Invité communicationrel

Hypothèse de l'Univers sphérique et euclidien (3-sphère euclidienne)

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@edubois3, tu es courageux ;) tu essaies de répondre à ses propos en argumentant.

il vient de prouver grâce à l'analyse remarquable de @dg2   qu'il était dans le cas ii)

Le 02/09/2021 à 15:27, dg2 a dit :

 .... des propos totalement dénués de sens. Donc inutile de demander à qui que ce soit si on est d'accord avec ce que vous dites

 

Je suis plus sévère : @machin-irrationnel est l'exemple même de l'imbécilité : il ne comprends pas ce qu'on lui dit, il ne comprend pas ce que sont le temps, l'espace, une courbure, une invariance, une force, une métrique, une vitesse, l'inertie la masse...etc... et donc il peut mélanger ces termes à vau-l'eau sans que cela puisse avoir un quelconque sens... l'exemple typique est son post précédent... et je ne suis pas certain qu'il se comprenne lui-même tant il se contredit... Bref,  il ne devrait pas avoir le champ libre sur un forum sérieux

En plus, il est méprisant en n'écoutant pas les conseils et est inculte sur l'histoire des sciences

Il y a 7 heures, communicationrel a dit :

Tes explications ne sont pas des explications. "(la physique newtonienne s'applique avec des vitesses de déplacement v << c)" oui mais pourquoi ?

Juste un rappel : dans la théorie de la relativité générale, la gravitation n'est pas une force comme le sont les interactions électromagnétique, faible et forte.

il n'y a pas de vecteur (boson) connu. l'attraction des masses s'explique par la courbure qu'elles exercent sur l'espace-temps. de plus ces masses restent en chute libre si aucune autre force ou choc ne vient les dévier.

Newton n'a pas fait d'erreur de calcul, sa théorie de la gravitation universelle basée sur une force "simple" était incomplète et donc elle est tout bonnement obsolète et fausse.

Cependant pour des "simplifications" de calculs nous pouvons toujours utiliser ses lois pour des champs gravitationnels faibles : https://fr.wikipedia.org/wiki/Approximation_des_champs_faibles

Les "diagrammes" de truc ne sont que des représentations locales et qui ne peuvent donc pas se généraliser... c'est comme si je voulais prouver que la Terre était plate en restant sur une surface infiniment petite... elle est donc plate CQFD 9_9

 

Donc je comprends la curiosité que peut inspirer la relativité générale, avec toutes ses conséquences sur nos observations, tant elle est complexe.

Mais le point de départ d'une vraie démarche intellectuelle, en ayant la chance d'avoir des bases solides en mathématique et en physique, c'est de reprendre l'histoire des sciences et de comprendre pourquoi Einstein en est un des génies les plus remarquables en ayant réussi cet exploit de la théorie de la relativité

 

Les salamalecs de truc n'expliquent rien, n'aboutirons jamais à rien. il ne pourrait jamais aboutir à l'équivalence masse énergie, ni à l'existence des trous noirs, ni à l'évolution de l'équation de Schrödinger vers l'équation de Dirac en physique quantique. il ne pourra pas prédire une quelconque observation inédite.

Il ne fait qu'embrouiller les lecteurs.

 

bon normalement nous devrions franchir la page 38... la surchauffe

Modifié par marco polo
Orthographe
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Marco Polo,

 

Tu remplaces juste "à volo" par "à vau-l'eau" et ce sera perfecto !

 

😁

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Invité communicationrel

dg2 n'a pas répondu à ma question. S'il montre que ma relation est fausse alors je serai obligé de reconnaître que j'ai tout faux. Mais alors qu'il le fasse.

En attendant je vais préparer un petit topo sur la relativité restreinte.

 

il y a 36 minutes, marco polo a dit :

En plus, il est méprisant en n'écoutant pas les conseils et est inculte sur l'histoire des sciences

C'est qui déjà celui qui avait raconté que l'espace-temps euclidien ça existe depuis Galilée ?

Modifié par communicationrel

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il y a 13 minutes, communicationrel a dit :

'est qui déjà celui qui avait raconté que l'espace-temps euclidien ça existe depuis Galilée

Je ne sais pas, mais pas moi :D

il y a 20 minutes, JPP 78 a dit :

Tu remplaces juste "à volo" par "à vau-l'eau" et ce sera perfecto !

Merci, je change, ce n'est pas de l'italien ! 

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Invité communicationrel

Si vous photographiez les deux extrémités d'un objet en mouvement mais à deux moments différents la distance entre ces deux extrémités parait plus courte.

