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Tout ce qui a été posté par bon ciel
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T es un peu trop pessimiste. moi j achètes souvent en occasion et je suis rarement déçu. il faut la tester.
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Tu as une ioptron gem45 d occasion avec trépied sur les PA. https://www.webastro.net/petites_annonces/vend-monture-ioptron-gem45-et-accessoires_99258.htm Une losmandy titan https://www.webastro.net/petites_annonces/losmandy-titan_99088.htm Une Skywatcher Wave 150i de 2024. https://www.webastro.net/petites_annonces/monture-harmonique-skywatcher-wave-150i-prix-en-baisse_100075.htm Une Monture à moteurs harmoniques IOptron HAE43 https://www.webastro.net/petites_annonces/monture-harmonique-ioptron-hae43_99988.htm
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ASTRONAUTIQUE : l'actualité du lancement spatial
bon ciel a répondu à un sujet de jackbauer 2 dans Astronomie générale
La réalité est qu’aujourd’hui, voler avec SpaceX peut revenir très cher : les deux vols réservés in extremis par la Commission européenne en 2023, pour déployer plusieurs satellites Galileo l’année dernière, ont coûté près de 200 millions de dollars. Avec 28 vols réservés par l’US Space Force pour 5,9 milliards de dollars, cela représente une moyenne de 210 M$ par lancement, bien au-dessus des prix de base, quel que soit le lanceur (Falcon 9 ou Falcon Heavy). Notons tout de même que le lancement d’un satellite militaire nécessite plus de moyens qu'à l'habitude car il peut nécessiter de meilleures performances de la fusée ainsi que des standards de sécurité très élevés. C’est le cas de ce contrat géant entre l’USSF et SpaceX, tout comme pour les vols Vulcan réservés chez ULA, qui sont d’ailleurs plus coûteux que SpaceX (autour de 285 M$ par lancement). " tire de futura science On est très loin des chiffres de bases annoncé par musk. Comme quoi ariane 6 à de l avenir et sera rentable à terme.😀 -
Les méga-constellations de satellites (Starlink etc.)
bon ciel a répondu à un sujet de Thierry Legault dans Astronomie générale
La guerre des étoiles ? La Russie et la Chine ont Starlink en ligne de mire https://www.clubic.com/actualite-561399-la-guerre-des-etoiles-la-russie-et-la-chine-ont-starlink-en-ligne-de-mire.html L’usage militaire de Starlink, notamment en Ukraine, inquiète sérieusement des puissances comme la Russie et la Chine. Au point que chacune développe activement des technologies capables de brouiller ou de neutraliser les signaux des satellites de SpaceX. Dans un rapport de plus de 300 pages, la Secure World Foundation (SWF), une organisation non gouvernementale entièrement consacrée à la durabilité de l'espace, analyse les capacités anti-satellite de douze pays, dont les États-Unis, la Russie et la Chine. Et le terme de « guerre spatiale » ne semble jamais avoir été autant d'actualité. Brouiller Starlink Une partie du document s'attarde sur Starlink, dont l'utilisation dans le conflit entre la Russie et l'Ukraine a ouvert une nouvelle page dans la militarisation des infrastructures spatiales. Son exploitation a même donné des idées aux forces armées du Kremlin : le système Tobol, initialement conçu pour protéger les satellites russes contre le brouillage, est désormais utilisé pour perturber les signaux Starlink au-dessus de l’Ukraine. Le pays développe même un dispositif plus avancé nommé Kalinka. Celui-ci est en mesure de détecter et bloquer les communications entre les satellites Starlink et leurs terminaux au sol, avec pour objectif de désactiver les communications militaires et les drones ukrainiens. Fait à ne pas négliger, il viserait aussi Starshield, la version militaire de Starlink, selon le rapport. De son côté, la Chine réfléchit elle aussi à des systèmes capables d'endommager les satellites de la constellation. Les auteurs de l'étude soupçonne le pays de concevoir des sous-marins à lasers équipés de mâts rétractables capables de viser les satellites Starlink ou de les surveiller. Ces plateformes pourraient opérer avec l’aide d’un guidage externe pour localiser les cibles, estiment-ils. La défense spatiale est aujourd'hui considérée comme un enjeu majeur par de nombreux pays. Les États-Unis, par le biais de la Space Force, testent actuellement des brouilleurs de satellites appelés Remote Modular Terminals. Pouvant opéré à distance, ils sont censés fournir une capacité de