Discret68

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Tout ce qui a été posté par Discret68

  1. Définition d'un setup dédié planétaire

    Bon, je viens de faire quelques recherches pour essayer de comprendre certaines notions qui ne me sont pas familières (aberration, correction de champ, cohérence entre champ imagé et champ corrigé, ...). Je ne suis pas en mesure d'interpréter toutes les informations que j'ai trouvé, mais je pense en avoir compris une partie. Je dois encore peaufiner ce domaine. Pour en revenir aux différentes commentaires effectués, je vais essayer de présenter ma compréhension des choses : Je vais probablement abandonner l'idée de vouloir faire du CP avec ce setup. De toute façon, c'était vraiment du "au cas où c'est possible", ce n'était pas un critère primordial. J'ai trouvé des informations sur ce même site concernant une comparaison des différentes formules optiques : http://www.astrosurf.com/viladrich/astro/instrument/sensitivity/sensitivity-analysis.htm Je pense pouvoir trouver de moi-même un certain nombre de paramètres utiles à ma réflexion. Notamment au niveau de la comparaison entre un Celestron C8 Classic et un edge HD : http://www.astrosurf.com/viladrich/astro/instrument/sensitivity/sensitivity-analysis-SC8Edge.htm Je crois comprendre que le rayon du champ corrigé (Radius of diffraction limited flat field) du Edge est d'environ 18 arcmin alors qu'il est plutôt à 3,5 arcmin pour le modèle Classic. A ce stade, je pense que le modèle XLT est à considérer comme une version Classic bénéficiant d'un traitement particulier des optiques. Pour l'exemple, si je prends le cas du C8 Edge HD, c'est bien la valeur rayon de 18 arcmin que je dois comparer au champ que j'obtiens avec la caméra et à la taille de l'objet photographié (y compris bien sûr une marge autour de l'objet) ? Concrètement, aujourd'hui, qu'est qu'on trouve en vrai Mak-Cass façon russe ? Intes ou équivalent ? Un M806 neuf coûte dans les 5000€. Après, on peut toujours espérer en trouver un d'occasion. Mais d'ici là, la GTR aura disparue ! Christophe : à toi de prendre le relais, merci J'ai vu les 2 modèles, et effectivement, la possibilité de faire varier le coefficient multiplicateur permet de faire revenir dans la course certains modèles que j'avais écarté. Par contre, pour le modèle Baader, je n'ai pas trouvé la valeur du champ corrigé et pour l'APM, il y a bien des graphes avec valeurs, mais ils me semblent que c'est pour un tube de 12" en F/D4. Tout à fait, c'est un point à voir. J'imagine que vu les dimensions de l'objet par rapport à la taille du capteur, on peut ne "capter" qu'une zone restreinte (ROI) et dans ce cas, on gagne en volume de données à ingurgiter par rapport aux capacités d'enregistrement de l'ordinateur. Notamment, un SSD me parait un accessoire indispensable. Effectivement, comme le précisait lyl, on peut "jouer" avec le coefficient multiplicateur des barlows Vu que je vais probablement abandonner l'idée de faire du CP (j'avais précisé toutefois que je n'y croyait pas trop), quelle serait dans ce cas, la meilleure caméra à utiliser, toutes marques confondues ? La question est très ouverte ! De toute façon, vu ce qui a été écrit, et vu que rien n'est figé en terme de tube retenu, hormis mon souhait d'aller au maximum à 200mm de diamètre, il est possible de revoir le couple tube/caméra. C'est quoi pour toi un très bon tube ? Tu as des modèles particuliers auxquels il faudrait que je porte une attention particulière ? Merci encore à vous pour vos commentaires. JP
  2. Définition d'un setup dédié planétaire

    @ lyl et Christophe : désolé de répondre tardivement à vos remarques (d'autant que j'attendais impatiament vos réactions) mais je viens de rentrer. Je vais commencer par approfondir certains points auxquels vous faites référence et je reviens pour poser mes questions. JP
  3. Définition d'un setup dédié planétaire