D'abord on photographie l'extrémité de l'objet qui se trouve dans le sens du déplacement.

Ensuite on photographie l'extrémité arrière.

Entre les deux photos l'objet se sera déplacé et par conséquent sur la deuxième photo l'extrémité arrière ne sera pas placée au même endroit que si les photos avaient été prises en même temps.

On a donc l'impression que l'objet est plus court.

La contraction des longueurs, c'est exactement ça. La personne qui prend une photo de l'objet qui se déplace la prend en un seul et même instant dans son référentiel, mais elle est prise à deux instants différents dans le référentiel en mouvement et l'objet est vu raccourci.

Il faut noter là que la VRAIE longueur de l'objet est sa longueur au repos, l'autre mesure est mal faite.

Si le photographe mesure un objet en mouvement qui a une horloge à chaque extrémité, elles ne marqueront pas la même heure pour lui ; donc sa photo ne sera pas prise au même moment. L'horloge de l'arrière sera en avance et donc aura fait plus de chemin que l'horloge de l'avant, et c'est ainsi que l'objet paraîtra contracté.

 

Maintenant, géométriquement, on peut se représenter cela dans un espace à 4 dimensions euclidien.

L'objet en mouvement a effectué une rotation dans la dimension du temps, ne laissant entrevoir qu'une partie de sa longueur entière dans l'espace.

L'autre partie étant plongée dans le temps, les deux extrémités sont à deux époques différentes, ce qui peut se représenter spatialement par une profondeur orthogonale au sens de déplacement.

 

Cette représentation euclidienne de l'espace-temps est-elle en accord avec les transformations de Lorentz oui ou non ?

 

A-t-on ou non Longueur totale ² = longueur visible ² + différence de temps indiquée par les horloges ²

 

Bien entendu le temps et l'espace doivent être dans la même unité pour les calculs.

 

Modifié par communicationrel

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Il y a un fait indéniable pour moi dans ce fil :

 

- La personne à l'origine de ce fil est totalement ignare en physique, n'en maîtrise ni les aspects historiques, ni les aspects expérimentaux, ni les aspects mathématiques, ni les aspects en "vigueur" qu'elle prétend remettre en cause. Elle invente une physique qui n'existe que dans sa tête et essaye de démontrer que le monde réel n'a pas de sens. 

Cela engendre un discours délirant, auquel s'ajoute un ego démesuré et une absence de capacité de discernement, etc...

Bref, c'est un esprit malade. On ne raisonne pas un esprit malade. On n'échange pas, on ne construit pas un dialogue avec un esprit malade, c'est un non sens.

 

et il y a pour moi deux choses mystérieuses :

 

- La capacité des individus un minimum censés à se retrouver entraînés dans le délire d'un esprit dérangé rien qu'en essayant de construire une réflexion intellectuelle avec lui, au motif qu'ils pensent naïvement qu'en toute personne il y a quelque chose de censé.

 

- Pourquoi le taulier continue à laisser s'exprimer une personne qui contribue à l'immense délire ambiant et actuel qui porte aux nues le Grand Relativisme, consécration de l'effet Dunning-Kruger, encourageant tout à chacun à penser que sa pensée vaut bien celle d'un chercheur cumulant des années et des années d'études et d'expérience dans sa spécialité ?

 

En tout cas, cela encourage à ne pas recommander Astrosurf aux élèves du secondaire ou aux jeunes étudiants du supérieur !

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Invité communicationrel

L'explication de la contraction par des photos prises à des instants différents c'est du délire ça ?

Voici le genre de discussions que l'on peut trouver par ailleurs, ont-elles l'air plus rationnelles ?

 

https://forums.futura-sciences.com/physique/69365-contraction-longueurs.html

 

Voilà ce qu'on peut lire dans ce lien :

"C'est là que le bât blesse : la simultaneité n'est pas absolue en relativité. En fait lorsque la règle est en mouvement, l'observateur ne considère pas les mêmes "moments" comme simultanés qu'un observateur en mouvement avec la règle. Les deux positions des extrimités sont différentes et comme la règle a bougé, la longueur trouvée est différente."

 

Et encore :

"Pour faire "sentir" cet effet de contraction des longueurs, le physicien et épistémologue Jean-Marc Lévy-Leblond parle d'un effet de parallaxe.
L'exemple qu'il avait donné une fois, lors d'une conférence grand public, était une analogie avec la mesure de la longueur d'un bureau.
Si on demande à quelqu'un de mesurer un bureau, il va placer son métre le long d'un côté du bureau et relever la mesure d'un bord à l'autre. Il s'est placé dans le référentiel du bureau.
Par contre, il comprend bien qu'en se plaçant un peu plus loin du bureau et de biais par exemple, et qu'il mesure (de loin) la longueur apparente du bureau, sa mesure est faussée et ne correspond pas à la longueur réelle (propre) du bureau."

