Alain MOREAU

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Tout ce qui a été posté par Alain MOREAU

  1. Extremely Large Telescope de l'ESO

    Merci pour ces précisons Optrolight 👍 Je ne croyais pas si bien dire page 35 dans un post précédent qu'on recevait même ici des réponses à des questions qu'on ne s'était jamais posées avant ! 👍
  2. Extremely Large Telescope de l'ESO

    Merci Jack Les vues en plein format envoient du lourd ! (quand je pense qu'on mégote pour 1mm d'épaisseur sur nos araignées ! ) Je note que le design mécanique final de la structure a bien évolué en dix ans par rapport aux premiers dessins publiés. Je remarque que les branches ajourées sont aussi et d'autant plus de rigueur vu leur gigantisme ! Est-il prévu un revêtement de surface pour limiter les effets thermiques de la couche limite à leur voisinage dans le champ (donc pour affiner les aigrettes) ?
  3. Hayabusa 2 à l'assaut de Ryugu

    Oui, la vie est toujours bien teigneuse là où elle s'installe, elle se cramponne coûte que coûte ! Et quand un organisme trop faible disparaît, éradiqué par des conditions pour lui invivables, c'est pour faire place à une peste bien plus coriace et résistante... Cette contamination "in vitro", en dépit de toutes les précautions prises pour l'éviter sur ces échantillons hautement précieux, devrait nous faire réfléchir sur l'efficacité des mesures de stérilisation que nous appliquons avec bonne conscience aux sondes, robots et autres rovers avant de les éparpiller un peu partout dans le Système Solaire...
  4. Extremely Large Telescope de l'ESO

    Les deux miroirs de la station préfocale (PFS) dont parle Bingocrepuscule : https://elt.eso.org/telescope/prefocal/
  5. Extremely Large Telescope de l'ESO

    Oh c'est très simple, ça peut se résumer en peu de mots : La raison essentielle, évidente, est que dès le départ ce télescope a nécessité beaucoup de réflexions Blague à part nous avons la chance de compter parmi nous le concepteur de son design optique, aussi en charge de sa bonne exécution : Cay2, qui répond toujours avec patience, bienveillance et pédagogie à nos questions techniques sur le monstre. Lis ses interventions, elles sont de première main ! Tu y trouveras les réponses à de nombreuses questions - y compris à celles que tu ne t'es sans doute jamais posées
  6. La rumeur des ondes gravitationnelles...

    Si des femmes nous lisent actuellement, j'chuis pas sûr qu'elles nous pigent davantage !
  7. Extremely Large Telescope de l'ESO

    Merci (bon, cette vidéo estampillée ESO a du moins le mérite d'exister. Mais même passionné on ne vibre guère devant le propos indéchiffrable et superficiel, les plans dénués d'imagination & archi-redondants, les lumières crues et plates du milieu de journée, la musique "d'ambiance" inadaptée totalement hors-sujet : j'ose espérer que l'ESO n'a pas dépensé un peso pour cette production même pas digne d'un amateur un tant soit peu exigeant, inspiré et motivé ayant une authentique aventure à raconter et partager !) Le projet est grandiose ; la communication ne l'est pas.
  8. La rumeur des ondes gravitationnelles...

    Vouiii, merkiii Superlumineuse ton espicassion !
  9. TNO, KBO, SDO, plutinos & Co.

    Merci de l'info JF, ça me laisse 10 ans pour me préparer et commander du beau temps le jour J à l'heure H ! J'espère ne pas être trop délâbré d'ici-là... M'enfin si c'est pour la science
  10. Nouvelle mission de la NASA : Titan ou... 67P !

    Réjouissons-nous que 1‰ des missions de SpaceX soit pour la science : béni soit le grand Musk, que son nom soit sanctifié au plus haut des cieux !
  11. Artemis : retour de la NASA sur la Lune en 2024 (?)

    Pas cette version de proto du vol 5, elle est obsolète : à part faire courir d'énormes risques au stage 0 ça n'aurait aucun intérêt pour améliorer les versions ultérieures déjà fabriquées ou dans les tuyaux. En revanche décortiquer ce booster après son retour pour examiner sous toutes les coutures comment il a "vécu" son vol est cetainement riche d'enseignements pour la suite des évolutions.
  12. Artemis : retour de la NASA sur la Lune en 2024 (?)

