Discret68

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Tout ce qui a été posté par Discret68

  1. animation d'une jolie boucle le 29 juillet

    Tes vidéos sont toujours impressionnantes !
  2. Merci à vous pour vos encouragements. Je viens d'imprimer un nouveau palier arrière réglable afin de voir si cela corrige mon problème actuel d'image qui se décale. Il est vrai que ce système constitue une bonne base et se prête bien à des modifications ou évolutions.
  3. premieres images ciel profond au dobson doctelescope 460

    Il n'y a pas de lien entre la durée totale de la séquence et la rotation de champ ! Le lien réel se situe entre la durée de pose unitaire et la valeur de rotation de champ durant le temps de pose unitaire. Les logiciels actuels de traitement savent très bien recaler les images en rotation pour compenser la rotation de champ. Chaque image fait l'objet d'une résolution astrométrique, et un recalage est effectué sur les 2 axes de l'image et sur son angle de rotation. Par contre, plus la durée de pose sera longue, plus la rotation de champ sera importante. Néanmoins, la rotation de champ dépend directement de la portion de ciel que tu vises. Il y a des zones où tu pourras poser très longtemps et des zones où il faudra faire des poses très courtes. Le pire, c'est que ça évolue au fil de la séquence. Je t'invite à prendre connaissance des explications suivantes pour mieux appréhender le phénomène : http://www.astrociel.net/rotation_de_champ_theorie_rgb.php D'une manière générale, il faut programmer un temps de pose unitaire en fonction de l'évolution de la valeur de rotation de champ durant toute la durée de la séquence. A partir du moment où on connait la valeur maxi de rotation de champ, on peut déterminer le temps de pose unitaire. Pus le capteur sera grand, plus la rotation de champ se fera sentir dans les angles. Il faut donc déterminer ce qui est acceptable comme déformation dans les angles et calculer le temps de pose unitaire des images. Après, ton SER pourra durer des heures, mais à concurrence de ce que ton ordi peut gérer comme taille de fichier. Le plus simple étant de basculer sur un logiciel qui fait des poses unitaires (NINA ou autre, ...). C'est là aussi, que tu auras beaucoup plus de possibilité d'analyse et de traitement pour tes images.
  4. premieres images ciel profond au dobson doctelescope 460

    Ton fond de ciel est beaucoup plus sombre sur M51 que sur M13, probablement lié au traitement appliqué. Il est possible que le défaut soit présent sur l'empilement de M51, mais compte-tenu du niveau du fond de ciel, il peut être masqué. Par ailleurs, cette image est beaucoup trop contrasté, avec un fond de ciel trop noir et le cœur de la galaxie qui est saturé. Le traitement de M13 est beaucoup plus nuancé. Il faudrait que tu mettes à disposition les 2 images sorties directement de l'empilement, sans aucun traitement de manière à pouvoir les comparer. Regardes quand même si tu arrives à tourner ton primaire à la main. Il ne faut pas non plus trop de jeu latéral car en fonction de la zone du ciel visée, le miroir pourrait bouger et perturber la collimation. Et comme le précise si justement ALAIN(G), il faudrait beaucoup plus de poses pour arriver à un résultat probant. Mais bon, il faut déjà résoudre ton problème. De toute façon, il faudra que tu installes un correcteur de coma, c'est incontournable pour un newton.
  5. premieres images ciel profond au dobson doctelescope 460

    Tu ne nous dis pas grand chose sur ton équipement. As tu un correcteur de coma ? Ton dobson est il en altaz ou tu as une table équatoriale ? Comment est effectué le suivi ? Quel logiciel utilises tu pour la séquence acquisition ? As tu controlé les images unitaires pour voir si les défauts sont présents ? Si tu es en altaz , il peut y avoir de la rotation de champ, mais avec des poses de 0,5 à 1s, ça ne devrait pas être le cas. Néanmoins, la rotation de champ étant variable en fonction de la zone visée, il faudrait vérifier par calcul. Je me demande si ce ne serait pas un défaut lié à une contrainte mécanique, surtout visible effectivement sur M13 ; un primaire ou un secondaire contraint par exemple. A minima, tu pourrais en profiter pour contrôler le tilt sur certaines images avec Siril. Plus tu auras des éléments concrets, plus il sera possible d'éliminer les causes possibles.
  6. Tilt et Backfocus

