shaula16

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    Libourne
  1. Marathon Messier 2024

    C'est assurément un challenge , mais du genre inclassable, parce qu'effectivement, c'est vraiment du butinage stellaire frénétique qui permet de jouer au Go-To humain, mais qu'on n'a pas envie de refaire , plutôt fatiguant car on pointe dans toutes les zones du ciel, cela reste une expérience unique en son genre. Alors que l'on peut toujours se trouver des défis d'observation sur n'importe quelle autre nuit avec du Abell, du Shakbazian, du Arp, des champs galactiques NGC-PGC, etc.. au milieu d'observations plus classiques dans la même nuit. Fait il y a 20 ans avec un 250 , je visais 100 objets et en avais omis un, isolé et bêtement oublié à cause de la pause vers 3-4h du matin en attendant les objets de fin d'été... Et effectivement, le soulagement de finir ces 10h d'observation bien crevantes n'est pas compensé par la petite satisfaction d'avoir spotté 100 objets, ça ne vaut pas une belle nuit dont on a bien potassé le cheminement, les finalités , les défis , les 'extras', que l'on termine galvanisé d'endorphines tellement on s'en est mis plein les yeux , en se désespérant de devoir arrêter... Sinon, si quelqu'un a des nouvelles d'un anticyclone nous envoyant un bon air continental sec sur le sud-ouest,n je suis preneur...une des pires séries météo depuis 30 ans depuis la Toussaint, c'est déprimant!!
  2. Nuit d'observation en montagne

    Quelle belle série, quel coup de crayon, quelle chance de pouvoir observer, et dans un sacré site, vu le SQM mesuré et la richesse des détails sur les dessins ! Je n'en peux plus des cieux bouchés quand on voit les cieux immaculés depuis quelques jours pour ceux qui sont du bon côté de l'anticyclone...un mince espoir vendredi soir...je monte le 500 sous un ciel cristallin, frénésie passagère...la table est déjà trempée quand je choisis mes cibles , il va falloir faire vite et efficace...le temps de 2 amas ouverts dans Orion pour s'échauffer la rétine et une nappe de brume remontant de la Dordogne m'envahit déjà..mais on voit toujours les étoiles, alors j'observe...et puis, ça faiblit à l'oculaire...secondaire trempé, c'est déjà fini ! Alors merci aux heureux astrams qui peuvent observer de partager, ça donne la pêche et motive pour s'arracher la rétine et se remplir les yeux de belles images quand le ciel redeviendra coopératif!
  3. Observation de la Nébuleuse tête de cheval

    Ah oui alors, la vision du canasson au 400 sous un ciel d'hiver prodigieux ( arrière-pays méditerranéen isolé balayé par la tramontane à 600m d'altitude > transparence sublime ) reste un de mes souvenirs astro les plus forts, larmes aux yeux comme pour la 1ère vision de M51 dans le même télescope...effectivement, la transparence décide de tout, parce que pour le coup, le ciel venteux était affreux question turbu ( impossible de dépasser x200 au cours de ce séjour,...) heureusement que la Tête de Cheval se contente de grand champ!
  4. Nuit du 18 au 19 août 2023 rencontres Astrociel

    Oui, c'est une question qui arrive doucement, la 50aine étant là...pour l'instant, ça me semble plutôt bon, le petit gap du 400 au 500 me le confirme, malgré un miroir basique alors que le 400 avait un Mirrosphere. Je veux quand même croire que l'expérience et l'habitude de traquer la tachouille sont prépondérantes, mais une remarque me vient: je crois qu'on peut toujours saisir les 'glimpses' qui nous permettent d'exploiter à fond matos et ciel, mais peut-être ceux-ci sont moins longs voire moins fréquents...effet du vieillissement qui amène la fatigue plus rapidement? Et là, je rejoins etoiles sur la fatigue de fin de nuit qui devient de plus en plus gênante pour arracher les derniers photons..moralité, j'évite désormais de finir mes nuits sur des champs de galaxies Abell ou même sur des vedettes du ciel, conscient que je ne vais pas en tirer tout le suc...alors qu'avant, au contraire j'adorais finir sur un challenge ou un objet spectaculaire... Comme toi, même matos ( Perl Vixen Sirius 60/800 ) dans les mêmes années! Avec la Revue des Constellations, c'est à cette époque que j'ai entamé mes cahiers d'observations,en m'inspirant de leurs articles...et je continue 35 ans après!
  5. Nuit du 18 au 19 août 2023 rencontres Astrociel