guerre électronique dans l’espace. Un débat urgent Alors que les tensions géopolitiques s'intensifient, ces efforts se multiplient. Il y a quelques semaines, Donald Trump signait par exemple un décret avec l'ambition de créer un « dôme de fer » visant à protéger les États-Unis des attaques intercontinentales. Et si pour l'heure, ces systèmes sont avant tout axés sur la défense, leur sophistication pourrait mener à des dispositifs plus agressifs. « Notre société et notre économie mondiales dépendent de plus en plus des capacités spatiales, et un futur conflit dans l'espace pourrait avoir des répercussions négatives massives et à long terme qui se feraient sentir ici sur Terre, car tout le monde sur cette planète utilise des données spatiales sous une forme ou une autre », alerte la Secure World Foundation. Dans ce contexte, l'organisme plaide pour un débat public ouvert et urgent sur les questions de sécurité spatiale, avec une coopération internationale renforcée, à plus de transparence sur les capacités militaires spatiales. Car dans le même temps, de plus en plus de satellites civils sont envoyés un orbite. Reste à voir si cet appel sera entendu… -
Une IA révèle des bulles cosmiques dans notre galaxie Des chercheurs japonais ont découvert des structures cosmiques invisibles à l'œil nu grâce à l'intelligence artificielle. https://www.techno-science.net/actualite/ia-revele-bulles-cosmiques-notre-galaxie-N26801.html Une équipe de l'Université métropolitaine d'Osaka a mis au point un modèle d'apprentissage profond pour analyser les données des télescopes spatiaux. Leur étude, publiée dans Publications of the Astronomical Society of Japan, a permis d'identifier des bulles de Spitzer, des formations gazeuses autour des étoiles massives. Ces bulles sont le résultat de l'activité intense des étoiles jeunes et des explosions de supernovae. Elles jouent un rôle clé dans la compréhension de la dynamique galactique et des cycles de vie stellaires. L'IA a permis de les repérer avec une précision inédite. Shimpei Nishimoto, étudiant en doctorat, et le professeur Toshikazu Onishi ont dirigé cette recherche. Leur modèle analyse les images des télescopes Spitzer et James Webb, révélant des structures jusqu'alors ignorées. Ces découvertes ouvrent de nouvelles perspectives sur l'évolution des galaxies. Les bulles de Spitzer sont des indicateurs précieux des phénomènes violents qui sculptent l'Univers. Leur étude pourrait aider à mieux comprendre comment les étoiles influencent leur environnement. L'IA se révèle être un outil indispensable pour l'astronomie moderne. Les chercheurs envisagent d'utiliser ces technologies pour explorer d'autres galaxies. L'objectif est de cartographier les structures similaires et d'étudier leur impact sur la formation stellaire. Cette approche pourrait modifier notre compréhension de l'Univers.
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Swarovski lance une lunette d'obvervation
bon ciel a répondu à un sujet de capt flam dans Astronomie pratique
c'est aussi ce que je reproche à pas mal de tests "d'influenceurs". ils ont les pieds et mains liés . la moindre note décevante de la marchandise et hop le "contrat " est caduc parfois ils ne jurent que par elle quitte à ne pas reconnaitre qu'on peut faire mieux ou plus simple/pratique ailleurs -
Collimation sur étoile - Question stupide
bon ciel a répondu à un sujet de Bretoc dans Astronomie pratique
Quand tu lances l ocal tu as la mire et parfois tu es obligé de mettre un offset sur cette mire. Tu geres ceci sur le panneau de droite.lien Avec l ocal toujours faire avec des bagues 2 pouces avec l adaptateur visse M48. Pour vérifier le tilt du PO je le fais avec ocal et l araignee sans le secondaire. cette mire doit taper pile poil au centre du trou de fixation du secondaire -
Collimation sur étoile - Question stupide
bon ciel a répondu à un sujet de Bretoc dans Astronomie pratique
Tu as une photo de ce que donne ton ocal? Pour ma part en ayant bien réglé le PO de mon cassegrain le décalage est nul. Au pire tu dois avoir un offset de 1 a 2 à mettre. -
Collimation sur étoile - Question stupide
bon ciel a répondu à un sujet de Bretoc dans Astronomie pratique
le collimateur takahashi est ultra précis du moment que ton porte oculaire est lui aussi bien positionné . donc ton secondaire est bien positionné . c'est ton primaire qui est dans le choux -
Les méga-constellations de satellites (Starlink etc.)
