serge vieillard

j'en ajoute une autre, pas astronomique, juste aquatique, les bestioles que nous avons côtoyées : https://youtu.be/JH_m1DGyekg

merci ! c'est ce qui semblait, de l'impression 3D, en tous cas très beau !!! pour la rigidité, quel type de matériau ? yena de plus balèzes que d'autres, notamment après étuvage. Voire que pour gagner en rigidité sur certaines pièces fonctionnelles, - on peut raisonner avec l'orientation des nappes de fils, - et il peut être intéressant de les stratifier (mais il faut les concevoir en fonction de cela), l'impression 3D servant alors d'âme.

Faut en dire plus, comment c'est fait, les détails, en tous cas ça a de la gueule

merci pour ces précisions. En première lecture, c'est assez sibyllin... Ha oui, pour tes plaques sandwich, mets des zones en bois dur la place du balsa pour la reprise des divers inserts, cela au regard de ta mécanique. Pour le reste, tu as visiblement les compétences et je ne vois pas très bien ce qu'on peut ajouter...

C'est stupéfiant, magique, j'adore. Quelles étaient les conditions météo sur ton site d'observation ?

Salut à tous, pour le plaisir, une petite vidéo de l'observation de l'éclipse : https://youtu.be/bi_61dn27IY

ben c'est une excellente question, car si le post se fait sur la base d'une image récupérée par ladite machine et publiée en tant que telle..... j'pense que ça lèvera toute ambiguïté d'interprétation de quelle famille il s'agit non ? Pour moi CQFD

... c'est pour quel diamètre, quelles dimensions ? Ya une sacrée ingénierie, mais j’comprends pas bien certains détails mentionnés... - "notre 5axes", c'est quoi ??? - "les 4 patins de barillet ont un bouton de blocage qui joue sur l'annulation du jeu." donc par déformation ? Un des quatre sera toujours bancal et ne viendra en butée que par déformation. Et donc on peut s'interroger sur la précision recherchée, à savoir un truc reproductible. - "Accoster le barillet et tourner 4 boutons, franchement, ça devient dur de faire plus rapide". Je comprends qu'au départ, il faille enquiller les glissières sur les 2 rails ? est-ce si commode que ça ? et donc "si rapide ?" A apprécier selon les dimensions à manipuler. mais comme tu le soulignes: "on peut aussi croire en "ce qui fonctionne" tous les jours."

Pffffffffttttttttt ! alors là....... Amicalement

Ça alors, Charles !!!!! un grand plaisir que de te lire, je te croyais disparu Ce sujet est passionnant

