Anonyme_14 6 212 Posté(e) 28 novembre 2018 (modifié) Moi ce qui m'amuse à chaque fois, c'est l'aspect finitions au duct tape ! Voir les cables ou le sismo sur la gauche ! Bon, mes manips aussi hein ! Mais moi mes manips, elles ne voyagent pas dans l'espace dans des conditions de malade ! Ça donne un côté machine martienne bricolée par des geeks dans leur garage ! Modifié 28 novembre 2018 par Tournesol Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
a s p 0 6 952 Posté(e) 28 novembre 2018 (modifié) le kapton c'est extraordinaire comme adhésif: il ne dégaze que très peu sous vide et il résiste bien aux variations de température aussi. il existe en différentes épaisseurs bien régulières et le prix est très compétitif, ça donne juste envie de l'utiliser dès que tu as besoin d'un adhésif un peu performant. c'est un isolant électrique aussi. Modifié 28 novembre 2018 par asp06 1 2 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Anonyme_14 6 212 Posté(e) 28 novembre 2018 (modifié) il y a 42 minutes, asp06 a dit : le kapton c'est extraordinaire comme adhésif: il ne dégaze que très peu sous vide et il résiste bien aux variations de température aussi. il existe en différentes épaisseurs bien régulières et le prix est très compétitif, ça donne juste envie de l'utiliser dès que tu as besoin d'un adhésif un peu performant. c'est un isolant électrique aussi. Ce que je voulais dire aussi, c'est que cela donne une (fausse) impression qu'aller sur Mars, c'est facile avec un peu de bricole ! Après on s'étonne que certains se disent que pour la terraformer, il suffise d'y envoyer quelques bombinettes aux pôles ! Modifié 28 novembre 2018 par Tournesol 1 1 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
a s p 0 6 952 Posté(e) 28 novembre 2018 ça en a peut être l'air mais c'est tout sauf du bricolage. les discours optimistes de musk vont certainement devenir plus réalistes dès la première véritable mission vers mars. 2 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
vaufrègesI3 17 521 Posté(e) 28 novembre 2018 il y a 4 minutes, asp06 a dit : Les discours optimistes de musk vont certainement devenir plus réalistes dès la première véritable mission vers mars. Après ou avant la terraformation ??? .. Il y a 2 heures, Tournesol a dit : Ça donne un côté machine martienne bricolée par des geeks dans leur garage ! il y a 12 minutes, asp06 a dit : ça en a peut être l'air mais c'est tout sauf du bricolage. Image, prise à l'espace Lockheed Martin de Littleton, au Colorado (1,8 mb).. C'est un peu le bazar là dedans, mais tous les engins posés sur Mars sont configurés ainsi, et ça marche ! Un quincaillerie bizarre qui va vomi deux trucs au sol, entourée par deux parapluies sombres . On est loin de "la guerre des étoiles", ça risque de bien faire marrer les klingons : 3 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Anonyme_14 6 212 Posté(e) 28 novembre 2018 il y a 4 minutes, vaufrègesI3 a dit : Image, prise à l'espace Lockheed Martin de Littleton, au Colorado (1,8 mb).. C'est un peu le bazar là dedans, mais tous les engins posés sur Mars sont configurés ainsi, et ça marche ! J'aime beaucoup la mention : "remove before flight" 1 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
vaufrègesI3 17 521 Posté(e) 28 novembre 2018 Ah oui, j'ai trouvé ! Ce rose.. c'est chou !!.. 1 2 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
jackbauer 2 17 588 Posté(e) 29 novembre 2018 Hélas, on aura pas de photos de l'arrivée de la sonde prises avec l'orbiter MRO : 1/ MRO’s attempt to image InSight on the parachute during its descent was unsuccessful. 12:15 - 28 nov. 2018 1 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Fourmi103 287 Posté(e) 29 novembre 2018 Si on veut rentrer dans le détail, la prise de vue a été effectuée, mais il se trouve qu'en raison de conditions assez délicates, les images ont été surexposées, donc on ne voit rien dessus. C'est assez bête sur ce coup là… Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
BobMarsian 2 869 Posté(e) 29 novembre 2018 Il y a 23 heures, vaufrègesI3 a dit : Viking > 300 kilomètres sur 100 Peut-être un peu plus resserré, selon le livre d'Olivier de Goursac : "A la conquête de Mars" (Larousse, 2000) : 230 x 100 km (99 % de chance d'y atterrir) et 94 x 40 km (50 % de chance de s'y poser) ... Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