    Bonjour Pascal Plutôt que d'arriver avec une question trop vague qui va engendrer des discussions tous azimuts, j'ai préféré travailler le sujet en amont. Des éléments précis permettent de canaliser les réflexions, bien que les éléments de départs peuvent être remis en cause si nécessaire. OK pour ta remarque pour le C9,25. Il faut que je regarde les images obtenues avec ce tube. La question que je me pose néanmoins avec ce tube est le résultat qu'on obtient en photographie de la Lune. je suppose que contrairement au edge HD, le XLT doit présenter un certain niveau de coma. Il y en a effectivement quelques uns sur le forum qui semblent bien maîtriser le sujet, dont les commentaires m'ont permis de mieux aborder la définition du setup. Je ne vais pas citer de pseudos, mais j''espère qu'il vont contribuer à cette discussion.
  4. Orion cassegrain "classique"

    C'est exclusivement pour faire de l'imagerie, car à termes, mon setup complet sera (si tout se passe bien) à quelques milliers de km de mon domicile. Bon, comme tu le préconise, j'ai créé un sujet à part entière pour ne pas polluer celui-ci :
  5. Orion cassegrain "classique"

    C'est sûr que l'idéal serait d'avoir un bon gros tuyau, mais comme je l'ai écris dans mon message, j'ai déjà un newton de 300 (tube de 360 de diamètre) qui tare 27kg sur ma GM2000, sachant que le setup planétaire viendra en parallèle du newton. C'est pour cette raison que je souhaite limiter la taille du setup planétaire. Si c'était l'un ou l'autre, je prendrais un gros tube pour le planétaire ! En termes de coût, ça monte très vite aussi , beaucoup plus vite que le diamètre. Passer d'un Mewlon 180 à un 210, c'est ajouter 1200€ alors que c'est un modèle qui est déjà en haut du tarif de tous les tubes énumérés. Passer d'un Celestron edge HD 800 à un 925, c'est 1500€ de plus. Et ainsi de suite. A la limite, en acceptant un petit peu de poids et d'encombrement supplémentaire, je pourrait monter un Celestron C9,25 XLT qui est quasiment au même prix que edge HD 800. N'oublions pas non plus qu'il va falloir ajouter une platine pour supporter les 2 tubes. Et vu les poids à supporter, il va falloir une platine usinée sur mesure en aluminium qui fait environ 50 x 40 cm en 20 à 25mm d'épaisseur. Même en allégeant cette plaque au maximum, je table sur environ 6 à 7kg de poids supplémentaire. Celle là va aussi me couter un bras.
  6. Orion cassegrain "classique"

