Jose Rodrigues

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Tout ce qui a été posté par Jose Rodrigues

  1. Belle conjonction. On ne voit pas souvent NGC 1300 depuis nos latitudes, alors avec une comète en plus c'est cool
  2. Gauricus - Pitatus

    La classe, bien joué
  3. Morceaux de lune en couleur du 180124 (T250)

    Hello Valère ! La 2 et la 4 me plaisent beaucoup. Bravo !
  4. M40 sous les cirrus

    Hello Stéphane, Merci d'imager cet objet peu souvent vu Je me permets de mettre un dessin de la zone au 350 pour encourager d'éventuels observateurs à y passer une visite: Ça fait plaisir de se balader dans la full, il y a du monde !
  5. Plongeon dans la Rosette en RHα GOIII BOIII depuis l'OFXB

    Merci beaucoup
  6. Hello, Toujours dans la série des collaborations avec @LANTHA, voici un zoom sur le centre de la Rosette en RHα GOIII BOIII réalisé au T300 f/5 de l'OFXB, monté sur une Paramount MEII, avec une asi 1600MM. Pour les poses, elles sont réparties ainsi: Hα : 32 x 180s OIII : 27 x 180s R : 25 x 120s G : 23 x 120s B : 23 x 120s Traité avec Pixinsight Astronomicalement, José
  7. Ngc2336 au CTA320

    Hello, Le traitement est bien dosé et la galaxie esthétique. Félicitations !
  8. Hello, Belle prise d'une galaxie très esthétique. Astronomicalement, José
  9. Observation de la Nébuleuse tête de cheval

    La tête de cheval est l'un de mes grand regrets de La Silla. J'aurais du la tenter... Comme déjà soulevé par les copains, la tête de cheval est un bon étalon du ciel. Il m'est arrivé de la voir facilement au 250 et de la rater complètement au 350. Le Hb peut aider, mais ne ratrappe pas un ciel pourri. Commencer par la flamme, si tu ne la vois pas bien, la tête de cheval ne va pas se montrer. Il faut ensuite s'éloigner d'Alnitak et tu verras qu'une partie de ton champ a un fond de ciel plus sombre que l'autre. De là, tu peux facilement trouver la tête de cheval.
  10. M63 enfin je mérite un peu plus mon pseudo ici bas..

    Hello @messier63 ! Tu pourrais pousser un peu plus les curseurs de saturation. C'est une belle prise sinon Astronomicalement, José
  11. Nébuleuse SH2-115/116

    Pas de chance pour les halos sur les étoiles, parce que c'est fin !
  12. Besoin d'aide pour finir le traitement de NGC 2183

    Hello, J'ai fait un rapide essai: J'espère que ça te plait, sinon j'enlève. Astronomicalement, José
  13. rosette Ha

    Hello, C'est une prise très réussie, le nb lui sied bien. Astronomicalement, José
  14. Jupiter : version 3D stéréo optimisée - images du 1/10

    C'est très beau, l'effet est réussi !
  15. Ngc 2403

    Très belle galaxie avec une traitement qui la met bien en valeur!
  16. De retour de La Silla [16/16]