 

PS : Pourquoi ne faites-vous pas les calculs que je demande ? En êtes-vous incapable ?

 

Modifié par communicationrel

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Communicationrel 

Tu a quoi comme bagage en math et en physique ‽???????    et ton Qi est de combien 

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il y a 28 minutes, communicationrel a dit :

Et encore :

"Pour faire "sentir" cet effet de contraction des longueurs, le physicien et épistémologue Jean-Marc Lévy-Leblond parle d'un effet de parallaxe.
L'exemple qu'il avait donné une fois, lors d'une conférence grand public, était une analogie avec la mesure de la longueur d'un bureau.

Et tu trouveras cette vidéo dans ces cycles de conférence 

 

Est-ce que tu les as visionné ?

C'est peut-être mieux de regarder ces vidéos plutôt que de lire des commentaires sur ces vidéos. Non  ?

 

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Invité communicationrel

Très bien, ça prouve que je ne déraille pas complètement, contrairement aux affirmations des deux furieux ci-dessus. Ce qui m'inquiète, c'est qu'ils sont soi-disant profs et qu'ils ne comprennent rien à tout cela.

Je vais essayer de faire les calculs moi-même puisqu'ils en sont apparemment incapables.

Modifié par communicationrel

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il y a 10 minutes, communicationrel a dit :

Très bien, ça prouve que je ne déraille pas complètement, contrairement aux affirmations des deux furieux ci-dessus. Ce qui m'inquiète, c'est qu'ils sont soi-disant profs et qu'ils ne comprennent rien à tout cela.

Je vais essayer de faire les calculs moi-même puisqu'ils en sont apparemment incapables.

Ou alors visionne les vidéos tu as peut-être 2 ou 3 trucs à apprendre. 

On ne résume pas la RR et la RG en faisant juste référence à une ANALOGIE prise dans une vidéo que l'on a pas soi soi-même visionné. 

 

 

Édit : Et au passage on notera tout le mépris que tu as pour les "sachant" qui ne font pas les calculs de TA théorie.

 

TA Théorie = TES Calculs .

Modifié par Plina

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il y a 56 minutes, George Black a dit :

- La capacité des individus un minimum censés à se retrouver entraînés dans le délire d'un esprit dérangé

 

Je pense Georges, que la folie est la chose la plus mystérieuse qui soit. Autant on n'attend pas d'un unijambiste des choses non pertinentes par rapport à son handicap, autant il nous est quasi impossible d'imaginer que la folie place notre interlocuteur dans un autre monde et donc qu'il ne faut pas attendre du raisonné d'un esprit borderline. D'où les efforts insensés par la communauté humaine pour ramener dans notre monde sensé celui qui physiquement ne porte aucun stigmate d'un quelconque dysfonctionnement.

Perso, je n'aime pas le mot "folie".

 

Je pense que la physique ne s'aborde qu'avec des outils mathématiques qui sont aujourd'hui franchement complexes et pas du tout par des salmigondis. A aucun moment je n'ai vu une idée dans ce fil issue de calculs.

Il y a 1 heure, communicationrel a dit :

L'objet en mouvement a effectué une rotation dans la dimension du temps, ne laissant entrevoir qu'une partie de sa longueur entière dans l'espace.

 

 

De la part de @Comme_une_hirondelle_irrationnelle, je ne comprends pas ta logique. Tu tiens ici le rôle de l'idiot voire de l'idiot utile. Que viens-tu chercher cher Irrationnel2.0 ici alors que tout un chacun te prend pour au mieux un aimable amuseur, au pire et de plus en plus pour un crétin prétentieux ?

Quel est ton objectif ultime ? Je m'interroge avec une pointe de compassion.

 

 

Oui, je trouve que ce fil n'a pas sa place en astro générale... et effectivement cela ne donne pas envie de recommander ce site.  Un comble.

 

 

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Invité communicationrel

Là tu déraisonnes, je n'ai pris aucune analogie nulle part. J'ai juste cherché des références pour répondre au message juste avant qui m'agressait. J'ai trouvé ces phrases par hasard, je ne les avais jamais lues avant. Mais elles confirment la pertinence de mes deux points de vue : expliquer la contraction par la différence de la simultanéité et la représenter en 4 dimensions par un effet de perspective. 