vaufrègesI3 17 521 Posté(e) 29 novembre 2018 il y a une heure, BobMarsian a dit : Peut-être un peu plus resserré, selon le livre d'Olivier de Goursac : "A la conquête de Mars" (Larousse, 2000) : 230 x 100 km (99 % de chance d'y atterrir) et 94 x 40 km (50 % de chance de s'y poser) ... Il faut prendre ces chiffres (et particulièrement ceux des Viking) avec des pincettes.. Ce sont des estimations établies en fonction de paramètres de l'époque. Et en effet les chiffres peuvent varier selon les sources. Si on se réfère à l'image des ellipses postée par Damia (qui est un document Nasa) et qu'on exécute la conversion miles/km, pour les Viking on trouve une ellipse de 280 km sur 99,77 km.. J'ai utilisé plusieurs sources généralement fiables (dont par exemple celle de Philippe Labro sur Nirlal.net). Mais Olivier de Goursac est en principe lui aussi très bien renseigné. Bref, c'est entre 230 et 300 km, tout le monde a raison .. 2 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Alain MOREAU 8 417 Posté(e) 29 novembre 2018 Bah faut interpréter ces ellipses plutôt en terme de probabilité qu'en tout ou rien si j'ai bien compris, comme une cible pour le tir : un tir précis a beaucoup plus de chances d'être proche du centre que du bord... mais ce n'est jamais infaillible, surtout ici en raison de la variabilité atmosphérique. Je suppose qu'on dimensionne donc l'ellipse en fonction d'une probabilité d'atterrir à l'intérieur, selon d'une part la précision des moyens de guidage et de correction ultime de trajectoire dont on dispose sur l'engin, et d'autre part de la connaissance plus ou moins fine des paramètres atmosphériques sur la trajectoire de rentrée dont on dispose à l'instant T ? Ce doit être un fameux casse-tête ! Merci de la précision Damia ; c'est ballot en effet. 4 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Fourmi103 287 Posté(e) 29 novembre 2018 (modifié) J'ai oublié de préciser une particularité intéressante dans la mission Viking : contrairement à MPF, MER, MSL, Phœnix et InSight (ainsi que Schiaparelli, Beagle 2), l'atterrissage sur Mars ne s'est pas déroulé directement à l'arrivée. Pour une simple et bonne raison, on manquait de données cartographiques précises en 76. Alors l'idée a été d'embarquer les Lander à bord des Orbiter, qui pendant plusieurs mois on cartographié les sites d'atterrissages candidats, avant qu'une décision soit prise. Et seulement à partir de cet instant, il fut possible de lancer les calculs de trajectoires et charger le programme d'entrée, descente et atterrissage à bord des Lander. Ce qui veut dire qu'au moment du lancement de la mission Viking dans l'espace, on n'avait pas du tout de programme d'atterrisage précis, juste un protocole, auquel il aura fallu injecter des données. Donc concrètement, la trajectoire pour pose les Lander a été calculée depuis une orbite martienne, et non depuis la Terre. Ce qui fait une énorme différence par rapport à InSight, par exemple. En d'autres termes, il aurait été bien plus difficile à l'époque de poser en sécurité les Vikings sur Mars en insertion directe. Procédure que l'on fait maintenant systématiquement, avec une précision bien meilleure Modifié 29 novembre 2018 par Fourmi103 5 2 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
hamilton 7 306 Posté(e) 29 novembre 2018 (modifié) « Mars, nécropole à sondes spatiales » (voire fossoyeur en son temps des ambitions de l’ex URSS…) me suggère un titre d’article trouvé sur le net... Plus de 40 années après Vicking, je trouve finalement que le débat autour de la précision du « touch down » , outre bien sûr les informations passionnantes sur l’évolution historique de la maîtrise technique de ces atterrissages nous ramenant à la question « exploit ou pas exploit pour Insight ? »,reste un peu secondaire. Bien sûr, vu par" le gilet rouge" que je suis, c'est à dire un candide à l'esprit curieux, et qui suit quand même un peu ce barnum fascinant. Se poser à la surface d’une planète située à des dizaines de millions de kilomètres de la Terre en atmosphère ténue aujourd’hui encore est une entreprise à haut risque, même si les temps ont changé. Pour les missions Vicking, nous aurions, à l’époque, pu à la