Pleione

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  1. Le club Uranie de Trilport et Aurora Diffusion organisent les samedi 30 et dimanche 31 mai, de 10h à 18h à la salle des fêtes de Trilport (77)une exposition avec conférences sur les aurores polaires. MYSTERIEUSES AURORES est une manifestation thématique qui a pour objectif de présenter au grand public le phénomène des aurores polaires grâce à des approches multiples. Exposition, expériences interactives, vidéos et démonstrations diverses, mais aussi expositions photo et artistique, ainsi que des observations du Soleil en direct constitueront le corps de cette manifestation. Mais le point central sera sans aucun doute la Planeterrella, le simulateur d'aurores artificielles mis à disposition par l'Observatoire de Paris. Deux scientifiques spécialistes des aurores et de la météorologie de l'espace seront également présents pour des conférences ouvertes à tous et des échanges avec le public.PROGRAMME DE LA MANIFESTATIONVendredi 29 mai : ● Démonstration de la Planeterrella (simulateur d'aurores polaires) réservée au public scolaire de Trilport.Samedi 30 et dimanche 31 mai, de 10h à 18h : ● Exposition interactive Mystérieuses aurores polaires constituée de panneaux explicatifs, d'expériences interactives, de documents, de vidéos...● Démonstration de la Planeterrella, le simulateur d'aurores polaires développé par Jean Lilensten et mis à disposition par l'Observatoire de Paris. Le simulateur (planeterrella.obs.ujf-grenoble.fr) sera mis en œuvre par les membres du Club Uranie et d'Aurora Diffusion, mais aussi par les conférenciers eux-mêmes (Jean Lilensten et Fabrice Mottez) en fonction de leur présence.● Exposition photographique Pêcheurs d'aurores en Islande (travaux de Christophe Lehénaff, Carine Souplet, Guy Buhry et Jérôme Delpau).● Exposition artistique (aquarelles, peintures, sculptures…) sur la thématique du Soleil et des aurores polaires. Ces œuvres seront proposées par l\'aquarelliste et astronome Michel Deconinck (astro.aquarellia.com) et plusieurs artistes locaux.● Projection du film Vers les aurores (réalisation Sylvain Sailler, www.auroresboreales.fr). ● Exposition rétrospective des 30 années d'existence du Club Uranie.● Atelier d'initiation au dessin de protubérances solaires avec Michel Deconinck (tous publics).● Observation du Soleil devant la salle des Fêtes avec des instruments permettant de le voir dans diverses longueurs d'onde (surface, protubérances, taches…). Démonstrations de dessin solaire en direct (animation dépendante de la météo).● Exposition Nuit consacrée à la pollution lumineuse et à ses impacts (panneaux explicatifs et diorama).● Stands : Association Nationale pour la Protection du Ciel et de l'Environnement Nocturnes (ANPCEN), Astronomie Magazine, petite librairie et souvenirs autour de l'astronomie et des aurores polaires.● Tombola dotée de nombreux lots sur le thème de l'astronomie et des aurores polaires (ticket : 2 €, tirage le dimanche à 17h30).LES CONFERENCESSamedi 30 mai : ● A 16 h : conférence de Jean Lilensten (Institut de Planétologie et d'Astrophysique de Grenoble) : A la découverte des aurores polaires, puis dédicace de son livre Chasseur d'aurores (achat possible sur place). Dimanche 31 mai :● A 11h : conférence-carnet de voyage par Carine Souplet, journaliste scientifique et astronome amateur : Pêche aux aurores en Islande.● A 16h : conférence de Fabrice Mottez (Observatoire de Paris - LUTH) : La machine invisible derrière les aurores : la magnétosphère.Renseignements pratiques :Boissons et petite restauration sur place. Entrée gratuite. Accès par le train : gare SNCF de Trilport (ligne Paris Gare de l'Est - Château-Thierry/La Ferté-Milon) à 500 m de la Salle des Fêtes. Accès par la route : suivre le fléchage depuis la RN3 en arrivant à Trilport.Voir aussi : www.astro-uranie.com et https://www.facebook.com/events/663483457110750[Ce message a été modifié par Pleione (Édité le 07-05-2015).][Ce message a été modifié par Pleione (Édité le 08-05-2015).]
