
Découverte du ciel nocturne à l’école primaire de Léognan
Par
RIGEL33, dans
Rencontres et évènements
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Par pierre2nice
Bonjour à tous
Un court créneau météo favorable vendredi dernier ma enfin permis d’observer et de tester pour la premiere un script de CCDCiel de traitements des spectres en continu.
Un seul click et tout se déroule s1ns aucune intervention.
En fin de session on retrouve tous les spectres traités avec SpecInti...
Un petit montage vidéo pour expliciter la chose :
Un grand merci à Patrick Chevalley pour avoir rendu la chose possible aussi "simplement" pour les utilisateurs et pas seulement pour UVEX4.
La team UVEX4
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Par Larbucen
Chers amis.
Le mois de mars marque une période de transition dans le ciel nocturne. Les constellations hivernales commencent à céder leur place aux constellations printanières. C'est un excellent moment pour observer une variété d'objets célestes, des planètes brillantes aux galaxies lointaines.
Les constellations à l'honneur
Constellations hivernales :
Les constellations d'Orion, du Taureau et des Gémeaux sont encore bien visibles en début de soirée. Profitez-en pour admirer leurs étoiles brillantes et leurs nébuleuses.
Constellations printanières :
Le Lion et la Grande Ourse font leur apparition. La Grande Ourse, avec son célèbre alignement de sept étoiles, est un excellent point de repère pour trouver d'autres constellations.
Les planètes à ne pas manquer
Mars :
La planète rouge est un objet particulièrement remarquable en mars. Sa couleur orangée et sa luminosité en font une cible facile à repérer à l'œil nu.
Jupiter :
Jupiter reste une présence brillante dans le ciel du soir. Elle est facilement reconnaissable à son éclat intense.
Vénus et Saturne :
Ces deux planètes sont plus difficilement observable en mars.
Événements astronomiques notables
Consultez un calendrier astronomique pour connaître les dates des phases de la Lune, des conjonctions planétaires et des autres événements spéciaux.
Le site Star Walk est un très bon site pour avoir les informations des évènements astronomiques.
Et si vous voulez retrouver toutes ces informations venez visiter le nouveau site internet de notre association : https://caasv.asso-web.com
Astronomicalement.
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Par santacana
Bonjour à tous,
Un transit devant la Lune qui se déroulait non loin de chez moi. J'ai donc effectué quelques kilomètres pour me trouver au centre de la bande de visibilité de 4 km de largeur. C'était mon second transit d'ISS et j'avoue que j'aime bien l'incertitude qui accompagne ce genre de manip'. Mais tout s'est bien passé au final, hormis la présence d'un vent soutenu occasionnant une très forte turbulence qui faisait danser les cratères lunaires. Fallait faire avec, il n'y avait qu'un seul essai de toute façon.
Je ne suis certes pas encore au niveau de monsieur Legault mais j'ai "sorti" quelque chose. Je me suis planté dans le réglage du mode rafale et j'étais donc à 3 images/seconde au lieu des 6,5 images/seconde prévues au départ. Du fait de la rapidité du transit (0,58 sec), je n'ai qu'une seule image de l'ISS. On fera mieux la prochaine fois.
Boîtier Canon EOS 6D Mark II au foyer d'un C8.
A+
Gilles
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Par Vivlepic
Sortie, hier et tôt ce matin avec un couple du voisinage dont le mari, voici quelques années, avait répondu à une remarque de ma part concernant l'impeccable ciel qui me permettrait d'observer : « Ah oui ? Vous m'intéressez, là. »
Je n'avais pas donné suite jusqu'à ces dernières semaines où nous attendions que la nuit fût favorable.
Et le miracle arriva.
Les voici, tous les deux, aussi curieux que sympathiques, qui grimpent l'escalier montant à ce que j'appelle pompeusement « L'observatoire ».
Ils regardent la lunette CFF, écoutent l'histoire de Galilée, montrent qu'ils connaissent un peu.
Et puis c'est le moment de découvrir le SV 400 !
Ébahis, stupéfaits de découvrir ce « monstre », un télescope français – Non ? C'est vrai !?-, conçu et réalisé près de Bergerac. Les questions fusent, on sent plus que de l'intérêt même ! Pour un peu, ils le trouveraient sexy.
J'ai bien préparé la soirée.
Un peu d'histoire de l'astro, un rien de mon expérience, et puis l'on commence car le ciel est beau, bien noir déjà, en dépit des lampadaires qui prétendent rivaliser avec les étoiles.
Je commence par Saturne et le silence qui précède les remarques où l'émotion le dispute à un sens quasi méticuleux de l'esthétique – Pourquoi est-ce beau ? demande le mari – est éloquent. On compte les cinq satellites, on distingue deux bandes fines sur le disque, on commence petit à petit à se griser devant l'infinie diversité si attrayante de notre système solaire.
Neptune ensuite avec une allusion à Le Verrier.