    Hello tout le monde, Ça m’a fait tout bizarre de taper ça comme titre. Concernant le titre d’ailleurs, c’est un post évolutif ; Le compteur indique le nombre de dessins publiés sur le total. Je compléterai au fur et à mesure. Du 14 au 28 avril, j’au eu la chance de passer 14 nuits à l’observatoire de la Silla. Cependant, les nuits du 19 au 28 ont été passées en tant qu’astronome visiteur sur le 3.6m, devant organiser les observations HARPS et NIRPS (qui vient de commencer les observations scientifiques). Je n’ai du coup pas pu passer (toutes) les nuits dehors. Comme d’habitude, le post sera agrémenté de quelques photos. On m’a demandé d’organiser un séminaire d’astrophoto à l’institut. J’ai donc saisi l’opportunité de présenter une sorte de “reportage” sur l’astronomie amateur, ou du moins, de ma façon de la pratiquer. Les préparatifs Définir le point de départ des préparatifs de ce voyage est la première difficulté de ce post. Faut-il considérer 2011, année où j’ai construit mon premier strock 250 afin de pouvoir l’y emmener ? (spoiler: ce miroir n’a jamais vu le ciel austral). Peut-être le moment où j’ai décidé de faire de la recherche en astronomie, pour avoir accès à cet endroit ? Ou alors 2018, quand j’ai construit mon T350 de voyage ? Bref, vous l’aurez compris, je rêve de ce voyage depuis un bon moment. Une semaine avant le départ, je décale gentiment mon rythme de sommeil afin d’être sur un 14h-8h (heure chilienne). Vient ensuite la partie du colisage, avec le défi de faire rentrer, en plus du télescope, les trépieds, la star adventurer, ainsi que le matériel à dessin, des habits aussi. (Spoiler: la photo de la planche à dessin date d’après le retour) Vient ensuite l’heure du départ. Porto → Paris → Santiago. Mon premier vol transatlantique. Le survol de l’Amérique latine de nuit pour atterrir au matin était superbe. J’ai été gratifié d’un orage particulièrement électrique sur la Bolivie, la vision du salar de Uyuni au clair de lune (39%) et d’avoir pu voir La Silla pour la première fois, depuis bien trop haut. Une fois arrivé à Santiago, direction la guesthouse de l’ESO où, fruit du hasard, je croise mon ancien superviseur de mon stage à l’ESO, Garching. Je vais faire une balade et acheter de la crème solaire, avant de m’adonner à une petite scéance d’ornitho dans le jardin. Je vérifie ensuite le bon état de mon télescope après les vols, déguste mon premier pisco sour (délicieux breuvage) et vais me coucher. Malgré mes efforts pour me caler sur un rythme adapté, le réveil est fixé à 6h, pour prendre un vol en direction de La Serena, où un bus effectue le transfert jusqu’à La Silla. L’arrivée à La Silla Comme promis, réveil à 6h du matin de rejoindre La Silla, que l’on voit aussi sur le couloir d’approche de La Serena, on se rapproche ! Comme prévu, le bus m’attend et nous partons. Mes compagnons de trajet sont Timo, doctorant finlandais à Santiago, qui observera sur le NTT et Jan, post-doc travaillant sur BlackGem. Après deux heures de route, nous arrivons enfin au portail marquant l’entrée de l’observatoire, où nos passeports sont contrôlés. Quelle émotion d’enfin être là, ou presque : L’observatoire est à quelques km d’ici, en haut de sa montagne. Pendant ce temps, des conures de Patagonie font leur vie à quelques mètres de nous. Arrivé à destination, je prends possession de la chambre et défais ma valise. Malheureusement, l’une des attaches de tubes n’a pas apprécié le vol intérieur. J’ai fort heureusement pu la réparer avec de l’epoxy que j’ai ramené. Je profite de l’opportunité de filer un coup de main à l’atelier de l’observatoire pour en apprendre plus sur le Chili et La Silla en discutant avec Alfredo, qui y travaille sur des rythmes 8/6. Il me dit n’avoir jamais observé dans un télescope. On y remédiera. Une fois cette frayeur passée, je vais faire une balade pour m’imprégner des lieux et repérer quelques idées photo. En arrivant vers ExTrA, j’y croise Xavier Bonfils qui me fait visiter. Première nuit, 14 avril. Cette nuit ne s’est pas vraiment déroulée comme prévu. La raison ? Le vent. Suffisamment pour qu’aucune des