bon ciel a répondu à un sujet de Thierry Legault dans Astronomie générale
Amazon lancera 27 satellites à grande échelle le 9 avril dans le cadre du projet Kuiper Afin de construire un réseau internet mondial par satellite qui rivalisera avec Starlink de SpaceX https://reseau.developpez.com/actu/370718/Amazon-lancera-27-satellites-a-grande-echelle-le-9-avril-dans-le-cadre-du-projet-Kuiper-afin-de-construire-un-reseau-internet-mondial-par-satellite-qui-rivalisera-avec-Starlink-de-SpaceX/ Amazon lancera son premier lot de satellites internet Kuiper le 9 avril. Ce lancement est une étape cruciale pour le lancement du service commercial de Kuiper, l'initiative d'Amazon visant à transmettre l'internet à haut débit à ses clients à partir d'une orbite terrestre basse. Kuiper sera en concurrence avec le service Starlink d'Elon Musk, entre autres. En mars 2023, Amazon a dévoilé les antennes paraboliques de son projet d'Internet par satellite Kuiper et avait prévu un lancement en 2024. Amazon avait notamment dévoilé trois tailles différentes pour ses terminaux chargés d'assurer la liaison avec sa constellation Kuiper, avec des débits théoriques allant de 100 Mb/s à 1 Gb/s. Ainsi, les futurs utilisateurs de l'Internet par satellite Kuiper d'Amazon devraient avoir le choix entre plusieurs types de terminaux, offrant diverses possibilités de connexion. Récemment, Amazon rapporte que le projet Kuiper s'apprête à lancer son premier lot de satellites à grande échelle dans l'espace le 9 avril. La mission, baptisée « KA-01 » (Kuiper Atlas 1), sera réalisée par United Launch Alliance (ULA) à l'aide d'une fusée Atlas V depuis la station spatiale de Cap Canaveral, en Floride. Quelque 27 satellites seront lancés sur une orbite terrestre basse à une altitude de 450 kilomètres. La constellation de satellites de première génération du projet Kuiper comprendra plus de 3 200 satellites en orbite basse. Amazon assurera plus de 80 lancements, chacun ajoutant des dizaines de satellites au réseau. Rajeev Badyal, vice-président du projet Kuiper, a déclaré : "Nous avons conçu certains des satellites de communication les plus avancés jamais construits, et chaque lancement augmente la capacité et la couverture de notre réseau. Ce sera la première fois que nous ferons voler notre conception finale de satellite et que nous en déploierons autant en même temps. Quel que soit le résultat de la mission, ce n'est qu'un début, et nous sommes prêts à apprendre et à nous adapter pour les prochains lancements". Les satellites KA-01 ont été améliorés depuis les versions prototypes testées lors de la mission Protoflight d'octobre 2023. Les améliorations portent notamment sur les antennes à réseau phasé, les processeurs, les panneaux solaires, les systèmes de propulsion et les liaisons optiques intersatellites. Kuiper a également mis au point un film diélectrique unique pour les miroirs afin de réduire la visibilité des satellites depuis la Terre, répondant ainsi aux préoccupations des astronomes. La fusée Atlas V transportera pour cette mission la charge utile la plus lourde de son histoire. Pour ce faire, ULA utilisera sa configuration la plus puissante, qui comprend cinq propulseurs d'appoint à poudre en plus du propulseur principal et un grand carénage de charge utile mesurant 23,5 mètres de haut et 5 mètres de large. Au cours des prochaines années, Kuiper et ULA effectueront sept autres lancements d'Atlas V et 38 lancements supplémentaires à l'aide de la nouvelle fusée Vulcan Centaur d'ULA. Plus de 30 lancements supplémentaires seront effectués en partenariat avec Arianespace, Blue Origin et SpaceX. Après le lancement de KA-01, ULA supervisera la séquence de déploiement depuis son Centre d'opérations spatiales avancées. Une fois les satellites séparés de la fusée, l'équipe du projet Kuiper à Redmond, dans l'État de Washington, en prendra le contrôle. Les satellites effectueront des activations automatisées et utiliseront la propulsion électrique pour monter jusqu'à leur altitude orbitale finale de 630 kilomètres, voyageant à des vitesses supérieures à 27 359 km par heure et orbitant autour de la Terre environ toutes les 90 minutes. Lorsque les satellites auront achevé leur processus de mise en orbite, le projet Kuiper se concentrera sur l'établissement d'une connectivité réseau de bout en bout. Il s'agit de relayer les données internet de l'infrastructure au sol vers les satellites et jusqu'aux terminaux des clients. Le projet Kuiper prévoit d'augmenter les taux de production, de traitement et de déploiement en préparation de sa prochaine mission, KA-02, qui sera également lancée à bord d'une fusée Atlas V de l'ULA. Lorsque son système de satellites sera opérationnel, Amazon entrera en concurrence directe avec Starlink d'Elon Musk. Pour citer l'état du marché actuel, en seulement deux ans, le service Internet par satellite Starlink, développé par SpaceX, a