La petite, si petite bille bleue – nous utiliserons le Nagler 13 mm et l'excellent Explore Scientific 6.7 mm – fascine littéralement. Comment est-elle ? À quelle distance ? Je n'en finis pas de répondre à leur curiosité.
Les objets du ciel profond défileront ensuite : M 2, M 15, M 72. Le mari est bigrement intéressé par les amas globulaires. D'ailleurs, ce lexique le passionne ( NGC, IC, Messier, amas globulaire, nébuleuse planétaire, globules de Bok – oui, oui, si nous ne les avons pas vus (!) nous avons patienté pour observer M 42 et donc, j'ai excité sa curiosité en évoquant ces fameux objets qui parsèment les nuages de cette sublime nébuleuse, cette « pouponnière d'étoiles » .
Auparavant, nous avons fait une belle incursion parmi les galaxies du moment. NGC 7331 et ses copines ; M 31 et ses voisines. Leur intérêt ne faiblit pas bien que le froid commence à figer quelques orteils dans des chaussures sans doute trop fines.
Le temps a passé si vite !
Il est tard et je devine un peu de fatigue.
On se promet de remettre ça et je les remercie, juste un peu, de ne pas m'avoir tarabusté avec les petits hommes gris ou les horoscopes des astrolonigaulogues...
Nous avons bien ri aussi.
De SM E. Musk aux prétentions calamiteuses, des platistes et de quelques blagues qui nous ont revigorés car le thermomètre était quand même bien bas.
Merci, si vous m'avez lu et bon ciel à tous.
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Par PerrouriefhCedric
Un petit CROA histoire de participer, je ne sais pas depuis combien de temps (d'années...) je n'en ai plus posté sur ce forum. Il faut dire aussi que je n'étais guère actif niveau astro mais je m'y remets petit à petit avec plaisir. Je reprends en mains le T460 du club, notamment le boîtier "push to" avec ses 6 boutons non éclairés. Pas facile vendredi soir mais ça allait déjà mieux samedi. Bon, le ciel était propre avec une Voie lactée bien visible et déjà détaillée, mais le taux d'humidité dans l'air, monstrueux.
Le but de la soirée était plus de tester le système de pointage que d'observer à proprement parler, mais je me suis malgré tout attardé sur quelques objets, à commencer par le grand classique de l'automne NGC 7331. Je note au passage un écart d'au moins 1° sur les deux axes de l'encodeur. J'utilise l'Ethos 17 pour le repérage, il grossit déjà plus de 100 fois. Je passe ensuite au Nagler 5 qui procure un grossissement de 360x. Il a beau être le plus court à disposition, on reste sur du modéré pour le potentiel de ce télescope ! Je remarque d'ailleurs que grossir 360 fois ne suffit pas à bien distinguer les toutes petites galaxies voisines de simples étoiles. NGC 7331 elle-même est grande avec un coeur très brillant quasi ponctuel, entouré d'une première strate elliptique déjà moins lumineuse, coupée de façon très nette sur son bord ouest par une grande bande sombre de poussières. Côté est du noyau semblent partir deux longs filaments écartés de 135°, de luminosité légèrement supérieure à leur environnement. Le tout baigne dans un vaste halo beaucoup plus ténu, difficilement perceptible, aux limites indéfinissables.
Comme autre galaxie, je pointe ensuite NGC 7479 que je trouve assez rapidement avec l'Ethos 17 bien qu'elle soit relativement fantomatique comparée à la précédente, et qu'un écart subsiste au niveau de l'encodeur. Plus très haute sur l'horizon, donc ne nécessitant plus l'aide du marchepied, et descendant déjà vers la pollution lumineuse de l'horizon ouest. Je remarque premièrement son caractère très fin, étiré, provoqué par la barre vue de face. Le Nagler 5 assombrit agréablement le fond de ciel, NGC 7479 y prend la forme d'un ballon de rugby, ou d'ovoïde, un côté semblant plus aplati que l'autre. Je n'ai pas distingué clairement les deux spirales s'enroulant depuis chaque extrémité de la barre, c'est un objet à observer de nouveau dans de meilleures conditions.
Un des derniers objets de la soirée fut une autre célébrité d'automne, NGC 7662. Elle se repère déjà très bien à 100 fois de grossissement, avec sa forme ronde qui lui vaut son surnom de "boule de neige" et sa couleur bleutée. Le Nagler 5, bien que luttant témérairement contre la buée, montre quelques détails comme le joli C turquoise, et des zones sombres qui s'immiscent entre lui et l'enveloppe externe. Mais l'image est digne d'un T250 plus que d'un 460 car le contraste est terriblement dégradé par la couche d'humidité qui se pose partout, optiques y compris ! Dans ces tristes conditions, j'ai tout de même eu le temps d'apercevoir Jupiter avec quelques jolis détails dans ses bandes.
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06 juillet 2025 08:00
Jusqu’au
07 juillet 2025 21:59
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