    Bonjour à tous Je me permet de m’immiscer dans cette discussion car elle répond en bonne partie à des questions que je me pose pour la constitution d’un setup planétaire. J’ai découvert certaines notions importantes dans cette discussion, ainsi que sur le blog de Christophe Pellier, sur un de ses articles paru dans le n°88 d’Astrosurf (comparaison caméras couleur et NB pour du planétaire) et dans le guide « Réussir ses images planétaires ». Si jamais je suis vraiment hors sujet de cette discussion, vous me le dites et j’ouvrirai une nouvelle discussion. J’ai actuellement un newton de 300 en f/d4 sur une monture 10Micron GM2000, 100% dédié à l’imagerie du ciel profond. Je souhaiterais diversifier mes acquisitions avec du planétaire (y compris la Lune). Ce 2ème équipement viendrait en parallèle de mon newton actuel, le tout en poste fixe. Je cherche à rester relativement « modeste » sur ce setup planétaire afin maitriser la charge totale sur la monture, même si elle peut soutenir une cinquantaine de kilos, mon newton et tout son accastillage annexe tarant dans les 27kg, je vise une dizaine de kilos pour le setup planétaire, ce qui m’amène vers un télescope de la gamme des 200mm de diamètre. Je prévois d’emblée un setup pilotable à distance, car à terme, la totalité de mon équipement devrait rejoindre des cieux plus propices à l’astrophotographie que ceux de ma résidence actuelle. Même si je n’y crois pas trop, vu la focale qui va en résulter, je pourrai peut-être profiter de ce setup pour faire un peu de CP, notamment pour des galaxies de petite taille, mais ça restera vraiment à la marge. Et si ça n’est pas possible, ce n’est pas grave. Compte-tenu de ce que j’ai compris de par la discussion en cours et des documents lus, la valeur de l’échantillonnage doit être au moins égale à la moitié du pouvoir séparateur de l’instrument. Dans le cadre d’un tube de 200, son pouvoir séparateur étant de 0,58", l’échantillonnage de la caméra doit être de 0,29" par pixel. Concernant la caméra, je m’oriente vers une caméra couleur pour me simplifier le traitement d’image. Je pense à l’ASI 294 MC PRO. Le refroidisseur n’est probablement pas utile en planétaire, mais comme je souhaite (peut-être) faire un peu de CP et comme le setup sera dans un secteur où il fait habituellement chaud, je me dis que j’ai peut-être intérêt à prendre la version PRO de cette caméra (avec refroidisseur), d’autant qu’il y a également un hub USB qui permet de raccorder d’autres accessoires (motorisation focuser, RAF, …). Ces caractéristiques (sensibilité, bruit de fond, …) ont l’air très intéressantes. Cette caméra est équipée d’un capteur avec des pixels de 4,63 microns. En première approche théorique, sur la base des préconisations au paragraphe 7 du guide « Réussir ses images planétaires », le rapport F/D idéal moyen se situe à 5 fois la taille d’un photosite, soit dans mon cas 23,15. Vu le rapport F/D résultant, il faut évidemment utiliser une barlow. Concernant le tube, j’hésitais initialement sur 3 modèles bien connus, chacun ayant des avantages et des inconvénients (collimation, buée, mise en température, …). Ces 3 tubes sont (pas forcément dans l’ordre préférentiel) : un mewlon 180, un MAK 180 ou un Celestron Edge HD 800. Dans le cadre de mon projet, le prix de ces 3 tubes n’est pas le premier critère de choix. Suite à lecture de cette discussion, je crois que je pourrais ajouter le Vixen VC200L, le Cassegrain TS 8 » f/12 ou son jumeau chez Orion. Il y a d’autres modèles (INTES, …) , mais à des tarifs plus importants. J’ai aussi trouvé un Maksutov-Gregory de 190 en F/D 15 chez Ottiche Zen en Italie qui semble pertinent, mais je n’ai aucun retour sur la qualité de leurs optiques. Je vais quand même les contacter pour avoir des infos complémentaires. Pour en revenir à nos savants calculs, il me faudrait, pour passer de la théorie à la pratique, un tube dont la focale associée à une barlow arrive aux alentours de 23,15. Le Mewlon 180 a un rapport F/D de 12. Avec une barlow de 2X, on arrive à 24. Il y a un très léger sur-échantillonnage, mais comme l’écrit Christophe dans son guide, ce n’est pas préjudiciable. Pour le MAK180, avec son rapport F/D de 15, il va être difficile d’avoir un F/D total vers les 24. Il faudrait une barlow de 1,5X, et ça, je ne connais pas. Et avec une barlow de 2X, on va être largement sur-échantillonné. Le Celestron Edge HD 800 (ou version XLT) a un rapport F/D de 10, avec une barlow 2X, on est sous-échantillonné. Il faudrait une barlow 2,5X pour arriver à un très léger sur-échantillonnage. Le Vixen VC200L au rapport F/D de 9.Avec une barlow 2,5X, on arrive à 22,5 (sous-échantillonnage) et avec une barlow 3X, on obtient 27 (sur-échantillonnage). Exit à priori le Maksutov-Gregory de 190 en F/D 15 chez Ottiche Zen, car avec ce rapport F/D et une barlow, on est largement sous ou sur-échantillonné. Pour le Cassegrain TS 8 » f/12 ou son jumeau chez Orion, pas de problème à priori vu re rapport F/D de 12, idem Mewlon180. Une formule optique de télescope qui n’a pas été abordée est le RC. TS propose un RC de 200 avec un rapport F/D de 12 : https://www.teleskop-express.de/shop/product_info.php/language/en/info/p1877_TS-Optics-8--RC-Pro-Teleskop-mit-Carbon-Tubus---Okularauszug-waehlbar.html Mais un RC n'est peut-être pas une formule très adapté au planétaire ? A cause de son obstruction ? Après, on peut remettre en question le choix de l’ASI 294 MC PRO, pour prendre un modèle avec des plus petits pixels. Et dans ce cas, certains des tubes que j’ai cité pourraient revenir dans la course. Il y a bien évidement d’autres accessoires qui complèteront ce setup (motorisation focuser, barlow, pare-buée, filtres pour planétaire, résistance chauffante, …), mais là, on rentre dans les détails secondaires. Voila, j’aimerais que ceux qui ont une bonne connaissance dans l'acquisition planétaire me fasse part de leur avis concernant ma première approche pour mon setup. Merci à vous de m’avoir lu car je suis très bavard Jean-Pierre
  7. Logiciels Win sous Mac

