Sjoerd Rutten

To the Moon or not to the Moon ? Part 2

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Oui c'est une bonne nouvelle ça!
Vive la colonisation lunaire, vive la Science, vive nous!
2020 c'est un peu loin quand même... Ils pourraient pas se presser un peu? N'empêche ils sont pas fous, ils vont s'installer près du Pôle sud, au soleil...

[Ce message a été modifié par Joël Cambre (Édité le 05-12-2006).]

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Whaou !
Je rêve à imaginer Joe Engle ou Fred Haise reprenant l'entraînement (pour Cooper, the "Faith", c'est rapé!) ...
L'âge ! Quoi, l'âge ! Quel âge ! Connais pas !!!!
Bon ! Maintenant, c'est mes gamins qui vont vivre le p'tit-grand/re-saut vers la Lune.
...
Ignition sequence start
...
We have ignition
We have lift-off ...
Go to the Moon ... Fly me to the Moon ...

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Même si cela fait rêver... Je ne partage pas forcément votre enthousiasme...
Déjà, 2020, c'est loin, ça veut dire que ça peut-être remis en cause tous les trois quatre ans, repoussé jusqu'en 2025,puis 2035, puis... etc, etc... C'est finalement facile d'annoncer un début de commencement de construction de base permanente d'ici une quinzaine d'années, ça n'engage finalement à pas grand chose.
Et encore une fois (n'est ce pas Mr Brunier ?), aller sur la Lune pour y faire quoi ?? D'après l'article, c'est entre autre pour y exporter "le commerce" !!!! C'est un gag ?? ils veulent quoi, un Macrado sur la Lune ou bien ?
Et vu le coût de ce projet, c'est toute la recherche scientifique qui va en pâtir !!!

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Hey ! Boystar !
Aurais-tu idée de demander aux scientifiques ce que, diable, ils vont bien fiche dans ce désert de neige et de glace battu par les vents qu'est l'Antarctique ? Alors !

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Allez,une petite fable de Noël pour rêver un peu,naïvement comme il se doit!

LE MESSAGER.

Le petit véhicule européen « Méliès » accomplissait sans faillir et ce, depuis deux mois, sa mission d’exploration lunaire.

Véritable laboratoire polyvalent et observatoire délié de la tutelle atmosphérique, il embarquait à son bord un équipage exigeant mais invisible :l’ambition d’une Europe qui se montrait en cette occurrence, devancière.

Nulle autorité ne prétendait que ce robot rendu intelligent serait l’avant garde d’une implantation durable. Cette Caravelle traçait son sillon sur un régolite et des mers déjà empruntées par des explorateurs venus du Nouveau Monde. Il leur appartenait toujours du moins leur Président l’avait réaffirmé, d’habiter en pionnier cette autre terre qui s’était parée de l’ étendard de le grande nation depuis le 20ème siècle. Les Etats Unis avaient seuls les moyens, et le devoir, de représenter chaque citoyen de la planète Terre dans les bases qui seraient largement ouvertes à la coopération des hommes de bonne volonté.

Depuis son atterrissage, « Méliès » avait délivré des images parfaites ,y compris de son labeur de géologue. Des animations relayées par internet pour la communication grand public donnaient le sentiment à chacun de cheminer tel un caravanier sélène, au rythme lent d’un familier du désert. Des équipes internationales partageaient la masse de données scientifiques, analyses chimiques et autres relevés topographiques ,jusqu’aux mesures des rayonnements solaires.

Le rover connut une première avarie et qui interdit la transmission de toutes ses images à très haute résolution, à l’abord de la Mer de la Tranquillité. La liaison ne put jamais être rétablie, frustrant ainsi de fidèles amateurs, avides des panoramas désolés et blanchâtres. Les appareils à vocation scientifique, ces travailleurs de la rigueur et des expérimentations invisibles, continuaient quant à eux à délivrer leurs messages codés, que des bénédictins en blouses blanches devaient sûrement recopier et décrypter dans l’ombre des laboratoires.

La traduction officielle de ce contre temps prit la forme d’un communiqué que le responsable du programme prodigua sans émotion apparente, mettant davantage l’accent sur la continuité de la mission que sur la déception suscitée par l’absence d’images.
Un demi échec, tant que le partenariat avec une Amérique à nouveau aux portes d’une aventure spatiale d’envergure, restait preneuse des données fournies par le messager de la vieille Europe. A terme, l’analyse de cette panne ferait partie des atouts que la Nasa mettrait en avant pour présenter aux décideurs un projet aux aléas réduits, notamment sur le terrain de la communication.