    @Lonelystar78 : ce qui serait bien, c'est que tu nous fasses un retour sur les résultats que tu obtiens, et ce, en fonction des réglages que tu réalises. Cela permettra de corréler les tests, les réglages et les résultats qui en découlent ... ou pas. Et de voir si d'autres approches sont possibles ou nécessaires.
  7. Tilt et Backfocus

    Sauf que l'OCAL n'est pas compatible avec une lunette. Comme le précise Fred, c'est pour des télescopes à miroirs. Il est vrai que cet outil est relativement efficace lorsqu'on sait s'en servir. Il faut bien comprendre comment l'utiliser et il y en a plus d'un qui a pataugé (moi compris) avant de bien comprendre le process de réglage. C'est un peu l'équivalent du CatEye mais qui lui, s'utilise en visuel. Pour ce qui est du réglage de tilt en plein jour, ou du moins un dégrossissage, j'évoquais l'analyse des flats via CCD Inspector ou Pixinsight (courbes de niveaux) pour faire coïncider le centre lumière avec le centre du capteur et d'avoir une symétrie des courbes de niveaux. Sur une lunette, ça doit être faisable, mais sur un télescope, il y a la collimation qui vient s'en mêler !
  8. Tilt et Backfocus

    Il est effectivement préférable de faire fonctionner le focuser avec la partie mobile rentrée au maximum afin de conserver un guidage le plus long possible. Attention néanmoins à garder une marge pour permettre la mise au point et notamment dans le cadre d'un MAP automatique (courbe en V) qui nécessite de déplacer le focuser de part et d'autre de la MAP optimale. Les bagues, du fait de leur vissage/serrage apporte de meilleures garanties de rigidité dans le train optique. Donc, ne pas s'en priver. Ma remarque avait surtout pour but de lever le doute sur la confusion qu'on peut parfois faire entre tirage caméra de suivi et tirage caméra imagerie, ces deux valeurs devant être identiques et devant bien sûr tenir des différentes cotes de montage.
  9. Tilt et Backfocus