vu son chiffre d’affaires presque tripler, atteignant près de 8 milliards de dollars en 2024, selon des estimations du cabinet d'analyse Quilty Space. Grâce à une constellation en expansion rapide et une adoption croissante, Starlink a déjà surpassé les anciens leaders du secteur et pourrait dépasser les 12 milliards de dollars de revenus en 2025. Avec 4,6 millions d’abonnés fin 2024 et une prévision de trois millions de nouveaux utilisateurs cette année, le service s’impose comme un acteur incontournable de la connectivité mondiale. Voici ce que l'on peut attendre du premier lancement de satellite à grande échelle du projet Kuiper : Commencement du déploiement à grande échelle Le projet Kuiper offrira un accès Internet à haut débit et à faible latence, et Amazon Prévoit de commencer à fournir le service dans le courant de l'année. Le système satellitaire de première génération comprendra plus de 3 200 satellites en orbite basse, avec plus de 80 lancements pour déployer cette constellation initiale, chacun d'entre eux ajoutant des dizaines de satellites au réseau. La mission KA-01 n'est que la première étape de ce processus. "Nous avons conçu certains des satellites de communication les plus avancés jamais construits, et chaque lancement est l'occasion d'accroître la capacité et la couverture de notre réseau", a déclaré Rajeev Badyal, vice-président du projet Kuiper. "Nous avons effectué de nombreux tests au sol pour préparer cette première mission, mais il y a des choses que l'on ne peut apprendre qu'en vol, et ce sera la première fois que nous ferons voler notre conception finale de satellite et la première fois que nous déploierons autant de satellites à la fois. Quel que soit le déroulement de la mission, ce n'est que le début de notre voyage, et nous avons tous les éléments en place pour apprendre et nous adapter alors que nous nous préparons à effectuer de nombreux lancements au cours des prochaines années". Les satellites qui volent sur KA-01 représentent une amélioration par rapport aux deux satellites prototypes testés lors de la mission Protoflight en octobre 2023. Amazon a amélioré les performances de chaque système et sous-système à bord, y compris les antennes à réseau phasé, les processeurs, les panneaux solaires, les systèmes de propulsion et les liaisons optiques intersatellites. En outre, les satellites sont recouverts d'un film diélectrique unique à Kuiper qui disperse la lumière solaire réfléchie afin de les rendre moins visibles pour les astronomes au sol. La charge utile du satellite du projet Kuiper sera la plus lourde que la fusée Atlas V d'ULA ait jamais transportée. Pour l'accueillir, ULA fera voler Atlas V dans sa configuration la plus puissante. La fusée comprendra cinq propulseurs à poudre en plus de son propulseur principal, ainsi qu'un carénage de charge utile (qui contient les satellites) de 23,5 mètres de haut et de 5 mètres de large. Au cours des prochaines années, les équipes de Kuiper et d'ULA procéderont à sept autres lancements d'Atlas V et à 38 lancements sur la plus grande fusée Vulcan Centaur d'ULA. Plus de 30 autres lancements sont prévus avec les autres fournisseurs de services de lancement : Arianespace, Blue Origin et SpaceX. -
Préparons-nous à l'avance: où serez-vous le 12 août 2026 ?
bon ciel a répondu à un sujet de leonardcauvra dans Astronomie générale
T as de la chance moi j ai eu les nuages. -
Faux. Sans les infos du "Web " une IA est incapable de te donner un quelconque résultat probant à ta question d astronomie. Elle n invente rien! Elles analysent des bases de données colossales, y compris Wikipédia, pour fournir des réponses précises et synthétiques .....quitte à marcher sur les droits d auteurs ; sur la confidentialité des données personnelles, Elle pose aussi des soucis de flux sur les serveurs de Wikipedia. De plus elle a besoin de l homme pour être entraînée. Bref je fais la même chose de concaténation en plus longtemps (mais en plus preci). Ces phrases sont souvent basiques et son descriptif survole très superficiellement la question. Il n y pas vraiment d intelligent dans ce travail. Pose lui la question sur la collimation d un télescope....je vais certainement me marrer rien qu en lisant la réponse.
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drôle de comparaison et surtout d'analyse : dans ton cas tu pars de rien alors que lorsqu'on fait appel à IA c'est pour avoir des infos à partir des données disponibles sur le net. la bonne analyse c'est comparer l'IA aux forum spécialisés et là il n'y pas photo: le forum sera plus précis et plus détaillé (pour dire vrai ) . pour exemple : hier j'ai regardé sur le net le montage d'un OAG . avec quelques mots clés cela m'a suffit à trouver une vidéo simple et clair d'un humain. lIA s'est bien pour la recherche , l'analyse de DATA , de modélisation mais pour le commun des mortels ça ne sert à pas grand chose.