    Attention, concernant PRISM10, ce dernier refuse de fonctionner sur une machine virtuelle PC installée sur un MAC.J'ai moi-même un iMac 27 sur lequel j'ai parallels-Desktop avec un Windows XP et un Seven. Prism10 s'est bien installé, mais au lancement, j'ai eu le message "PRISM10 ne fonctionne pas sur une machine virtuelle". Fermer le ban, désinstallation du logiciel !Donc prudence.Néanmoins, parmi tous les logiciels astro fonctionnant nativement sur windows, c'est le seul qui ait posé problème.
  8. Motorisation toit observatoire

    @ BGI et Franciscolune : merci pour vos remarques.Pour la motorisation de mon toit, j'ai finalement trouvé un moteur d'essuie-glaces qui a la vitesse de rotation et le couple requis. J'ai commandé 4 relais (je suis vieux jeu) et des ILS pour piloter les manoeuvres du toit.Je viens à l'instant de mettre à jour la page "Motorisation du toit" avec le schéma théorique de pilotage.
  9. Motorisation toit observatoire

    Sur mon site, j'ai décrit la méthode pour déterminer l'effort de déplacement et calculer la motorisation à mettre en place pour mon toit : http://astrowick.fr/index.php/observatoire/motorisation-toit Si tu as 5 minutes ......Edit : j'ai supprimé le point en fin d'adresse pour éviter les problèmes de connexion[Ce message a été modifié par Discret68 (Édité le 27-06-2016).]
  10. AAG_Cloudwatcher sous Prism

    OK FredMerci pour tes éléments. Je vais pouvoir rajouter du code dans mon petit soft.
  11. AAG_Cloudwatcher sous Prism

    Bonjour CyrilComme je disais un peu plus haut, je prépare l'automatisation d'un observatoire se trouvant à longue distance pour un astram. Cet astram utilise PRISM. Il vient de commander un CloudWatcher. Je me charge d'associer le fonctionnement de tout le matériel dont une partie sous commande d'un IPX.Au passage, je ne connais ni PRISM, ni le CloudWatcher. Donc ce n'est pas aisé pour moi de réfléchir sur la problématique. Mais bientôt, j'aurai tout ça à ma disposition, puisque nous allons sur place d'ici 2 semaines. Néanmoins, je cherche à anticiper la démarche car une fois sur place, le temps sera compté.Bref, si je comprends bien tes propos, Il n'est pas possible de déclencher directement un relais de l'IPX sur la base d'une information du CloudWatcher.Par contre, au vu des copies d'écran postées par Cath &Fred en début de cette discussion, j'imagine que PRISM prend en compte les données du CloudWatcher (mais je ne sais pas sous quelle forme). Je vois qu'il est fait référence à un relais du CloudWatcher. Si effectivement il y a un relais mécanique dans le CloudWatcher qui s'active lorsque les conditions météo sont défavorable, je peux récupérer directement l'info.Ou alors, PRISM prend en compte les données du CloudWatcher pour lancer certaines actions (arrêt de la séquence photo, mise en position Park de la monture, ....) ET lance un ordre de fermeture d'un cimier ou d'un toit roulant avec le driver ASCOM d'hoc.Est-ce bien le mode de fonctionnement de PRISM ? Car dans ce cas de figure, je dois pouvoir utiliser le driver ASCOM/IPX de Julien Tchäppät pour récupérer l'ordre de fermeture.Ou alors (encore une solution que j'imagine), lorsque PRISM interprète les infos du CloudWatcher, PRISM considère cette situation comme une "fin d'obs photo" et à ce moment, je peux lancer une action à l'IPX via un script (VNS je suppose).Qu'en penses tu ?[Ce message a été modifié par Discret68 (Édité le 19-03-2016).]
  12. AAG_Cloudwatcher sous Prism