    Le tilt présent peut avoir plusieurs origines : - Le capteur de la caméra est soudé de travers sur le circuit imprimé. Le défaut est généralement infime mais peut quand même se traduire par un défaut de tilt lorsqu’il est présent. - Le porte-oculaire de la lunette peut présenter une flexion induite par le poids du train optique, mais également par un sous-dimensionnement mécanique du PO. Il peut y a voir également un jeu entre PO et train optique qui fait que le train optique se mette légèrement de travers. - Les pièces mécaniques qui composent le train optique présentent des écart de fabrication. Bien que dans les tolérances de fabrication, un infime défaut peut également engendré du tilt. Les 2 faces d’une bague présentant un infime défaut de parallélisme va induire du tilt. Et tous ces problèmes vont tantôt se cumuler, tantôt se compenser. Dans le cas présent, il y a quelques petits tests à effectuer, de manière à essayer de diagnostiquer l’origine du tilt. Ca peut paraitre long à réaliser, mais c’est par ce biais que tu sauras concrètement à quoi tu peux t’attendre. Et tu connaitras également un peu plus précisément ton matériel. Le but étant de ne pas foncer tête baissée afin d’annuler le tilt à l’instant T et de te retrouver à nouveau avec du tilt (éventuellement aggravé) lors des prochaines séances photos. Les tests : 1 - Tu vises une zone quelconque du ciel, tu fais quelques photos (dans chaque cas, il est bon de faire plusieurs photos afin de valider la cohérence des mesures) et tu mesures le tilt sur chaque image avec Siril (que tu connais manifestement). Tu retires ton train optique et tu le remets en place dans la même position. Tu refais une série de photos et tu mesures le tilt. Si les valeurs de tilt entre photos avant et après dépose/repose du train optique sont proches, c’est que le montage du train optique dans le PO est correct. 2 - Ton train optique étant monté, tu fais quelques photos avec ta lunette d’un coté de la monture (ex : tu vises à l’Ouest), tu mesures le tilt. Tu vises une portion de ciel à l’opposé de ce que tu viens de faire (à l’Est dans mon exemple), tu fais tes photos et tu mesures le tilt. Tu compares les mesures avant et après déplacement de la monture. Si le tilt n’a pas évolué significativement, c’est que ton PO est bien rigide. Si le tilt a évolué, tu peux faire un test complémentaire en visant le zénith. Dans ce cas, le poids du train optique n’a pratiquement plus d’influence vis-à-vis du risque de flexibilité du PO. 3 - Ton train optique étant monté, tu vises une zone du ciel plutôt au zénith, tu fais quelques photos et tu mesures le tilt. Tu tournes le train optique complet de 180° dans le PO. Tu fais une série de photos et tu compares le tilt avant et après rotation. C’est là que l’analyse peut présenter une confusion. Le fait de tourner le train optique va effectivement inverser le contenu de l’image. Avec Siril, tu dois voir tes images tournées de 180°. La face large supérieure du capteur se trouve en partie haute de l’image. En théorie, la visualisation du tilt doit suivre cette rotation de 180°, avec les mêmes valeurs. Si ce n’est pas le cas, c’est effectivement le train optique qui présente le défaut de tilt. Que faire de ces résultats ? Dans le cas n°1, ton PO ne permet pas de garantir le bon maintien du train optique. Dès que tu vas déposer/remonter le train optique, tes réglages de tilt seront réduits à néant. Il faudra réfléchir à la manière de fiabiliser le montage dans le PO. Dans le cas n°2, si écart il y a, c’est que ton PO ne supporte pas la charge. Il y a peut-être des vis à serrer pour rigidifier l’ensemble. Une correction plus poussée nécessitera peut-être de revoir le type de PO en place. Dans le cas n° 3, tu peux effectivement corriger le tilt via les vis de réglage de la caméra. Au final, si tu veux être sûr des corrections effectuées, tu peux reprendre l’ensemble des points de contrôle. Je te mets en garde sur le fait de régler directement le tilt (sans faire les essais précédents) via les vis de la caméra car ça peut s’avérer totalement néfaste et contraire à l’objectif à atteindre. Si tu procèdes ainsi, tu vas peut-être corriger le tilt, avec ton équipement optique dans une position donnée. Mais dès que tu vas changer de configuration (autre point de ciel visé, rotation du train optique pour cadrer la cible, …), le tilt peut revenir et être accentué si son origine se situe au niveau du PO. Sois donc prudent car à ce stade, tu auras déréglé la caméra et tu ajouteras des difficultés supplémentaires pour de nouveaux réglages. L’usage d’une bague de tilt peut dans ce cas s’avérer être un meilleur choix. Il est plus simple de régler une bague de tilt sur un train optique en place que de reprendre le réglage de tilt de la caméra en cas d’échec. Bien, maintenant que tu es arrivé à la fin de ces explications, je te propose de relire une 2ème fois afin de bien comprendre la méthodologie Peut-être que d’autres astrams ont de meilleures idées, ou des compléments ? Pour ce qui est du réglage du backfocus de ton correcteur (de champs vu que c'est une lunette et pas de coma car je pensais que tu avait un newton !), il suffit de rajouter une épaisseur de bague aux endroits possibles pour arriver à la bonne valeur. Tout dépend en fait de la valeur à compenser et des possibilité de placer les cales entre les différents accessoires du train optique. Avec NINA, il y a ben une possibilité de mesurer l'écart de correction du backfocus à effectuer à l'aide d'une séquence automatisée. Mais je trouve que c'est long et pas toujours très fiable. Le contrôle visuel des étoiles dans les angles par rapport au centre sur une image est plus rapide. Par contre, si tu as conservé ton tilt, ça va pas être de la tarte ! PS : sur ta photo du train optique, je ne comprends pas bien l'utilité de la bague que tu nommes "bague de mise au point pour la caméra de suivi". Cette bague étant en amont du correcteur, elle ne fait qu'ajouter du tirage au niveau du train optique global, pour la caméra de suivi mais également pour la caméra imagerie ! Le seul intérêt que je vois dans ce cas est de reculer les 2 caméras afin d'engager un peu plus la partie mobile du PO dans sa partie fixe. JP
  10. Tilt et Backfocus