  2. Je tâcherai d'y être aussi ! Ca me permettra de reprendre un peu mes crayons que j'ai un peu délaissé depuis quelques temps :-)Carine
  3. collectif Sky Quality Meter

    Bonjour à tous,Comme je vous l'avais promis et avec un peu (beaucoup) de retard, je vous livre les résultats de l'étude que j'ai mené sur 7 SQM, avec l'aide précieuse de Mathieu Sénégas qui m'a mis à disposition les boîtiers qu'il avait en stock. Nous avions à notre disposition des SQM avec des numéros de série traduisant des fabrications pour certaines proches, pour d'autres éloignées les unes des autres. Notre SQM personnel a quand à lui un numéro de série bien antérieur à tous les autres. Un point intéressant pour mettre en évidence d'éventuelles différences dans le temps de réglage/étalonnage. J'ai, dans un premier temps, voulu faire des séries de mesure dans un environnement à éclairage artificiel constant, mais il s'est avéré assez compliqué de créer une atmosphère lumineuse correcte pour des mesures et surtout suffisamment uniforme pour ne pas générer des différences de mesure d'un SQM à l'autre ou même en intra série. Je vous livre donc les conclusions de mesures effectuées sous le ciel nocturne. J'ai choisi une belle nuit, stable, sans humidité et sans lune, durant laquelle j'ai effectué des séries de mesures en pointant dans la même direction du ciel (j'ai pris deux étoiles de la Grande Ourse, quasiment au zénith). Deux séries ont été effectuées la même nuit, la première sous un ciel péri-urbain donnant des valeurs proches de 19,5 et la seconde sous un bon ciel de campagne donnant des valeurs autour de 21,2. Des séries de 10 mesures ont été faites, pour lesquelles les deux valeurs extrêmes ont été éliminées (pratique courante quand on fait des statistiques). Les moyennes ont ensuite été calculées avec les huit valeurs restantes. Voici les conclusions que j'ai tiré :Intra-séries : - la reproductibilité intra-série est excellente (écart-type maximum : 0,04). Dans les séries initiales de 10 mesures, subsiste quelques valeurs "aberrantes" qu'il est très facile d'éliminer avec un peu de discernement (elles ont été éliminées des calculs avec les valeurs extrêmes, et ne représentaient au pire qu'une mesure par série de 10). - La stabilité des mesures dans le temps est excellente. Cette observation se base sur l'utilisation de notre SQM "personnel", utilisé depuis 10 mois sur le même site et qui, pourvu qu'on l'utilise dans des conditions similaires (Lune et Voie lactée), offre des mesures pointues à +/- 0,05 près, voir mieux. Nous avons même pu mettre en évidence des différences subtiles lorsque la pleine lune est sur le point de se lever ou bien en présence/absence de Voie Lactée. A noter que la pile de ce SQM, que nous possédons depuis novembre 2006, est toujours celle d'origine.Inter-séries : - Il existe effectivement des variations entre les sept boîtiers testés, mais : o La plupart d'entre-eux se trouvent dans un intervalle de +/- 0,1 mag/arcsec² par rapport à la moyenne globale (ce qui correspond en tous points à la spécification du constructeur). Les boîtiers ont donc un écart maximum entre eux de 0,2. o Nous avons trouvé un boîtier dont l'écart est un peu plus important (0,3).Suite à ces essais et aux nombreuses questions soulevées au fil de ce post, nous avons alors pris contact avec le fabricant du SQM chez Unihedron et nous lui avons posé quelques questions. Il nous a répondu rapidement et avec clarté. Je vous livre ici les points essentiels de sa réponse en français (le mail d'origine est en anglais).------------------------Début de la traductionLa température n'est pas une donnée essentielle. La mesure concerne le capteur et non la température ambiante. D'un SQM à un autre, il peut y avoir un écart de quelques degrés. Mais l'étalonnage de chaque SQM est réalisé en tenant compte de la réponse en température du capteur.Chaque SQM est testé comparativement à un appareil de mesure calibré. Une lampe est ajustée sur une luminosité précise. Le SQM mesure l'intensité lumineuse et établit une compensation interne pour cette luminosité de référence. Une seconde calibration est faite pour indiquer le niveau de noir du capteur (équivalent de l'offset). Entre ces deux mesures, un tracé logarithmique est calculé pour chaque valeur intermédiaire. Tous les SQM qui sont passés à travers cette procédure sont à +/- 0,1 mag/arcsec².Le SQM-L et le SQM peuvent donner des mesures différentes l'un de l'autre car leur cône de mesure n'est pas le même et une source de lumière ou une ombre près de l'horizon perturbera plus la mesure du SQM que celle du SQM-L.Il n'est pas possible de modifier les paramètres d'étalonnage en dehors de nos ateliers. Cela ne peut être réalisé qu'avec un appareillage spécifique permettant de modifier les données dans la mémoire du processeur du SQM.Nous avons eu des retours : 4 appareils sur 1 800 ont été renvoyés. Deux ont été réétalonnés et les deux autres n'ont pas pu être réparés. La cause de la panne n'est pas certaine mais concerne très probablement le capteur. Le fabricant de ce dernier n'indique aucune information concernant le vieillissement du capteur.