    Je connais les 2 pilotes ASCOM auxquels tu fais référence, sans toutefois les avoir mis en oeuvre. J'avais contacté Julien Tschäppät car je ne comprenais pas le rôle de son interface ASCOM/IPX.A ma connaissance, à part PRISM qui doit pouvoir gérer directement un IPX et d'autres logiciels (SG Pro, MaxPilote) qui peuvent gérer un IPX via des scripts VBS, je ne connaissais aucun logiciel qui permettent d'utiliser un driverASCOM/IPX.En fait, je développe pour un ami un petit soft qui permet de piloter à distance un couple IPX800/X880, une monture 10Micron., ainsi que divers équipements qui sont raccordés sur l'IPX (alim CCD, éclairages, panneaux flats, ordinateur, reset réseau, ...).Certaines fonctionnalités permettent d'enclencher plusieurs actions en simultané ou en série (exemple : pour la réalisation des flats, la monture va positionner directement le tube devant le panneau et ce dernier va se mettre sous tension. Une fois les flats terminés, le panneau va s'éteindre et la monture va se mettre en position Park et être mise hors tension.Une des séquences sur laquelle je dois travailler est la mise en sécurité (ou repli) de l'ensemble du matériel en cas de dégradation des conditions météo.Cette pour cette raison que je cherche à savoir si PRISM est en mesure d'envoyer directement un ordre à l'IPX800 (activation d'un relais dont on choisi le numéro) sur la base d'une information issue du Cloudwatcher. I y a en fait 2 maillons dans la chaine (CloudWatcher ==> PRISM et PRISM ==> IPX800).Si un relais de l'IPX est activé par PRISM sur information dégradation météo par le CloudWatcher, je peux aisément détecter cette situation et lancer le repli de l'installation.
  13. AAG_Cloudwatcher sous Prism

    Je profite de cette discussion pour poser une question, notamment à Alexandre_Itic qui fait référence à l'utilisation d'un IPX800 avec PRISM.Avec PRISM, Il semble possible de piloter un IPX800 en fonction des mesures effectuées par le AAG-Cloudwatcher.Ne pratiquant pas PRISM et n'ayant pas de Cloudwatcher, j'aimerais savoir comment fonctionne l'interfaçage avec un IPX800 (là par contre, j'en ai un), dans les grandes lignes bien sûr.Je suppose qu'il faut préciser un ou plusieurs critères dans PRISM vis-à-vis des conditions météo.Et vis-à-vis de l'IPX800, j'imagine qu'il faut définir le numéro du relais qui doit s'activer ?Merci
  14. gain avec un ssd comme deuxième dd?