    Je n'ai rien vu (sauf erreur de ma part) de transcendant pour le réglage de tilt en plein jour au niveau des différentes discussions. Pour ce qui est de la méthode décrite sur le site macobservatory.com, elle ne concerne que le défaut de tilt de la caméra. Il arrive en effet que la face du capteur ne soit pas rigoureusement perpendiculaire à l'axe optique (en général, le capteur est soudé "de travers" sur le circuit imprimé ou plus rare, le circuit imprimé sur lequel se trouve le capteur est fixé de travers). Mais cela ne règle pas le tilt éventuel induit par le montage de la caméra sur le tube (porte-oculaire ou autre montage).
  11. Tilt et Backfocus

    Salut Patrick On ne peut pas dire qu'il y ai beaucoup de monde qui se presse au portillon pour te répondre Effectivement, ton train optique présente du tilt et le backfocus de ton correcteur est trop faible. Au delà de la visualisation du défaut, on constate également une évolution significative de la FWHM dans les angles. La déformation des étoiles induite par un backfocus non optimal du correcteur induit une variation de la FWHM entre le centre et les bords de l'image. Plus le Backfocus sera proche de l'idéal, plus l'écart de FWHM sera faible . Ne connaissant pas ton setup, il est difficile de te donner des conseils précis. Néanmoins, pour régler le tilt, le mieux est d'avoir une bague de réglage de tilt. Il faut être conscient du fait que les réglages du tilt, du backfocus et .... de la collimation vont devoir être réalisés en plusieurs itérations pour arriver au meilleur résultat. Toute action de réglage du tilt va avoir un impact potentiel sur la collimation, et la collimation va aussi avoir un impact sur le tilt. Donc, il faut faire la totale. Concernant le réglage de jour du tilt, je ne vois pas comment faire. J'ai bien une petite idée, basée sur quelques constats, mais je ne peux pas m'engager sur cette voie avec certitude. J'aurais tendance à dire que le tilt et la collimation induisent un dés-axage du train optique. Lorsqu'on analyse les flats dans ces conditions (Pixinsight, CCD Inspector, ...), on voit bien que le centre de lumière n'est pas au centre du capteur. Peut-être que d'essayer de régler la collimation, puis de contrôler le centrage des flats (faisable en plein jour et en plusieurs itérations) permettraient de dégrossir les réglages. De toute façon, la finalisation des réglages, y compris l'ajustement de la valeur de backfocus du correcteur devront être effectués de nuit à l'aide de poses sur fond étoilé. Il n'est pas forcément nécessaire de poser très longtemps, en augmentant le gain de la caméra puisqu'à ce stade, le RSB n'a aucune importance. JP
  12. Help ZWO ASI 294 MM PRO / condensation sur capteur