merci à tous, concernant l'OVNI, que j'ai eu le plaisir d'essayer à quelques reprises, je trouve ce truc épatant bien des quelques égards, étonnant, avec un côté un peu "magique" d'une époque révolue, celle des tubes cathodiques, ou des trucs d'espionnage, ou des forces spéciales - car au départ c'est de cela dont il s'agit. Déjà et ce qui le différencie radicalement des engins à capteur, c’est que c’est vraiment du direct, l'image est instantanée et éphémère, elle n'est pas triturée/traitée, juste un brut où seul le gain est ajustable. Et bien sûr, il n'y a aucun moyen de conserver et mémoriser ce qui apparait (si ce n'est de mettre un capteur en sortie à la place de son oeil). je me souviens de ma première vision avec cet appareil à Valdrôme (merci Laurent), celle d'une observation directe sans instrument, juste une amplification d'une simple vision à l'oeil nu. J'ai été stupéfait du poudroiement d'étoiles et du nombre considérable de trucs qui se baladaient, révélant les plus faibles satellites , les plus discrets invisibles sans cela. La magnitude atteinte devait être assez fantastique. Peut être encore plus étonnant fut de scruter le paysage nocturne - ce pour quoi il a été fabriqué . Même dans les sous-bois, l'on distingue sans difficultés ce qui s'y passe. On identifie facilement les quidams se promenant d'instrument en instrument. Puis l'engin fut utilisé sur un télescope de 50cm (je crois), sur 2 cibles radicalement différentes : M16 et M51. Sur la nébuleuse, les piliers ne font aucun doute, se découpent de façon détaillée à merveille et sont d'une évidence quasi photographique. On remarque sans difficultés les extensions tourmentées lointaines à la base de ce complexe ainsi que d'autres zones moins célèbres mais tout autant déchiquetées. Plus stupéfiant est la parfaite lisibilité du pilier principal, le plus gros et le plus lumineux, celui très difficile qui se confond avec les lueurs de la nébuleuse. Ici, il est parfaitement détouré d'un contour lumineux. Il faut sans arrêt jouer du gain pour optimiser la vision sur la partie que l'on souhaite détailler. Sur cet objet, c'est une totale réussite, une vision quasi impossible sans cet accessoire. Sur la galaxie, je serais infiniment moins dithyrambique car si l'image est évidente, lumineuse à sa convenance en jouant sur le gain, elle se révèle bien moins "fine" qu'à l'oculaire, moins "résolue" et dans ce cas, je préfère de loin la vision directe à l'oculaire, même si elle est plus délicate, subtile et difficile - justement ce qui en fait sa beauté. Aucun intérêt sur les trucs stellaires, la vision piquée et colorée étant incomparable directement à l'oculaire. Cela met en évidence les limites de cet appareil : l'image est d'autant plus bruitée que l'on pousse le gain, ce qui fait un effet de "neige" comme sur les vieux téléviseurs, mais aussi il souffre d'une résolution relativement faible. A ce titre, il serait intéressant de connaitre cette caractéristique, dictée par le multiplicateur d'électrons, quelle est la densité de sa trame, le nombre de ses "canaux". A titre plus anecdotique, l'image est monochrome (au rendu agréable), on ne peut percevoir de teintes spécifiques. Dernier point délicat : ce type d’appareil est directement issu du militaire, et à ce titre il est jugée comme "stratégique". Aussi, il peut présenter des difficultés en pays étranger lors de contrôles... Mais passons à l’aspect le plus intéressant de l'appareil, celui de le coiffer d'un filtre H alpha, le tube ayant une excellent réponse dans ces longueurs d'ondes. Et là tout coup, l'aspect du ciel change radicalement, ce que ne peut offrir aucune observation visuelle sans cet artifice. se balader dans la Vie Lactée à l'oeil nu est un voyage fantastique, constellé d'infinies nébulosités qu'on repèrera sans difficulté. Du Sagittaire au Cygne, en continuant sur Cassiopée, c'est une révélation. Par exemple la nébuleuse du cœur et de l’Âme se montre en son entier. A l'horizon voici que ce lève un nuage affirmé, c’est tout simplement la Californie.... Toutes ces observantins m'inspirent des dessins colorisés, avec l'ajout d'une couleur spécifique pour l'observation en H alpha. Je me promets de le faire dès que j'en aurais l'occasion (cet été ????) Disons de façon détournée que dans ce cas, je le jugerais presque comme un super filtre électronique H alpha. Avec la même approche, il serait tout aussi intéressant de le coiffer d'un OIII sur les Abell improbables - mais faisant disparaitre l’aspect "sportif extrême" de ce genre d'exercice jubilatoire. Alors oui, on est dans de l’électronique (d'une autre époque), ça offre une vision amplifiée (et pas assistée !!!), le photon initial est capté, transformé en électrons, puis l'image est restituée sur un écran cathodique. Mais on est dans le "direct", dans l'analogique, ce n'est en rien de l'imagerie car ça n'en fait pas. Je l'avoue, rien que (et quasiment uniquement que) pour l’utilisation H alpha, j'en ferais bien l'acquisition s'il étant considérablement moins couteux - car il est affreusement cher. Disons que je suis prêt à y mettre le prix d'un gros Ethos - mais pas davantage.

Sympa tout ça, mais la question était pour 2000euros. Dès qu'on dépasse 50mm, ou qu'on passe en double Stack, c'est plus la même musique

Yo ! j'ai été vraiment emballé par l'échange du filtre IFT sur une Lunt 50 au profit d'un IR/UV proposé par Beloptik lors d'un comparatif avec 2 instrument identiques, l'un d'origine, l'autre modifié. Le gain est phénoménal pour un coût bien moindre qu'un double stack ! J'attends le réapprovisionnement pour me le procurer. Donc pour ma part 100% visuel : LUNT 50 en BF600 (car le 1200 est probablement inutile pour cela). Et je pense que les 10mm de plus d'ouverture ne sont pas à bouder en termes de résolution. J'y mets dessus un 5mm Hyperion. Seul bémol où je n'ai pas de réponse, la course du PO d'origine est vraiment rikiki avec un foyer très (trop) rentré - si c'était le contraire, on pourrait mettre des bagues allonge. Et donc peu d'oculaire peuvent passer dessus. Par exemple je trouve que le zoom Nagler 6-3mm serait vraiment idéal pour cet instrument, hélas ça en passe pas pour 1 petit mm trop long... La Lunt 40 de par sa conception permet d'imaginer assez facilement des montages au cul de lunette plus grosse, ça semble un peu plus délicat avec la 50.

l'instant de décision approche, tournera-tournera pas ? cela étant, je trouve que de visu, ce passage me semble tout autant scabreux que les possibilités offertes les semaines précédentes où le bras de sable à traverser semblait bien moins large. Quitte à faire le détour, yaka l'assumer jusqu'au bout - je pense.... Ces vues arrières sont fascinantes, points de vue gagnant en altitude et montrant les paysages connus sous un autre aspect. Reste à découvrir ce qui va se passer à l'avant une fois la nouvelle direction prise....

