Clouzot

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  1. Support secondaire SCT qui tourne

    Exact ! Mais on peut comprendre celui qui ouvre la page tuto et voit en seconde image un C11 entièrement démonté (puisqu'il en profite pour améliorer l'aération), ça peut faire peur Et perso, j'ai biiiiien galéré pour réussir à démonter le baffle du bloc support secondaire. Je vois que @Bernard_Bayle n'a pas repéré de colle sur son C11, mais je peux confirmer qu'il y en avait bel et bien sur mon C9.25 et qu'il m'a fallu un pistolet thermique (et une bonne dose de stress) pour réussir à séparer tout ce bazar. Par contre, avec un tube un peu plus récent on a ces vis pointeau radiales en plastoc qui remplacent les cales, ça rend l'opération un peu moins compliquée
  2. Support secondaire SCT qui tourne

    Je te confirme à la fois que c'est fileté ET qu'il y a toutes les chances que tu n'arrives pas à resserrer le baffle du secondaire sur le support. Car en plus d'être vissés, ils sont collés sur les modèles récents (mon C9.25 XLT est de 2017, il a fallu y aller avec une source de chaleur et pas mal de patience en démontant entièrement la lame de Schmidt. J'ai rajouté un de ces joints sorbothane que vend Starizona à cet effet, dispo aussi chez TS) Si tu te ne sens pas l'âme du bricoleur, je dirais comme Bernard : allô Medas.
  3. Fond de ciel non homogène

    A mon avis oui...comme tu es en bin2, le capteur switche en mode HCG au gain 120 comme tu sais (avec les avantages que ça implique, en particulier la remontée du fullwell et la chute du bruit de lecture). Mais son comportement est alors très différent de celui hors mode HCG, en particulier en termes de linéarité, ce qui pousse la plupart des utilisateurs à utiliser le même gain pour les flats et pour les lights. Pas impossible que ton souci de fond de ciel léopard vienne de là. (le souci ne se pose pas en bin1 car le capteur est alors toujours en mode HCG, du moins chez ZWO, ce n'est pas forcément le cas pour les autres intégrateurs). Par ailleurs avec un temps de pose de 2.5s, on est encore dans les zones problématiques où le capteur répond de façon erratique. Ca peut valoir le coup d'augmenter un peu si tu peux gérer la luminosité de ton écran à flats (ou rajouter du papier blanc si tu n'as pas de variateur). Sur le refroidissement, ça semble bien maîtrisé avec les paliers graduels. Ceci dit fais une expérience un jour, démonte la caméra et lance le refroidissement en regardant l'état de la fenêtre transparente... on peut avoir des surprises avec cette caméra
  4. Fond de ciel non homogène

    Gain 0... tu es en bin1 (47 Mpix de 2.315µm) ou en mode bin2 (11 Mpix de 4.63µm) ? Je demande cela pour le niveau de bruit, très différent selon le mode utilisé. La première image (empilement de L) me semble avoir un mélange de plusieurs choses : il y a bien les IFN (l'espèce de demi-boucle à gauche de M81, qu'on devine sur ton image, et qui est très visible sur l'image partagée par @sebseacteam ) malgré la présence d'une résistance, il semble aussi que la buée soit de la partie (zone centrale). J'ai la même caméra, le même genre de résistance (le petit kit vendu par ZWO), et pourtant la buée arrive quand le refroidissement n'est pas complètement maîtrisé, avec des paliers bien dosés, ou quand les deux tablettes sont saturées. Selon le moment où tu as fait tes flats, par exemple en tout début de session alors que la température n'est pas stabilisée avec une buée qui varie, ça peut donner des choses assez étranges au pré-traitement quel était le temps de pose des flats en L ? As-tu respecté les "recettes" relatives au temps de pose, en plus de l'usage des dark-flats que tu cites ? Là encore, je pose la question car avec les flats Ha, tu as nécessairement dû poser quelques secondes (= ce qu'il faut avec cette caméra), mais pas forcément avec le filtre L, pour lequel on peut facilement se retrouver dans une zone où le comportement de la caméra est assez erratique. je mets de côté Siril et son algorithme d'alignement/tranformation (peut-être modifié dans les version récentes ?) qui avait aussi tendance à créer de curieux artefacts dans le fond de ciel, en particulier quand les poses n'étaient pas assez longues et qu'on tirait beaucoup sur l'histogramme. A priori tu as pu vérifier avec @christian_d que les niveaux de fond de ciel étaient suffisamment hauts pour ne pas être dans le bruit.
  5. De l'utilité des bias