    L'absorption de l'humidité par le dessicant est très rapide. A titre de comparaison, voici un tracé de courbes des paramètres (température réelle, taux d'hygrométrie et point de rosée calculé) au niveau de ma allsky. Le volume interne de la allsky est beaucoup plus important que celui se trouvant dans une caméra. La allsky fait environ 100mm de diamètre et 130mm de haut. Vu le volume, j'ai pu effectivement y loger quelques sachets de dessicant préalablement régénérés au four. Il y a un capteur type BME280 dans le boitier de la allsky qui me permet de mesurer la température et le taux d'hygrométrie afin de calculer le point de rosée. Les différentes valeurs permettent de gérer la mise en service des résistances de désembuage. Un 2ème capteur identique mesure les conditions extérieures afin de mettre en route si besoin les résistances internes. Avant de fermer le boitier, le taux d'hygrométrie interne était de l'ordre de 30%. Dès la sortie du four, les sachets de dessicants ont été placés dans le boitier et la fermeture s'est faite immédiatement (important), à 21h00. Sur le bandeau inférieur, on voit bien la chute immédiate et quasi verticale du taux d'hygrométrie qui s'est stabilisé à 1,2% (courbe orange). Le point de rosée correspondant est à -37°C (courbe verte dans le bandeau supérieur). Aucun risque de voir de la buée se former à l'intérieur sous nos latitudes, sauf à embarquer cette allsky au Mont-Blanc Il est vrai que dans les caméras ZWO, les pastilles de dessicant ont l'air de petite taille, mais vu le volume de la chambre du capteur, cela me semble suffisant pour absorber l'humidité qui est présente. Il faut vérifier l'état du joint torique (absence de fissure ou de craquelure, manque de matière, ...) et vérifier qu'il ne présente pas de signe d'écrasement lorsqu'il est déposé. Le cas échéant, ne pas hésiter à le remplacer. Il est également pertinent d'enduire (avec modération) ce joint avec de la graisse (silicone ou vaseline) de manière à boucher les éventuelles porosités ou défauts de surface. Vu que les variations de pression intérieure/extérieure sont infinitésimales (variation de la pression atmosphérique et/ou dilatation de l'air contenu en fonction de la température), il y a peu de risque d'avoir un transfert d'humidité de l'extérieur vers l'intérieur. Vu la vitesse à laquelle l'humidité est absorbée par le dessicant, le temps qui s'écoule entre sortie du four du dessicant et fermeture de la caméra doit être, selon moi, de moins de 2 minutes. Il est clair que si on met trop de temps, le dessicant va absorber l'humidité ambiante et une fois la caméra fermée, il n'y aura plus de potentiel d’absorption. D'où la potentielle récurrence des problèmes rencontrés. Il faut vraiment se mettre en mode "Formule 1" pour cette intervention. JP
  13. Question de tilt...