Je songeais à cette nuit de pleine lune durant laquelle, incapable de dormir, j’avais décidé de hanter mon jardin et d’y planter ma lorgnette indiscrète en direction des formes offertes par le compagnon de notre planète . Drôle d’amour né probablement d’un coup de foudre violent, qui, au lieu de naître d’une côte, arracha au bel Adam encore frémissant ,une partie de son manteau. Un jour d’une ronde cosmique, et les deux corps s’unissaient pour, dit-on, offrir les conditions de la vie.
Observer la pleine lune, cette jalouse qui ne supporte pas plus lumineux qu’elle, m’a toujours fasciné. J’aime ce spectacle en trompe l’œil d’une sphère tachetée, brillant comme un métal poli sous les feux directs du soleil, gommant ainsi les cratères ,cicatrices d’une lune trop ouverte dans sa jeunesse aux assauts des météorites. Ainsi , les montagnes, les failles se font discrètes et attendent une ombre propice pour dévoiler sans pudeur la vérité du corps meurtri.

D’un oculaire à l’autre, je revenais toujours à celui qui me garantissait de voir l’éclatante beauté flottant à son aise dans le champ de ma lunette, plutôt que de chercher à en débusquer les détails. A portée de main, un appareil photographique numérique attendait son heure. Mes tentatives précédentes m’incitaient à modérer mon désir de fixer sur écran ces instants magiques, autant que les réalisations d’astronomes amateurs dont l’implacable technicité me renvoyait à mes balbutiements. A chacun son truc mais quelle frustration !

L’heure sonnait déjà de prendre congé de l’hôtesse, d’un dernier regard jeté à la fécondité, sérénité, tranquillité ; figure familière de mers mortes. L’esprit un peu acquis au retour dans ma couche douillette, j’eus cependant le temps de remarquer une fulgurance, comme un petit éclair et une vapeur orangée , me sembla-t-il. Le mirage de l’observateur fatigué qui a soif de repos ? Etait-ce même sur la surface sélène ou dans la proche atmosphère terrestre ? Dommage, pas de photo encore pour cette fois…

Je songeais à cette nuit, un an avant que le rover européen n’arpente ces zones troublantes et à ma nouvelle frustration de n’avoir point d’images « in situ » par surcroît.

La caméra du robot intelligent et muet découvrait comme convenu la zone d’alunissage d’Apollo 11, quarante cinq années après. Comme convenu un hommage solennel serait rendu, sur la base de la tranquillité, à ces premiers pas de l’humanité hors de ses frontières terrestres.

Méliès découvrit les traces. Quatre empreintes circulaires d’un diamètre suffisant pour soutenir un homme. Méliès était devenu aveugle par la grâce d’une décision politique et cette cécité sélective permettait aux commanditaires de sa mission de recevoir seuls, le choc de la vision des empreintes. Brute, l’information ouvrait la voie à une trop forte remise en question. Il appartient aux guides des nations, aux bergers du troupeau apeuré que nous sommes, de montrer cette voie, ce lendemain acceptable par tous.

Comment expliquer, livrer en pâture cette image d’un site hautement symbolique de la puissance technologique de l’humanité et délesté de son vaisseau amiral ?

De la présence du l’alunissage, il ne restait plus que quatre empreintes dans un régolite manifestement balayé alentour par un vent inconnu, étrange sur une terre stérile où ne souffle nul vent…

Restait à présent à interpréter ce message.

ion.Juste pour rêver un peu...

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Salut Hamilton > J'adooooore !

Et puis : "....l’ambition d’une Europe qui se montrait en cette occurrence, devancière."....Ca fait rêver...
Car en ce moment, on est plutôt laché par le peloton (voir ExoMars)

Celà dit, je ne suis pas enthousiasmé par le retour des hommes sur la lune.
On n'a rien à en tirer "économiquement" et surtout pas l'hélium 3, cette vaste blague.
Quant à l'étude scientifique, là oui, les robots comme "Méliès" sont suffisants.

Ca ne fait que retarder l'échéance pour Mars, bien plus féconde à tout point de vue, et en attendant, plomber inutilement les budgets spatiaux.

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Enfin ! depuis 1969 le chemin a été long pour arriver à installer une base lunaire .
Vivement que l'on puisse observer de la haut avec notre télescope !!!

[Ce message a été modifié par dva (Édité le 05-12-2006).]

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La base s'appellera Alpha, les occupants porteront des pyjamas à pattes d'eph.
Waou, ce sera d'un kitch !!!

C'est sûr que des promesses pour dans 15 ans, ça ne mange pas de pain, surtout pour un président qui sera bientôt à la retraite...enfin comme on dit, les promesses n'engagent que ceux qui y croient 15 ans pour refaire un Apollo amélioré et poser des bouts d'ISS sur la Lune, ça me paraît bien long, quand même...quant à comparer ça au prix absolument dérisoire de la base Concordia (où il n'y a pas de vent, soit dit en passant), fallait oser...

[Ce message a été modifié par Thierry Legault (Édité le 05-12-2006).]

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salut vaufréges.

merci de m'encourager dans mes historiettes nostalgiques...

A+

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thierry, à concordia pour ne pas avoir de vent il faut monter à 20 ou 30 m au dessus du niveau de la glace au moins

au sol il y en a toujours un peu ou même un peu plus...

[Ce message a été modifié par asp06 (Édité le 06-12-2006).]

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Yesssssssss, oui c'est superrrr!!!!

Génial on va y arriver sur Mars, on va arriver ouiiiiiiiii!!

Mais c'est super!!!

Une base permanente sur la lune en 2020, Mars en 2035, Jupiter en 2070 et, et.. le début de la terra..., terra... .

Yesss, ah oui c'est vrai Serge n'a pas encore répondus, tout désespoir n'est pas perdu.

Voili, voilou. Je ne sais plus quoi dire.

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Super l'idée, on va aller sur la lune pour aller sur mars. Moi je suis tres con mais c'est pas plus simple d'aller directement sur mars. Y preferent faire 2 decollages et 2 aterrissages, aller deposer sur la lune des trucs qu'on devra remettre en orbite pour le voyage vers mars.

La nasa doit etre dirigée par la SNCF...Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué!!

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Voutz > La NASA n'envisage pas de redécoller de la lune pour aller sur Mars, heureusement !!
Le projet de mission prévoit bien un trajet "direct"...

Mais le fait de retourner sur la lune, et de commencer à parler de "Base permanente", de "Port spatial", ce sont des milliards de dollars qui ne se justifient pas sur les plans économique et scientifique.

On sait pourtant aujourd'hui ce que coutent réellement les infrastructures spatiales avec le gachis de l'I.S.S.
Certains n'en ont pas encore tiré les leçons...!

La lune peut, elle, peut parfaitement être explorée par des rovers. Pourquoi ?
- Des gros rovers peuvent être pilotés en direct depuis la terre (pas possible sur Mars à cause de l'éloignement)

- L'attrait et le potentiel scientifique de la lune est bien moindre que Mars qui recèle une extraordinaire variété géologique, climatique, un passé de volcanisme, de l'eau en quantité, et le seul site du système solaire où l'homme pourrait pratiquer, entre autres, l'exobiologie sur le terrain...

Sur Mars, il est quelque peu utopique d'imaginer que la technoscience puisse se passer totalement de l'homme face aux multiples défis que suggère son étude.
Sur la lune, on en sait déjà beaucoup...De plus c'est un environnement très hostile.

[Ce message a été modifié par vaufrèges (Édité le 07-12-2006).]

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Bah ouais, si tu regardes les images de MGS, y a du liquide noir qui s'échappe des couches sous-jacentes

Okay, je connais le chemin...

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Fourmi > y'a pas de pétrole sur la lune, mais y'a grelots qu'a des idées...
RAGP > circulez y'a rien à voir..

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...on vera, 2020 c'est encore loin et peut-être on doit chercher des solutions pour des problèmes plus graves.
salutations cordiales
Sabine la Bavaroise

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[quote]Sur Mars, il est quelque peu utopique d'imaginer que la technoscience puisse se passer totalement de l'homme face aux multiples défis que suggère son étude.
Sur la lune, on en sait déjà beaucoup...De plus c'est un environnement très hostile.
[quotes]

utopique de se passer de l'homme sur mars ??? moi j'imaginais exactement le contraire au vue des defis quasi insurmontable que cela represente..........
mais sais tu exactement ce que ça represente ????

Quand à l'hostillité de la lune.... oui elle est mais mars n'est pas spécialement tanquille non plus. pas un endroit par y passer ses vacances.....

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