    Le gain en vitesse est substantiel avec un SSD. Déjà de passer d'un DD de 5400 à 7200 tr/mn, voire un 10000 tr/mn, on voit la différence. Avec un SSD, c'est encore beaucoup plus rapide.L'intérêt de la rapidité, aussi bien en lecture qu'en écriture, est surtout intéressant dans l'utilisation du système d'exploitation et de logiciels qui font appels à plein de routines au démarrage. La vitesse du SSD étant beaucoup plus rapide, le démarrage de l'ordinateur ou d'une "grosse" application est nettement accéléré.Pour ce qui est du stockage de données, sauf à faire de la lecture et (ou) de l'écriture en permanence (traitement vidéo), il y a peu d'intérêt, surtout vu le prix du Go. Par exemple, si c'est pour faire de l'astrophotographie avec une image à enregistrer toutes les quelques minutes, le SSD n'offre guère d'intérêt à mes yeux. [Ce message a été modifié par Discret68 (Édité le 29-02-2016).]
  15. logiciel commande à distance

    J'utilise Radmin 3.5 (viewer et server) : http://www.radmin.fr/products/radmin/ 46,20 euros la license pour l'ordinateur à piloter (Radmin server). Pour les ordinateurs de pilotage, Radmin wiever est gratuit, et peut être installé sur plusieurs postes.
  16. Ecran à Flat

    Bon, tu me diras ce que tu as trouvé comme "compromis".
  17. Ecran à Flat

    3 semaines de délai, c'est supportable !Voilà, une affaire rondement menée.Tu vas pouvoir "flater" à gogo.Tu arrives à quelle durée pour tes flats ?
  18. Ouverture toit abris astro

    Sois tu peux passer un coup de balais comme le préconise Christian, soit tu fixes une tôle perforée au bord et au dessus du toit à l'aide de cornières (donc vers le haut). La hauteur de cette tôle sera fonction de l'épaisseur de neige que tu comptes avoir sur le toit.Un grillage à mailles relativement fines d'une hauteur équivalente pourrait aussi faire l'affaire. Le tout est que ça retienne la neige mais pas l'eau qui s'écoule lorsque la neige fond.La notion de bavette est plutôt liée à une plaque (métal ou caoutchouc) qui pend vers le bas. Dans ce cas, cela ne te prémunirait pas contre une chute de neige du toit sur ton équipement.Il y aura un autre problème. Si ton toit est enneigé, tes rails auront aussi un peu de neige. L'effort pour déplacer le toit va augmenter. Je vois bien sûr mon abri lorsqu'il y a du givre, il faut pousser beaucoup plus fort le toit. C'est un aspect qu'il faut prendre en compte pour la puissance de la motorisation du toit.Dit d'une autre façon, si tu dois nettoyer les rails pour que ton toit puisse se déplacer, le coup de balais sera vite donné. Vive le réchauffement climatique.Vincent : je te contacte en MP car je crois que nous habitons à quelques km l'un de l'autre.[Ce message a été modifié par Discret68 (Édité le 31-01-2016).]
  19. Ouverture toit abris astro

    Je n'ai pas compris le fond de la question que tu poses !Est-ce que c'est lié à de la neige qui serait tombé sur ton matériel lors de l'ouverture du toit ?Ou autre problème ??
  20. Utilisation télescope distant

    Je suis en train créer mon site internet dans lequel je décris la mise en œuvre du remote de mon équipement astro : http://www.astrowick.fr/index.php/observatoire/informatisation Vu que je suis en phase d'initialisation du site, les pages évoluent en permanence.Je reste à disposition pour détailler les points "obscurs".
  21. Ecran à Flat