    Salut Franck Si tu obtiens une variation de tilt lorsque tu vises différents secteurs du ciel, c’est généralement lié à une « perturbation » au niveau du train optique. Cela peut provenir d’un des constituant qui est mal fixé (trop de jeu latéral au niveau du miroir primaire, vis de collimation du barillet primaire non serrées, caméra avec le correcteur qui bouge dans le PO soit par manque de serrage des vis de maintien, soit par un jeu diamétral trop important, ...) ou une flexion liée au manque de rigidité d’un composant (flexibilité des branches d’araignée ou branches insuffisamment tendues, PO insuffisamment dimensionné pour tenir le poids de la caméra et du correcteur, ...). Bref, il y a de nombreuses raisons qui peuvent être à l’origine du problème. Il va te falloir y consacrer un certain temps. Il faut donc passer au crible tous les constituants du train optique pour localiser le problème et le corriger. C’est possible plus ou moins facilement. Il faut être conscient que la grande majorité des tubes du commerce ont des éléments sous-dimensionnés pour présenter une rigidité suffisante, d’autant que les outils que nous utilisons pour effectuer les contrôles sont de plus en plus précis. Sur mon newton ONTC de 300, alors que les composants d’origine sont déjà plus conséquents que sur d’autre fabrications, j’ai quand même remplacé la plupart des constituants, et j’ai ajouté des renforts supplémentaires pour augmenter la rigidité. A mon sens, il est un peu vain de te lancer dans un réglage de tilt tant que tu n’as pas trouvé l’origine du problème. A moins de viser toujours dans la même portion de ciel, mais c’est pas top ! Une fois que tu auras réglé le problème, le tilt pourra être réglé, soit par les vis se trouvant à la base du PO (assez légères à mon goût), soit en ajoutant une bague de réglage de tilt. Attention néanmoins au backfocus de l’ensemble de manière à pouvoir conserver la capacité de mise au point. Pour la mesure proprement dite, Siril réponds au besoin. Après chaque réglage, prise d’une ou plusieurs photos (il faut vérifier la cohérence du décalage sur plusieurs photos) pour mesurer l’évolution de la correction. Un point auquel il faut penser également, c’est la collimation, qui va être modifiée avec le réglage de tilt. Il faut plusieurs itérations collimation/tilt pour arriver au réglage optimal. Je ne sais pas quels accessoires tu utilises pour la collimation, mais tu peux faire le test en plein jour vérifier qu’en visant des parties différentes du ciel (attention au soleil), la collimation reste stable. Tu peux peut-être trouver l’origine du défaut de cette manière. Tout dépend de la sensibilité de ton accessoire de collimation. Moi qui utilise un système CatsEye, la sensibilité est telle que la moindre déformation de la structure se voit immédiatement. Je fais un réglage avec le tube à l’horizontal, et au final, je tourne le tube de 180° pour valider le maintien de la collimation. JP
  14. Si le joint torique est à remplacer, tu peux voir ici : https://www.123roulement.com/joint-etancheite/joint/joint-torique?gclid=CjwKCAjw-7OlBhB8EiwAnoOEk0wewKgBPnEZ6ChnRuFkflBUPL7nUBBDjnhjHkBsARvLDD4yfKIwThoCJUEQAvD_BwE Mais ça serait assez étonnant qu'il soit nécessaire de le remplacer. Choisir un joint en EPDM ou FBM car vu l'utilisation, il n'y a pas besoin de spécifications particulières. Il faudra bien évidemment mesurer le diamètre intérieur du joint (ou plus facilement le logement où vient se placer le joint), ainsi que le diamètre du tore.