rigueur, être sollicités à hauteur du dépôt symbolique à la surface de la Belle Rouge d’un Camembert AOP (si ce n’était le risque de contamination…d’ailleurs de quoi ou qui ?? ), dans un monde « clivé » d’Est en Ouest, où les USA exprimaient en solo leur toute puissance technologique et n’avaient quasiment besoin de personne. Sans faire injure à "Ariane" évidemment ! Aujourd’hui, les coopérations, les synergies (ça se dit encore ??) président davantage à ce qui reste une aventure humaine scientifique davantage partagée, avec ses aléas donc, même si les avancées technologiques en ont réduit les risques (et dans notre cas augmenté la précision du ciblage). De par son nom, Vicking induisait à mon sens le fantasme de l’avant-garde d’une hypothétique colonisation. Photographier les paysages qui ont montré des « semblances » de décors terrestres,et trouver de l’eau (trouver de la Vie et permettre à la vie de vivre là-bas…un jour ?). Le Graal actuellement est raisonnablement de mieux connaître le scénario plausible de naissance, de vie ?, de mort, puis de survie d’une planète dont l’origine, la composition géologique rappelle la nôtre. Géologie, biologie, climatologie ….fédérées dans la planétologie et l’exobiologie avec pour cette dernière plus de choux blancs que de choux verts, de cellules primitives, voire de fossiles à se mettre sous le microscope, restent les fers de lance de cette épopée. Le plus important est ici, maintenant, ce mouvement amorcée de la connaissance partagée de notre « proche environnement » , déjà bien lointain à l’échelle humaine ! Les Vicking ont atterri là où ils pouvaient, comme ils le pouvaient ( c’est une boutade ), grâce à une technologie déjà remarquable, sur la côte d’un nouveau monde désertique, secondés par un observateur satellisé qui a cartographié comme jamais auparavant cette nouvelle et autre terre. Insight poursuit en quelque sorte l’avancée engagée depuis, pour saisir maintenant ce que la planète a dans le ventre et en filigrane, pourquoi cette petite sœur est devenue (ou a toujours été ?) stérile. Pour le coup, aucun « natif » .... n’aura à souffrir de cette conquête. La mission Vicking demeure donc un exploit, au même titre que celle qui à présent maintient dignement la lignée des sondes martiennes. Le progrès, c’est la coopération d’une humanité qui pourtant par ailleurs laisse dériver des « Aquarius ». Mais c’est une autre histoire…..Comme Mars nous raconte une autre histoire. Amitiés Modifié 29 novembre 2018 par hamilton 3 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Huitzilopochtli 6 708 Posté(e) 30 novembre 2018 Bonsoir, Un article sur spaceflight.com pour détailler les expériences et les divers déploiements d'instruments : https://www.nasaspaceflight.com/2018/11/insight-healthy-two-earth-year-primary-science-mission/ 2 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
BobMarsian 2 869 Posté(e) 30 novembre 2018 (modifié) Le 29/11/2018 à 13:40, vaufrègesI3 a dit : Le 29/11/2018 à 12:09, BobMarsian a dit : Peut-être un peu plus resserré, selon le livre d'Olivier de Goursac : "A la conquête de Mars" (Larousse, 2000) : 230 x 100 km (99 % de chance d'y atterrir) et 94 x 40 km (50 % de chance de s'y poser) ... Il faut prendre ces chiffres (et particulièrement ceux des Viking) avec des pincettes.. Ce sont des estimations établies en fonction de paramètres de l'époque. Et en effet les chiffres peuvent varier selon les sources. Si on se réfère à l'image des ellipses postée par Damia (qui est un document Nasa) et qu'on exécute la conversion miles/km, pour les Viking on trouve une ellipse de 280 km sur 99,77 km.. J'ai utilisé plusieurs sources généralement fiables (dont par exemple celle de Philippe Labro sur Nirlal.net). Mais Olivier de Goursac est en principe lui aussi très bien renseigné. Bref, c'est entre 230 et 300 km, tout le monde a raison .. Pour en finir sur la question et désolé d'insister , une autre source (Albert Ducrocq) puisée dans mes antiques archives papier d'Air et Cosmos de l'époque, donne 230 x 85 km (99%) : PS : A noter sur l'image du bas, le curieux détail topographique qui a enflammé l'imagination à une certaine époque ... Modifié 2 décembre 2018 par BobMarsian 3 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