    Cassiopée est une pépinière à amas ouverts pour tous les goûts et les diamètres, le champ autour de 7788-7790 notamment montre de nombreux petits amas de catalogues exotiques en enfilade ( Frolov 1 , Berkeley 58...) c'est souvent petit et pas trop brillant mais amusant de naviguer ainsi d'amas en amas ayant chacun ses caractéristiques. Apparemment, un bel anticyclone hivernal ( mais pas trop non plus , tant mieux pour les températures ) semble se mettre en place à partir de vendredi, il pourrait engendrer une série de nuits claires mais bien venteuses sur l'ouest pour le week-end...je suis dans les starting-blocks, le 500 est pas sorti depuis la NL d'octobre!
  6. Nuit du 18 au 19 août 2023 rencontres Astrociel

    Le ciel d'automne est vraiment complet, il y en a pas pour tous les goûts en CP, et ces dessins de Xavier en montrent un bel aperçu , c'est vraiment une saison astro que j'attends chaque année avec frénésie tant il y a à voir ( notamment une pléthore d'amas de galaxies du type du groupe disséqué par Xavier autour de NGC 80 ), avec une météo souvent coopérative dans le sud-ouest. Apparemment le ciel était pas au top, mais il y a peut-être aussi le fait que la vision est vraiment 'aspirée' par la bulle dont on a envie de 'refermer' le plus possible le cercle, au delà de la virgule brillante, et du coup on ne se concentre pas sur ce qu'il y a à regarder de l'autre côté, je l'ai expérimenté il y a 2 mois en constatant à posteriori qu'il y avait effectivement une autre partie de la nébuleuse sûrement correctement visible si je l'avais cherchée, vu qu'elle semble aussi brillante que les volutes nimbant la bulle ( mes notes recoupent bien le dessin de Xavier ,avec le même matos sous un bon ciel de plaine ).
  7. galaxies d'automne

    Oh là là, le ciel à 1800m d'altitude, ça claque , impressionnant tous ces détails au 400 dans ces galaxies qui, précisément, demandent de la transparence pour être magnifiées, bel hommage à ces vedettes automnales rendu par tes dessins! Quand je pense que je n'ai pas cru au ciel samedi soir, c'était effectivement très voilé au crépuscule, les prévisions GFS de meteociel ne donnaient pas de ciel clair avant 2h du matin, je suis donc allé au resto avec madame...et puis j'ai vu le ciel en sortant à 23h, aïe, j'aurais dû aller jeter un coup d'oeil à l'image satellite avant...la période s'annonce plus prolifique en nuits claires, mais la Lune monte, c'était donc la seule nuit à galaxies de novembre possible dans le sud-ouest, tss...
  8. Nuit du 14 au 15 août 2023 rencontres Astrociel

    L'enchaînement 5907 - 5866 ( que j'ai fait l"été dernier ) est très sympa, 2 galaxies spectaculaires et brillantes ( auxquelles tes dessins rendent bien hommage! ) mais complètement différentes; c'est vrai que leurs bandes d'absorption sont subtiles et une faible turbulence aide bien (ce qui n'a pas souvent l'air d'être le cas à Valdrôme j'ai l'impression? ). 6749 est une sacrée vacherie de globulaire, il est aussi délicat que bien des Palomar, presqu"étonnant qu'il soit NGC, il faut bien s'arracher les yeux au 500 pour extirper quelques grappes d'étoiles de la masse floue et avoir petite turbu ( les étoiles les + brillantes sont données pour mB:16.5, soit +/- mV:16 je crois, dans le guide des globulaires 'faint fuzzy.com'; après, c'est sûr que ce sont juste quelques longs glimpses stellaires en VI et évidemment que la résolution globale est impossible avec une branche horizontale à m:19 !) . D'ailleurs, cet amas a été une de mes premières observations au 500, je voulais tester le gap par rapport au 400 sur lui, parce que précisément, au 400, on voyait à l'extrême limite sous un excellent ciel quelques étoiles en glimpses fugaces, et j'avais été conforté par les étoiles supplémentaires vues et moins 'arrachées' en VI... Quant à tes Hickson, ce coup d'oeil et cette patience pour débusquer ces tachouilles, chapeau!
  9. Epilogue d'un été généreux