coupoles ne soit ouverte cette nuit. Afin de ne pas trop devoir marcher avec mon matériel, je décide de m’installer derrière la coupole du Schmidt de 1m, et profite du coucher de soleil pour monter mon télescope. [Timelapse ici (je dois corriger le scintillement)] Quel coucher de soleil d’ailleurs, le ciel reste très lumineux, avec l’apparition de Vénus, et d’Orion qui a “la tête en bas”. Le premier objet pointé n’est autre que la nébuleuse d’Orion. Un objet familier qui me permet ainsi d’avoir un point de référence à comparer au reste. Malheureusement, le vent empêche toute observation correcte, le télescope se dépointe même sans pare-lumière et l’image vibre. Je plie. Le ciel austral est déroutant. Il m’a bien fallu 5min pour trouver la constellation du Lion, elle aussi renversée. Le PSA m’aide tant bien que mal à me repérer. Finalement, je commence à prendre mes marques. Petite balade nocturne pour apprendre le ciel et le lieu, ainsi que sonder les différents spots d’observation pour demain, et de noter l’heure de lever le la voie lactée derrière le 3p6. Mon APN est resté près de BlackGem pour un filé. Vers 3h, je décide d’aller me reposer afin d’être frais et apte à observer dans de bonnes conditions les prochaines nuits. Tout en laissant tourner l’appareil photo devant ma chambre. [Photo à venir] Samedi 15 Journée N’étant pas forcément matinal, je ne fais pas le lien entre le lendemain d’un vendredi et les visites du samedi. Par chance, je rencontre les guides au repas, qui m’invitent à joindre le premier groupe pour faire la visite du 3.6m On monte la colline et entrons dans la coupole. Le bâtiment a un certain charme. Le 3.6m est énorme. C’est intimidant. Sont-ils vraiment sûrs de vouloir me le confier ? On enchaine ensuite avec une visite du NTT (New Technology Telescope), un télescope de 3.58m équipé d’une optique active, chose unique lors de sa construiction. La visite se finit au SEST, radiotélescope de 15m décommissioné en 2003. En prévision de la soirée, je passe ensuite à la logistique pour demander une voiture, mets les affaires dans le coffre et pars manger. Nuit Le vent est moins fort qu’hier, mais reste gênant. Je m’installe derrière le NTT qui me servira de paravent. C’est spécial de monter le T350 si près du 3p6 que j’avais en poster dans ma chambre. En attendant la nuit, je vais préparer mes réglages pour un filé du coucher de Vénus. On y voit malheureusement la Panaméricaine, qui est désormais éclairée de nuit. C’est absurde. La nuit tombe. Le télescope est collimaté, vient le moment de décider quoi pointer. Une fois de plus, je commence la soirée sur M42, histoire de me “calibrer”. La suivante ? La tarentule. Que dire ? Je n’étais pas prêt. C’est brillant, texturé, enchevêtré. C’est une vision qui invite à sortir les crayons, mais je n’ose pas. Il me faudrait une nuit, ou deux, ou trois ? Vient ensuite la nébuleuse de la Carène. Une autre claque. On y passerait autant de temps. C’est plus étendu, mais pas moins intéressant. Je pousse le grossissement pour détailler le sablier, mais voilà une voiture qui arrive (en feux de position évidemment). C’est Alfredo qui vient me rejoindre pour observer. Je vais le rejoindre au parking, et nous rencontrons Fred, l’observateur sur Euler, le 1.2m Suisse, qui est aussi venu voir ce qui se passait. C’est aussi un astronome amateur ! L’anecdote est cocasse : nous sommes allés à une star party en même temps en Suisse et n’avons pas discuté. On se croise au Chili. Rembobinage des cibles, on présente M42 à Alfredo, pour qu’il ait une notion de ce quest une “grande nébuleuse” pour nous. On suit le même ordre puis vient le moment de pointer ω Cen. Délirant. C’est résolu, piqué, immense. On enchaîne avec 47 Tuc, qui a comme défaut de devoir être comparé au monstre qu’est ω Cen. Mon réveil sonne, il est l’heure pour moi d’aller me préparer pour le lever de la voie lactée. La mise en station se fait étonnamment bien. Le réticule du viseur polaire de la StarAdventuder est bien pensé. Je n’oublie pas de la basculer sur S et la garde éteinte. Je cadre, prends une longue pose pour le premier