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ASTRONAUTIQUE : l'actualité du lancement spatial
bon ciel a répondu à un sujet de jackbauer 2 dans Astronomie générale
Un concurrent chinois de Starlink, nommé SpaceSail ou « Qianfan » (Constellation des Mille Voiles), prévoit de lancer des services Internet par satellite dans plus de 30 pays, avec l’Afrique du Sud potentiellement incluse dans cette expansion. L’entreprise prévoit d’atteindre 648 satellites en orbite d’ici 2025 et envisage une constellation totale de 1 296 satellites. Déjà cinq vols pour le (principal) Starlink chinois Alors que la constellation internet de SpaceX a dépassé les 6 000 satellites sur orbite et compte plus d’un million d’abonnés, ce ne sont pas moins de quatre projets similaires qui sont en cours de développement dans l’Empire du Milieu. 18 satellites ont été mis en orbite avec la longue marcha 8 le 11 mars https://air-cosmos.com/article/deja-cinq-vols-pour-le-principal-starlink-chinois-70096 Genesat (Gesi Aéronautique), le principal contractant du projet, a signé un contrat pour la deuxième phase de son usine de fabrication de satellites dans le district de Songjiang à Shanghai, qui sera capable de produire 150 satellites de taille de 1 000 kg par an, et 300 satellites inférieurs à 500 kg, avec un cycle de production d'un satellite par jour. L'annonce a été faite lors de la Conférence de Shanghai sur la promotion de l'investissement mondial. Le deuxième projet d'usine de la société prévoit d'investir 1,2 milliard de yuan. Après l'achèvement du projet, il disposera d'une ligne de production de pulsation par satellite au niveau du tonnage, et la capacité de production sera rétrocompatible avec la production par lots de satellites. Le nom général du schéma est G60 Spacesail. Le projet a été lancé en 2024 en tant que rival avec la constellation de satellites Starlink installée par SpaceX, et prévoit de comprendre plus de 15 000 satellites à la fin du projet. Sur la base de la couverture de la télévision centrale des médias chinois en Chine, la Chine a prévu de lancer et d'établir 648 satellites d'ici la fin de 2025 dans le cadre des 1 296 satellites de la première phase de la construction de la constellation, avec la méga- constellation complète de satellites multimédia à large bande en place d'ici 2030. https://news.satnews.com/2025/04/01/chinas-thousand-sails-satellite-plan-at-phase-2/ fini la poule aux œufs d'ors pour musk. -
Sauf qu aujourd'hui on intègre l IA dans tous les domaines ( processeur, smartphone, serveur scientifique ,ect). C est un peu noyer le poisson. La consommation mondiale va être multiplié par 4 d ici 2050.
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Dans les laboratoires, les preuves se multiplient : certaines IA se font passer pour des humains, d’autres commettent des délits virtuels puis les nient, d’autres encore trichent au jeu, trahissent leurs partenaires, bluffent, flattent, ou font mine d’être incapables d’accomplir telle ou telle tâche. https://www.epsiloon.com/tous-les-numeros/n39/ia_et_maintenant_elle_nous_ment/ Ils mentent juste 6 fois sur 10.
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Toute cette dépense d énergie pour avoir un tel résultat mediocre. Pas étonnant que le QI des jeunes est en régression.