    Merci de vos réponses ; vous semblez partager ma perplexité... Cependant j'ai manqué de clarté pour exprimer pleinement ma pensée : quand je persiste à douter de la rentabilité de la réutilisation, je parle de celle du second étage seulement, soumis à des contraintes de rentrées atmosphériques sans commune mesure avec celles que subissent les boosters. Si on prend l'exemple du Starship, son booster comporte 33 moteurs contre 6 seulement pour le ship proprement dit (dont on ignore encore s'ils résisteront sans grosses remises en état après des retours répétés à vitesse orbitale). Sur le strict coût des 33 moteurs (et même sur celui des structures générales du lanceur) la récupération et les nombreuses réutilisations du booster se justifient pleinement car les lancements successifs le dégradent peu et sa remise en service coûte peu et ne dure pas longtemps. Ainsi on dispose déjà d'un retour d'expérience positif sur plus de 300 récupérations de booster Falcon 9 - qui bien que propulsés par d'autres moteurs moins complexes prouvent que leur réutilisation de nombreuses fois sur un premier étage est possible sans maintenances prohibitives, au moins sur ce lanceur. Or si on peut désormais acter que la réutilisation d'un booster est dans son cas possible et rentable, il est prématuré d'en conclure qu'il en sera de même pour un second étage du même lanceur et avec la même propulsion soumis à des stress autrement plus extrêmes, et ce d'autant que pour être rentable il devra y résister plusieurs fois avec toujours un minimum de remise en état entre deux vols... Récupérer puis réutiliser à répétition un étage orbital me paraît une toute autre paire de manches, d'autant que pour ce faire il faut l'alourdir et le renforcer, prévoir des marges mécaniques plus grandes pour assurer sa durabilité sous contraintes sévères qui fatiguent, le munir de coûteuses et fragiles protections thermiques, le doter de dispositifs manoeuvrants, ainsi augmenter sa complexité donc encore son coût, et amputer sa charge utile de tous les dispositifs indispensables à sa récupération en sus des ergols résiduels nécessaires... Tout cela pour ne récupérer cette fois que 6 Raptors contre 33 (s'ils résistent bien au traitement), un bouclier plus ou moins altéré/réparable, l'avionique incompressible et une structure qui doit encaisser sans fatigue ni faiblesse excessives les rudesses de retours multiples au sol... Je me suis trompé la première fois en pensant que la récupération c'était pas gagné, donc j'espère me tromper encore la seconde car critiquer les finalités ne m'empêche pas d'admirer le challenge technique. Mais je me demande encore si avec les volumes & masses de lancements qui se profilent, la meilleure solution ne serait pas hybride, avec un parc limité de boosters récupérables en rotation, coiffés de seconds étages jetables construits à la chaîne à vil prix ?
  13. Artemis : retour de la NASA sur la Lune en 2024 (?)