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il y a 3 minutes, communicationrel a dit :

Là tu déraisonnes, je n'ai pris aucune analogie nulle part. J'ai juste cherché des références pour répondre au message juste avant qui m'agressait. J'ai trouvé ces

Je faisais référence à  l analogie dans la vidéo (celle du bureau).

Regarde les vidéos tu auras certainement 2 ou 3 trucs à  apprendre. 

 

Voilà je m'arrête là avant de me laisser embarquer une nouvelle fois 😏

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Invité communicationrel

Cher @dg2, voici le petit calcul que vous n'avez pas su faire, mais ne vous inquiétez pas il n'est jamais trop tard pour apprendre :

 

Soit un objet en mouvement par rapport à un référentiel R' et à l'arrêt vis à vis de R.

Les coordonnées de cet objet dans R' sont x1' et x2' et les mesures sont faites en même tempst1' et t2'

Dans R, les coordonnées correspondantes à x1' et 2' sont x1 et x2 avec x2-x1 = L = longueur propre de l'objet

Les coordonnées de temps correspondantes à t1' et t2' sont  t1 et t2. Le tau que nous cherchons est donc t2-t1, différence marquée par les horloges à chaque extrémité de l'objet mesuré tandis que dans le référentiel de mesure la mesure sera instantanée avec t1' = t2'

 

 

D’après les transformations de Lorentz, avec v en unités naturelles,  on a :

x'2-x'1 = γ(x2- vt2) - γ(x1- vt1)

et

t'2-t'1 = γ(t2-vx2) - γ(t1-vx1) = 0

=>v(x2-x1) = t2-t1 cad vL = tau

par conséquent = tau² +x²  = v²L² + (1/γ)²L² avec x = (x2'-x1'), la longueur contractée vu depuis R'

 

Or vL = sin α*L et (1/γ)L = cos α* L avec α l'angle entre les axes du temps de R et R'

donc il vient (v²L²) + (1/γ)²L² = L², c'est à dire tau² +x² = L²

 

Note : On voit très bien ici que v = x/T est la composante spatiale de la vitesse totale et 1/γ = tau/T la composante temporelle. Il aurait d'ailleurs été plus judicieux de définir γ par rac(1-v²) et non par son inverse.

 

Modifié par communicationrel

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Invité communicationrel

https://atlantico.fr/article/decryptage/et-si-l-univers-etait-une-sphere-fermee--c-est-que-pourraient-suggerer-des-observations-de-l-agence-spatiale-europeenne-espace-fond-diffus-cosmologique-olivier-sanguy-

 

"Comprenez qu'on parle là d'un univers en 3 dimensions qui a une courbure spatiale positive, donc un univers fermé. Le terme sphérique est en fait une analogie à un univers en 2 dimensions repliée en sphère dans une troisième dimension."

 

Si leur idée est que la courbure spatiale est dans le temps alors c'est le même univers que celui dont je parle dans ce fil.

 

https://www.gurumed.org/2019/11/06/crise-cosmologique-lunivers-est-il-plat-et-ouvert-ou-sphrique-et-ferm/

https://www.futura-sciences.com/sciences/actualites/univers-si-univers-netait-pas-plat-mais-spherique-51832/

 

Dans mon hypothèse l'univers est une sphère à 3 dimensions avec une courbure extrinsèque dans le temps.

Modifié par communicationrel

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Et le mateux!!!!!

A ce jour personnes ne sait où commence et ce termine l’univers,  qu'il soit sphérique, carré, rectangulaire, même par des calculs les plus poussé ont ne sais pas et ce n'est pas toi ,par tes calculs de CM 2 que tu va nous  donner ton intelligence 🥳

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Il y a 15 heures, communicationrel a dit :

Cher @dg2, voici le petit calcul que vous n'avez pas su faire, mais ne vous inquiétez pas il n'est jamais trop tard pour apprendre :

 

Soit un objet en mouvement par rapport à un référentiel R' et à l'arrêt vis à vis de R.