jackbauer 2 17 588 Posté(e) 1 décembre 2018 https://www.jpl.nasa.gov/news/news.php?release=2018-278 Insight est devenu l'engin martien qui génère le plus d'énergie !! 2 2 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Huitzilopochtli 6 708 Posté(e) 1 décembre 2018 Erreur sur le doc ci-dessus ! Les sondes Viking ne possédaient pas de panneaux solaires mais étaient alimentées en énergie par des générateurs thermoélectriques à radioisotope. (Ce n'est pas moi qui ai remarqué cette petite anomalie) Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
vaufrègesI3 17 521 Posté(e) 1 décembre 2018 (modifié) il y a 50 minutes, Huitzilopochtli a dit : Erreur sur le doc ci-dessus ! Les sondes Viking ne possédaient pas de panneaux solaires mais étaient alimentées en énergie par des générateurs thermoélectriques à radioisotope. Oui, mais pareil pour Curiosity, et le document ne spécifie pas qu'il s'agit de panneaux solaires InSight s'appuie sur deux panneaux solaires ultra-flexibles de forme circulaire, d'une surface totale de 4,2 m2 (identiques à ceux de Phoenix) permettant de fournir par temps clair une puissance comprise entre 600 et 700 watts. Même lorsque la poussière recouvre les panneaux, ils devraient être capables de fournir au moins 200 à 300 watts. Mais InSight dispose d'un avantage de taille par rapport à Phoenix, surtout lorsque ses deux instruments scientifiques majeurs, le sismomètre SEIS et le capteur de flux de chaleur HP3, auront été déposés au sol, et que le bras robotique ayant servi au déploiement sera parqué en position replié, le pont sera pratiquement vide. Les ingénieurs ont donc installés 7 panneaux solaires auxiliaires dont l'un au niveau de l'emplacement occupé par le bouclier éolien et thermique, pour une surface totale de 0,8 m2. Un supplément de puissance bienvenu qui permettra à InSight de traverser des périodes de faible ensoleillement l'esprit tranquille, que ce soit sous le couvercle menaçant d'une tempête de poussière (pas trop intense quand même) ou durant les rigueurs hivernales. Les panneaux solaires de l'atterrisseur permettent de recharger une paire de batteries au lithium de 25 ampères-heure, qui alimenteront la sonde en énergie électrique durant les périodes d'obscurité. La consommation électrique du sismomètre SEIS sera d'environ 5 watt (8,5 watt en pic). Elle variera en fonction des modes de mesure. Ainsi, en hiver, lorsque l'ensoleillement sera réduit et que la puissance électrique disponible fournie par les panneaux solaires sera plus faible, le sismomètre enregistra moins de données. Au contraire, à d'autres moments, il sera configuré en mode campagne, pour maximiser le nombre et la qualité des mesures sismiques, et il sera alors plus gourmand. L'équipe de la mission du Jet Propulsion Laboratory de la NASA à Pasadena, en Californie, s'emploie à en savoir plus sur le site d'atterrissage de l'engin spatial. Ils savaient, lors de l'atterrissage d'InSight le 26 novembre, que la sonde avait atterri sur la cible, une plaine de lave appelée Elysium Planitia. Maintenant, ils ont déterminé que le véhicule était légèrement incliné (environ 4 degrés) dans un cratère d'impact peu profond rempli de poussière et de sable. InSight a été conçu pour fonctionner sur une surface présentant une inclinaison maximale de 15 degrés. "L'équipe scientifique espérait atterrir dans une zone sablonneuse avec peu de roches depuis le choix du site d'atterrissage, nous ne pourrions donc être plus heureux", a déclaré Tom Hoffman, responsable du projet InSight chez JPL. "Il n'y a pas de pistes d'atterrissage ou de pistes sur Mars, donc descendre dans une zone qui est fondamentalement un grand bac à sable sans gros rochers devrait faciliter le déploiement des instruments et fournir un excellent endroit pour notre taupe pour commencer à creuser." La rocaille et la pente contribuent à la sécurité lors de l'atterrissage et sont également importants pour déterminer si InSight peut réussir sa mission après l'atterrissage. Les roches et les pentes pourraient affecter la capacité d'InSight à placer sa sonde de flux de chaleur - également appelée "la taupe" ou HP 3 - et son sismomètre ultra-sensible, SEIS, à la surface de Mars. Avoir atterri sur une pente trop raide dans la mauvaise direction aurait également pu compromettre