    J'ai vu ça en effet. À supposer qu'on ne considère la chose que sous ses angles technique & économique : adapter l'étage supérieur du SLS sur le booster récupérable du Starship n'aurait dans l'idée rien de stupide pour combiner le meilleur des deux concepts tout en bénéficiant des développements déjà accomplis de part et d'autre (dans l'hypothèse du maintien d'un programme lunaire bien entendu, même "allégé" ). Toutefois j'imagine que sans être forcément techniquement impossible ce n'est sûrement pas une simple formalité d'ingénierie juste pliée en deux coups de cuiller à pot ! (certes NASA et SpaceX partagent déjà le même système de mesures ubuesque, un atout non négligeable entre plombiers de l'espace ! ) Mais soit ; le SLS est déjà bien avancé sur le chemin de sa certification pour le vol habité tandis que le booster Starship semble en bonne voie pour devenir effectivement récupérable : un mariage intelligent des deux (même dans la première chapelle venue à Vegas ) pourrait promettre un métissage aussi baroque qu'improbable mais réussi dans la plus pure tradition du rêve américain ! De toute façon je reste dubitatif quant à la pertinence économique chez SpaceX de vouloir à tout prix récupérer le ship en raison de son impact soustractif sur les charges utiles embarquables vers des destinations lointaines (à minima cislunaires et au-delà). Si on vire d'un ship tout ce qui reste indispensable à sa réutilisabilité (bouclier, flaps, réserves d'ergols et leurs contenants idoines, renforts structurels pour supporter une ré-entrée à 11km/s, etc, etc) et qu'on remplace tout cela par de la charge utile, je serais curieux de comparer ce qu'on peut poser réellement sur la Lune ou ailleurs et à quel coût final cumulé, avec ou sans réutilisabilité, y compris avec les moult et encore putatifs ravitaillements en vol... Seul du recul permettra de répondre dans le futur à cela - si jamais nous en disposons un jour. En tout cas je ne suis pas de ceux qui croient que la messe de la réutilisabilité soit définitivement dite quelles que soient les conditions de son opérabilité. À supposer que dans les deux cas on fabrique des lanceurs - réutilisables ou non - en quantité industrielle suffisante pour amortir raisonnablement leur coût de développement, qu'en serait-il vraiment du coût final/tonne utile ? Ce disant j'ai bien conscience de la grande relativité du côté "raisonnable" de la chose - à resituer dans le contexte plus général du spatial américain tel qu'il se présente actuellement de facto donc nonobstant les impacts anticipables de toute décision politico-économique le concernant... Qu'en pensez-vous ?
  14. Bonjour à tous, Je me suis permis de traduire ci-dessous l’article suivant de Space.com paru hier, que je vous conseille de consulter malgré tout car il comporte des liens et illustrations auxquelles il se réfère et que je n’ai pas pris le temps d’incorporer patiemment au texte traduit : https://www.space.com/china-planning-future-moon-missions-change-7?utm_source=Selligent&utm_medium=email&utm_campaign=9155&utm_content=SDC_Newsletter+&utm_term=3640529&m_i=aZVG8Ruoj4sDAfQTJqNY6VlZ6KZlkfSAmopwp8VQ2tDIiNeg6nttZatmrb7fUo2LKoZhQ84_eLp8pS4O7lbn_Tzbhs_P3ep6_3ARQ2VaaC Je serais curieux de savoir ce que vous en pensez, non seulement sur les plans techniques et scientifiques mais aussi sous l’angle géopolitique. La Chine dévoile des plans ambitieux de missions lunaires pour 2024 et au-delà Par Andrew Jones il y a 16 heures La Chine n'a pas l'intention de se reposer sur ses lauriers lunaires. L'atterrisseur chinois Chang'e 4 sur la face cachée de la lune, vu par le rover Yutu 2 de la mission. (Image : © CNSA) La Chine a une mission opérant sur la face cachée de la lune et se prépare à en lancer une autre cette année pour collecter des échantillons lunaires. Et le pays prévoit d'ajouter à son impressionnant curriculum vitae lunaire, avec une nouvelle série de missions pour explorer le pôle sud de la lune. Chang'e 6, une mission de secours pour le lancement de retour d'échantillons de cette année, devrait se rendre sur la lune en 2023 ou 2024 ; Chang'e 7 devrait être lancé vers 2024 avec le double objectif de se poser sur le pôle sud de la lune et d'étudier de près la région depuis l'orbite. Une huitième mission est également en préparation pour la fin de cette décennie. Le mois dernier, le Centre d'exploration lunaire et d'ingénierie spatiale de l'Administration spatiale nationale chinoise (CNSA) a lancé un appel d'offres aux instituts concernés afin de développer des charges utiles pour les cinq différents engins spatiaux participant à la mission Chang'e 7. (Vous pouvez le lire ici, en chinois). Les documents ci-joints montrent que la mission complexe sera composée d'un orbiteur, d'un satellite relais, d'un atterrisseur, d'un rover et d'un "mini vaisseau volant". Une fusée Longue Marche 5 sera nécessaire pour lancer les 18 000 livres. (8 200 kilogrammes). La Chine prévoit que l'orbiteur transportera une caméra de cartographie stéréo à haute résolution et un radar à synthèse d’ouverture, un imageur minéral infrarouge à large spectre, un spectromètre à neutrons et à rayons gamma et un magnétomètre. Ensemble, ces charges utiles fourniront de nouvelles données sur la topographie, la composition minéralogique, l'environnement radiatif et la magnétosphère de la Lune. Le satellite relais - un engin spatial similaire au satellite de communication Queqiao qui facilite la mission Chang'e 4 - transportera un système d'interférométrie à très longue base (VLBI) pour les mesures VLBI Terre-Lune. Cette technique implique un partenariat avec un télescope au sol pour créer efficacement un télescope virtuel du diamètre de la distance entre les deux détecteurs et ainsi faire des observations radioastronomiques détaillées. Un autre instrument permettra d'étudier les atomes neutres de la magnétosphère terrestre, dont la queue s'étend bien au-delà de l'orbite de la lune. L'atterrisseur de la mission transportera des caméras d'atterrissage et de topographie, des instruments qui sont également présents sur les atterrisseurs chinois Chang'e 3 et 4. Des charges utiles supplémentaires permettront d'étudier les composés volatils et les isotopes et de mesurer le flux thermique à travers le sol lunaire. L'atterrisseur comprendra également une caméra à ultraviolets extrêmes, un thermomètre et un sismographe. Le rover transportera quatre charges utiles scientifiques. Les équipes s'affronteront pour fournir un radar pénétrant lunaire, un magnétomètre, un spectromètre Raman pour une analyse précise de la composition minérale et une caméra panoramique pour le véhicule. Enfin, le "mini vaisseau volant" transportera un analyseur de molécules d'eau pour prendre des mesures dans des zones ombragées en permanence au pôle sud lunaire, où l'angle d'élévation très faible du soleil signifie que la surface à l'intérieur des cratères ne reçoit jamais de lumière solaire directe. Les scientifiques proposent que la glace d'eau dans ces zones puisse y rester longtemps, et si cette glace est présente, elle pourrait fournir des ressources pour de futures missions avec équipage. Chang'e 7 fait partie d'une nouvelle phase des missions lunaires chinoises que les responsables ont annoncée après l'atterrissage réussi de Chang'e 4 sur la face cachée de la Lune au début de l'année 2019. Chang'e 7 ouvrira également la voie à Chang'e 8, une autre mission d'alunissage au pôle sud de la Lune prévue pour la fin des années 2020. Cette mission comprendra des tests technologiques pour l'utilisation des ressources locales et la fabrication avec l'impression 3D, selon les déclarations de la presse chinoise. Chang'e 6, qui vient en renfort de la mission lunaire d'échantillonnage et de retour Chang'e 5 de cette année, sera également lancée vers 2023 ou 2024. Si Chang'e 5 réussit, il sera redirigé vers le pôle sud. Ensemble, les missions feront partie d'une station internationale de recherche lunaire, un concept de projet majeur que la Chine a proposé à d'autres nations. Les États-Unis, l'Agence spatiale européenne, la Russie, l'Inde et le Japon prévoient également des missions vers la lune au cours de cette décennie.
  15. ASTRONAUTIQUE : l'actualité du lancement spatial