    J'ai des dossiers en arborescence, un gros dossier pour chaque type d'instrument utilisé ( lunette 60, newton 130, dob 250, dob 400 Lightbridge, dob 400 Sud Dobson/Mirrosphere, dob 500 type Dobson factory / Hubble Optics, C8, C9, Mak 180 ). Pour chaque instrument, il y a des sous-dossiers par constellation, et chaque constellation est pourvue d'un fichier excel regroupant les CROA ( avec au plus 5 classeurs pour les divers types d'objets en ciel profond: amas ouverts, amas globulaires, nébuleuses diffuses, nébuleuse planétaires, galaxies; pour les dossiers avec les C8-C9-Mak, il n'y a qu'un classeur 'doubles', je ne m'en sers que pour cela et les planètes ). Les classeurs sont élaborés à partir de notes que j'écris dans la nuit, je ne retouche quasiment pas les textes , et il y a parfois des trous car j'écris si mal la nuit à la frontale rouge, grisé par les endorphines et la frénésie d'observations multiples, que c'est illisible à posteriori et pour peu que je recopie trop longtemps après l'observation, je n'arrive pas à retrouver mes 'propos'... Je ne relis pas les dossiers non plus, il peut y avoir des fautes de frappe ! Je fais ça au feeling, à l'inspiration, en essayant de retranscrire les paramètres principaux: brillance, structure, formes, dimension, environnement proche, et pour les amas ouverts, densité, alignements, nombre d'étoiles...sur un objet je passe +/- 20 min ( observation+ notes ) en moyenne, mais bien plus pour la plupart des Messier et des 'gros" NGC, et bien moins pour des petits PGC , evidemment...Je note bien sûr dans les classeurs les paramètres de base: date/heure, nom, magnitude, taille. Je joins un fichier, les observations de Cassiopée au 500, en exemple... obs.xlsx
  10. Epilogue d'un été généreux