    Un signal d'offset très variable au fur et à mesure des captures, et surtout entaché d'un bruit systématique (en "pattern") très marqué. J'imagine que ça ne se voit pas sur les APN car le signal d'offset est alors noyé dans le signal utile. Je ne pense pas qu'il s'agisse d'un scintillement dû à la source (style variateur PWM) car ça se produit aussi sur le ciel, ce serait donc plutôt un souci de timing ou de remise à zéro du capteur (ce dernier point a déjà été remarqué dans d'autres conditions je crois).
  6. De l'utilité des bias

    Comme tu le sais, tes flats doivent être calibrés en soustrayant le bruit qu'ils contiennent avant de les empiler, sinon l'opération de division des lights par le master flat n'est pas exacte mathématiquement (ce qui se traduit par une sur-correction une fois le master flat appliqué). Je cite à chaque fois le tuto Siril de @cissou8 car elle y explique fort bien ce qu'il se passe en vrai, avec exemples et tout, selon la façon dont on calibre. Ce que tu vas utiliser pour calibrer tes flats va dépendre du temps de pose des flats, et donc de la quantité de bruit thermique qui se retrouve dedans : pose courte, ils ne contiennent que le signal d'offset (constant avec une dispersion très minime) en plus du flat, donc un bias (idéalement un bias synthétique, cf approche Siril qu'on peut réutiliser bien sûr dans d'autres softs comme Pix ou APP) suffit à virer ce qu'on ne veut pas. pose plus longue, l'ampglow prend le dessus sur l'offset, un dark de même temps de pose que le flat s'impose alors. Or, avec la 294MM (j'ai le même capteur avec lequel j'ai une relation d'amour-haine depuis plusieurs années), tu as peu de marge pour capturer les flats : les poses très courtes donnent des résultats instables, ça se calme (un peu) juste avant 1s ce qui donne une fenêtre étroite de capture, puis ça repart de plus belle avec des captures non linéaires de 1s jusqu'à 4 ou 5s. Et entre 5 et 10s, l'ampglow commence à être vraiment prépondérant. C'est d'autant plus vrai qu'on l'utilise en "bin 2" (faux pixels de 4.63um) et en mode HCG autour du gain 120, où le phénomène est le plus fort. Recette perso : j'évite les temps de pose sous la seconde si possible (sauf cas particulier style Hyperstar où je n'ai souvent pas le choix), et en tout cas entre 1 et 4s c'est zone interdite. Si j'arrive à garder mes flats en-dessous de 5-6s, j'applique des bias synthétiques à chacun de mes flats avant empilement. Au-dessus (flats avec filtre un peu brutal), le dark adapté est de rigueur, sinon on finit par voir l'ampglow en négatif si on tire trop sur l'histogramme. Ca marche, sachant d'autant plus que mes tubes donnent un vignettage très important (souvent une perte de près de 50% entre les bords du capteur et le centre) et qu'il faut vraiment des flats irréprochables dans ce cas.
  7. Celestron se met au télescope 2.0

    A se demander pourquoi certains font encore de l'astrophoto, alors que tout est déjà disponible sur le net, en mieux
  8. Celestron se met au télescope 2.0

    En diamètre oui, mais en surface collectrice pas tant que ça ! J'avais fait le même genre de calcul pour mon petit Hyperstar C6 couplé avec une monstrueuse ASI2600 qui semblait boucher toute la vue, pour trouver au final que l'ensemble restait convenablement rapide. Le même calcul marche aussi pour ce "RASA 6" robotisé à coup d'IA : une fois retranchée l'obstruction centrale, on peut calculer qu'il équivaut à un scope de 136mm sans obstruction en termes de luminosité collectée. Le rapport F/D effectif descend alors à 2.46 (au lieu des 2.23 annoncés dans la pub), ce qui est loin d'être une catastrophe et mettra quand même la misère à la plupart des scopes du commerce niveau rapidité. Par contre le contraste, lui, en prend forcément un coup, avec des étoiles qui commencent gentiment à prendre leurs aises (la figure d'Airy s'étale, le Strehl décroît..). Mais étonnamment, les perfs en contraste et séparation d'un 150mm obstrué à 40 et quelques pourcents restent toujours supérieures à celles d'un scope de 136mm. Si on rajoute le fait que la caméra choisie par Celestron va sous-échantillonner largement, je pense qu'on n'y perd pas grand chose au final.
  9. Celestron se met au télescope 2.0

