-
Compteur de contenus
1 232 -
Inscription
-
Dernière visite
-
Last Connexion
Soon available - 44332
Réputation sur la communauté
850 Très bonne réputationÀ propos de Sky runner
-
Rang
Membre très actif
Informations personnelles
-
Centres d'intérêt
observation ciel profond et un faible pour la Lune, météorologie, paléontologie et pas mal de sport aérobie...
-
Adresse
Ile de La Palma, Canarias
- Site personnel
-
nebuleuse de la rosette en photo/dessin
Sky runner a répondu à un sujet de Aurore Guillerand dans Observation visuelle
Aurore, c'est encore plus beau qu'une aurore... Fabrice M. -
Ronald et sa maison d'édition ont déjà produit de jolis atlas lunaires dans un passé récent dans le même état d'esprit. Celui-ci ne tranche pas trop avec ce qu'il a déjà produit. La résolution peut manquer sur certaines planches. Le format A3 est une belle idée, on n'y voit toujours plus clair. Je ne serai pas étonné qu'il nous propose encore mieux dans un futur proche, je préfère attendre. Pour du T600 ou T900, les nuits sont rares pour le rendement max de ces instruments et pour ces dernières, les ouvrages adéquats manquent cruellement sans parler du texte attenant souvent invisible ou trop "géologique". Pour l'instant, je me contente entre autre du bel atlas avec texte en anglais assez souvent proche de nos attentes : The Cambridge Photographic moon atlas (ouvrage collectif d'assez grand format également). Fabrice M.
-
(Les observateurs sont bien présents, les astres n'ont qu'à bien se tenir). Yann, tu fais là un grand pas dans ton travail habituel sur les distances cosmiques. Des centaines de millions de parsecs que tu côtoies régulièrement, tu taquines là une poignée d'années-lumière... Fabrice M.
-
Adam, oui, ils tiennent pas trop mal surtout lorsque les coeurs denses ne sont pas trop saturés de craie. Dans ce cas, les pigments blancs marquent un peu sur la housse. Cela tombe bien car je traite plutôt d'objets faibles ! J'ai fait une fois un essai de laque (de qualité professionnelle dirait Franck P., voir l'excellent sketch sur les pubs de Sellig !) mais cela dénature un peu le travail en le matant.
-
C'est exactement ce que j'ai fait Yann. Boris, c'était sous le ciel de La Palma. Très bonne transparence mais pas excellente et seeing médiocre (S4). A ce propos, avez-vous en France ces dernières nuits des flambées d'airglow dans le ciel ou entendu parler de cela dans l'actualité ? Je ne m'en suis pas rendu compte tout de suite ayant l'oeil rivé au télescope mais les imageurs à côté de moi se demandaient ce qui se passait : de l'aurore permanente presque partout par bandes très très larges, rouge-rose (630-636nm) les premières nuits puis orange par la suite (589nm) sur leurs images (time lapses très instructifs). Et effectivement, mes horizons qui d'habitude étaient un peu grisés sur disons 10-15° de hauteur (souvent de l'airglow vert 557nm) l'étaient d'avantage jusqu'à 35° ressentis en visuel. Bord de voie lactée d'hiver côté Orion moins sombre et région de la Grande Ourse - Chevelure de B. proche du pôle N galactique normalement bien sombre était comme délavée. J'ai fait également quelques mesures SQM mais qui n'étaient pas significativement plus basses que celle des derniers mois. J'attends de terminer ici la ronde des 11 ans du soleil mais j'ai l'impression que l'on s'achemine vers du 0,20-0,25 de moins par rapport à mes nuits de minimum solaire. Fabrice M. qui préfère les phénomènes d'ionisation dans les nébuleuses que dans la haute atmosphère terrestre...