Yo ! à mon avis en visuel et en planétaire, la porte d'entrée est à mini (200x ) 250-300x de grossissement. En avoir davantage sous le coude permettra de jouir des occasions favorables. de cela 8 mm est une bonne base de départ

.... fait comme tu le sens, mais l’isostatisme sera ta solution pour le cas que tu décris..... Là, c'est pas le cas. une solution au hasard parmi d'autres, en reprenant ton concept de glissière : - déjà, tu n'en mets qu'une, car 2 ça ne peut pas être correct, l'une ne pouvant être parfaitement alignée dans tous les axes à l'autre, la perfection n'étant pas de ce monde. - tu met une butée en bout pour bloquer la translation de la glissière , - et une butée (un contact sphérique sur une surface plane) sur le côté opposé de ta glissière pour bloquer l'unique degrés de liberté restant, une rotation sur la glissière. Yapuka brider et ça, ce sera reproductible

Ça alors, le retour de Boris, ça fait plaisir !!!!

c'est vraiment impressionnant.... j'avais entendu dans d'autres coupoles que la climatisation était calée par rapport, non aux conditions externes de l'instant, mais de celles prévues en début de nuit à l'ouverture du cimier.

..p'tre que ça va chauffer et bruler la coupe non ? Déjà sur du bois, c'est pas anodin... En tout cas, le Teflon s'usine bien, ça se coupe, se lime, se ponce, se perce, se taraude, etc...

Yo ! c'est intéressant. Quelques réflexions : - si le but est d'avoir un truc démontable qui garantisse une parfaite reproductibilité au montage, outre la rigidité imposée, il est impératif d'avoir des systèmes qui garantissent l'isostatisme, seul procédé puis permet le positionnement dans l’espace - a ce titre, les glissières ne peuvent remplir ce rôle - sauf à être complétées d'autre chose. - une alternative, c'est d'avoir un positionnement en haut et en bas assuré par un système point/trait plan ou autre, qu'il suffira de verrouiller par un système de son choix.

Comme Maïcé, j'allais dire que le meilleur filtre est la bagnole - merdum, ça pollue aussi.... Cependant, la RP permet : - de formidable observations en planétaire et Soleil, et il y a là de quoi remplir une vie d'imageur, au fond du jardin, au balcon, sur une terrasse ou sur le trottoir. - En ciel profond, on peut sortir des résultats stupéfiants en imagerie H alpha, comme l'a bien démonté Maitre Thierry Legault. De cela, je pense qu'il est intéressant d'adapter sa pratique à ses propres moyens dont le site d’observation fait parti - et pas forcément le contraire.

ben pas moi mon cher Nicolas.... Je cherche de quoi améliorer mes connaissances à ce sujet....

mais utilisez ce que vous voulez, ya plein de trucs épatants. Tu vois, tu vois pas, c'est pas la question, Juste une question de vocabulaire, c’est tout. Perso, j'ai souvent eu des réactions enthousiastes à l'oculaire lors de soirées publiques, c'est pas le bon argument. Après, je comprends, tu es avant tout un imageur et l'OVNI, truc épatant, n'entre pas dans cette catégorie d'accessoire. Il n'y a rien du vocable des imageurs et ne fonctionne pas comme ça avec capteur, traitement et écran, juste la technologie des tubes cathodiques et un réglage de gain. ... la plupart des postes de contrôle des douanes et de police aux aéroports..... Mais tu peux tenter ta chance.

ben pas vraiment, juste un écran cathodique..... Qui ne stack pas, qu'on ne sauvegarde pas, qu'on ne partage pas, etc. Cela étant, j'adore vraiment ce bidule, seul le prix me fait reculer. Pi on ne peut l'emporter à l'étranger, car considéré comme matériel stratégique. CQFD : on ne cause là que d'imagerie numérique...

la différence fondamentale est surtout que TOUS les termes employés dans ces technologies sont des termes techniques d’imagerie : temps de pose, sensibilité, staking, échantillonnage, capteur, sauvegarde, connectivité, partage sur écran, etc.... Termes absolument absents d'un observateur visuel et dont il se fiche bien, car ce n'est pas son domaine de jeu, le témoignage subjectif de son observation - s'il le souhaite - ne sera que des notes, un CROA ou un dessin. Mais encore un fois, ces bidules sont épatants, juste de ne pas mélanger les genres, d'y mettre le bon vocable.... A trop mélanger, amalgamer et confondre, on arrive à des trucs pas terribles, comme récemment entendu par des autorités dan un tout autre sujet : "l'armistice du 8 juin"..... Confusion Ô combien déplorable.... J'dis ça, mais je m 'en tape un peu, l'objet de ma réponse étant que je trouvais particulièrement étrange de comparer un Ethos vs le bidule susnommé, seul but de mon intervention ici.