korkos

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  1. La vitesse de la lumière

    Oublions la relativité et réfléchissons par nous-mêmes.On peut admettre que les photons sont disposés sur la surface d'un front d'onde et que chaque front d'onde ressemble à une "bulle de savon". Cette image s'impose car une source de lumière est visible dans toutes les directions de l'espace et les photons, si photons il y a, doivent être contenus sur ces surfaces ou constituer ces surfaces. Les fronts d'onde se propagent dans l'espace à la célérité de la lumière et sont espacés les uns des autres d'une distance égale à la longueur d'onde lambda. Mais les fronts d'onde, une fois émis ne participent pas au mouvement de la source si bien que les fronts d'onde successifs se propagent à partir du lieu où ils ont été émis. Si la source est au repos, les fronts d'onde seront donc parfaitement concentriques.Si la source est en mouvement à la vitesse v, les fronts d'ondes seront espacés de la distance (l + v cos a/c) où l'angle a (de 0 à 2 pi) est l'angle que fait la direction d'observation avec la direction du mouvement de la source dans le plan qui contient la source et l'observateur. Les fronts d'onde successifs ne seront donc pas concentriques mais plus resserrés dans la direction du mouvement de la source et plus espacés dans la direction opposée.Pour un observateur en mouvement à la même vitesse v et dans la même direction que la source, s'il va à la rencontre des fronts d'onde, il rencontrera ces fronts d'onde avec une vitesse (c-v) puisqu'il les fronts d'onde vont à sa rencontre à la vitesse c et que lui s'éloigne du lieu d'émission à la vitesse v. (S'il s'éloignait à la vitesse c, les fronts d'onde ne lui parviendraient jamais) Pour un observateur en mouvement dans la direction opposée à celle du mouvement de la source, les fronts d'onde se rapprocheraient de lui à la vitesse (c+v).Nous retrouvons ici la description de l'effet Doppler-Fizeau. Or cet effet ne peut exister que si les fronts d'onde, une fois émis, deviennent indépendants du mouvement de la source. Les vitesses s'additionnent selon les règles arithmétiques normales et non selon la formule de la relativité. Inutile de se creuser le chou.Le problème de la célérité de la lumière est un faux problème. On ne peut mesurer cette vitesse que connaissant la distance entre deux points et le temps mis par la lumière pour la franchir. (Bonjour la précision !) Les mesures faites à l'aide d'interféromètres (Michelson et Morley) ne permettent que de mesurer la différence de temps mis par deux faisceaux pour parcourir un même trajet. Si les deux parcours sont d'égales durées, les fronts d'onde arrivent ensemble. Sinon, la différence de temps provoque un déphasage apparent sur l'interféromètre.Ces expériences avaient pour but de vérifier si la lumière est entraînée par "l'éther" remplissant l'espace et partaient du principe que le faisceau orienté dans la direction du mouvement de la terre dans l'espace et celui orienté dans la direction du mouvement orbital autour du soleil ne doivent pas se propager à la même vitesse et doivent donc être déphasés l'un par rapport à l'autre. (Les deux bras de l'interféromètre sont disposés à angle droit). Ces expériences n'ont pas permis de détecter une différence de temps de parcours des deux faisceaux et ont conduit les physiciens à conclure que le bras de l'interféromètre aligné sur la direction du mouvement de la terre se contractait en fonction de la vitesse de la terre par rapport à la vitesse de la lumière. (Contraction de Fitzgerald-Lorentz : l = l(o) ((1- (v/c)^2)^.5 Ce qui est une des plus importantes contributions de la relativité : "Les corps se contractent en fonction de la vitesse."Comme le dit justement Kaptain : « Une formule, aussi juste soit-elle, n'est pas une explication... » La formule relativiste d'addition des vitesses est empirique et ne repose sur aucune base théorique. Elle avait seulement pour but d'expliquer l'absence des interférences dans les expériences de M et M. Par contre la proposition de Fitzgerald-Lorentz est théorique et est vérifiée dans la pratique mais n'explique pas la formule relativiste d'addition des vitesses.La lumière d'une source se déplaçant à la vitesse v ne peut se propager à la vitesse (v+c) parce que les fronts d'onde, une fois émis, sont indépendants de la source. La seule conséquence apparente du mouvement de la source sera la distance qui sépare deux fronts d'onde successifs. C'est-à-dire, la fréquence apparente de cette lumière pour un observateur en mouvement quelconque et dans une direction quelconque par rapport à la source. (Effet Doppler-Fizeau)
  2. Trous noirs