    Merci Serge , pour ce long témoignage alimentant la réflexion sur l' "honnêteté intellectuelle" et sa philosophie lors des observations ( CROA ou dessin ) qui émane de quelqu'un qui en connait un bout sur le sujet, et dont je me régale les yeux avec les productions ! Déjà, je ne suis malheureusement que CROAteur, et encore, CROAteur perso, je remplis des cahiers de notes, puis des tableurs excel pour ordonner un peu , je m'amuse, à l'instar de Xavier, à numéroter mes observations, ça en fait quelques milliers depuis 1988 , de la lunette de 60 au dob 500...mais je ne publie pas, il y a sur ce forum beaucoup de bons astrodessinateurs éclectiques et il me semble que mes blablas style 'Night Sky Observers's guide' n'apporteraient pas grand chose...j'ai essayé quelques dessins au 500, mais mon coup de crayon est poussif, lent, le traitement est galère, je ne pense pas avoir les bons outils et rien que les originaux au crayon de papier ne me satisfont pas, justement parce que je n'arrive pas à retranscrire correctement ce que je vois, çà ne me semble pas fidèle à l'image, donc pas honnête en fait, soit trop détaillé, soit pas assez, soit mal...bref, je continue mes notes, les mots me semblent plus justes et efficaces que mes dessins sur la plupart des objets, mais bien sûr qu'aucun texte ne peut expliquer à sa juste mesure la vision complexe de M42 au 500!! Pour revenir à ma notion d'honnêteté intellectuelle, c'était par rapport à soi-même, justement sur l'idée du mini-glimpse qui valide ou pas un détail, une pétouille...pas dans l'idée d'incriminer des dessinateurs; que je sache, jamais un dessin sur un site ne m'a paru louche , au contraire c'est une mine d'inspiration, de comparaison, et d’émerveillement devant le talent et l'abnégation de certains qui arrivent justement à bien retranscrire fidèlement la vision à l'oculaire ou à toucher les limites de leur télescope. Et pour ce qui est de l'idée d' "image décalée", là encore, j'en reviens à mon expérience, où parfois on aimerait tellement 'voir' tel ou tel truc parce que çà fait des dizaines de minutes qu'on bataille en s'arrachant la vue, qu'on est convaincu qu'on peut le voir alors que c'est, pour plein de raisons parfois juste impossible et pourtant on y croit...ainsi, une fois j'étais persuadé d'avoir vu des étoiles individuelles dans un globulaire Palomar ( dont j'ignorais toutes les caractéristiques, cela va de soi, il trainait juste sur ma carte à côté d'une galaxie,..) mais il s'est avéré ensuite qu'elles étaient de 17.5- 18e, hum ..ben non, pas en campagne girondine, et même au Restefond ce n'est sûrement pas possible au 500! Même chose avec certains PGC que l'on sait être dans un champ de galaxies mais quand on vérifie la magnitude ensuite...on a rêvé un peu...il m'est arrivé de barrer et/ou corriger nombre de mes articles à posteriori ! Et bien sûr que quand on veut taquiner les limites sur de l’évanescent multiple ou du détail ultra-pêchu, un repérage préalable est bien utile, et ne présage nullement de la validité de ce que l'on va réussir à voir ou pas. Ah, le sens d'enroulement des spires, tout un poème avec la turbu... Je suis certain également des bienfaits du dessin pour effectivement normaliser la captation de détails difficilement accessibles voire invisibles en 'survolant' l'observation, c'était une de mes motivations ( j'ai commencé par çà lors d'un stage à Aniane en 88, auquel participait également Nicolas qui, déjà, croquait Mars d'une manière hallucinante, là où je griffonnais vaguement des 'zones' ) mais trop de boulimie à multiplier les cibles différentes en plus du reste de défaillances techniques, comme je l'ai dit.. Bref, comme tu le dis, l'astro offre un large champ d'intérêts où l'on peut mixer les motivations, qu'elles soient contemplatives, méditatives, compétitives, selon les nuits, l'état physique, le lieu, le temps que l'on souhait accorder à nos cibles...tout est question d'équilibre et de plaisir...37 ans que ça dure, aucun essoufflement, et là, la météo cataclysmique du sud-ouest commence à piquer depuis 1 mois, grr...vivement le retour des nuits claires! Julien
  11. Epilogue d'un été généreux

    Ils sont très bien tes dessins, et reflètent bien la vision à l'oculaire,, et ils sont honnêtes intellectuellement, tu dessines ce que tu as réellement vu, pas ce que tu aurais peut-être escompté voir, ou ce qu'il 'fallait' voir avec un 300, c'est important ! Parce que, un des soucis quand on est 'influencé' par des documents sur ce qu'on observe, c'est que la vision décalée peut parfois se transformer en image décalée, tellement on veut se convaincre que tel détail est visible...c'est pour ça que, la plupart du temps, j'évite de regarder des images et/ou des dessins avant, pour ne pas être influencé et décrire vraiment ce que je vois , et c'est sympa effectivement de constater que l'on a accroché des détails existant vraiment...ou frustrant quand on en a loupé; la limite de cela, c'est qu'un petit détail sympa peut m'échapper parce que, sur une nuit, je ne passe pas 1h par objet (sauf quelques exceptions ) alors qu'un petit effort supplémentaire , en sachant qu' "il" était là et accessible, aurait suffi, parfois...pour couper la poire en 2, je passe souvent rapidement par Skymap pour avoir une idée des galaxies que je veux observer et repérer celles où des détails ( spires, bandes absorption...) semblent accrochables au 500. Pour revenir aux détails sur Saturn, c'est vraiment une NP qui est valorisée par le diamètre, je viens de relire mes notes d'observation au 250, au 400 et enfin au 500, c'est impressionnant comme on voit des détails en plus à chaque fois, et comme les structures principales se précisent!
  12. Ces instruments "vintage" de notre jeunesse...