Les coordonnées de cet objet dans R' sont x1' et x2' et les mesures sont faites en même tempst1' et t2'

Dans R, les coordonnées correspondantes à x1' et 2' sont x1 et x2 avec x2-x1 = L = longueur propre de l'objet

Les coordonnées de temps correspondantes à t1' et t2' sont  t1 et t2. Le tau que nous cherchons est donc t2-t1, différence marquée par les horloges à chaque extrémité de l'objet mesuré tandis que dans le référentiel de mesure la mesure sera instantanée avec t1' = t2'

 

 

D’après les transformations de Lorentz, avec v en unités naturelles,  on a :

x'2-x'1 = γ(x2- vt2) - γ(x1- vt1)

et

t'2-t'1 = γ(t2-vx2) - γ(t1-vx1) = 0

=>v(x2-x1) = t2-t1 donc  v(x2-x1) = tau = vL

par conséquent = tau² +x²  = v²L² + (1/γ)²L² avec x = (x2'-x1'), la longueur contractée vu depuis R'

 

Or vL = sin L et (1/γ)L = cos L

donc il vient (v²L²) + (1/γ)²L² = L², c'est à dire tau² +x² = L²

 

Modifié il y a 9 heures par communicationrel

 

Ah la la, l'orgueil du dilettante....

 

Cher @communicationrel ,

 

si je vous ai dit que votre propos était mal défini... c'est qu'il était mal défini. Et même avec votre, euh, calcul détaillé, il faut y relire à plusieurs fois pour essayer de comprendre ce que vous voulez dire (qui n'était pas ce que je pensais que vous vouliez dire au départ, pour être franc).

 

Donc je vais essayer de reformuler ce que vous dites pour en tirer la, euh, substantifique moelle. J'espère que vous n'avez pas trop faim.

 

En gros, vous considérez deux événements que vous appelez 1 et 2. Vous définissez ensuite ce que sont ces événements, quoique vous le fassiez de façon terriblement maladroite ici, et que vous ne l'aviez même pas fait dans votre, euh, énoncé initial. Mais en fait on s'en fout, cf plus loin.

 

OK, donc ensuite vous considérez deux référentiels inertiels R et R' et vous dites que les coordonnées de l'événement 1 sont (x1, t1) dans R et (x'1, t'1) dans R'. Idem pour l'événement 2, de coordonnées (x2, t2) dans R et (x'2, t'2) dans R". C'est franchement mal dit dans votre texte (bis) mais c'est ce que vous faites. On est d'accord, on n'a pas inventé l'eau tiède en disant ça.

 

Ensuite, vous vous amusez à calculer la distance spatio-temporelle entre ces deux événements (enfin, le carré de), vous le faites dans R puis dans R', c'est-à-dire que vous calculez d'une part (x1 - x2)2 - c2 (t1 - t2)2 et d'autre part (x'1 - x'2)2 - c2 (t'1 - t'2)2. Là non pus, on n'a pas inventé le fil à couper le beurre.

 

Et donc, roulements de tambours, vous trouvez que c'est la même chose.  

 

Et donc là vous avez, euh, réinventé la roue (c'est mieux de réinventer la roue que de ne pas inventer l'eau tiède, ceci dit). Quelle que soit la définition de l'événement 1 (la date + le lieu de naissance d'Einstein, votre règle qui atterrit sur Arcturus ou que sais-je), et quelle que soit la définition de l'événement 2 (la date + la mort d'Einstein ou le jour + le lieu où vous passerez votre bac, qui sait), les quantités U =  (x1 - x2)2 - c2 (t1 - t2)2 et U' =  (x'1 - x'2)2 - c2 (t'1 - t'2)2 seront toujours, rigoureusement les mêmes. La façon dont les x et le t se transforment lors d'un changement de référentiel vous assure que ce sera la cas. Toujours. Ces formules de changement de référentiels ont été construites pour cela. On se fout complètement que vous vous amusiez à noter que v / c comme le sinus d'un angle ou 1  / γ par son cosinus. Cela n'a aucune importance. Aucune, aucune, aucune.

 

En langage vaguement savant, on dit que l'intervalle spatio-temporel entre deux événements est un invariant. C'est-à-dire qu'il ne dépend pas du référentiel dans lequel on le calcule (et où, éventuellement, on le mesure), il a donc une signification intrinsèque. En particulier si l'intervalle est de genre temps (U est strictement  négatif), on peut toujours trouver un référentiel dans lequel l'événement 1 et l'événement 2 se produisent au même endroit, auquel cas leur distance spatio-temporelle s'interprètera comme la durée qui les sépare (dans ce référentiel). De même, si l'intervalle est de genre espace (U strictement positif), on peut trouver un référentiel où les événements 1 et 2 se produisent au même moment, auquel cas U n'est rien d'autre que la distance (au carré) qui sépare ces deux points (dans ce référentiel).  Bien sûr, si on peut faire l'une des manips on ne peut pas faire l'autre.