-
Je ne sais pas Yann exactement pour les plus faibles étoiles pointées mais ça ne doit pas aller bien haut à G minimum 90x, peut-être 15,5 - 16. Si ça t'intéresse vraiment, il te suffit de comparer celles-ci avec les données cataloguées sur Simbad et de moyenner afin d'écarter des étoiles trop faibles posées par erreur. Après, il aurait été ridicule de monter en G et dépasser le Grésolvant sur ce dessin, au risque de blanchir toute la feuille ! Tes champs pré-formatés doivent être plus rigoureux que les miens puisque tu te cantonnes à une magv plafond donnée par des logiciels et surtout plus rapides à obtenir sur écran ou sur papier. Mais voilà, je préfère jouer la carte du "peintre" jusqu'au bout. Pourquoi ? Poser vous la question de savoir si votre dessin a été fait au crayon ou au bouton. Beaucoup d'astrodessinateurs ici le font au crayon-bouton. La finalité pour moi étant l'oeuvre sur le papier et non pas le rendu numérisé. Si non, j'aurais versé depuis longtemps dans la rubrique d'à côté. Je dois t'avouer Yann qu'au début, quand tu t'es lancé dans ta nouvelle présentation de tes dessins papier en version numérisée, j'émettais des doutes sur la fidélité de la reproduction. Mais lorsque j'ai vu tes différentes publications, ton dessin originel est bien conservé et surtout tu soignes aussi le fond étoilé. c'est un travail très robotisé mais que tu surveilles de ton oeil exprert. Je ne ferai pas d'éloges sur les autres qui s'y sont risqués. Content de voir Yann que sur ton image-dessin, tu n'as pas trop blanchi entre les 2 dentelles. Serge, j'ai eu comme toi pendant de nombreuses années un filtre HBêta Lumicon que j'ai revendu en bon état avec la courbe du spectrophotomètre. Le dernier est un Astronomik 2" en version CCD que j'ai choisi parmi un petit lot (les autres étaient aussi bons). Et merci aux fidèles et aux nouveaux pour vos appréciations. Fabrice M.
-
Un peu de vrac de cet hiver
Sky runner a répondu à un sujet de Adamckiewicz dans Observation visuelle
Pour ceux qui ne savent pas ce qu'est la galaxie Tourbillon, voir ton dessin ! Fabrice M. -
Estompe bien rendue de la queue, étoilesdesécrins. Le smartphone, c'est bien ce truc porteur d'ondes qui a besoin d'être rechargé ? Mardi 21 janvier 2025 : il est encore possible de vivre sans.
-
Cette saison, j'avais un devoir d'hiver presque imposé par les anglais, NGC 1499. J'avais bien sous la main un très vieux dessin de cette faible nébuleuse aux J11x80 correctement filtrées avec un rendu ma fois assez similaire à ce que l'on peut voir en standard sur la toile par de petits instruments (autour des 100mm de diamètre). Je me rappelle également du joli coup de Fred B. qui s'était imposé avec un T400 sous les 100x (son dessin se trouve dans le second tome d'Astrodessin). A l'époque, j'avais trouvé la chose impressionnante de tenter la chose avec un gros calibre connaissant la taille de l'objet nébuleux. Il avait du certainement se balader longuement dans les méandres de la bête pour arriver à bout de ses entrailles. Fred n'était pas le premier à avoir tenter l'impossible car j'ai sous les yeux le dessin de Christophe Joncourt, un "rapiste" de la 1ère heure, qui avait employé son T400 à 58x , soit un G en limite de pupille de sortie. Après une ou deux séances purement observationnelles au T600 avec mon G mini, j'ai bien senti qu'il faudrait plusieurs champs d'oculaire pour l'étirer de tout son long. Le second problème fut la multitude d'étoiles qui se présentaient à mes yeux même à 90X. Finalement, j'opterai pour un format A4, déjà grand pour la manipulation nocturne