Bruno-

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  1. ssd et surchauffe

    Il existe des utilitaires qui donnent en temps réel la température des disques durs. Ça permet de surveiller, notamment quand on sait qu'on va le faire chauffer.
  2. Premier télescope

    Bonsoir ! Il vaudrait mieux poster un nouveau sujet. Dans l'absolu, un 150/750 montre sensiblement plus de choses dans le ciel qu'un 114/900.
  3. Avant achat

    Ah, ça c'est bien ! Donc tu tournes le dos à l'agglomération parisienne, re-bien ! Bon, pour les planètes on s'en fiche un peu, mais ça signifie que tu pourras aussi faire du ciel profond. D'après tout ce que tu as dit, je trouve que oui.
  4. Avant achat

    Tu n'as toujours pas répondu aux questions de Xavier2 dans son premier message : C'est très important pour le choix du télescope. Les planètes sont visibles au sud. Tu auras un accès au sud ? (On ne sait jamais, on a déjà vu des astronomes qui comptaient observer depuis un balcon, mais mal orienté...) Tu es sûr de vouloir d'entrée te spécialiser dans la photo planétaire alors que, si j'ai bien compris, tu n'as pas vraiment d'expérience ? (Je ne dis pas ça pour te contredire, mais pour vérifier ta motivation.)
  5. Avant achat

    Si tu parles d'observation visuelle, pas du tout. Mouais. Je trouve plus pratique, et moins coûteux, de choisir d'abord un instrument spécialisé visuel, et ensuite un instrument spécialisé photo. Mieux : faire du visuel d'abord, et ensuite tout revendre et faire de la photo ensuite (si on a toujours envie). En fait c'est subjectif, ici je parle peut-être pour moi... mais j'en parle pour que tu y réfléchisses, car il me semble que ce n'est pas absurde.
  6. Smart eye

    Excellente analogie ! Je m'en souviendrai...
  7. Smart eye

    Pour la 412.384ème fois, ce n 'est pas un problème imagerie vs observation (l'imagerie est une forme d'observation), mais imagerie vs visuel. − Le visuel, c'est quand on observe directement les ondes lumineuses (concentrée ou non par un dispositif optique). − L'imagerie, c'est quand on observe une image fabriquée. − La spectroscopie, c'est quand on observe un spectre. Dans tous ces cas c'est de l'observation. Observer, c'est examiner avec attention, qu'importe ce qu'on examine. On a toujours fait comme ça, pourquoi vouloir changer le sens de ces termes ? Il est important de bien choisir le vocabulaire car un vocabulaire inapproprié est trompeur. Surtout, cette distinction a un sens car le matériel adapté à l'observation visuelle n'est pas le même que le matériel adapté à l'imagerie. Pour faire de l'observation assistée électroniquement, il faut du matériel adapté à l'imagerie. Par exemple le « smart eye » ne peut pas être utilisé en ciel profond avec un Dobson manuel.
  8. Comme pour M3, c'est génial !
  9. Smart eye

    Le Smart Eye, comme l'Evscope, est un dispositif d'imagerie qui permet de faire des images (de les regarder sur un écran, de les enregistrer, de les traiter, etc.) mais aussi de contempler le ciel en direct (puisque l'image se forme peu à peu, seconde après seconde, si j'ai bien compris, dans cet écran très spécial qui ressemble à un oculaire). Mais ça reste un dispositif d'imagerie : en ciel profond il faut un suivi, le F/D augmente la détectivité, la résolution effective dépend aussi de l'échantillonage, etc. C'est important de choisir le bon vocabulaire, ce n'est pas du chipotage, ce n'est pas pour être binaire, ça a un sens. Et on peut en débattre : c'est mieux que de se faire imposer un terme impropre sans aucun débat (je pense bien sûr à « visuel assisté »).
  10. Smart eye

    Bien entendu, on peut faire de l'observation visuelle à l'œil nu. Du moment qu'on observe les ondes lumineuses issues d'un astre, et non une reproduction chimique ou numérique de cet astre, c'est de l'observation visuelle, peu importe le grossissement. (En imagerie c'est le grandissement qui intervient, encore une différence.)
  11. Smart eye

    Argh, je n'avais pas vu qu'il y avait une cinquième page ! Bon, je laisse mon texte sauf s'il fait vraiment double emploi... -------------------------------------------------------- Je pense qu'il est utile d'employer un vocabulaire précis. Une image, c'est une reproduction de la réalité. On peut voir le Mont Blanc ou voir une photo du Mont Blanc, ce n'est pas pareil. Dans le premier cas on voit vraiment le Mont Blanc, dans le second on voit une reproduction fabriquée par un processus chimique ou électronique par un appareil. Si c'est moi qui décidais, je ferais un distinction fondamentale entre une image primaire (l'œil capte directement les ondes lumineuses d'un astre), que je préfère d'ailleurs ne pas appeler image, et l'image secondaire (l'œil capte la lumière issue de la reproduction de cet astre). Bref : un oculaire est un système optique qui s'utilise sur un instrument d'optique permettant d'amplifier les ondes lumineuses issues de l'astre ; un capteur numérique est un appareil qui transforme les ondes lumineuses issues de l'astre en un signal numérique permettant de construire et afficher une image sur un écran. Le « smart eye » me paraît un appareil très malin (un peu comme l'« oculaire » de l'Evscope) puisqu'il va donner les mêmes sensations que l'observation visuelle (si l'image se construit au fur et à mesure dès les premières secondes), mais si on veut réfléchir sur la façon de l'utiliser, il est indispensable de ne pas oublier que c'est un capteur numérique. Voilà pourquoi il faut un suivi pour capter les objets faibles, donc pas un Dobson manuel, voilà pourquoi un F/D long est désavantageux, pourquoi un filtre Hα fonctionnera mieux (en général) qu'un OIII, etc.
  12. Merci pour les précisions ! Donc question de poids, pas vraiment de gain par rapport à un tube de Schmidt-Cassegrain. Quand je pense que mon Orion Optics 300/1200 fait 12,5 kg... Mais bon, il est peut-être un peu trop léger, justement.
  13. Hors-sujet. Flovis a bien dit, d'entrée : « je ne pense pas pouvoir gérer un Dobson motorisé en 350 ou 400 ». Pareil, hors-sujet (c'est Flovis qui en a parlé). Et un Flextube de 300 mm ?
  14. position points sur la lune

    Si on trace un repère cartésien (x, y, z) avec pour origine le centre de la Lune, pour axe des z la direction de la Terre, pour axe des x la direction du pôle lunaire et pour axe des y celui qui reste, on obtient bien les formules que tu donnes : x=sin(radians(latitude)) : y=sin(radians(longitude))*cos(radians(latitude)) en supposant que la longitude zéro est définie à partir de la direction de la Terre et en prenant comme unité de longueur le rayon lunaire. Mais je soupçonne que tu as besoin de (X, Y) définis par rapport aux coordonnées sur la Lune, et avec la projection de la Lune sur la voûte céleste). Or le pôle nord lunaire n'a pas la même direction que le pôle nord céleste à cause de la libration. Si c'est ce calcul que tu souhaites faire, il manque trois données : la longitude sélénographique de la Terre, la latitude sélénographique de la Terre et l'angle de position de l'extrémité nord de l'axe de rotation de la Lune.
  15. Choix final achat dobson 400

    Je dirais : au plus fort grossissement disponible. Moi, ça me suffit. (Je ne dis pas ça pour contredire Adamckiewicz, il a raison, mais pour remarquer qu'on peut quand même s'amuser même sans être trop exigeant.)