    Réponse à dg2.Merci à tous pour vos messages de "bienvenue"Je serai bref, je voulais seulement vous transmettre ce sujet de méditation, nous pourrons reprendre ensuite les échanges d'amabilité.La théorie qui supporte l'existence des trous noirs est "réfutable". Réfutable et non pas "falsifiable". Ceux qui utilisent ce dernier terme n'ont pas compris Popper et ils ne comprennent pas davantage ce dont ils parlent.La force que le corps central de masse M exerce sur un satellite de masse m à la distance r s'exprime: F = GMm/r².Un Couple est une force multipliée par une longueur, donc GMm/r est un couple. Ce qui signifie que le corps M exerce un couple GMm/r sur tous les éléments de masse unitaire m du satellite à la distance r.On en déduit que le corps central communique au satellite un mouvement de vitesse v = (GM/r)^0,5 à tout élément de masse m du satellite. Ce qui est vérifiable : Le soleil de masse M communique aux planètes des vitesses conformes à cette expression dans laquelle la distance r est remplacée par les distances respectives des planètes au soleil.Ainsi, la formule de Schwartchild pourrait être interprétée comme signifiant :" Un corps de masse M et de rayon r communique à toute particule une vitesse c telle que v = (Gm/a)^.5 " Ce n'est que si la particule se trouve à la surface du corps central que sa vitesse sera égale à la vitesse de la lumière.Nous obtenons une conclusion diamétralement opposée à celle de Schwartchild. La particule sera animée d'une vitesse égale à celle de la lumière, donc transformée en "photon" et non pas attirée vers le corps central.Par ailleurs la formule de Schwartchild ne permet pas de déduire que le corps central exerce une force d'attraction. Elle n'est pas homogène à une force et est purement spéculative. D'autre part , nous interprétons de la même façon la vitesse des planètes et la vitesse de la particule comme une conséquence de la masse du corps central. A bientôt.
  3. big bang

    Bonjour à tous. Je suis vos discussions depuis quelque temps et je viens de m'inscrire pour y participer. Je trouve que vous discutaillez de sujets sans intérêt : la validité des modèles de Big Bang, la vitesse de la lumière, les trous noirs et je ne sais quoi encore. Tous ces sujets ne sont plus de ressort de la physique dans la mesure où ils relève de lois ad hoc. Tout ce que vous pouvez dire sur ces sujets est invérifiable et entièrement gratuit quelle que soit la scientificité de votre langage. Par ailleurs je trouve Dg2 particulièrement sur de son "savoir" et agressif envers ceux qui ne pensent pas comme lui. Qu'il approuve le pauvre et ridicule Sylvain Poirier, Physicien et Homme politique français (cf:Wikipedia)dans ses attaques contre les détracteurs de la théorie de la Relativité ne m'étonne pas. Tout comme Poirier, Dg2 se targue de ne pas lire les "élucubrations" de ceux qu'il critique et prétend savoir à l'avance ce qu'ils disent. Quelle intelligence ! Dg2 sait-il que ce qu'il sait n'est que ce qui lui a été enseigné par des gens qui comme lui ne savaient que ce que on leur avait enseigné... Un dîplome ne sanctionne que la conformité du savoir aux matières enseignées mais ne garantit pas que ce savoir est la "vérité" Je crois qu'il est nécessaire d'avoir un esprit ouvert et ne pas se cantonner à nos certitudes pour faire progresser les connaissances.