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ASTRONAUTIQUE : l'actualité du lancement spatial
bon ciel a répondu à un sujet de jackbauer 2 dans Astronomie générale
C’est quoi, Spectrum ? https://www.journaldugeek.com/2025/03/31/spectrum-ce-quil-faut-retenir-du-premier-lancement-orbital-depuis-leurope-de-louest/ Spectrum est un lanceur de très petit calibre, capable d’emporter une tonne de charge utile en orbite terrestre basse. Pour référence, c’est environ 10 fois moins qu’Ariane 62, la version à deux boosters de la vedette européenne. Elle n’a donc pas vocation à déployer des engins lourds tels que des télescopes. À la place, elle se concentre sur les lancements de petits satellites individuels, qui peuvent ainsi être déployés directement sur une orbite très précise avec une grande flexibilité et dans des délais relativement courts. La mise à feu, première étape critique de tout lancement, s’est globalement bien déroulée. La fusée a réussi à décoller sans problème, validant ainsi l’objectif principal de sa mission Malheureusement, cette grande première a tourné au vinaigre en moins d’une minute. 18 secondes à peine après le décollage, les opérateurs ont perdu le contrôle de la fusée. Ils ont donc été forcés de déclencher le protocole d’arrêt d’urgence, précipitant l’engin vers la surface. Le vol s’est donc conclu avec une explosion spectaculaire, mettant fin à tout espoir d’atteindre l’orbite du premier coup. L’entreprise n’a pas officiellement communiqué sur la nature des dysfonctionnements qui ont précipité Spectrum vers la surface. En observant les images de près, on constate toutefois que le système de contrôle vectoriel (ou TVC, l’ensemble d’éléments logiciels et mécaniques qui permettent de contrôler l’angle de poussée des moteurs) s’est mis à osciller rapidement d’un côté à l’autre peu avant le crash. Cela suggère que le problème a émergé soit du côté du système de contrôle, soit du système de propulsion. Spectrum étant doté de 9 moteurs individuels, la défaillance d’une ou plusieurs unités aurait aisément pu générer une asymétrie trop importante dans la poussée, au-delà des capacités de correction du TVC. Dans tous les cas, il faudra attendre la fin de l’enquête interne d’Isar pour en savoir plus. -
Le centre galactique cacherait une population insoupçonnée de trous noirs stellaires, bien plus dense que prévu. Une étude récente propose un mécanisme inédit expliquant leur accumulation et leurs effets destructeurs sur les étoiles environnantes. Restez toujours informé: suivez-nous sur Google Actualités (icone ☆) Le centre galactique cacherait une population insoupçonnée de trous noirs stellaires, bien plus dense que prévu. Une étude récente propose un mécanisme inédit expliquant leur accumulation et leurs effets destructeurs sur les étoiles environnantes. Cette région, dominée par le trou noir supermassif Sagittarius A* (Sgr A*), est le théâtre de phénomènes extrêmes. Masquée par des nuages de poussière, elle ne révèle ses secrets qu'à travers les observations en infrarouge et ondes radio. Les nouvelles modélisations publiées dans Astronomy & Astrophysics suggèrent un scénario de "broyage stellaire" alimenté par des millions de trous noirs. Un écosystème galactique violent La proximité de Sgr A* crée des conditions uniques où le gaz et la poussière atteignent des densités exceptionnelles. Cette concentration permet la formation rapide d'étoiles massives de types O et B, véritables géantes au destin tragique. Leur courte existence, inférieure à 5 millions d'années pour les plus massives, alimente un cycle infernal de création et de destruction. Le modèle révèle que chaque génération stellaire laisse derrière elle une cohorte de trous noirs stellaires. Ces vestiges gravitationnels, accumulés sur des milliards d'années, finiraient par dominer la dynamique locale. Leur présence massive accélérerait les interactions violentes, déchirant les étoiles survivantes et libérant de la matière pour de nouveaux cycles de formation stellaire. Cette "machine à broyer" cosmique atteindrait une efficacité redoutable près du noyau galactique. Les calculs montrent que la probabilité de collision entre étoiles et trous noirs y serait 1000 fois plus élevée qu'ailleurs dans la Voie lactée. Un tel environnement expliquerait pourquoi seules les étoiles B, moins massives et plus résilientes, parviennent à survivre durablement dans cette zone hostile. Des preuves indirectes et des implications Les étoiles massives de type O, des géantes 20 à 100 fois plus grosses que notre Soleil, sont bien plus vulnérables aux trous noirs que leurs cousines plus petites. C'est comme si vous aviez plus de chances de marcher sur une grande flaque d'eau qu'une petite goutte - leur taille imposante les expose davantage aux forces destructrices. Quand ces étoiles géantes s'approchent trop près d'un trou noir, elles subissent ce qu'on appelle la "spaghettification": étirées comme un élastique par la gravité intense jusqu'à se déchirer complètement. Les étoiles de type B, plus compactes (seulement 2 à 16 fois la taille du Soleil), résistent mieux à ces forces extrêmes. Cette théorie résout deux énigmes: l'absence d'étoiles O près du centre galactique et l'existence d'étoiles "hypervéloces". Lorsqu'une étoile B survit à une rencontre rapprochée avec deux trous noirs, elle peut être catapultée à des vitesses phénoménales, comme une pierre projetée par une fronde cosmique, assez vite pour échapper à la Voie lactée.