  15. Le dessicant se trouvant dans la caméra n'a pour objectif que d'absorber l'humidité résiduelle lors de la fermeture de la caméra. Tout dessicant a une capacité absorption limitée, et lorsque cette capacité est atteinte, le taux d'humidité va remonter progressivement. Au contraire, si le contenant est bien étanche, aucun risque. Mais toute humidité résiduelle présente un risque de condensation lors de la baisse de température du capteur , voir de givrage en cas de température négative. Tout dépend du taux d'humidité résiduelle et de la température à laquelle on baisse le capteur. Il est clair que si la caméra n'est pas étanche, il va y avoir migration d'humidité de l'extérieur vers l’intérieur, au fur est à mesure des variations de température. D'une manière simpliste, je dirais que la caméra respire. Et au bout d'un moment, le dessicant est saturé et n'absorbe plus rien. Il est donc primordiale que l'étanchéité soit parfaitement assurée. Comment est assurée cette étanchéité sur ta caméra ? Si pas de joint, y'a t'il une partie conique au niveau du bouchon qui o-permettrait d'assurer une étanchéité métal/métal ? A titre de comparaison, j'ai une allsky dans un boitier qui n'est pas étanche à 100%. Lorsque je mets les sachets de dessicant préalablement régénérés dans le boitier, le taux d'humidité descend très bas, éliminant le risque de condensation sous nos latitudes. Puis au bout d'un moment (en jours), je vois le taux d'hygrométrie qui remonte très lentement .... mais surement. Durant une première période, le dessicant poursuit son effet, puis, lorsqu'il est saturé d'humidité, plus aucun effet et le taux d'hygrométrie remonte immanquablement. PS : je viens de regarder la procédure de nettoyage d'un capteur sur le site de ZWO. Il n'y a effectivement (et contrairement à certaines caméras) pas de bouchon pour le dessicant. Il faut démonter la face avant de la caméra pour arriver au capteur et aux pastilles de dessicant. On voit clairement le joint torique qui fait l'étanchéité au niveau du nez de caméra. Il faut vérifier que ce joint soit en parfait état ; pas de coupure, absence localisée de matière, absence de méplat sur les parties en contact (le joint doit présenter une section parfaitement ronde) et bien placé dans sa gorge. Il faut aussi que ce joint ai gardé son élasticité pour pouvoir se comprimer lors du serrage afin d'assurer son rôle. Lorsque tu replaces le nez de caméra sur la caméra, tu dois pouvoir visualiser un jeu entre la caméra et le nez de caméra. Ce jeu disparait lors que tu appuies sur le nez de caméra et lorsque tu serres les vis. Si ce n'est pas le cas, c'est que le joint est écrasé et ne remplit plus son office. Un remplacement s'impose.
  16. Si la caméra est étanche, ce qui est un attendu "normal" pour un matériel de ce type, il n'y a aucune raison pour que de l'humidité ne s'introduise dans la caméra. Pour peu que les pastilles de dessicant aient bien été régénérées avant mise en place et fermeture rapide de la caméra ! J'ai des caméras qui ont fonctionné durant des années sans qu'il soit nécessaire de régénérer le dessicant. Et pourtant, avec les CCD, je descendais couramment à -25° Si de l'humidité finit par se condenser à l'intérieur de la caméra, c'est qu'il y a une inétanchéité. Il faut examiner le joint se situant au niveau du bouchon de fermeture et ne pas hésiter à le remplacer lors d'une ouverture. Pire, mais très rare à mon avis, ça peut être un problème au niveau de l'étanchéité de la vitre en avant du capteur. Et là, effectivement, cela nécessite une intervention un pu plus lourde.
  17. Petites vues du support modélisé pour utiliser un ventilateur 40x40 sur un C14 (en soufflage ou aspiration). Support pour impression 3D défini selon les dimensions transmises par CD7751. Coté ventilateur : Coté face de montage sur cône du C14 : Le montage (théorique) sur le cône arrière du C14 : Il reste à imprimer la pièce pour valider toutes les dimensions. JP
  18. FireAnt - nouvelles montures HD ultraportables par JTW