plan, et j’attends le moment où la position de la VL me convient pour allumer le moteur. Pendant que les poses tournent, je pars chercher Jan à la salle de contrôle BlackGem afin de lui montrer le ciel, voyant que les coupoles sont fermées à cause du vent. Nous arrivons au télescope et Miguel nous rejoint. Miguel travaille aussi à La Silla et s’intéresse à l’astronomie. On observe un moment avant qu’il doive partir se reposer. Miguel raccompagne Jan et je reste seul avec le ciel et savoure le moment. Je reprends où je m’étais arrêté et repars observer êta de la Carène, poussant le grossissement pour sonder la nébuleuse de l’homoncule. Je ne peux résister à l’envie de chatouiller les crayons, mon dernier dessin datant du mois d'août 2022. Une fois le dessin fini, je décide de prendre une photo en conditions pour illustrer la pratique, et comme photo souvenir. Je ne sais pas si quelqu’un a déjà dessiné depuis ici. J’ai continué d’observer le reste de la nuit sans dessiner. En me baladant dans le ciel du sud afin de m’y familiariser, pointant des objets au hasard dans le PSA. Quel plaisir. Quelle Voie Lactée aussi ! Le moment où le bulbe passe au zénith est juste fabuleux. Aucun doute sur la nature galactique de l’objet. La seule chose à faire est de se coucher par terre, et d’apprécier. _________________________________________ Maj 2 Dimanche 16 Journée Je me réveille reposé, ça me change. Dans la salle de bain, une plaque nous rappelle que l’eau est précieuse dans le désert. Je sors prendre le petit déjeuner en prenant mon téléobjectif, ayant l’intention d’aller voir les oiseaux du coin. Fred est déjà à la cafet. Il me fait part de son intention d’aller visiter les petroglyphes à 1h de marche de l’observatoire. Ça me tente bien, surtout qu’on n’a plus le droit d’y randonner seuls. Nous passons à la logistique chercher une radio, mais toutes sont en train de charger. On croise Xavier Bonfils, qui finit bientôt son run HARPS/NIRPS, qu’on invite à nous rejoindre. Il nous invite plutôt à aller visiter NIRPS (Near Infra Red Planet Searcher), bras infrarouge de HARPS, qui sera placé dans un enclos isolant dans l’après-midi. Je pars vers ma chambre chercher d’autres objectifs à la place, le 300 n’étant pas adapté. Par chance, un Urubu à tête rouge survole les logements pendant ce laps de temps. [Deux photos de l'urubu] Sur le chemin, Fred nous fait visiter Euler, le 1.2m Suisse qui héberge ELODIE. Arrivés au 3p6, nous trouvons la salle de NIRPS, lequel se prépare à recevoir son sarcophage. C’est un spectrographe infrarouge à haute résolution qui a la particularité d’avoir une optique adaptative en entrée, afin de réduire la taille des fibres, et par conséquent de l’instrument. Il peut être utilisé simultanément à HARPS. Tant qu’à être là, on profite de passer dans la coupole du 3.6m. Après avoir galéré un moment à trouver la lumière, nous voilà seuls avec le gros. On peut donc se permettre des choses que l’on ne peut pas forcément avec le public, comme photographier la bonnette du télescope. Ou d’aller se balader sur la passerelle intérieure. Ça donne une certaine échelle de la coupole et de l’instrument. En parlant de passerelle et d’insturments: Nous avons fait un tour du “catwalk” la passerelle externe à la coupole où se trouve HELIOS. C’est un instrument solaire qui permet d’observer le soleil avec les spectrographes du 3.6m afin de mieux comprendre les signatures d’activité stellaire. Ce “bruit” est actuellement le facteur limitant en recherche d’exoplanètes de faible masse. Du côté de Paranal, c’est le projet PoET qui devra assurer l’équivalent pour ESPRESSO. Il est passé 16h et Xavier doit rentrer à la salle de contrôle pour lancer les calibrations et préparer la nuit. Fred et moi abandonnons le projet d’aller voir les pétroglyphes, ne voulant pas faire le trajet de retour de nuit. Nuit Une fois le repas du soir fini, je rejoins Xavier à la salle de contrôle (d’où sont pilotés le 2.2m, le NTT et le 3.6m) pour qu’il me montre l’agencement des ordis et m’explique comment passer de HARPS à NIRPS, ce dernier étant tout neuf, ayant commencé les observations