serge vieillard

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Tout ce qui a été posté par serge vieillard

  1. Encodeurs optiques et souris

    c'est pas faux la lenteur de rotation. Pour ce type d'application, pourquoi ne pas sur-multiplier la rotation de l'encodeur par une cascade d'engrenages ? C'est ce que j'ai fait pour notre planétarium, l'encodeur est équipé d'un petit engrenage qui donne sur l'axe horaire par l'intérmédiaire une grosse couronne. De plus, cette multiplication augmente d'autant la précision du capteur.
  2. suprimerje viens de découvrir qu'il pouvait y avoir plusieurs pages....[Ce message a été modifié par serge vieillard (Édité le 02-02-2006).]
  3. xxx[Ce message a été modifié par serge vieillard (Édité le 02-02-2006).]
  4. Encodeurs optiques et souris

    J'ai déjà utilisé les encodeurs de souris pour notre maquette fonctionnelle de MER. Ils permettent de noter la la vitesse et la distance parcourue par l'engin. Voir notre site http://www.astrosurf.com/magnitude78 page du SQYMER. J'ai utilisé des vieilles souris dont les capteurs étaient des contacts directs sur une "marguerite". Ce sont en fait des micro-interupteurs. Il y a en effet 2 pistes déphasées pour détecter le sens de rotation ET POUR AUGMENTER la précision des pas par 4x !!! Pour plus de détails, voir sur notre site (idem ci-dessus) http://www.astrosurf.com/magnitude78/planetarium/elec page STELLARIUM 4000, dossier électronique. Il y a quelques pages qui traitent de ça....
  5. 2 metres de diamètre pour 20 kg maxi à F/D 1,5, voir 2 grand maximum, évidement corrigé des abérations en tous genres, avec porte oculaire à hauteur d'homme assis. Monture altaz motorisée avec jute le suivi sidéral par joystick rigolo(pour ne pas perdre le charme du pointage manuel !) Comment ? Formule optique à découvrir, simplissime et géniale, miroirs ultraminces mis en forme par pilotage de contraintes (et pourquoi membrane déformable par dépression), utilisation massive de mousse de carbone et dépot de verre, bref, c'est pour demain.
  6. support miroir

    Pour les saignées, les 2 encastrements pour les léviers, nul besoin d'outillages spéciaux : les leviers font 8mm de large, on laise un jeu pour que tout fonctionne bien. On a donc une belle saignée de 1O mm de large. Yaka percer un trou dia 10 mm à chaque extrémité de la dite saignée, et relier ces 2 trous par 2 traits de scie sauteuse. On fini les extrémité de la saignée avec un coup de lime pour avoir une forme bien réctangulaire. Simplissime (c'est pas d'l'astro, c'est de la menuiserie...)Les barres encastrées lesunes dans les autres, c'est juste pour avoir un peu plus de rigidité en flexion, et moins lourd q'une barre pleine. Pour les cotes de cet encatrement, comme pour la forme effilée à l'extrémité où ce trouve la vis de réglage, je l'ai fait après calcul et traçage du moment de flexion mais c'est vraiment pour le fun. Quoique la forme effilée permette un débattement négatif des leviers sans pour autant dépasser du dessous de la caisse du primaire.Ce barillet est vraiment extraordinaire !!!!
  7. conseils pour monture dobson 250

    Grand maitre Pierre à tout dit ! une chose est sure : c'est un point à ne pas négliger, il faut fuir l'empirisme au risque de se retrouver avec des kilo de plombs dommageables, ou une utilisation sur le terrain vraiment pénible. Diamètre des tourillon, position des patins et choix du couple de matériaux sont incontournables. L'ajout du ressort pour augmenter artificiellement le poids du tube (donc de diminuer le débatement du CG) est une excellente solution pour parfaire ce délicat équilibrage (qui plus est réglable !).
  8. conseils pour monture dobson 250