    Non mais, sérieux : vous avez lu ce jargon surréaliste qui débite les mots-clés creux comme on aligne des coquilles vides pour composer un collier de truismes avec l'art consommé du virtuose expert en celui de ne rien dire ??? En clair j'ai relu 4 fois pour essayer de trouver un sens ou la moindre consistance à ce laïus avant de conclure que ce truc ne fait que brasser de l'air à coup de formules alambiquées pour dire qu'on va proposer de soumettre à réflexion l'éventualité de financer une étude afin d'envisager la perspective de conclure à la nécessité de développer un programme consistant à évaluer la pertinence de songer à la possibilité qu'il puisse être judicieux d'entreprendre un examen sérieux - entre autres objectifs essentiels - de la perspective de se livrer à une exploration approfondie des enjeux impliquant l'urgence de s'assurer - avec tout le soin requis - de produire un rapport d'évaluation permettant aux décideurs de décider s'ils décident de financer un projet de production d'un document de travail au sujet d'une possible inscription à l'ordre du jour de la prochaine réunion ministérielle chargée d'envisager s'il est fondé de prévoir d'aborder la question dans une future session...... (mais attention : "Le projet devrait produire une gamme de résultats clés, notamment des exigences de haut niveau consolidées", soyons sérieux, on n'est pas là pour rigoler ! ) Voilà donc tout ce que sait produire cette gangrène bureaucratique européenne : des torche-culs abscons d'une vacuité aussi nausée-abondante que confondante ! C'est moi le problème, ou on est en train de se fabriquer un enfer tous les jours plus dingue et plus débile que la veille ? Vraiment je ne donne pas cher de notre peau (les zéropéens) à très brève échéance. Quand je pense qu'on a renoncé à toutes nos souverainetés et nos domaines d'excellence pour chier cette merde qui nous étouffe et nous fait crever !
  16. Artemis : retour de la NASA sur la Lune en 2024 (?)

    "Invraisemblable" : merci Daniel, c'est le mot exact que je cherchais pour qualifier l'ensemble de cette mission !
  17. Les naïfs qui croyaient le monde peuplé de Bisounours et de gentils explorateurs martiens, ressaisissez-vous : nous savons enfin à quoi va servir le StarShip. Et ce ne sera pas pour permettre aux ours blancs de partager leurs selfies sur la banquise avec les orang-outans de Bornéo ! Après la prolifération nucléaire nous nous précipitons à présent inéluctablement dans l'ère de la prolifération satellitaire pour raison militaire (et nous n'échapperons pas au syndrome de Kessler). À part enchaîner des mots en "litaire" qui font pleurer notre pauvre Terre tout cela rime-t-il à quelque chose ? L'homo americanus, dans sa sagesse ordinaire, ouvre le ban et montre l'exemple comme à l'accoutûmée ; ne doutons pas que toutes les puissances spatiales vont le suivre comme un seul homme pour s'empresser de remplir le moindre recoin d'espace encore disponible au-dessus de nos têtes. Pas sûr qu'on quitte ce monde avant d'avoir vu des pluies d'étoiles filantes artificielles ! J'estime pour ma part cela plus probable que voir de mon vivant un homme sur Mars. Voilà qui va faire les affaires de Musk ainsi que de tous les promoteurs de constellations géantes en orbite basse, et pas les nôtres en tant qu'astrams (mais est-ce une surprise ?) En tout cas je pense que cette folie collective va dégénérer en situation beaucoup plus grave pour nos activités spatiales que juste une gêne pour nos observations ; connaissant les humains, cela prend le chemin évident de devenir rapidement hors contrôle... https://www.futura-sciences.com/sciences/actualites/astronautique-starlink-amazon-pentagone-decuple-demande-telecommunications-depuis-orbite-basse-117169/
  18. Extremely Large Telescope de l'ESO