----------------- Fin de la traductionVoici les conclusions que je tire de tout cela : Observateur isolé- Pour un observateur donné, l'appareil donnera toute satisfaction : utilisé dans des conditions pertinentes, il donnera des valeurs parfaitement reproductibles. Utilisé régulièrement sous le même ciel, il permettra de mettre un chiffre sur sa qualité à un instant T. Comparaison entre les SQM- Dans le cas de comparaisons entre différents SQM, il faudra être conscient du delta possible dans la mesure. Le fabricant annonce des variations de l'ordre de +/- 0,1 mag/arcsec² donc il n'est pas étonnant de relever une différence possible de 0,2 entre deux boîtiers. - Pour les différences plus grandes, elles sont rares mais possibles. Cependant, compte tenu du prix du SQM, il n'est pas possible de lui demander la précision d'appareils de laboratoire dix à vingt fois plus onéreux ! - Dans le cas d'un tel constat, il est toujours possible d'évaluer au mieux la différence entre deux SQM et de corriger ensuite systématiquement la mesure pour qu'elles soient strictement comparables (par exemple, deux amis possédant un SQM et observant sous des cieux différents pourront à l'occasion comparer leur boîtier, puis convenir d'une correction à apporter sur les mesures de l'un ou l'autre). Base de données des valeurs SQM de France et cadre plus généralDans le cas précis de la base de données des valeurs SQM, voici plusieurs réflexions. - Il est avéré qu'il existe une différence de mesure possible de 0,2 entre deux SQM. (au pire 0,3 pour deux SQM situés aux extrémités de la fourchette). - Cependant, la plupart d'entre-nous conviennent désormais qu'il est bien plus sage de donner une fourchette de mesure pour un site donné plutôt qu'une seule mesure. Si je prends l'exemple des mesures de David Vernet, ces mesures oscillent justement entre 0,3 et 0,4 mag/arcsec². L'incertitude de comparaison est donc inférieure ou équivalente à cette fourchette. - Je persiste en disant qu'il est très utile de coupler à la mesure SQM, une mesure visuelle type estimation de la magnitude limite visuelle ou notation sur l'échelle de Bortle. Cela permettra d'éliminer les ciels douteux (chargés de poussières, cirrus indécelables, etc.) - Enfin, dans un cadre plus général, le but est de qualifier un ciel, pas de vouloir systématiquement chercher LA valeur la plus élevée. Ainsi, ne serait-il pas plus sage de considérer les valeurs SQM avec un peu de recul et de considérer une échelle de 0,5 en 0,5 pour la qualification d'un site, qui aurait par exemple cette air là (c'est aussi le rôle de la base de données qui permettra de l'établir) :17-17,5 : centre ville très éclairé 17,5 - 18 : centre ville peu éclairé 18 - 18,5 : faubourgs, quartiers urbains 18,5 - 19 : ciel péri-urbain des grandes agglomérations 19 - 19,5 : ciel péri-urbain des petites agglomérations 19,5 - 20 : ciel de campagne proche 20 - 20,5 : ciel de campagne avec Voie lactée visible partiellement 20,5 - 21 : ciel de campagne avec Voie lactée visible complètement 21 - 21,5 : très bon ciel de campagne ou de moyenne montagne 21,5 - 22 : ciel de montagne > 22 : ciel noir et purJ'arrive à une échelle de 11 niveaux, qu'on peut probablement faire coller à d'autres échelles (Bortle par exemple)… Evidemment, ça donne l'impression de retourner à quelque chose de plus empirique (j'entends déjà ceux qui vont rétorquer : "ben alors on n'a qu'à se servir de nos yeux !", oui mais la subjectivité de l'observateur reste, alors que le SQM est impartial !)