    @ JAN : pour alimenter mon panneau LED de 60x60 en 36W, j'utilise une alimentation 12V (alim générale de mon abri astro) sur laquelle j'ai branché un petit module convertisseur de tension continu/continu. On trouve ces modules pour quelques euros en Chine ou en Angleterre. Il suffit de faire une recherche avec les mots suivants "step up converter" par exemple sur ebay.com ou ebay.co.uk. La tension d'alimentation du panneau se situe dans la plage des 38-40V pour obtenir des temps de pose inférieurs à 5s.La plage de tension pour ce ce type de panneau éclaire est assez réduite. Pour le mien, de 35V à 50V environ.J'avais aussi essayé avec le bloc d'alimentation d'origine et un variateur 220V, ça ne marchait pas du tout.Je constate aujourd'hui sur ebay que la plupart des modules utilisant un XL6009 (comme ceux que j'ai acheté) sont donnés pour 35v maxi en sortie alors que ceux que j'ai acheté il y a quelques mois allaient à plus de 48V. Néanmoins, il y en a d'autres qui vont un peu au delà et qui doivent fonctionner (ex : http://www.ebay.fr/itm/151850684414?_trksid=p2055119.m1438.l2649&ssPageName=STR K%3AMEBIDX%3AIT) Il y en a certains qui intègrent un voltmètre ( http://www.ebay.fr/itm/201414923779?_trksid=p2055119.m1438.l2649&ssPageName=STRK%3AMEBIDX%3AIT ) qui permet de mesurer soit la tension d'entrée, soit celle de sortie, à l'aide d'un petit bouton poussoir.En Angleterre, c'est un peu plus cher, mais la livraison est plus rapide. Pour la Chine, il faut compter de 2 à 3 semaines.Avec ce genre de module, le bloc d'origine du panneau n'a plus lieu d'être. Pour finir, je précise que compte-tenu de la luminosité qui nous intéresse, la puissance mesurée est de 0,1W, dont une intensité très faible.[Ce message a été modifié par Discret68 (Édité le 26-01-2016).]
  22. Ecran à Flat

    J'adore les gens qui lancent un sujet en posant des questions et qui ne réagissent pas alors qu'on leur donne des infos ou qu'on essaie de mieux cerner leur problème. Et ce, 1 semaine après avoir lancé la patate chaude !!!
  23. Ecran à Flat

    Quelles sont les dimensions d'écran donc tu as besoin, car différentes technologies sont possible.Par exemple, en ce qui me concerne, j'utilise un panneau LED de 60 x 60cm de 36w de puissance (160 LED), qui coûte environ 60 euros et qui donne de bons résultats. Il est fixé au mur, en face du tube lorsqu'il est en position "Park", ce qui évite les manipulations comme ce serait le cas avec une boîte à flat.J'utilise une petite alimentation différente de celle d'origine, qui est réglable et qui me permet de régler la puissance lumineuse de manière à avoir des temps de pose compatibles avec ma CCD.Je développerai le sujet si ça t'intéresse.
  24. Prism Version 10 est finalisé...A essayer!!

    BonsoirEn ce qui me concerne, j'ai installé PRISM sur un win7 fonctionnant en machine virtuelle sur un iMac (celui qui me sert à piloter en remote le PC du télescope). L'installation s'est bien passé mais au lancement de PRISM, un message m'indique que PRISM ne fonctionne pas sur une machine virtuelle. On ne va pas plus loin. Néanmoins, je note que c'est un W7 Edition Intégrale 32 bits. J'ai lancé l'installation sur le PC qui gère le télescope et tout le matériel connexe (caméras, monture, .....). Impossible d'installer, dès que je lance le programme d'installation, il y a la petite roue qui tourne éternellement. Impossible de stopper le processus. Obligation de rebooter le PC pour le débloquer. C'est un W7 Professionnel 64 bits qui est installé (à jour).3ème essai sur mon portable. L'installation s'effectue mais AVAST me détecte une "vérole" lors de l'installation, mais je n'ai pas eu le temps de noter son petit nom. C'est un W7 Edition Familiale Premium 64 bits qui est installée.Je ne trouve pas de critère particulier entre les 3 W7 installés, qui puisse me renseigner sur l'origine du problème avec l'ordi sur lequel PRISM devrait être installé en priorité.Question pour F6GIR : quel est la version de Windows qui est installée sur l'ordi où tu as réussi à installer PRISM ? [Ce message a été modifié par Discret68 (Édité le 15-12-2015).]
  25. On peut ajouter : CFF : Roumanie et Hongrie - télescopes (Cassegrain, RC) et lunettes Toscanoptics : Italie - télescopes (RC, Cassegrain, DK, SC).