    La grosse différence, c'est la position du foyer du miroir primaire. Dans le cas du SCT standard, habituellement, les rayons sont interceptés par le miroir secondaire pour les renvoyer vers l'arrière du tube, donc il faut que ce foyer primaire soit largement "derrière" le miroir secondaire. (source SAP Limoges) Le RASA n'a pas cette contrainte puisqu'il n'y a pas de secondaire. Le foyer primaire peut donc se retrouver beaucoup plus près de la lame, les lentilles peuvent ainsi rester sagement dans le tube A part ça, c'est le même principe optique entre RASA et SCT+Hyperstar (et quasiment les mêmes lentilles d'ailleurs, il me semble). Le baffle du secondaire est par contre différent (bien plus court pour le RASA qui n'a pas à protéger un miroir secondaire des réflexions parasites)
  10. Celestron se met au télescope 2.0

    Tu oublies une proposition de valeur assez imbattable : ce RASA6 "intelligent" fonctionne à f/2.2 (probablement un peu plus haut en rapport f/D effectif, à cause de l'obstruction centrale). Ca reste près de 3x plus rapide optiquement que ce qu'Unistellar propose avec ses Odyssey/Equinox/EVScope2, malgré ce curieux choix d'un IMX178 complètement dépassé. Si on pense à de l'imagerie/"observation" sur le pouce, le Celestron devrait donc fournir des images plus rapidement que tous les autres téléscopes robotiques du marché. Par contre, il est vraiment trop moche. On dirait un assemblage bricolé sorti tout droit de l'atelier de Frankenstein, en prenant tout ce qu'ils avaient sous la main (monture Evo qui aura de la peine à guider convenablement même avec un échantillonnage pas très serré, pare-buée alu recoupé, trépied en bon acier qui pèse 3 tonnes, SkySafari à l'ergonomie toute relative...)
  11. achat sur le site zwo

    Oui. Quant à la garantie, j'ai dû renvoyer une de mes caméras (largement hors garantie, achetée en Europe) directement en Chine. Une procédure à respecter à la lettre (formulaire CN-machin + facture "proforma" à faire sur le site de la Poste par exemple) pour éviter de se faire bloquer le matériel à la douane chinoise, et ZWO se débrouille pour la suite des opérations. D'autres marques (on a un exemple avec une caméra QHY qui a passé quelques semaines à la douane chinoise avant de devoir repartir) sont apparemment moins rodées à l'exercice.
  12. le coup de gueule de Pierre Rochette

    Peut-être. Alors que cela permet aussi de financer des thèses (CIFRE, par contre, pas du fondamental de chez fondamental) voire des post-doc issus de et co-gérés avec l'Université, avec tout ce que cela implique en termes de nombre de publis, bref que du bénéf pour tout le monde. Donc sans aller jusqu'à créer des mastodontes à la Columbia/MIT (ça me ferait très mal de devoir payer je-sais-pas-combien pour avoir le même niveau de formation que celui dont j'ai bénéficié), avoir un peu plus d'électrons libres pourrait aider à renverser la tendance et à permettre de meilleurs moyens. Les facs françaises n'ont d'ailleurs pas attendu pour créer ou réorganiser à coup d'instituts ou de "graduate schools". C'est bien... ...tant que ça ne vient pas obérer le reste : le labo doit aussi jongler entre ce que demande l'industriel (qui a l'avantage de financer, mais trop souvent de ne pas permettre de publis pour des raisons évidentes), et les autres sujets de recherche plus fondamentaux qui, eux, peuvent donner lieu à publication. C'est un vrai numéro d'équilibriste, et ça explique aussi la méfiance de nos collègues qui voulaient pouvoir choisir leurs sujets sans se les voir imposer. On en revient à la critique des annonces présidentielles de l'autre jour, en fait.
  13. le coup de gueule de Pierre Rochette