sur les genoux et un champ pré-étoilé. Ce dernier recours est rare chez moi mais reste ici indispensable pour ne pas commettre d'impair. Même avec le format A4, j'ai du mentalement diminuer un peu la taille des brins nébuleux par rapport à ce que je voyais à l'oculaire. Pour bien faire un travail de moine copiste, il m'aurait donc fallu un papier encore plus grand avec certainement un soin plus délicat dans la nuit. En effet, travaillant directement au pastel, la main ou le poignet ne doit pas venir palucher le travail déjà brossé sur la planche. Les ETOILES : j'y ai passé un certain temps car je les ai décalquées d'après image photographique puis reportées sur le papier Canson en les pointant puis repassage au stylo blanc et enfin rectification de chacune d'entre elles pour leur intensité. Il y en a certainement plus d'un millier ici, soit plus de 4000 opérations individuelles. Toutes les étoiles sont visibles (en VI pour les plus faibles) au T600x90 sans filtre. Les NEBULOSITES : toutes posées au filtre HBêta 12nm sans reprise Halpha. Le dilemme au T600 est de tenter d'apercevoir les bords internes très larges et dilués emplissant tout le champ. On perd vite nos repères avec le fond de ciel plus sombre qui n'est guère présent. Les filaments sculptant l'ossature de la nébuleuse sont plus faciles car plus étroits et brillants, ces derniers rappelant les draperies des Dentelles du Cygne avec la force de l'[OIII] en moins. Ici un chevron, là un filament assez rectiligne, il y a même un petit ovale obscur... Autant les étoiles ont été travaillées, autant le pastel nébuleux vous est livré presque brut de nuit avec assez peu d'estompage. Deux ou 3 séances de quelques heures. Dans la 3ème, à force de tourner autour des dentelles, j'ai fini par capituler pour finalement crie le salvateur "basta". Il est donc possible qu'il y ait des manques. Vous serez peut-être plus à l'aise avec ce format ci qui propose une comparaison avec une image dans le rayonnement HBêta seul. Hier soir, j'y suis retourné presque pour le plaisir mais surtout pour satisfaire ma curiosité sur la réponse de la California en [OIII] surtout entre la 1ère dentelle de droite et l'étoile excitatrice Menkib (la plus brillante). Comme l'ont mis en évidence certains imageurs, il y a bien des poches de nébulosité, certes avec un flux faible, à cet endroit, assez proches d'ailleurs des faibles extensions latérales dessinées en HBêta. En fait, si j'ai bien compris l'analyse des images, il y aurait d'abord un rayonnement [OIII] proche de l'étoile ionisante puis les 2 dentelles en Halpha/Bêta et enfin du [SII] bordant la grande dentelle de gauche. C'est assez logique par rapport à l'éloignement croissant de Menkib. En consultant un ancien article de l'illustre E. E. Barnard, découvreur de la California (fin XIXè siècle !), quelle ne fut pas ma surprise d'y lire les mêmes constatations d'après photo (observatoire de Lick) que celles griffonnées sur mon cahier d'observation mais en visuel cette fois-ci, à savoir : 1) le fameux chevron de la petite dentelle là où Barnard évoque les "nombreuses condensations angulaires" 2) l'ovale obscur avec un diamètre estimé à 6' par Barnard et qualifié par lui de "trou très obscur dans la nébuleuse". On sait désormais qu'il s'agit de la petite nébuleuse obscure LDN 1464 d'opacité 5. 3) Une partie Nord ouest moins fournie en étoiles (plutôt une constatation sur papier pour ma part) Profitez de cet objet pas si loin de nous (bras d'Ori) qui transite haut dans le ciel, il est à lui seul une ode à l'émission HBêta en visuel... Fabrice M.