 

C'est pareil pour un vecteur en géométrie euclidienne. Les composantes d'un vecteur dépendent du système d'axe utilisé, sa norme, non. Ici, la distance spatiale |x1 - x2| entre deux événements 1 et 2 dépend du référentiel (= rien n'assure qu'elle sera égale à |x'1 - x'2|), leur distance temporelle pareil (|t1 - t2| n'est pas forcément égal à |t'1 - t'2|) mais la différence des carrés des distance spatiales et temporelles (x c2) ne change pas.

 

Mais tout ça, c'est le B-A-BA de la relativité, non ? Vous avez pollué 38 pages de ce fil pour nous réciter le B-A-BA de la relativité ? Tout en disant que les gens n'avaient pas compris ? Tout en disant que vous réfléchissiez à la question ? En 38 pages ? Au rythme où on va, je prédis qu'en page 234 vous nous parlez de E = m c2, peut-être ? Et en page 451 de l'effet Sagnac ? Puis en page 1723 du tenseur de Riemann ? Pour, qui sait, parler des équations de Friedmann en page 6290 ? On peut même imaginer qu'en page 27384 vous parlerez des vecteurs de Killing, à moins que là ce ne soit plus vraiment de votre niveau (l'était-ce déjà avant, de toute façon ?).

 

Modifié par dg2
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La cafetière va rentrée en éruption,  et moi avec mes trois bacs à cochons je suis largué

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Invité communicationrel

Cher @dg2,

 

C'est vous qui dites que j'ai calculé (x'1 - x'2)² - c²(t'1 - t'2)².

Moi je dis que j'ai calculé (x'1 - x'2)²  + c² (t1 - t2)²

 

Et c'est vous aussi qui dites qu'il s'agit de 2 évènements. Il s'agit d'un objet matériel dont les extrémités ont pour coordonnées spatiales x1, x2 et pour coordonnées temporelles t1et t2 dans R, et dont les mêmes extrémités ont pour coordonnées spatiales x'1 et x'2  et pour coordonnées temporelles t'1 = t'2 dans R' (ici il peut y avoir confusion car nous ne parlons pas du même espace,  car dans l'espace de Minkowski t'1 = t'2 mais ce ne sont pas les coordonnées de temps de l'espace euclidien correspondant.)

L'invariant ici est la longueur L de l'objet c'est à dire (x'1 - x'2)² + c² (t1 - t2)² et non (x'1 - x'2)² - c² (t'1 - t'2)²

La transformation de Lorentz s'interprète comme une rotation de l'objet dans un espace-temps à 4 dimensions EUCLIDIEN

 

Encore une fois la différence géométrique entre l'espace de Minkowski et l'espace euclidien est qu'il faut inverser t et tau

 

tau² = t²-x² => t² = tau² +x²

 

Tandis que l'invariant dans l'espace de Minkowski est (x'1 - x'2)² - c² (t'1 - t'2)², dans l'espace euclidien c'est (x'1 - x'2)² + c² (t1 - t2)² si on reprend les coordonnées de Minkowski.

 

Et on déduit que L, longueur physique d'un objet au repos reste invariante par changement de référentiel dans l'espace euclidien. La preuve étant que (x'1 - x'2)² + c² (t1 - t2)² = L² quel que soit le référentiel utilisé dans l'espace euclidien.

Donc on peut interpréter la contraction des longueurs comme la rotation d'un objet dans l'espace euclidien à 4 dimensions de métrique x² +tau² et de longueur d'espace-temps T, L, ou un mélange des deux, selon qu'on considère une longueur de temps, une longueur d'espace ou un mélange des deux.

 

ATTENTION il y avait confusion de coordonnées mais c'est corrigé (enfin je crois)

C'est un peu compliqué car la transformation de Lorentz n'utilise pas le système de coordonnées euclidien.

 

 

[On peut supposer à mon point de vue qu'un objet qui se déplace dans l'espace possède une énergie qui fait tourner l'axe d'espace dans le temps sur son passage. C'est la courbure spatiale, la même que celle induite par la masse au repos mais induite ici par la masse relativiste, la même qui donne sa forme sphérique à l'univers selon le modèle euclidien.]