… Une telle échelle a le mérite d'être honnête sur les possibilités du site (Au Restefond aussi, il y a des soirées "bof" où le SQM n'affichera que 21 ou 21,5… La météo est bien plus aléatoire que les petites variations possibles entre deux SQM !). Il faut aussi se demander combien de kilomètres un observateur serait prêt à faire pour gagner des magnitudes SQM. On pourrait dire : maximum 50 km pour gagner 0,5 magnitude, 100 km pour en gagner 1… Mais cela vaut-il le coup de faire 50 km pour gagner 0,1 ou 0,2 mag ???? Donc l'échelle de 0,5 en 0,5 est largement suffisante…Enfin, précision importante, si d'aventure un SQM présentait trop de dérive, le fabricant s'engage à le reprendre. Mathieu qui a fait cette étude avec moi, vérifiait déjà le bon fonctionnement de l'appareil. Désormais il regardera aussi les valeurs données avant envoi pour s'assurer qu'il n'y a pas de dérive trop importante (nous nous servirons de notre SQM comme base, celui-ci se situe très proche de la moyenne de nos essais).Je reste persuadée que le SQM est un outil très utile pour qualifier un ciel, s'il n'est pas utilisé n'importe comment (reproductibilité interne excellente). Une personne l'utilisant lors d'observations régulières complètera très utilement ses CROAS avec une valeur SQM (qui seront rarement rédigés lorsqu'il y a des cirrus, de la pluie ou une pollution lumineuse rendant le ciel orange…). Et s'il veut se comparer ponctuellement à d'autres sites mesurés avec d'autres SQM, une différence éventuelle de 0,1 ou 0,2 magnitude est-elle vraiment cruciale ? Pour résumer, un site à 21 et l'autre à 21,2 sont tous les deux bons, et deux autres à 17 et 17,2 sont mauvais… Voilà… Cordialement,CarinePS : j'ai aussi testé deux SQM-L, mais les valeurs ne sont pas comparables avec les SQM (le cône de mesure plus restreint donne des valeurs différentes). C'est pourquoi je n'en parle pas ici. [Ce message a été modifié par Pleione (Édité le 19-06-2008).]
  4. collectif Sky Quality Meter

    Bonjour à tous,Bien que le temps me sois compté, je lis ce fil attentivement depuis plusieurs jours. Je ne pensais pas déclencher autant de réactions et de discussions avec cette proposition de collecte de données mais à vrai dire, c'est plutôt bon signe : cela veut dire que le sujet intéresse ! Je rappelle que ma collecte n'a pas pour vocation d'être l'arme absolue pour pointer les bons sites, loin de là ! Avant de pouvoir le faire, il faudrait déjà avoir beaucoup de données et franchement, je trouve le tableau encore bien court pour cela... Le but initial était, je le rappelle, de COLLECTER DES DONNEES POUR LA FRANCE UNIQUEMENT (surtout de tendre vers les meilleures valeurs et d'évaluer leur pertinence, justement). C'est tout. Evidemment, j'ai fait une proposition de départ, avec estimation des magnitudes limites visuelles (qui ne semble pas remporter les suffrages :-) ) et une colonne commentaires pour apporter des précisions. Cette proposition n'est à priori pas assez opportune et elle sera donc modifiée (plusieurs colonnes pour les mesures SQM en particulier). Je reconnais que le mode d'emploi est peu détaillé sur mon site mais je vais compiler les judicieuses remarques que vous avez tous fait pour tacher de proposer un protocole plus uniforme (répétition des mesures, etc). Je sais déjà qu'il y aura encore des râleurs pour dire que tel ou tel truc ne va pas, mais bon, à un moment, il faut arrêter de se couper les cheveux en quatre ! Sinon on ne fait rien. Je me répète aussi : il me semble qu'en tant qu'astronome amateur, on observe sous un ciel DEGAGE en général. Exit donc les mesures faites lorsque les nuages sont là (impossible de faire des mesures répétables car les nuages ne sont jamais à la même hauteur, parfois de la brume peut diffuser la lumière encore plus... Je trouve cela trop aléatoire -j'ai déjà testé pour un même site-). Les halos lumineux les plus présents seront de toute façon pris en compte par le cône de mesure large du SQM (80° quand même). Concernant les éventuelles variations de mesures entre différents SQM, j'ai la ferme intention de faire un comparatif aussi. J'ai la chance d'avoir sous la main mon SQM (âge : 1 an et demi) et surtout l'accès au stock de mécASTROnic (qui en vend aussi, voir http://www.mecastronic.com/meteorologie_qualite_ciel.htm). Mathieu dispose aussi de SQM-L et je pourrai donc faire des mesures en parallèle sur les deux, à raison de quatre SQM et trois SQM-L. Le tout étant d'établir un protocole en n'oubliant pas une étape. Pour cela je vais m'inspirer de l'expérience de David (dans une pièce à la luminosité "normalisée" et constante). Je voudrais aussi faire cela sous la voûte céleste mais il faudra attendre une nuit propice. Mais pour tout cela, il faudra attendre quelques jours car le boulot passera avant !Enfin, arrêtez de dire que l'usage du SQM est compliqué. Mis à part les mises en garde de mesures répétées ou l'absence de Lune, cela donne à peu près cela :1. vérifiez si le ciel est bien dégagé (c'est à dire que vous voyez toutes les étoiles des constellations, ça vous connait ça non ? ;-) ) 2. Placez-vous dans un endroit dégagé (évitez le milieu de la forêt ou les grands immeubles à trois mètres de distance) 3. Placez le SQM à la verticale (si l'apéro n'a pas affecté votre ligne d'horizon), bras tendu (évidemment avec le capteur vers le haut :-) ) 4. Appuyez une fois sur le bouton 5. A la fin des bips, lisez le résultat (deux chiffres après la virgule)Compliqué ça ? Moi j'y arrive et je suis une fille pourtant :-)Cordialement,Carine