    Les encodeurs permettent une précision de pointage accrue. C'est certainement pour cette raison qu'il est possible d'avoir une charge un peu plus importante car la monture peut se déformer avec l'augmentation du poids, et dans ce cas, les encodeurs compensent ! Cette appellation met toujours des étoiles dans les yeux de l'acheteur En fait, il s'agit certainement d'aluminium de la nuance 7075. Il est vrai qu'écrire "alu 7075", ce n'est pas très sexy ! L'alu 7075 est effectivement très utilisé en aéronautique car il présente de bien meilleures caractéristiques de résistance mécanique que les alus standards, ce qui permet d'avoir des pièces de taille ou d'épaisseur plus réduites qu'avec de l'alu standard, et donc, des pièces plus légères. Par contre, il est plus cher.
  19. Progression en 6 ans sur M51 en 17h (Ha-LRGB)

    La dernière version présente une bien meilleure finesse des détails. La progression est significative par rapport à la version 2017. Par contre, je trouve que ta version 2023 est un peu trop colorée. Je lui préfèrerais une version moins saturée, mais c'est par goût purement personnel.
  20. Merci à toi. Je pense que tu as trouvé cette image dans cette documentation : https://celestron-site-support-files.s3.amazonaws.com/support_files/91030-XLT_91040-XLT_91050-XLT_91060-XLT_EdgeHD_OpticalTube_Manual_English_web.pdf Il faut que CB7751 me transmette les dimensions que je lui ai demandé en MP afin de pouvoir déterminer la bonne échelle.
  21. Faut savoir qu'une imprimante 3D peut aussi imprimer des pièces pour l'astronomie L'intérêt de l'imprimante résine étant d'avoir une meilleure finesse que l'imprimante à fil. J'ai imprimé des pièces en résine, mais je l'ai passé aux UV pour les durcir un peu plus. Il est vrai qu'en sortie de bain, ça reste un peu souple. J'ai regardé le compteur d'impression, en 6 semaines, 310h d'impression et plus de 2kg de PETG utilisé 70% pour l'astronomie et 30% pour d'autres bricolages. Mais pas une seule figurine !!!! Pour ton problème de poignée, si tu as une platine ADM, ça doit faire environ 90mm de large. Il est difficile de placer une poignée sur cette largeur car il ne reste pas énormément de place pour passer les doigts. L'idée serait d'utiliser une poignée coudée vissée sur le support en bout de queue d'aronde. Cette forme présente l'avantage de laisser un espace plus important pour les doigt que la poignée droite, d'autant que tu a l'arrière du tube qui vient en interférence. Il pourrait s'avérer intéressant de fixer une plaque intermédiaire en bout pour donner un peu plus de largeur à la poignée. Le tout est de pouvoir fixer des vis dans le support d'origine qui m'a l'air bien évidé. Pour dire à quel point les constructeurs peuvent être loufoques pour certains détails ; j'ai un SCT MEADE RCX400 de 250 qui pèse dans les 35kg avec sa fourche motorisée, indissociable bien évidement. Ils n'ont pas trouvé mieux que de mettre des petites poignées où passer 4 doigts nécessite pratiquement un vaselinage ..... des doigts bien sûr !!! Alors qu'il y a largement la place de mettre plus gros ..... Je parlais de poignées !!! Allons, allons, on se concentre ! Pour manipuler le système (sortir le tube de sa boite et le mettre sur le trépieds et vice-vers), on sert les fesses, mais là, c'est normal car le risque de chute est important !!!! Ben dis donc, les gars, vous avez les idées rudement mal placées aujourd'hui
  22. 165$ quand même ! Avec des frais de port et probablement de dédouanement à rajouter. Quelle est la taille du ventilateur ? Il ne doit pas être bien grand vu qu'il s'encastre dans l'ouverture. J'ai regardé le tarif du support que j'ai modélisé (version provisoire). Chez eux, le tarif est de 12€ HT.
  23. Est-il indiscret de te demander à qui tu confies tes impressions ? Avant d'avoir une imprimante 3D, c'est Sculpteo qui m'imprimait quelques pièces. Depuis que j'ai une imprimante (6 semaines), elle fonctionne en moyenne 6 à 8h par jour !!! C'est effectivement plus clair. Quand le tube est sur la monture, y'aurait-il la place en bout de queue d'aronde coté primaire pour y fixer une poignée, afin de retrouver la configuration du C11 ? Vu que le centre de gravité est très en arrière sur un SCT, il n'est pas rare de voir le montage sur la monture au ras de la queue d'aronde. Chez certains, il faut même ajouter un contrepoids coté lentille pour compenser la charge arrière. Je vois effectivement sur la photo du C14 que le cône où se trouve la grille de ventilation n'est pas très pentu. Je vais quand regarder pour coller au mieux à la forme.
  24. Je t'ai envoyé un lot de questions en MP pour faire un relevé de cotes. Au fait, tu as de quoi imprimer (ou faire imprimer) la pièce ? Pour ta problématique de poignées, fais nous une photo de la partie arrière de chacun des tubes de manière à bien comprendre les différences. Même en regardant sur le net, ton problème ne me saute pas aux yeux. JP
  25. Pour le fun, après lecture de cette discussion, je me suis "amusé" à modéliser complètement le support avec mon logiciel de CAO. Ce dernier permet d'ouvrir un fichier STL mais ne permet pas de le modifier car ce n'est pas son format natif. D'où la modélisation complète pour pouvoir modifier les dimensions avec plus de souplesse. Lorsque je vois le support d'origine dont tu as mis le lien, on voit que la partie qui vient en contact avec le tube est plutôt cylindrique, alors que sur le C14 l’ouïe de ventilation est sur une partie conique, il faut en tenir compte. Vu qu'on est en impression 3D, j'ai ajouté des cavités pour accueillir les écrous de fixation du ventilateur. De cette manière, les écrous sont noyés et le montage/démontage du ventilo est plus aisé, le support pouvant rester en place. Dans la pièce ci-dessous, je n'ai pas tenu compte (pour le moment) de la conicité de la partie où se fixe le support : Si cela t’intéresse, je peux poursuivre, mais il faudra que tu relève une série de cotes de manière à définir la pièce ad'hoc. Et puis, si besoin, on peut modifier la forme de la pièce. Je suis intrigué par l'importante hauteur de la pièce qui fait pratiquement 35mm. Je ne vois pas pourquoi faire aussi haut ! JP