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il y a une heure, danielL a dit :

La cafetière va rentrée en éruption,  et moi avec mes trois bacs à cochons je suis largué

 

Même pas... Je crois plutôt que la cafetière est bouchée, l'éruption est pour plus tard... Peut-être... Ou pas

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    • Par Adlucem
       
      S'il existe plusieurs raisons qui poussent les maires leurs équipes et leurs techniciens au refus de l'extinction de l'éclairage public passé une certaine heure, il en existe une qui les effraie plus que toute autre, c'est celle de la responsabilité pénale qu'ils encourent vis à vis des victimes d'accidents de la route et d'agressions. J'en ai vérifié l'exactitude par moi-même auprès du maire de ma commune de 53 000 habitants, ancien avocat, dont la réponse fut : "Pas question car nous serions présumés responsables de tout sinistre qui pourrait arriver". Cela me démoralisât et je faillis lui répondre : "J'espérai naïvement que vous pûtes un jour le faire semblablement à d'autres édiles voisins qui le font nonobstant". Dépité, je me suis donc mis en quête d'un argumentaire à opposer à cette obstination, ce que je n'ai pas mis longtemps à trouver sur la toile :
       
      https://www.senat.fr/questions/base/2023/qSEQ23020418S.html
       
      Il est patent de constater que cette question a été débattue dans notre plus brillante assemblée, je cite intégralement la pertinente question n° 148 publiée le 09/02/2023 au JO du Sénat :
       
      Mme le président. La parole est à Mme Annick Jacquemet, auteure de la question n° 418, adressée à Mme la ministre déléguée auprès du ministre de l'intérieur et des outre-mer et du ministre de la transition écologique et de la cohésion des territoires, chargée des collectivités territoriales et de la ruralité.
      Mme Annick Jacquemet. Monsieur le ministre, ma question porte sur la responsabilité des maires et des communes en cas d'agression de personnes, d'accident et d'atteinte aux biens à la suite d'une interruption volontaire de l'éclairage public.
      Je viens de terminer un rapport pour l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST) sur la pollution lumineuse, dont les conclusions invitent notamment les maires à produire un effort de sobriété lumineuse et énergétique raisonné en matière d'éclairage public.
      Plusieurs raisons légitimes peuvent être invoquées pour justifier une telle recommandation, à commencer par les défis liés à la transition écologique : dans notre pays en effet, le seul éclairage public émet 670 000 tonnes de CO2 par an.
      Ensuite, les préoccupations sur la santé publique en particulier chez les enfants et les jeunes adultes ou sur la biodiversité, en raison notamment de l'utilisation des lampes électroluminescentes (LED), sont réelles.
      Enfin, l'éclairage public représente en moyenne 41 % de la consommation électrique des communes. Dans le contexte de crise énergétique actuel et compte tenu de la flambée des coûts de l'électricité, la modulation de l'éclairage public constitue pour elles une source d'économie budgétaire importante.
      De nombreux élus, d'ores et déjà sensibilisés à ces enjeux, ont commencé à agir. Près de 12 000 communes ont ainsi fait le choix de réduire, voire de supprimer l'éclairage public la nuit.
      Le problème est que, aujourd'hui, ces 12 000 maires prennent potentiellement des risques : en l'état actuel du droit, ils ne sont pas suffisamment protégés.
      En effet, même si le juge administratif admet que chaque maire peut fixer volontairement des horaires d'extinction partielle ou totale des éclairages la nuit, sa responsabilité est susceptible d'être engagée en l'absence d'un cadre législatif et réglementaire clair.
      Ainsi, au regard des enjeux évoqués et de l'inquiétude des maires concernés, quelles sont, monsieur le ministre, les intentions du Gouvernement pour définir ce cadre législatif et réglementaire autour de cette question et dans quels délais ?
       
      Je rapporte ci-dessous la réponse du ministre :
       
      M. Olivier Klein, ministre délégué auprès du ministre de la transition écologique et de la cohésion des territoires, chargé de la ville et du logement. Madame la sénatrice Annick Jacquemet, le professeur de physique-chimie, grand amateur d'astronomie que je suis, confirme l'intérêt de lutter contre les pollutions lumineuses !
      Le juge administratif examine au cas par cas si l'absence ou l'insuffisance d'éclairage public est constitutive d'une carence du gestionnaire de voirie et/ou du maire, susceptible d'engager la responsabilité administrative des collectivités concernées.
      Au-delà de l'intervention du juge administratif, la carence du maire dans l'exercice de ses pouvoirs de police peut aussi conduire à la constitution d'infractions susceptibles d'engager sa responsabilité pénale, même si le risque paraît limité.
      En effet, si l'absence d'éclairage public était considérée comme directement à l'origine du dommage, la responsabilité du maire ne serait susceptible d'être engagée qu'à la condition qu'il n'ait pas accompli les diligences dites « normales » au sens de l'article L. 2123-34 du code général des collectivités territoriales.
      Lorsque le dommage est indirect, la responsabilité pénale du maire ne peut être mise en œuvre sur le fondement de l'article 121-3 du code pénal qu'en cas de violation manifestement délibérée d'une obligation particulière de prudence ou de sécurité prévue par la loi ou le règlement, ou de faute caractérisée qui exposait autrui à un risque d'une particulière gravité que le maire ne pouvait ignorer.
      Par conséquent, les infractions d'homicide ou de blessures involontaires et de mise en danger délibérée de la vie d'autrui ne seraient susceptibles d'être caractérisées que s'il apparaissait que le maire s'était délibérément abstenu d'identifier les risques d'accident et de prendre les mesures nécessaires pour assurer la sécurité de la circulation sur la voie publique.
      Compte tenu de cet état du droit qui lui paraît équilibré, le Gouvernement ne compte pas faire évoluer le cadre juridique des responsabilités administratives et pénales des maires et des collectivités territoriales en matière d'éclairage public.
       