    le diamètre des tourillons ne doit pas etre fait au pif. Ils sont à calculer en fonction du centre de gravité du télescope, avec et sans les oculaires utilisés. Idem pour les patins (dimension et choix matériaux). En effet, il est désagréable d'avoir un tube qui bascule quand on change d'oculaire et l'ajout de lests en plomb est bien efficace mais peu rationnel. Combien de Dobon accusent une surcharge de poids non négligeable pour ne pas avoir preté plus d'attention sur ce point ?
  9. Le club MAGNITUDE 78 compte se déplacer en force pour écouter ce grand bonhomme. A bientôt !
  10. Grossissement max avec un dobson

    la mise en température est essentielle. Yaka voir les mesures au foucault évoluer quand on fait les retouches au polissage d'un miroir. Il faut attendre de nombreuses heures avant que les mesures ne se stabilisent. Alors passer de l'appartement à l'extérieur, j'vous dis pas.... C'est entre autre ce qui nous a fait choisir définitivement les miroirs minces pour nos T250. La mise en température est bien plus rapide, l'image évolue positivement dès lors qu'on prend le temps aux échanges thermiques de se faire. A ce stade, la qualité optique du miroir donne ses porpres limites. de 1x à 2,5x D, sous bon ciel évidemment.
  11. maintenant l'arraignée et le support du secondaire

    notre site magnitude 78 est momentanément indisponible suite au dernier plantage astrosurf. Patience donc. Sinon, va voir le site perso du créateur http://strock.pi.r2.3.14159.free.fr/Strock250/Strock250.html Tu y verra entre autre une belle araignée à 3 branches, ultra légère, ultra compacte et pas dure à réaliser.
  12. maintenant l'arraignée et le support du secondaire

    va voir sur notre site www.astrosurf.org/magnitude78/TelStrock/index.html la réalisation de notre T250 de voyage, honneur et gloire à son concepteur, Pierre Strock. Nous proposons un porte secondaire assez interessant, ultra compact, pas chiant à réaliser, à partir de cornières d'alu.A voir
  13. fixation des tubes serrurier

    ET que non,M. ToutietPlus t'es hyperstatique, plus tu mets des précontraintes, plus c'est costaud ! (dans le limite de la rupture ou mieux, de la phase plastique, évidemment !!!). Il est vrai que les tubes courbés ont ammorcé un beau flambage, mais de toute façon, avec un tel élancement sur ces petits diamètres, flambage il doit y avoir, mais très faible du fait des contraintes de compression dûes au secondaire assez faibles (poids léger divisé par 4 tubes travaillant à la compression, ça passe)
  14. Bon anniversaire Spirit! et oui, un an martien déjà!

    tiens, j'ai trouvé son frère au fond d'un tiroir..... quelle belle aventure !!!
  15. fixation des tubes serrurier

    sans usurper le travail du concepteur, va voir sur le site magintude78, dossier T250, ce télescope de voyage de 250 de 10 kg tout habillé (oculaires compris), le STROCK 250. Le tube serrurier et fait en tube carbonne de 6 mm, simplement emboité à force dans la cage du secondaire, avec comme butéee de profondeur un anneau (ruban adhésif, gaine thermo, etc...). L'astuce du blocage tient au fait que les perçage ne sont pas dans l'axe des tubes, donc ces derniers sont courbés, ce qui génère suffisament de contrainte d'arqueboutement pour ce serrage. au secondaire, un joli système de serrage avec écrou moleté. Solution minimaliste, simple, fiable, ultra-légère.
  16. Et oui, encore une fois, plus c'est gros, mieux c'est. Et oui Pierre, Saturne était diablement nette avec le T460 du club. L'anneau de crèpe évident, d'une teinte un peu marron-chocolat, et la faible division de Enke bien visible. Alors pour Cassini, j'vous dis pas....Je ne comprend toujours pas les avis du type : attention aux forts grossissements, aux forts diamètres, ca ne marche pas en planétaire, et patati, patata.... A mon sens, le diamètre n'est restreint que par le prix, les grossissements par la stabilité du ciel, et sur ce point, quand c'est pas bon, c'est pas bon quelque soit le diametre.... Par contre quand c'est bon, que de souvenirs.... Quand au suivit à fort grossissement en manuel, évidemment que si on reste sur les ortho-hyper super-méga-piqués, c'est pas évident. Maintenant, si on prend du grand champ, je ne vois pas le problème. Jusqu'a 600 x, cela n'a rien d'une prouesse, au-delà, je n'ai pas essayé (à mon grand dam...). Cela étant, chacun sa phylosophie, mais que de chapelles hermetiques....
  17. uhc ou o3 pour couleurs vertes sur orion