- 20 réponses
-
- 26
-
-
-
-
Deux petites heures à la lunette
Sky runner a répondu à un sujet de etoilesdesecrins dans Observation visuelle
Etoiles..., ton rapport sur NGC 246 montre bien que, quelque soit l'instrument, il est important de jouer avec le grossissement, surtout si l'on y ajoute un filtre interférentiel dans la chaine optique. La pupille de sortie résultante s'ajuste alors parfaitement à l'observateur. Si l'emploi du filtre [OIII] est moins confortable pour toi même au G adapté, as-tu essayé un bon UHC avec un G supérieur ? Moi aussi, je vais bientôt redescendre en diamètre, attention grosse chute, puisque je viens de commander les yeux de hibou 2,1 x 42 ! Fabrice M. -
Punaise, tu as raison Bruno. On voit que tu connais bien ton ciel. Le prochain (NGC 2026) sera bon mais après je me paie pleins d'objets dans la Dorade ! Je crois que je vais m'orienter vers la piste de mon maître, l'Abell galactique pour continuer la série... Etoiledesecrins, merci pour tes commentaires, je suis d'accord avec ton analyse. Pour ce qui est du mode de perception, j'avoue que j'emploie rarement l'échelle mais j'ai le souvenir assez présent de cet UGC car il m'arrive souvent de ré-observer un même objet plusieurs nuits consécutives avec parfois d'autres conditions météo alors que le dessin est déjà posé. L'objet est je pense challenge pour un T600, il apparaît au mieux en VI 3 ou 4 (entre 25 et 50% du temps d'observation). Fabrice M.
-
sortie astro de fin d'année, planètes zé bidules faiblouillards au menu
Sky runner a répondu à un sujet de serge vieillard dans Observation visuelle
Serge, je ne me suis pas penché de près comme toi sur les détails de ton dessin de NGC 1. C'était juste une impression globale sur le fait que tes cibles apparaissent grandes à l'écran, chose habituelle chez toi, cela ne m'a pas surpris. Il est possible aussi que tu fasses sans t'en rendre compte des agrandissements des objets perçus quand tu dessines. J'y vois là une belle qualité de dessinateur. Dans mon travail de moine copiste, je dessine en général à la même échelle que le champ vu à l'oculaire, cela m'aide pour la précision du tissu stellaire et me permet de différencier des détails de nébulosité (régions HII, super amas ou autres nodosités) des autres faibles étoiles et de les positionner au mieux. La dernière nuit par exemple, j'ai fait un petit agrandissement mental d'une NP compacte et brillante (IC 2165) au T600 x 846. J'ai donc volontairement dessiné l'enveloppe plus grosse comme si j'étais à env. 1000x par ex mais pour compléter le champ et pour garder le bon écart entre les étoiles, j'ai du prendre plus de temps pour pouvoir conserver le même facteur d'agrandissement. C'était un peu plus délicat. Disons pour l'objet lui-même s'il n'est pas trop complexe, c'est jouable d'agrandir mentalement mais pour le reste, il faut réfléchir plus dans la nuit... Pour ce qui est du rendu plus ou moins appuyé de certains dessins ciel profond, posez vous juste cette question : l'oeil aura toujours ses limites dans la détection des plages faiblement contrastées fonction de pleins de paramètres mais on en revient toujours à la qualité du flux (bande spectrale plus restreinte en vision scotopique) et à la quantité de flux. Voir de l'extraordinaire de manière constante ne flattera que les gens de passage mais sèmera forcément le trouble aux regards d'observateurs expérimentés. Cet automne, j'ai pris une lourde décision, celle de ne pas faire mon site de dessins comme vous autres. J'en avais pourtant la possibilité matérielle. Je pensais également ne faire plus que 2 à 3 interventions par an avec la traditionnelle fiche dessin sur ce forum ci (y compris l'objet de fin d'année !). Tout cela est rachitique, j'en suis parfaitement conscient surtout que parallèlement, ma petite production sur papier Canson va bon train. Désolé de procéder ainsi, j'aurais trop peur d'avoir des propos trop désobligeants et de blesser des personnes que j'apprécie humainement. Fabrice M. -