      On peut s'interroger sur la réponse du ministre qui bien que "grand amateur d'astronomie" ne résout rien à la question posée, si ce n'est en affirmant le grand flou juridique d'un subjonctif : ne seraient susceptibles d'être caractérisées que s'il apparaissait que le maire s'était délibérément abstenu d'identifier les risques d'accident et de prendre les mesures nécessaires pour assurer la sécurité de la circulation sur la voie publique.
      En effet, on devine bien qu'un avocat avisé aura vite fait de qualifier la chute du cycliste dans un nid de poule de la rue mal entretenue de manquement du maire à ses obligations d'identifier les risques d'accident après qu'il ait fait éteindre les lampadaires !
       
       
      Conclusion, tant que le doute subsistera dans l'esprit de la loi, il est clair que bien des maires voudront continuer à éclairer pour ne prendre surtout aucun risque !
      Pourquoi diable ne serait-il pas possible à nos prochains représentants (mais lesquels ?) de légiférer une fois pour toutes sur cette question afin de clarifier le code des collectivités et le code pénal pour permettre enfin aux maires d'éteindre les lumières pour pouvoir dormir tranquilles, aux administrés de payer moins d'impôts locaux, aux curieux d'observer le ciel et à l'environnement de se mieux porter ?
       
       
    • Par YEEMIRC
      Bonjour,

      Je cherche à monter la cité de l'astronomie.
      J'en dis plus sur le site dédié.

      Qu'en pensez-vous ?

      Merci
    • Par Goofy2
      Bonjour   
       
      Cette année, probablement avant septembre, nous attendons que l'étoile variable T Coronea Borealis (T CRb) se transforme en nova.
      Il s'agit d'une étoile variable qui se transforme en nova de façon récurrente, tous les 80 ans. Cela tombe cette année.
      Il s'agit en fait d'un système binaire composé d'une géante rouge et d'une naine blanche. C'est la naine blanche qui se transforme en nova tous les 80 ans après avoir absorbé de la matière de la géante rouge toute proche.
      Cette étoile de magnitude mv +10.14 passera à la magnitude estimée de mv +2 lors de sa transformation en nova.
       
       
      -------------------------
      Idée :
      Il serait bien de photographier le champ de T CRb actuel (mv +10.14) et de refaire la même capture lors de sa transformation en nova.
      Puis avec un GIF animé, on visualisera de façon alternée ces deux états lumineux: normal / nova / normal /...
       
      Coordonnées équatoriale (J2000) de T CRb pour le GoTo de nos eVscope:   15h59m31.60s    +25°55'07.2"
       

       
       
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      Champ de l'eVscope 2 :
       

       
       
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      Il y a une mission de sciences participative pour cette évènement:  https://alerts.unistellaroptics.com/transient/events.html
      Et une vidéo Youtube du SETI: 
       
         

    • Par Akelox
      Bonjour je vais acheter mon premier télescope et je prévoit de faire de l'astrophoto du ciel profond principalement, j'aimerais donc savoir ce que vous pensez du matériel que j'ai choisi et si j'ai oublié des choses :
      - https://www.astroshop.de/fr/telescopes/telescope-skywatcher-n-150-750-pds-explorer-bd-eq3-pro-synscan-goto/p,19164
      - https://www.astroshop.de/fr/controleurs-et-cables/zwo-mini-ordinateur-d-astrophotographie-asiair-mini/p,77072
      - https://www.astroshop.de/fr/cameras-astronomiques/camera-zwo-asi-662-mc-color/p,75719
       
      Gabriel De Roover
    • Par Lally
      Bonsoir à tous je souhaiterais acheter un télescope assez puissant pour regarder les cratères de la lune auriez vous des conseils s'il vous plaît à me donner je ne m'y connais pas du tout en télescope ! Merciiiiii
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