  5. collectif Sky Quality Meter

    Bonjour,Je remercie également David Vernet qui vient conforter par sa propre expérience l'intérêt du SQM. Je rappelle que la base que j'ai créé a avant tout pour vocation de compiler un maximum de mesures, et pour cela elle a besoin d'être alimentée. Viendront ensuite les confrontations avec d'autres documents à grande échelle... Je vois au fil des messages que les personnes possédant cet instrument sont à priori plus nombreuses que je ne le pensais et j'espère qu'elles penseront à déposer au moins une partie de leurs mesures sur le site. Si vous souhaitez déposer des mesures complémentaires à la valeur du SQM, n'hésitez pas à les mettre dans la case "commentaires" : elle est faite pour cela comme le rappelle judicieusement Laurent ! La température est envoyée régulièrement et je vais certainement créer une colonne spécifique pour cela. Pour le taux d'humidité, les valeurs données sont beaucoup plus vagues... A voir. Par contre et malgré mes appels, je regrette que si peu de personnes fassent une estimation mlvonUMi/mlvonZ... Je trouve pourtant ce comparatif fort intéressant (j'ai mis un lien vers les cartes d'estimation sur la page principale du SQM). Compte tenu d'un certain nombre d'informations complémentaires que l'on m'a communiqué récemment (merci à Bertrand Laville en particulier), je vais rapidement compléter le site avec d'autres infos.Carine
  6. collectif Sky Quality Meter

    Gabal,J'ai pour l'instant volontairement choisi de supprimer les informations SQM concernant les ciels bouchés : suivant si le plafond nuageux est bas ou pas, le résultat SQM différera carrément pour un même site. Pour moi, les mesures réellement exploitables sont celles effectuées sous ciel parfaitement dégagé. Ce sont bien celles qui intéressent les astrams non ? Je préfère donc m'en tenir à ces mesures-là. Si la qualité du ciel se dégrade, on le verra de toute façon sur les valeurs par ciel clair.Mais je conserve toutes les mesures. Il sera toujours temps de les intégrer par la suite, si on me démontre l'intérêt de valeurs prises sous les nuages ! Maintenant que quelques personnes ont contribué à la base et que certains m'ont fait des remarques sur la forme et le fond, j'envisage de faire évoluer ces quelques pages. J'ai des infos complémentaires à y ajouter, et je proposerai certainement un fichier Excel des données à télécharger pour ceux qui veulent faire des tris suivant les différents critères. Soyez patients, je ne suis pas très experte en programmation de pages web !Pour terminer, je trouve dommage que si peu de personnes me donnent une magnitude visuelle limite à l'oeil nu. Bien que variable suivant les observateurs, je trouve cette info utile pour l'interprétation des résultats. Malgré tout, je prends aussi les mesures SQM, même sans mvlon ;-)Merci de votre participation !
  7. recherche un club dans le dep 77

    Bonjour,Juste à côté de Meaux, à Trilport plus exactement, se trouve le Club d'astronomie Uranie. Il compte une quarantaine de membres, dont une bonne proportion d'observateurs. Si tu veux en savoir un peu plus, il existe maintenant un blog de l'association : http://astro-uranie.over-blog.com Si tu veux des renseignements complémentaires, envoie un mail à l'adresse de l'association : uranie(a)trilport.com et je pourrai répondre à tes questions. Astronomiquement, Pleione
  8. Journées du Soleil 24 25 juin 2006

    Astroperenoel, je t'invite à m'envoyer très, très vite un message avec des précisions concernant ta venue : repas effectivement pris sur place, comment tu souhaites loger, et sous quelle forme (camping ou hébergement sur un canapé)... Le dernier délai est fixé à ce soir jeudi... Maile moi dans la boite de l'association : uranie@trilport.comPour le reglement, pas de probleme sur place mais les infos, il me les faut aujourd'hui pour des raisons evidentes de logistique...Merci d'avance.