    Oui, à le lire à l'époque cet ELT ne marcherait jamais ! (remarque on croise les doigts 🤞) M'enfin il y a de sérieuses raisons d'y croire à présent )
  19. Voilà : là au moins c'est clair !

    Je vous invite à lire attentivement l'article suivant (en français) où il est littéralement question "d'architecture proliférante" selon les propres termes de la NRO. Il dépeint parfaitement la situation et balaie tout le spectre des principaux projets en développement/déploiement, tout en posant les bonnes questions. Les fous sont bel et bien lâchés : ils n'auront pas de limites ! Merci au Grand Musk, ce bienfaiteur de l'humanité, qui rend ce suicide collectif toujours plus rapide, efficace, moins coûteux ! Mais gageons qu'il existera toujours un Musk pour donner corps aux pires cauchemars des humains tant qu'ils resteront dominés par leurs pulsions destructrices ... https://reseau.developpez.com/actu/364517/Le-chef-du-NRO-Vous-ne-pouvez-pas-vous-cacher-de-notre-nouvel-essaim-de-satellites-espions-construits-par-SpaceX-Un-satellite-survole-toujours-une-zone-dans-un-laps-de-temps-raisonnable/
  20. Extremely Large Telescope de l'ESO

    Ça se mange le condor ?
  21. Extremely Large Telescope de l'ESO

    Oui c'est à ça que je pensais
  22. Extremely Large Telescope de l'ESO

    J'ai ouï dire qu'ils avaient prévu de gros sabres laser comme dans Star Wars (sans doute pour fumer les vaisseaux extraterrestres et autres substances volatiles hallucinogènes) : c'est assez dissuasif !
  23. Extremely Large Telescope de l'ESO

    Y a-t-il des déformations de fréquences (temporelles, vibrations) qui restent difficiles à corriger ou a anticiper ? Si je devais bosser sur pareil engin mon obsession quotidienne serait assurément : "à quoi n'avons-nous pas pensé ?..."
  24. Extremely Large Telescope de l'ESO

    Explications limpides, merci ! +++ (quelle merveille ce truc ! ) 10mm de déformation sur la structure, mazette : c'est encore pire que ce que j'imaginais mais rien d'étonnant à l'échelle de l'engin finalement... Selon le point de vue du mécano c'est fort bien contenu et maîtrisé, mais de celui de l'opticien il y a de quoi s'arracher les cheveux !!! Ça a dû phosphorer sévère dans les labos...
  25. Extremely Large Telescope de l'ESO

    Ça se "calcule" comme pour l'amiante ça ? Avec le VLT à 20 bornes à vol de condor, ce ne serait pas plus simple, fiable et direct d'utiliser les données constatées depuis belle lurette sur icelui pour estimer le phénomène, quitte à appliquer des correctifs relatifs à l'altitude supérieure de 400m (bof) ou autres paramètres environnementaux très locaux que j'ignore ? Je comprends que la dernière merveille du monde ne puisse se concevoir ni fonctionner sans une armada de calculs prévisionnels à foutre le vertige, mais là en l'occurrence je dubite fortement qu'ils plussoient à l'expérience acquise juste à côté sur le site du Paranal ... Et puis je ne vois pas comment on pourrait passer l'aspirateur sur tout le Cerro Armazones après les énormes travaux de génie civil qu'on y aura menés pendant 10 ans, ni comment on pourra débarrasser l'observatoire ouvert aux quatre vents de toute la poussière atacamesque accumulée consécutive à sa construction, puis à son exploitation dans un des sites les plus secs, ventés, et les moins végétalisés de la planète... Si calcul il y a, je serais fort curieux de voir à quoi il ressemble ?