais la météo pourrie de ce printemps n'aide pas pour continuer les courbes de lumière... Voici quand même quelques courbes temporaires, faites sur 4 jours du 9 au 19 avril: Si le ciel veut bien se dégager avec une turbulence pas trop mal (on peut toujours rêver), je vous mettrai d'autres courbes plus complètes... Matthieu
  27. 2 points
    Et non !, c'est tout l'intérêt de sequator: Tu as par exemple une séquence de 1000 images de 5s chacune. Tu demandes au soft de te faire un time lapse avec l'ensemble, mais tes images sont bruitées, manque de signal, ou la rotation terrestre ne te permet pas de dépasser ce tdp à la focale ou tu bosses. sequator va empiler tes images (par 5 disons), en se basant sur l'image 1 comme référence, puis la 2 comme référence, puis la 3 etc... Avec comme schéma d'empilage : 1+2+3+4+5=1 stacked (5x5s=25s), puis 2+3+4+5+6=2 stacked (25s), puis 3+4+5+6+7= 3 stack, etc... Donc, tu gagnes sur le bruit et le signal sur chaque image (puisqu'elle en vaut 5). Tu gardes la fluidité originelle (moins 4 images à la fin de séquence...). Tu allonges le tdp au de-là de la contrainte dû à la rotation terrestre ! Exactement !, c'est un plug-in pour les principaux logiciels de montage, il en existe d'autres plus moderne ou carrément d'origine selon les soft de montages. Celui-là utilise le flux optique (ne me demande pas ce que ça veut dire par contre^^), ça marche très bien quand les mouvements sont faibles entre les images.
  28. 2 points
    Salut Marco, les gars, Une belle photo de touriste. Vous faites les surpris à chaque fois, mais bon c'est l'Apod quoi ! Ce site remonterait un peu sa cote s'il publiait le gif récent proprement incroyable de Matthieu sur les RR Lyrae de M3 par exemple, mais nan, c'est une tour Eiffel toute dorée, manque plus que la neige...
  29. 2 points
  30. 2 points
    Ils ont développé également la possibilité de président réutilisable, sont forts les gars !
  31. 2 points
    https://www.planete-astro.com/platines-queues-d-aronde-supports/355-blocs-incurves-plus-pour-celestron-c8-c925-c11-edge-hd-800-925-1100-ou-meade-sc-et-acf-8.html?search_query=+incurves&results=1 Ils n'iraient pas ceux ci ?
  32. 2 points
    Captures d'écran faites à partir de la spectaculaire vidéo prise par un drone postée par JL D Cela confirme ce que je soupçonnais : les photos prises par un observateur lambda à l'intérieur du dôme ne seront pas très spectaculaires : pas assez de recul pour voir le miroir en entier ! (il faudra être sur une passerelle tout en hauteur pour saisir les 39 m, ce qui ne devrait pas être autorisé pour les visiteurs) J'avais déjà remarqué la même chose quand j'ai visité le 11m segmenté en Afr. du Sud (SALT). Par contre voir un 3.6 m au Chili ou en Australie, quand on est dans la coupole, c'est comme admirer un oeuvre d'art...
  33. 2 points
    Voici un lien vers un point de vue que je trouve relativement tempéré et lucide sur le StarShip et son développement. Je vous le fais suivre parce que pour ma part je ne suis toujours pas convaincu par la rentabilité d'une réutilisation complète du lanceur (gros gaps technologiques encore à franchir à de nombreux niveaux, sachant que le plus difficile restera de résoudre l'ensemble sans amputer la charge utile au point de rendre l'exploit - s'il se concrétise - sans intérêt pratique). On m'objectera naturellement (Jack j'attends ta réaction ) que je suis un vieux con de peu de foi - ce qu'objectivement je confesse volontiers - mais le concept même engendre des complications impossibles à évacuer d'un revers de manche optimiste :
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  36. 2 points
    Entièrement d'accord avec vous ! On note déjà depuis quelques années que les nuits restent entièrement couvertes tout l'hiver (faisant forcément remonter les T° moyennes), entre autres dégradations. Sans attendre 5 ans, la période de temps absolument pourri actuelle est déjà un signe fort il me semble, couplée à des sécheresses dans d'autres régions, ou ici même les 2 derniers étés. Mais bon, sans vouloir être cynique, on voit bien qu'il y a d'autres priorités économiques et commerciales qu'il est hors de question de chambouler. Jusqu'à ce qu'effectivement ils se rendent enfin compte qu'il y a un risque justement pour l'économie et le commerce
  37. 2 points
    super pour ce qui font de l'astro même un peu loin de Paris
  38. 2 points
    Jolie photo mais pas de quoi en faire un apod quand même.
