Partie supérieure du spectrohéliographe

 

Le monochromateur


a - miroirs sphériques 76/700mm montés sur barillet à 3 points de contact

b - écran noir contre la lumière parasite

c - miroir plan de renvoi à 90°

d - support réglable de miroir plan

e - fente d'entrée (sur face inférieure)

f - réseau dans son support

g - platine CCD

h - bāti en bois (dimensions extérieures: 800x200x11cm, epaisseur du bois: 1cm)


Cet élément est - bien entendu - solidaire de la une partie inférieure du SHG.

La difficulté du montage réside principalement dans l'usinage des supports des pièces optiques, qui doivent permettre divers mouvements, et dans l'alignement de ces optiques. La rigidité doit être très bonne ; l'alignement ne doit pas bouger quand on modifie l'orientation de l'instrument.

L'ensemble du bāti est coiffé d'un couvercle en "carton plume", très léger, non représenté ici. L'intérieur du SHG est peint en noir mat ou mieux, recouvert de feutre noir. Les pièces mécaniques sont également peintes en noir mat.

 

La fente d'entrée


a - support des miroirs plans

b - miroirs plans

c - disque en fer (métal magnétique)

d - lame biseautée

e - aimant en anneau

f - bâti du spectrohéliographe

 

Les lames de la fente sont en métal et doivent être de préférence polies pour rejeter au maximum la chaleur. Le biseau est rectifié avec un abrasif fin. Les trous de passage des vis sont élargis pour permettre le réglage de l'écartement des lames. Les 2 miroirs plans qui viennent se placer devant la fente ont également pour fonction de rejeter la plus grosse partie de la chaleur. La température des lames ne doit pas être excessive (turbulence, dilatation...). L'aimant annulaire peut être récupéré par exemple sur un haut-parleur. On peut, bien sûr, envisager d'autres modes de fixation.

 

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