au 1e avril. Après avoir observé derrière le NTT, je change de paravent en observant au sud du 3.6m. Je monte donc le télescope une fois la nuit déjà tombée, Fred vient me rejoindre. On se balade en suivant le PSA. Le ciel est plutôt bon, il y a de l'airglow. Nous décidons d’aller prendre quelques photos près du SAST. Je me dévoue pour l’échelle. Je laisse tourner un timelapse et nous retournons observer. Fred part après un petit moment. Je dessine donc NGC 5189, une nébuleuse planétaire de la constellation de la mouche. Une fois le dessin fini, je retourne chercher mon APN et reviens immortaliser le moment. La voie lactée est bien levée et les deux nuages de Magellan encadrent bien le radiotélescope. L'airglow est bien visible. Le 14mm fait place au 85mm, je monte la StarAdventurer, et laisse tourner l’APN sur une autre cible. Il est temps de retourner observer. La lumière zodiacale est bien présente, au point que je suspecte la lune d'être en train de se lever, ce qui n'arrivera qu'1h30 plus tard. Beaucoup d'étoiles filantes se laissent voir, plus qu'hier déjà, probablement les Lyrides qui arrivent. J'irai me coucher une fois la lune bien levée, vers 6h30. La fatigue commence à gagner. _________________________________________ Maj 3 Lundi 17 Le vent s'est calmé aujourd'hui, et on a eu des passages nuageux en journée. Demain est la dernière nuit de Xavier, qui me propose d'être libre ce soir pour que je puisse observer. C'est bien sympa. Je décide de me poser près d'ExTrA. J'ai envie de me consacrer aux observations, donc je ne ferai que des time-lapse ce soir, en commençant par le montage du téléscope. [insérer time-lapse du montage. J'ai un souci de scintillement et n'ai pas lrtimelapse pro, si qqn a un tuyau?] La soirée commence par une observation publique pour les employés de La Silla. À part Miguel (qui fait de l'astro amateur) et Alfredo (qui était venu observer les autres soirs), c'est leur première fois avec un télescope. C'est gratifiant de voir leur émerveillement face à la beauté de ce ciel. Après une petite heure, ils partent de coucher. Je pointe donc NGC 4945, une grande galaxie dans le Centaure. Une belle observation. Je m'accorde une pause pour lancer un second time-lapse. La voie lactée arrive. Restant dans le Centaure, je pointe NGC 3918, belle nébuleuse planétaire bleue (c'est d'ailleurs son nom). Le seeing est moins bon que hier, je remets donc le dessin à plus tard. Malheureusement, ce sera mon oubli du voyage (je n'ai ni dessiné la tarentule, ni la carène car il faudrait une nuit pour chacune). En parlant de classiques et sans changer de constellation, je me dirige vers NGC 5128, Centaurus A. Sa taille apparente est conséquente, et la bande de poussières évidente. Moins évidente à détailler par contre. Je passe une bonne partie du reste de la nuit à papillonner de globulaire en globulaire, et à pointer des galaxies. J'en dessinera quelques unes plus tard dans la semaine. Une belle surprise de la soirée est la nébuleuse de la patte de chat, NGC 6334. Difficilement visible sans filtre, elle ne réagit quasiment pas à L'OIII. Par contre, le Hβ l'allume. J'ai été impressionné par la taille des extensions. Il me faudra un champ pré-étoilé pour la prochaine fois. La voie lactée au zénith invite aussi à la contemplation de nébuleuses obscures que l'on ne voit que trop mal depuis l'hémisphère nord. Le contraste étant éteint par l'absorption atmosphérique. En fin de nuit, la lune se lève parée d'une superbe lumière cendrée. Bientôt, elle passera devant le soleil. Je me dis que certains doivent être en Australie, probablement en train d'observer au même moment. Le jour arrive. Je plie le matos et vais me coucher, satisfait de ce moment. Demain, je devrai être à la salle de contrôle. Suite à vos suggestions et pour éviter que l'on se retrouve avec un message de 3 pages, je continue à la suite: 4e MàJ ici: La 5e MàJ est en ligne! 6e mise à jour, on en est à 9 dessins! Nouvel épisode et 3 dessins de plus! Ajout de la nuit du 25 avril, plus que 2! On arrive bientôt à la fin! Astronomicalement, José
  17. NGC2403 francilienne