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ASTRONAUTIQUE : l'actualité du lancement spatial
bon ciel a répondu à un sujet de jackbauer 2 dans Astronomie générale
vu de haut ....et glou et glou -
Bonnes nouvelles du JWST (James Webb Space Telescope)
bon ciel a répondu à un sujet de jackbauer 2 dans Astronomie générale
La galaxie antique brille à travers les nuages de l'univers primitif Par James Ashworth Première publication 28 mars 2025 https://www.nhm.ac.uk/discover/news/2025/march/ancient-galaxy-shines-through-clouds-early-universe.html Bien avant la formation de la Terre, l'univers était plein de gaz laissés par le Big Bang. De nouvelles observations du télescope spatial James Webb ont révélé des signes précoces de la lumière qui brisent ce brouillard, illuminant le cosmos il y a plus de 13 milliards d'années. L'une des plus anciennes galaxies connues jette la lumière sur les premières années de l'univers. Au lendemain du Big Bang, l'univers était plein d'hydrogène et d'hélium. Ces débris cosmiques étaient particulièrement bons pour absorber les courtes longueurs d'onde, ce qui signifie que la lumière comme l'ultraviolet (UV) n'aurait pas dû pouvoir se déplacer très loin. Cependant, une galaxie très précoce brillait vivement seulement 330 millions d'années après le début de l'univers. Les mesures prises par le télescope spatial James Webb montrent que sa lumière UV a pu couper à travers les nuages de gaz, surprenant les astronomes dans le processus. Dr Kevin Hainline est le co-auteur de nouvelles recherches sur cette galaxie inhabituelle, qui n'est jusqu'à présent identifiée que par le code JADES-GS-z13-1. « Nous n’aurions vraiment pas dû trouver une galaxie comme celle-ci, étant donné notre compréhension de la façon dont l’univers a évolué », explique Kevin. « Nous pourrions penser à l’univers primitif entouré d’un épais brouillard qui rendrait extrêmement difficile la recherche de phares même puissants qui se baladaient, mais ici, nous voyons ici le faisceau de lumière de cette galaxie percer le voile ». Les astronomes espèrent que les résultats de leur étude, publiés dans la revue Nature, conduira à une meilleure compréhension des premières galaxies de l'univers. Les premières années de l'univers Si vous regardez dans le ciel nocturne, vous pouvez voir des étoiles qui sont à des millions d'années-lumière. Mais cela n'a pas toujours été possible, car la visibilité de l'univers a beaucoup changé au cours de ses premières centaines de millions d'années. Dans les moments qui suivent immédiatement le Big Bang, de vastes nuages d'hydrogène et d'hélium se sont condensés de matière subatomique, formant un plasma opaque qui a rempli l'univers entier pendant 380 000 ans. Finalement, l'univers s'est suffisamment refroidi pour que cette soupe opaque de gaz chargés se soit formée en atomes. Alors que cela a rendu l'univers transparent pour la première fois , il n'y avait pas beaucoup à voir - juste un nuage de gaz qui comblant le cosmos. Une fois que le nuage de gaz s'est effondré dans les premières étoiles et galaxies, différents types de lumière auraient commencé à éclairer l'univers. Mais la lumière UV aurait été l'une des rares exceptions, car l'hydrogène est très bon pour l'absorber. Jusqu'à récemment, on ne pensait pas que l'univers soit devenu complètement transparent à la lumière des étoiles jusqu'à la fin de l'époque de la réionisation il y a 12,8 milliards d'années. À ce stade, il y aurait eu suffisamment d'étoiles avec l'énergie pour ioniser les nuages d'atomes d'hydrogène et les diviser en protons et en électrons qui ne sont pas aussi bons pour absorber les UV. JADES-GS-z13-1, cependant, a près de 13,5 milliards d'années mais peut encore briller à travers le brouillard cosmique. Le défi pour les astronomes est de découvrir pourquoi. Qu'est-ce qui cause la lumière ? Pour que la lumière UV se soit échappée à travers le nuage, elle aurait dû sortir d'une bulle d'hydrogène ionisé mesurant au moins 650 000 années-lumière. C'est une distance assez longue que les UV auraient été étirés par l'expansion de l'univers en lumière visible, qui n'est pas piégée par l'hydrogène gazeux. Pour former une bulle cette grosse, JADES-GS-z13-1 doit avoir une source d'énergie très puissante en son cœur. Dr Joris Witstok , l'auteur principal de l'étude, dit que les premières étoiles puissantes pourraient convenir au projet de loi. «La grande bulle d’hydrogène ionisé entourant cette galaxie aurait pu être créée par une population particulière d’étoiles», explique Joris. « Il s’agit beaucoup plus massif, plus chaud et plus lumineux que les étoiles formées à des époques ultérieures, et peut-être représentatives de la première génération d’étoiles. » Si cette galaxie primitive en avait assez de ces étoiles massives, qui étaient des centaines de fois plus