    Pour moi, les nuages de M42 sont gris/bleu-turquoise et celà jusqu'au T400 (miroir Meade). Mais en comparatif dans les mêmes conditions, le T460 Obsession fait apparaitre les zones rouges assez franchement dans une nuance plutot rosée, même en banlieue parisienne. le diametre (et la qualité du miroir) semble primordial pour cette vision bicolore.
  18. Acheter une replique de la Lunette de Galilée ?

    J’étais à Florence le week-end dernier, et j'ai visité un musée très peu fréquenté par la proximité immédiate des musées de réputation internationale. Il s'agit du musée des sciences, qui possède une très belle collection d'instruments anciens et d'appareils de physiques et chimie. 2 salles sont consacrées à l'astronomie et dans l'une, on y découvre avec immense respect.... LA lentille de la première lunette de Galiléo. Emotion..... La bougresse est bien petite (en effet 40 à 50 mm maxi), elle est toute terne, montée sur une rondelle diaphragme en papier, mais elle est là... Dans cette salle sont présentées d'autres vieilles lunettes astro. Ma surprise a été de constater qu'elle ne sont pas en laiton comme je l'imaginais, mais en simple carton. Plus exactement en papier roulé/collé pour faire les divers tubes qui coulissent ou s'emboîtent les un dans les autres. Toutes sont en papier de type "marbré à la cuve" vert, rose ou jaune (n'avaient pas peur des couleurs à c't'époque...). Les lentilles sont prises en sandwich entre des rondelles en papier. Bref, tout ça pour dire que faire une belle réplique (sans tuyaux de chiotte en PVC !!!!) ne demandera pas un investissement titanesque. Le résultat final est très esthétique.
  19. couleur verte des nébuleuses

    la perception bicolore de M42 est évidente dans le bel obsession de 46 cm du club, et celà même en pleine banlieue quand le ciel s'y prette. Dans ce cas, l'opposition des 2 couleurs complémentaires, ici vert/bleue et rose, permettent de mieux mettre en évidence ces nuances (comme les binaires colorées en quelque sorte). Cela est particulièrement visible sur la superposition des 2 ailes : l'une est bleue sur une rose. Ah ! qu'c'est beau ! Vive les gros diamètres !
  20. très belle initiative, je prévois de m'y rendre. OK pour une observation le samedi soir.
  21. en voilà une question qu'elle est bonne !En effet, on parle très peu du potentiel des longues vues terrestres pour faire de l'astro. ET pourtant, le choix me parrait terriblement pertinent : - ce sont des vrais baroudeuses, c'est costaud, étanche, compact, léger, etc... - c'est redressé visuellement, - la visée à 45° est un plus certain, surtout pour voir au zénith, - si, on peut mettre un viseur : un quickpoint. - optiquement, yena pour tout les gouts, sachant que beaucoup de modèles se déclinent en verres traditionnels ou APO, - les derniers zooms sont sacrément au point et bien pratiques - je trouve que c'est l'engin de voyage et de terrain par excellence, ça fait tout (sauf le planétaire amis...)! On a une très bonne moitié du jumelle turbo ! (pour les comètes, c'est vraiment parfait)Je possède une vieille TSN2 qui ne me quitte jamais sur un bon Gitzo et une rotule JOYSTICK Manfrotto : le pied !
  22. mars, 2 cartes