  39. 2 points
    Excellent Xavier ! Un travail photométrique et spectro de grande qualité Allez le beau temps revient, je vais pouvoir reprendre le suivi en BR. Faut que je remonte ma version HR qui est actuellement en pièces détachées Concernant l'histoire de la phase orbital du système et de l'influence sur les spectres, j'avoue que je me suis posé la même question. Sans avoir de réponse. Si @Francois-Mathieu Teyssier passe par là, il pourra peut être nous en dire plus. Bonne journée. G
  40. 2 points
    bien des gens pensent à tort que le faisceau bleu est celui d'un laser ce n'est pasle cas et d'après le site internet de la tour Eiffel le 31 décembre 1999 à minuit démarrent le phare et le scintillement de la Tour. Le phare produit deux faisceaux lumineux d’une portée de 80 kilomètres : il est constitué de 4 projecteurs motorisés de type "marine". Ils sont pilotés par micro-ordinateur, grâce à un logiciel spécifique et à un automate programmable qui gèrent leurs mouvements. Effectuant une rotation de 90°, ils sont synchronisés pour former un double faisceau en croix pivotant à 360°. Les lampes sont des xénon de 6000W choisies pour leur longévité de 1200 heures environ. La tête lumière est sur-ventilée pour éviter toute surchauffe, et un système de chauffage se met en route quand la température tombe en dessous de zéro alors que les lampes sont éteintes. Ce phare rappelle celui de Gustave Eiffel jouant le rôle d'un repère symbolique et universel. Pour le scintillement, également signé Pierre Bideau, sont installés, sur les quatre faces de la Tour, 20 000 lampes d'une puissance faible de 6W chacune, qui s'allument brièvement et aléatoirement. Le scintillement se déclenche exactement à chaque début d'heure, une fois que la nuit est tombée, pendant 5 minutes, jusqu'à la fermeture du monument.
  41. 2 points
    Les images sont de toute beauté ! Et le choix musical :
  42. 2 points
    La guyane doit être autour de 10-12° de latitude magnétique nord, mais l'équateur terrestre en moyenne à 0 +-10° selon les longitudes... Depuis 500 ans (voir ) c'est peut-être arrivé en 1872, une fois donc et juste à 10° de latitude. Donc pour que cela arrive à être visible en guyane, il faut vraiement un évènement exceptionel au point que le champ magnétique terrestre ne joue quasiment plus son rôle d'écran face au vent solaire..(disons que la magnétosphère perde le nord complètement...) Ca devrait faire mal ailleurs aussi... (Désolé l'eruption M5.7 venait de AR3691, l'autre grosse tache, dont il faut aussi se méfier!)
  43. 2 points
    Qui aurait pû prévoir ces changements dans les précipitations ?
  44. 2 points
    Si c'est vrai, en effet ça serait un "grand pas" pour l'astronomie ... Sinon, il y a que moi que cette phrase dans l'article de GEO.Fr a fait tilt : "Pour ce faire, les observations se concentreront sur la supergéante rouge Bételgeuse. Cette étoile se situe à quelque 650 années-lumière dans la constellation d'Orion, au sein de notre galaxie, la Voie lactée. Selon les scientifiques, elle devrait exploser après s'être assombrie entre 2019 et 2020. " ... Une coquille ou faute de frappe ? ... un copier / coller provenant d'un article antérieur ?
  45. 2 points
    Encore un petit coup de X1.5 et M6 venant de AR3697 ex-3664 cet après-midi (passé sous la pluie... ici ) avec un bon départ de CME apparemment... si ça continue, d'ici quelques jours cela pourrait bien à nouveau secouer la magnétosphère terrestre! Nicolas
  46. 2 points
    Belle image du trio. On ne le voit pas souvent en plan large, c'est chouette. La V2 est mieux. JF
  47. 2 points
    Quelques news de Lucy sur l'astéroïde Dinkinesh: https://www.nasa.gov/solar-system/asteroids/nasa-lucy-images-reveal-asteroid-dinkinesh-to-be-surprisingly-complex/ Et une petite vidéo: Marc
  48. 2 points
    Bonsoir Franchement je suis admiratif ! Moi je me " casse les dents" sur la lune, le plus dure ce sont les ombres. Voici le seul et l'unique potable... Fred
  49. 2 points
    Premier essai du Mewlon 250 CRS f/7.3 sous un seeing dégueulasse en moyenne à 4"!!! Canon 6D astrodon 1600 iso. Amas de la vierge en 1h32 seulement toujours avec des poses de 2min. Trio du Lion en 3h26 sub de 2min IC 443 4h en sub de 2min Un léger défaut de collimation mais je suis surpris du résultat en si peu de pose. Traitement uniquement avec Siril. Merci un grand merci à Cyril et son équipe . jérôme
  50. 2 points
    Oui :-) Attente de confirmation et d’agenda pour début juillet Rencontres du Ciel et de l'Espace. Elles auront lieu les 9, 10 et 11 novembre à la Cité des sciences et de l'industrie. Le sujet est le suivant: L’ELT de l’ESO– Le géant prend forme La construction et l’assemblage du télescope géant de l’ESO avancent à grands pas. Les phases de conception sont quasiment terminées. La production de l’ensemble des éléments constitutifs progressent significativement, et l’édification sur site est en pleine effervescence. Cette présentation se focalise sur le design et les caractéristiques du télescope et de ses éléments principaux : structures, optiques, et sous-systèmes. Elle revient sur les enjeux et difficultés de conception et de réalisation. Elle détaille le statut de la construction et de l’assemblage de cet emblème technologique. Marc Cayrel ESO - European Southern Observatory Responsable des systèmes opto-mécaniques de l’ELT (Extremely Large Telescope) Marc