    Complètement d'accord!! Cela fait 35 ans que je pratique, et je n'ai jamais ressenti la moindre lassitude ni le moindre regret en passant une nuit dehors, au contraire, en vieillissant, c'est presque devenu un rituel de méditation contemplative qui provoque une décharge d'endorphines que je compare aux sensations éprouvées après une longue sortie de vélo ( que je pratique assidument aussi), je suis toujours impressionné par l'énergie 'donnée' par les nuits étoilées, qui permet souvent d'en enchaîner plusieurs et de contrecarrer la fatigue ! Et pour revenir à l'excellent sujet du post, j'ai grimpé les échelons de la diamétrite depuis l'adolescence , inspiré pour le matériel par le guide de la Maison de l'Astro 1987 : Perl Vixen Sirius 60/800, puis Perl Vixen SP 130/720, avant d'enchaîner sur 3 dobson : 250 Orion Sky Quest, 400 Lightbridge, 400 Sud Dobson Mirrosphere, 500 type Dobson Factory /Hubble Optics aujourd'hui...j'aimerais avoir la chance d'acquérir un 600 tant que j'ai un bonne condition physique pour aller au maximum possible en solo, mais les occasions sont rares!
  13. Repérage objets faibles

    Bonjour... Hickson 84 avec un 300, ça doit pas être facile avec une composante principale à m:15.5, sauf sous un ciel superlatif en transparence.. sinon ,pour le repérage de ce genre d'objets ( les Arp faibles, les Hickson, les Abell...) le Tri-Atlas C est pas mal, les étoiles vont jusqu'à m:12 et on arrive donc presque toujours à trouver des jalons pour aller jusqu'à la cible, d'autant plus qu'on peut partir d'abord de la version 'B' du Tri Atlas, un peu moins précise mais dont les cartes montrent des zones plus vastes..j'utilise ces 2 atlas ( le B pour 80% de mes observations est suffisant, le C quand je cible effectivement des groupes de galaxies sur des zones précises ou des objets très faibles )...c'est téléchargeable, on peut ainsi se faire un atlas papier avec des protège-documents , le B tient en #80 cartes, donc facile à emmener, pour le C, avec ses 500 cartes, il faut cibler bien sûr..défaut principal: c'est écrit un peu petit, il faut une bonne vue sous lumière rouge mais c'est vraiment complet!
  14. nuit du 14/9, dentelles, NGC40 NGC650 NGC 7479

    Oui, la nuit du 14 au 15 était assez irrésistible, même au coeur de la semaine, transparence bonne pour ciel de plaine et températures sympas , sans vent ni humidité, et ce sera sûrement la dernière de la Nouvelle Lune de septembre dans l'ouest, donc à prendre ! 7479 est vraiment compliquée, la vision du 'S' dépend de la transparence mais aussi de la turbulence, même au 500 sous un ciel sans doute équivalent au tien, j'ai eu un peu de mal à voir la spire principale qui contourne la barre centrale, car elle est fine..limite elle était plus facile au 400 sous un meilleur ciel. 772 du Bélier, observée ce jeudi, et sa longue spire dissymétrique a un peu les mêmes caractéristiques, en plus facile quand même, elle semblait presque plus évidente au 400 qu'au 500, sauf que celui-ci en montre plus dans les bons trous de turbulence.
  15. Soirée d'hier au C14

    Une belle soirée d'observation avec un sacré tube ! Pour M57, un filtre n'aidera pas à débusquer la CS ni à mieux profiter de ses couleurs: avec un 350, elle doit être limite mais il faut vraiment grossir tout en espérant une turbu coopérative ( vue à x360 avec un 400 assez difficilement, plus facile au 500 à x330..)..question couleurs, on voit surtout du bleu-vert sur l'essentiel de l'anneau, et quelques liserés bruns sur le contour et les 'grandes' anses, mais j'avais un ciel du tonnerre ce soir-là! Les piliers se détachent bien mieux avec filtre UHC et OIII, effectivement, un pré-repérage photo aide, on peut grossir car ils ne sont pas si grands que ça au cœur des volutes gazeux, et restent assez délicats au 400...