grandes que le Soleil, alors leur énergie aurait suffi à ioniser l'hydrogène autour d'elles. L'autre possibilité est que le processus n'est pas causé par les étoiles elles-mêmes, mais par leurs restes - en particulier, un trou noir supermassif. Alors que rien ne peut échapper à un trou noir une fois qu'il a traversé l'horizon des événements, les objets passent beaucoup de temps à grimper en flèche vers lui. Au fur et à mesure qu'ils tombent, jusqu'à 40 % de leur énergie est libérée comme de la lumière. , y compris les UV. Cela serait plus que suffisant pour ioniser l'hydrogène environnant. Ces deux théories sont difficiles à prouver, les chercheurs prévoient donc de réaliser d'autres observations du JADES-GS-z13-1 et d'autres galaxies précoces pour trouver celles qui sont les plus probables. Leurs découvertes pourraient en révéler davantage sur l'évolution de l'univers lui-même. -
ASTRONAUTIQUE : l'actualité du lancement spatial
bon ciel a répondu à un sujet de jackbauer 2 dans Astronomie générale
Après six jours de reports liés à des vents violents en altitude, la startup allemande Isar Aerospace (fondée en 2018 à Ottobrunn, près de Munich) a réalisé le 30 mars le premier essai en vol de Spectrum (Spectre), son microlanceur bi-étages, mis en œuvre depuis le port spatial d’Andoya, sur l’île norvégienne du même nom située au-dessus du cercle polaire arctique. La mission, intitulée « Going full Spectrum » (Passer au Spectre complet) et destinée à l’orbite héliosynchrone, n’embarquait aucune charge utile. Le décollage est intervenu à 10 h 30 UTC, les neuf moteurs Aquila à propane et oxygène liquides du premier étage s’allumant correctement, mais l’essai a tourné court : au bout d'une vingtaine de secondes, le lanceur a commencé à se retourner, avant de retomber lentement et terminer sa course dans l’eau, où il a explosé. Même si la séquence (retransmise en direct sur internet) a été impressionnante, pouvant laisser croire à un défaut de sauvegarde, Isar Aerospace assure que son lanceur « a plongé dans l'eau de manière contrôlée » et que, grâce à ses procédures de sécurité strictes et à celles du port spatial, « la sécurité de l'ensemble du personnel impliqué [sur cet essai] a été garantie à tout moment ». https://air-cosmos.com/article/impressionnante-explosion-en-vol-du-microlanceur-allemand-spectrum-70080 Enthousiasme et satisfaction malgré tout Cette tentative de lancement orbital ratée reste malgré tout une première depuis le continent européen, à la grande satisfaction d’Isar Aerospace qui considère avoir atteint ses objectifs : « Notre premier vol d'essai a répondu à toutes nos attentes, avec un grand succès, s’est félicité Daniel Metzler, président et co-fondateur de la société. Nous avons eu un décollage propre, 30 secondes de vol et avons même pu valider notre système de terminaison de vol. » Selon le communiqué de presse suivant, le vol, bien qu’incomplet, « a permis à l'entreprise d'accumuler une quantité importante de données de vol et d'expérience à exploiter lors de futures missions ». -
moi je suis revenu à la raquette physique sur ma NYX101 en observations visuelles pour plusieurs raisons : - difficile de faire joujou avec la raquette virtuelle sur un smartphone . le sensibilité n'est pas la même qu'une vrai raquette et passer mon temps à regarder la raquette virtuelle puis l'oculaire ça m' a carrément blasé - impossibilité de faire fonctionner la monture et mon focuser sur le même wifi . tu es obligé de déconnecter l'un pour te reconnecter sur l'autre . vivement que primaluce sorte une raquette physique pour son focuser - déconnection automatique de l'appli UNITY des que tu veux aller consulter un autre module (internet ,forum ,etc) - effet d’éblouissement et adaptation de ta vision . avec ma 10 micron en visuel toutes mes mises en stations se font rien qu'a la raquette . c'est hyper simple et rapide . alignement sur 3 étoiles ; puis sur la polaire et enfin 5 étoiles à mémoriser avec un oculaire guide pour un suivi parfait toute la nuit c'est pas ce que dit ma voisine quand elle sort son chien. rien que les leds de mon eagles 4S lui indique que je suis sorti faire de l'astro . alors un écran de portable c'est la fête au village
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Questions aux possesseurs de Cassegrain Kepler GSO 200
bon ciel a répondu à un sujet de Larbucen dans Astronomie pratique
Une autre astuce pour pointer la lune sans chercheur. sans oculaire tu regardes le secondaire à l intérieur du tube. Quand il est bien illuminé tu as centre le tube. -
Questions aux possesseurs de Cassegrain Kepler GSO 200
bon ciel a répondu à un sujet de Larbucen dans Astronomie pratique
oui sans oculaire . d'ici la fin de la semaine la lune revient parmi nous tu mesures la distance et tu ajustes avec les bagues en ta possession