    Déjà, la planète s’éloigne et rapetisse (bien que toujours fort belle). De plus, la météo de ces derniers 10 jours ne m’a pas permis de voir grand chose. Enfin, les congés approchent. Pour moi, il est temps de faire le bilan de cette belle opposition : - plus de 20 h à l’oculaire, - la joie de – trop - rares trous de turbulence, - des détails jamais vus auparavant avec comme point d’orgue le Mont Olympe, - 19 croquis aux crayons de couleurs, - 12 mises au propre à l’aquarelle, - 2 planisphères sur 360°, l’une à partir des croquis crayons, l’autre à l’aquarelle. je vous propose ces 2 cartes, synthèse de cette opposition : J’effectuais avant ces cartes « manuellement ». Aujourd’hui, je découvre les possibilités de cartographie offertes par IRIS. Le travail est assez conséquent : - scan des dessins, - séparation des couches RVB - traitement de la projection cartographique sous IRIS après avoir paramétré correctement la fonction MAP - re-combinaison des couches RVB, - compositage de la carte, - sélection des meilleures zones - uniformisation de l’ensemble - et enfin, cadrage final. Le traitement d’image est fait sous PSP 7.
  23. mars, 2 cartes

    utiliser un fond de carte pour mes dessins ? Meme si l'idée m'effleure parfois (souvent ?), jamais, (oh-la-la, le tricheur que je ferai!) même pour des grand champs étoilés. Je préfère poser peu d'étoiles mais positionnées le plus précisément possible. Pour les surfaces planétaires, itou. J'ai déjà le lourd sentiment de perdre de l'objectivité d'observation, connaissant déjà (un peu) la cartographie martienne. On sait qu'il y a tel ou tel détail alors on force dessus et immenquablement, a un moment il nous semble que l'on perçoit ce quelque chose.... Dur-dur d'être complètement objectif... D'ailleurs à ce sujet, je suis toujours étonné de voir la finesse des détails que l'on perçoit tous sur mars (pourtant dificile, mais à cartographie réelle) comparés à ceux de Jupiter, bien plus grosse mais au paysage sans cesse changeant, (quoique que certaines zones soient très faiblement contrastées). Je vois moins de fines volutes dans les dessin de bandes de nuages que de détails de zones dans Tharis (pourtant là aussi, très faiblement contrasté).
  24. Ma nouvelle plateforme équatoriale

    Belle réalisation que cette table à 2 secteurs ronds (version ô combien géniale que je découvre). Je note ses 2 atouts majeurs : ensemble de hauteur minimale, possibilité de caler librement la hauteur de l’axe de rotation. Elle devrait nous inspirer pour les engins de notre club. Mais, je note la difficulté de faire porter toutes les roulettes sur leurs secteurs respectifs. Et pour cause, ce système est sacrément hyperstatique (H=4 apparemment), et le contact de tous les éléments ne s’obtient que grâce aux réglages pointus et au final, aux déformations de l’ensemble….. Je pense qu’une amélioration sensible serait de le rendre isostatique. Pour cela, une solution consisterait à placer les 2 roulettes du petit secteur sur un palonnier articulé en son milieu. Ensuite, ne mettre des roulettes de butée que sur un seul secteur (le plus grand). Enfin, je suis toujours étonné de voir que la plupart de ces types de réalisation souffrent du mouvement saccadé de la motorisation pas à pas. Pourquoi s’entêter sur cette voix ? Un simple moteur courant continu démultiplié à donf et piloté par variation de tension (courant pulsé au besoin asservi par récupération de la f.c.e.m pour garantir une bonne régularité) ne suffirait-il pas ? Y a-t-il des explications ?
  25. mars, 2 cartes

    alors, bonne question. Dans un premier temps, j'ai tenté de superposer mes morceaux de carte sur un fond de carte réel.....sans succès car justement comme tu le dis, il y a des différences et ce n'était pas facile de caller les coordonnées cartographiques de ce fond de carte avec celles - relativement approximatives- de mes dessins. En fin de compte, j'ai superosé au mieux les différents dessins entre eux.