    J’y pensais aussi très fortement. C’est le cas dans mon domaine d’ailleurs. Mais on en revient alors au financement (plus facile grâce aux flux entre secteur privé et public) et (spécificité américaine) au poids démesuré des universités privées type Stanford ou MIT dans la captation des subsides publics : jamais on n’accepterait un truc pareil en France (et à raison !). Accepterait-on par ailleurs cette sous-traitance de la R&D par les acteurs privés vers l’université qui a cours aux USA ? Dans l’Institut (public) où j’ai fait mes classes, la majorité des financements provenaient des commandes industrielles, et nos collègues universitaires nous regardaient avec un mépris certain. Et le poids du politique reste le même que celui qu’on dénonce en France (avant et après l’éventuelle réforme Macron) : si le dossier NSF a plus de chances de passer (forcément , il y a plus de pognon), il reste soumis au bon vouloir de celui qui le contresigne et aux priorités dictées par l’état fédéral (ou la NASA pour ceux qui bossent dans le domaine).
  14. le coup de gueule de Pierre Rochette

    J’ai eu mon comptant de dossiers ANR dans une vie passée alors je vois à peu près de quoi on parle. ceci dit j’aurais une vraie question : s’il fallait citer un pays où la recherche publique fonctionne bien, sans les lourdeurs bureaucratiques à la française, et sans trop de soucis de financement, lequel vous vient à l’esprit ? Parce que (dans mon petit domaine de spécialité), quand on écoute les copains d’en face, eux aussi râlent, et pour les mêmes raisons. Même en Allemagne pourtant citée comme étant l’exemple à suivre depuis le coup des vaccins à ARNm. Les seuls qui ont l’air contents, ce sont…les Suisses.
  15. Livestacking SharpCap planétaire

    J’avais oublié que tu te défaisais de toutes tes merveilles… j’espère pour d’autres merveilles encore plus merveilleuses. Essaie avec Berthe. Ça devrait dépoter sur Juju idéalement placé (et pourquoi pas Uranus qui est juste à côté, d’ailleurs…)
  16. Livestacking SharpCap planétaire

    Ca a moins d'intérêt pour la Lune que pour les planètes, surtout dans des conditions terribles d'observation comme ici. Le gros avantage que je vois (en projection publique tout du moins, mon obsession), c'est que l'empilement va stabiliser l'image qui ne va plus osciller sous les effets de la turbulence, et qu'on augmente à peu de frais le contraste des détails via les ondelettes. Sinon, ça reste quand même plus sympa à l'oculaire de "survoler" les reliefs lunaires
  17. Livestacking SharpCap planétaire

    Si tu as d'anciens SER qui traînent sur ton disque dur, tu peux t'amuser avec quand même, caméra virtuelle "High Speed" dans Sharpcap. C'est sûr que ces derniers temps c'est un peu la misère niveau météo !
  18. le coup de gueule de Pierre Rochette

    Alors ça c'est complètement débile. On prend soin de nommer des gens respectés et écoutés (Aspect, Tirole...), des Claire Mathieu (qui n'a pas sa langue dans sa poche et n'hésite pas à sortir la sulfateuse sur X ou Mastodon), tout ça pour ne pas publier leurs avis ???
  19. Livestacking SharpCap planétaire

    Oui il y a un système de rejet à la volée (basé sur la comparaison entre le contraste détecté dans chaque nouvelle image et la moyenne du contraste de N dernières images). Il faut bien voir que ce n'est pas du tout un traitement comme vous autres spécialistes du planétaire en avez l'habitude : vous, vous shootez quelques milliers d'images à fond la caisse, vous les triez après coup par qualité, vous les alignez en multipoint/multituile avec des déformations (et éventuellement dérotation), puis place à la déconvolution et au sharpening. Ici, on parle d'un empilement qui évolue en direct : l'utilisateur choisit le nombre maximal d’images que la stack doit contenir à tout instant, et chaque nouvelle image est empilée sauf si sa qualité est pourrie par rapport aux N dernières images reçues (qu'elles aient été empilées ou non). C'est ça l'une des grosses différences : l'empilement se fait sur des critères locaux de qualité, pas après un tri de qualité globale à la Registax/AS4!. Ensuite, les traitements sont plus simples : une déconvolution aveugle et quelques ondelettes, pas plus. Et l'alignement aussi suit une logique bien plus simpliste qu'un système à plusieurs tuiles déformables. Au final on a un empilement qui évolue systématiquement au fil du temps même si le seeing se dégrade (ça se voit sur mon petit GIF par exemple). C’est un peu comme si à chaque nouvelle image, on jetait la plus ancienne et qu’on recommençait un nouvel empilement. C’est à ce prix qu’on fait du live…mais le résultat est que l'image empilée évolue au fil du temps, ce qui permet de voir la rotation de Juju sans avoir rien à faire. Parfait pour une présentation publique, à mon humble avis. Ca marche d'ailleurs aussi sur la Lune (tant qu'elle rentre en entier dans le champ), Mars, le Soleil, Saturne... (ici à la lulu de 50mm et 294MM, avec une ancienne version de Sharpcap)
  20. le coup de gueule de Pierre Rochette