    Hello, Je préfère aussi la V2. Astronomicalement, José
  18. Pegasus 1 un peu pauvre....

    Un beau champ! Joli !
  19. ngc1514

    Hello, Intéressant de voir la différence apportée par un 400mm. Pour ce qui est du scan, j'utilisais NAPS2 pour contrôler les paramètres. Maintenant, je prends une photo du dessin avec un reflex. Astronomicalement, José
  20. Nébuleuse planétaire d'été et d'hiver

    Hello, Le fond de ciel de tes dessins est un poil clair, mais on y voit bien ce que tu as dessiné. Je note NGC1514 pour ma prochaine sortie ! Astronomicalement, José
  21. Nébuleuse du cône + NGC 2264 / Newton 510mm

    Dommage pour le reflet autour de l'étoile, il y a du signal !
  22. SH2-86 en SHO

    J
  23. Hello, Em complément de mon post dans la section observation visuelle, je poste ici mes photos prises à La Silla. Les photos ont toutes été prises avec un Canon EOS 6D défiltré (soit par JTW, soit astrodon). 1. Filé d'étoiles sur BlackGem 71 x 15s, à f/2.5, 6400 iso. Sigma 14mm 2. Une photo d'ambiance, plus du ressort de la photo diurne que de l'astrophoto "classique": 20s, à f/5.6 à 1600iso. Pose unique. Sigma 50mm 3. Filé sur La Silla. Le trait le plus brillant est Vénus. Malheureusement, la Panaméricaine est éclairée aussi. 49 x 90s, f/2.8, 800iso. Sigma 50mm 4. À nouveau une image moins classique, mais que permet de montrer ce qu'est le dessin astronmique 10s, f/2.8, 6400iso. Sigma 50mm 5. Lever de voie lactée sur le 3p6 et le NTT. Celle-ci est une image composite (prise au même endroit, au même moment) "Je cadre, prends une longue pose pour le premier plan, et j’attends le moment où la position de la VL me convient pour allumer le moteur. ". L'avant-plan est un empilement de deux poses de 30s à f/2.2, 3200 iso. Pour la voie lactée, il y a 185 poses de 20s empilées. Objectif Samyang 85mm 6. SEST, astronome et 3.6 7. Airglow sur le T350 Panorama de 21 images avec le 14mm. Chaque image est une pose de 20s à 3200iso. 8. Rho Ophiuchus. 185 * 20s avec le 85mm à f/2.2. J'aurais gagné à fermer à 2.8. Traitement Pixinsight 1.8.9 [à suivre] Astronomicalement José
  24. NGC 7023 - L'iris au T300 depuis l'OFXB

    Merci beaucoup !
  25. Hello, Une petite image de cet été, prise à distance depuis l'hôpital, internet est quand même sacrément pratique. C'est fait avec le T300 f/5 de l'OFXB, monté sur une Paramount MEII, avec une asi 2600MM. C'est du LRGB classique, réparti comme suit: L: 112 x 60s R: 61 x 60s G: 54 x 60s B: 69 x 60s Traité avec Pix Astronomicalement, José