Voici la traditionnelle représentation de fin d'année avec l'objet millésimé. Pas de NGC cette fois-ci, il aurait fallu que je coure dans l'hémisphère austral pour découvrir un amas ouvert en plein Grand Nuage de Magellan (NGC 2025). Au départ, je m'étais rabattu sur PGC 2025, galaxie obscure dans le Scuplteur, à peine mieux visible que l'objet ci-dessous et tout aussi lointaine. Et puis tant qu'à faire, autant vous présenter un objet plus haut dans le ciel et bien visible en ce moment dan un catalogue que j'aime bien (UGC). C'est peut-être mon dessin le moins causant de l'année mais c'est le jeu (ma pauvre Lucette)... C'est une galaxie bien trop éloignée pour montrer du détail. Au T600x423, ce n'est qu'un petit fuseau coincé sur le côté d'un parallélogramme remarquable. L'angle de position peut être apprécié mais sa brillance reste uniforme. Très monotone visuellement, sa discrète concentration centrale n'a jamais été perçue. A peine deviné à 300x, un G supérieur reste indispensable pour jauger son élongation avec l'aide d'une brillance surfacique assez élevée pour cette galaxie. Suivant les sources, le ratio a/b d'environ 8 est suffisant pour lui ouvrir les portes du Flat Galaxy Catalog. Malgré tout, le fuseau est noté plus trapu à l'oculaire certainement par manque de flux et de sensibilité rétinienne. En effet, on ne distingue pas bien les 2 fines extrémités et on perd donc en longueur apparente. Pour les imageurs bien outillés, il y aurait cette fine bande de poussière sur son flanc ouest à peine perceptible sur les meilleures images. Ce dessin est profond jusqu'à magv 17,6. Cette galaxie ne figure pas directement sur les atlas Interstellarum et Millenium. UGC 2082, à quelques encablures E est déjà un fuseau plus intéressant à observer, inclus également en bonne place dans les sélections des catalogues FGC et RFGC. UGC 2025 n'est pas une cible à prendre à la légère et peut être considéré comme un objet challenge à partir de 500mm de diamètre, voire plus sous bon ciel. Offrez-lui une petite visite si le coeur vous en dit... Fabrice M du team Ciel extrême (j'attends l'approbation du maître...)
- 11 réponses
-
- 16
-
-
-
-
sortie astro de fin d'année, planètes zé bidules faiblouillards au menu
Sky runner a répondu à un sujet de serge vieillard dans Observation visuelle
Bonjour Serge, merci pour les idées de certains de tes objets. Je n'ai pas encore dessiné Abell 16, l'objet est donc "croquable". Idem pour la NP H 3-75 (alias PK 193-9.1) dans Ori. Tant qu'on est dans les Abell, je voulais te signaler que si tu n'a pas trop galéré pour celles ci-dessus, tu ne devrais avoir aucun souci pour Abell 30 dessinée au C14 qui revêt un aspect comme pour ton Abell 15 avec en plus une centrale facile. Alors, n'hésite pas. Côté galaxie, je suis surpris de l'aspect dessiné de NGC 1 avec en prime les portions de spires. Au T600, pour avoir un bon contraste sur celle-ci, j'ai employé des grossissements entre 397x et 644x et j'ai au final un dessin plus petit que le tien avec un halo moins généreux. Pour moi, ta représentation semble être le rendu d'un hypothétique T1500x800. Les observateurs et dessinateurs aguerris ici et à travers le monde découvrant ton dessin auront certainement le même étonnement que moi. Les 2 premiers NGC ont fait l'objet d'un dossier spécial il y a quelques années donc j'ai déjà vu les prouesses de chacun dans différents diamètres. Fabrice M. -
Planétaire de fin 2024 autour du 27 décembre
Sky runner a répondu à un sujet de biver dans Observation visuelle
A 1400x à l'oculaire de n'importe quel télescope, Ganymède doit paraître beaucoup plus petit mais cet agrandissement sur papier permet de bien préciser les plages entrevues. Finalement, tes 5mn à l'oculaire, c'est presque une vision instantanée, tu as eu très rapidement toutes les trouées de turbulence nécessaires. J'imagine que tu as du avoir de bonnes fenêtres aux alentours de 0,5". Avec ton expérience planétaire, as-tu une idée quantitative du niveau de seeing (minima) durant ces 5 glorieuses minutes ? Et bravo pour ton suivi à 1400x. Fabrice M.