    Définis par le fameux nouveau conseil scientifique, plutôt. Donc des scientifiques, pas des politiques…et certains (certaines) ont déjà été très critiques dans le passé récent. J’espère juste que leurs rapports seront publics et réellement écoutés par les dirigeants.
  21. Livestacking SharpCap planétaire

    Non, c’est séparé. Pour l’instant l’alignement se fait en global par détection du disque, ce qui empêche le suivi de « feature » comme les AS3/4, Registaxx et autres Astrosurface le pratiquent, ce qui donne forcément des images inférieures à ce qu’on obtient en post-traitement. Mais ici c’est du live…(j’allais dire du VA mais je vais encore me faire gronder). A la décharge de @LaurentLab la balance des blancs est vraiment très délicate à faire. Perso je n’y arrive pas encore en live. Il s'en sort nettement mieux que moi d'ailleurs. On peut aussi exporter un timelapse à une fréquence réglable, ce qui permet de sortir une animation avec la rotation sans effort aucun. Certes ça ne vaut pas Turbu2.0 de notre ami MS mais c’est marrant à faire. En voici une au C6 f/15 et 2600MC [oui, je sais, c'est pas le matos le plus adapté] depuis un balcon bien moins bien que celui de @jldauvergne, témoignage d'une grosse heure passée à jouer avec les curseurs dans Sharpcap (qui a exporté en SER, puis passage dans PIPP pour le GIF) tout en regardant Europe, Io et un bout de Ganymède tourner autour de Juju
  22. RAF ou pas RAF ?

    Bienvenue au club des utilisateurs de filtres La plupart du temps on essaie d'avoir des filtres d'une même marque, dont le "substrat" sera toujours de la même épaisseur (exemple 2mm chez Optolong sauf exceptions). Ca ne veut pas dire qu'il ne faudra pas affiner un peu la MAP au changement de filtre, mais au moins l'espacement optique entre réducteur et capteur sera plus ou moins respecté. Si on se retrouve à utiliser plusieurs marques... eh bien on prie pour que l'épaisseur ne soit pas trop différente et que ça ne casse pas tout. Ce qui te fait arriver en théorie à un compte rond : 91mm d'espacement "physique" à respecter. C'est pratique pour calculer les bagues à acheter. Ceci dit avec un backfocus aussi long (plus de 90mm), un rapport F/D long, et un capteur pas gigantesque non plus, les tolérances sont plutôt larges. Starizona indique de respecter à ±1mm près, ça laisse de la marge.
  23. Nouveautés skywatcher

    Deux options intéressantes effectivement. Mais Atik fait cher payer sa miniaturisation... Quant à QHY le mystère est complet, leur APS-C fait 90mm mais la full-frame est plus petite ?
  24. RAF ou pas RAF ?

    ... 90.3mm auxquels il faudrait théoriquement ajouter le 1/3 de l'épaisseur du filtre, si on veut être précis, car le point focal recule d'autant avec un filtre. Bon, avec une 294, on peut se permettre d'être à ±1mm près, ça ne changera pas la face du monde. Pour le montage de l'EAF, regarder aussi chez buckeyestargazer qui fait de super adaptateur imprimés 3D, très compacts, et adaptés aux SCT (Celestron et Meade LX). Peut-être que Azur3DPrint saura en faire un équivalent.
  25. Nouveautés skywatcher

    Un Honders semble avoir une lame plus grande que le diamètre nominal (de 10%, et un miroir primaire plus petit, de 5% à peu près si on en croit le design des Riccardi) Soit à peu près 137.5mm de diamètre pour la lame de fermeture. Exemple : si on met une ASI294MM Pro devant (diamètre 78mm), le diamètre équivalent d'un tel scope (après calcul de la surface collectrice non obstruée par la caméra) est de 113mm, ce qui donne un rapport f/D de 2.21. Ca se tente. Je ne dis pas que le piqué sera celui d'une bonne APO de 4.5', mais au moins ça ira vite. Avec une 2600MC, ça va probablement moins rigoler.