la capacité de l'engin spatial à obtenir une sortie de puissance adéquate de ses deux panneaux solaires, alors qu'atterrir à côté d'un gros rocher aurait pu empêcher InSight de pouvoir ouvrir l'un de ces panneaux. En fait, les deux baies complètement déployées peu après l’atterrissage. InSight a ouvert le cache de l'objectif de sa caméra de contexte d'instrument (ICC) le 30 novembre 2018 et a capturé cette vue de Mars. Situé sous le pont de l’atterrisseur InSight, la caméra a une vue fisheye, créant un horizon incurvé. Quelques amas de poussière sont encore visibles sur l’objectif de l’appareil photo. L’un des repose-pieds de l’engin spatial est visible dans le coin inférieur droit. La boîte d’attache du sismomètre se trouve dans le coin supérieur gauche. https://mars.nasa.gov/news/8395/mars-new-home-a-large-sandbox/?site=insight Modifié 1 décembre 2018 par vaufrègesI3 3 2 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Superfulgur 18 884 Posté(e) 1 décembre 2018 (modifié) Il y a 8 heures, jackbauer 2 a dit : Insight est devenu l'engin martien qui génère le plus d'énergie !! Sachant que Insight est un clone modernisé de Phoenix, avec apparemment la même surface de panneaux, comment ont ils fait pour plus que doubler la puissance électrique ? Est ce seulement dû au fait qu'il est à l'équateur, alors que Phoenix était près du Pôle ? EDIT : Daniel on s'est croisé, il me semble que ta réponse circonstanciée ne rend pas compte de ce plus que doublement… Donc c'est la différence de latitude, c'est ça ? Modifié 1 décembre 2018 par Superfulgur Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
vaufrègesI3 17 521 Posté(e) 1 décembre 2018 (modifié) il y a 22 minutes, Superfulgur a dit : Sachant que Insight est un clone modernisé de Phoenix, avec apparemment la même surface de panneaux, comment ont ils fait pour plus que doubler la puissance électrique ? Est ce seulement dû au fait qu'il est à l'équateur, alors que Phoenix était près du Pôle ? Pour une bonne part, sans doute aussi oui, et on est en plein été.. PS > Il ne s'agit pas du niveau de puissance (kw) mais de la quantité de kwh fournie. Modifié 1 décembre 2018 par vaufrègesI3 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Huitzilopochtli 6 708 Posté(e) 1 décembre 2018 il y a 24 minutes, vaufrègesI3 a dit : Oui, mais pareil pour Curiosity, et le document ne spécifie pas qu'il s'agit de panneaux solaires Je ne comprends pas. Pour Curiosity, il est bien indiqué radioisotope power ! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
vaufrègesI3 17 521 Posté(e) 1 décembre 2018 Ah oui, tu as raison, j'avais pas vu ces mentions. C'est bien une erreur Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
hamilton 7 306 Posté(e) 1 décembre 2018 (modifié) Tout cela est passionnant amis marsophiles... Soyez-en encore une fois remerciés. Chacun apportant à hauteur de ses compétences, ce qui est bien la richesse de ce forum d'amateurs ( "ceux qui aiment"), au hasard de mes pérégrinations sur le net ( ma petite revue de presse grand public) j'ai trouvé sympa le titre de cet article. A la réflexion, ce titre est même en "retrait" de la réalité de cette mission puisque la sonde ne va pas se contenter de papouiller" la surface, mais va bien entretenir avec cette planète de par son sismographe, une relation plus "intime",sentir et relater ses "vibrations". On n'attire pas les mouches avec du vinaigre, et pour le grand public,outre un contenu détaillé et adapté, l'important se loge souvent comme dans la vie, dans la façon dont on dit les choses. Sans parti pris ( un peu quand même ...), je vous le livre, ainsi que mon grand secret..., un sous-verre qui est resté de 2003 à 2016 dans un coin de mon séjour ( me valant des "comme c'est moche" mais j'ai résisté jusqu'au re-tapissage de la pièce). Il me plaisait. Ai-je droit à une médaille du passionné ou à celle du mauvais goût??? Amitiés Modifié 1 décembre 2018 par hamilton 1 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Kaptain 6 311 Posté(e) 1 décembre 2018 Il y a 3 heures, vaufrègesI3 a dit : Il ne s'agit pas du niveau de puissance (kw) mais de la quantité de kwh fournie. Euh, c'est quoi la différence, j'ai jamais rien compris à ces unités... Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites