Lucien

L'homme n'ira pas sur Mars, dommage !

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Du coup, il me semble, au vu de ce que j'ai observé autour de moi, que les rêves doivent être en partie réalisables, et au moins en partie réalisés, sinon, quand ils ne sont plus réalisables, quand c'est trop tard, ils laissent un sacré goût de cendre, enfin, c'est ce que j'ai observé autour de moi, depuis un bon demi siècle...

Certains aussi tombent en dépression une fois qu'ils ont réalisé leur rêve car ils n'ont plus d'autre sens à donner à leur vie que l'aboutissement de ce rêve. Ca arrive généralement quand le rêve était très gros et qu'il est impossible d'envisager plus gros derrière. C'est ce que j'ai parfois observé autour de moi depuis moins d'1/2 siècle

Finalement le rêve humain d'exploration est pour le moment un peu en dépression car après tant de siècles à pouvoir toujours avancer sans avoir l'impression d'avoir de limite, d'un coup on perd nos repères, tout ça perd son sens, car là pour le moment, il n'y a pas de nouveau rêve à bâtir derrière. Encore avec Voyager, on pouvait avoir l'impression d'être encore dans cette dynamique jusqu'en 1989 avec le survol de Neptune, mais depuis on ne fait que refaire ce que l'on a déjà fait en mieux et ce n'est pas New Horizon qui va nous consoler. Si tu y penses, d'une certaine façon c'est la première fois que ça arrive dans l'histoire de l'humanité. Pour le moment il y a de fait un renoncement un peu déprimant.

Et admettons que l'on aille un jour quand même sur Mars, c'est reculer pour mieux sauter, car au delà de Mars ça va être vraiment plus que compliqué. A moins que l'on manque juste trop d'imagination sur ce que peuvent être les progrès des sciences et des techniques, c'est possible aussi. Peut être qu'il faudra juste attendre 1 siècle pour aller sur Mars, et que encore plus loin dans le temps il sera possible de faire d'autres explorations humaines encore plus incroyables. Peut être que si dans 200 ans, il existe un ascenseur spatial, on n'aura plus vraiment de limites de masses pour explorer le Système solaire, qui sait ?

Ce qui est certain c'est que c'est gratuit de rêver et que ça ne fait pas de mal tant qu'il ne s'agit pas d'investir toute son énergie dans un rêve inaccessible. Mais juste rêver un peu, lire de la SF, et imaginer un jour l'homme sur Mars, même si c'est dans 50 ou 100 ans, ça ne fait juste pas de mal

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Il y a aussi autre chose.
Après la lune: peut-être Mars.
Sans parler de l'exploit technique, c'est la seule planète du système susceptible d'être visitée: essayer les autres serait suicidaire.
Or ce n'est finalement pas extraordinaire de n'explorer que deux corps de notre système solaire.
Mais il est très probable que l'aventure s'arrête là.
Au delà des aspects philosophiques (curiosité insatiable, propre de l'Homme), humains (va-t-on s'intéresser à cette exploration? comment anticiper la réponse, puisque'un tel événement ne s'est jamais produit), existe-t-il un intérêt pratique à pareille expédition?
Quelle que soit la réponse, et qu'il s'agisse de zoulous, chinois ou américains, j'ai quand même l'impression que notre monde serait en transes,
émotionnellement...Le contraire serait inhumain.
Par ailleurs, suivre cette expédition quasi en direc' sur le pc, serait quand même assez hallucinant, même si c'est mon pote (celui qui n'est pas sociologue) qui regarde et me raconte après.
Ce serait non pas un exploit de telle ou telle organisation, mais bien de l'espèce humaine, non?

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Oui, JLD, nombre d'alpinistes connaissent ce "gouffre" après une ascension qui les as habités pendant 5 ou 10 ans. C'est un milieu que je connais bien, pour les plus exposés, il y a la fuite en avant, qui se termine souvent sur les pentes d'un 8000 d'où ils ne redescendent pas, ou bien il y a le renoncement que j'exposais plus haut. Dans les deux cas, en l'espèce, ces gens ont vécu jusqu'au bout leur rêve, en gros. Plus, enfin, à mon avis, que les gonzes qui rêvent de faire l'ascension d'Olympus Mons.

Laurent, oui, bien sûr, c'est pourquoi je crois que ce "rêve d'espace" est un leurre : il n'y a pas de destination pour l'homme dans l'espace.

De toute façon, la messe est dite : regardez, écoutez les astronautes quand ils sont dans et reviennent de l'ISS : ils ne parlent que de la Terre, l'espace, ils s'en foutent, d'ailleurs, ils ne connaissent pas, vous vous êtez déjà amusé à tester les connaissances astronomiques d'un astronaute ? Par contre, rester des heures derrière la "coupole" à contempler la Terre, çà oui, ils savent faire.

S

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>>"Par ailleurs, suivre cette expédition quasi en direc' sur le pc, serait quand même assez hallucinant"<<

Oui Laurent, ce serait fantastique.. On suivrait cette épopée d'une façon bien plus intense que celle d'Apollo, on accompagnerait le voyage quasiment en direct, avec malgré tout la contrainte du décalage progressif dû à l'éloignement de la terre..
Je m'imagine souvent le Web à l'époque d'Apollo... Pour avoir suivi d'aussi près que possible la mission Phoenix, j'en étais arrivé au point où j'étais parfois capable d'anticiper les commentaires et même certaines décisions du JPL, j'avais l'impression de participer à la mission ...

M'enfin Superchilien, t'as pas besoin de faire passer tous les astronautes pour des demeurés. On leur demande pas d'être astrophysiciens, ils doivent posséder d'autres compétences...
D'autant plus que l'inutile ISS et la science, ça fait deux... Les seuls astronautes qui ont besoin d'être qualifiés en certains domaines précis sont ceux qui quitteront l'orbite terrestre avec pour objectif la Lune ou Mars. Mars, la destination ultime certes, mais il y a de quoi s'y occuper... En un mois ou deux, l'homme pourrait y être plus efficace et productif que 30 robots en quarante ans..

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Je les prends pas pour des demeurés, vaufrèges, je les ai cotoyé pendant des décennies, je dis juste qu'il y a un contresens complet à les imaginer "ambassadeurs de l'humanité dans le cosmos", c'est pas çà du tout. L'immense majorité sont des pilotes qui trouvent rigolo de piloter un bazar qui vole à 30 000 km/h à 300 km d'altitude, les autres ne sont poussés que par le milieu exotique que constitue l'espace et l'apesanteur. Ils n'ont, dans l'immense majorité des cas, aucune "vision" cosmique, c'est çà qui me fascine, et le lapsus fabuleux qui consiste, lorsqu'ils reviendent sur Terre, de ne parler que de çà, justement : la Terre. RIEN sur l'espace, les étoiles (ou des conneries, comme Perrin qui décrète sans rire que l'objectif de la conquête spatiale, c'est la conquête de la Galaxie). Tu as déjà lu quelque chose sur la vision inouïe de la Voie lactée depuis l'espace, toi ? Non, et pour cause.
N'importe quel croa de n'importe quel astrouf vaut dix mille témoignages d'un astronaute dans l'espace. Par contre, ils se fendent tous de textes plus ou moins clichetonneux, parfois inspirés et bien écrits, çà arrive, sur leur rapport à la Terre... Il faut lire "Clairs de Terre" par exemple, c'est une véritable psychanalyse des astronautes, c'est fascinant. C'est extraordinaire que tu ne te rendes pas compte de çà, mais rassures toi, t'es pas le seul.

S

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Franchement Super, je m'en fiche pas mal de la "vision cosmique" des astronautes..

C'est extraordinaire que tu ne comprennes pas (t'es pas le seul )que, par exemple, même un chien en orbite pour beaucoup d'entre nous c'est extraordinaire, et je l'ai vécu comme tel à l'époque, avec d'autres..

Et les astronautes, comme les scientifiques, comme nous tous, ne sont exempts de dire ou d'écrire des conneries j'ai des exemples).. Pour autant ça ne les qualifie pas tous..

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"même un chien en orbite pour beaucoup d'entre nous c'est extraordinaire",

Oui, je comprends cela. C'est pour çà que la Nasa hésite à satelliser des pingouins, des loutres, des girafes, se serait trop fort, trop bouleversant.

S

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La girafe NON !... Trop compliqué, faut pas exagérer trop..

Oui oui Supercynique, je le confesse : J'ai une pensée émue pour les singes, les chats, les chiens etc.. qui ont précédé l'homo sapiens dans l'espace... j'ai vécu tout ça, ça fait partie de l'histoire du spatial, c'est parfois cruel mais touchant.. On avait ouvert un fil la dessus ici, y'a pas si longtemps..

Bon, si je t'ai bien compris, les astronautes ont un QI insuffisant, OK...
Mais quand même, quand même.... ils ont certainement une vision cosmique légèrement supérieure à l'ensemble de tous les robots actuellement en service, non ?...

Du coup, c'est déjà ça..

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Bonsoir,

Oui, j'ai vu ces images prises par grands fonds, et aussi les documentaires sur les "fumeurs" de la dorsale médio-atlantique, et moi aussi, ça m'a beaucoup intéressé, mais pas de la même façon que quand je regarde un nudibranche à travers mon masque, ou bien que je joue à chat perché avec une pieuvre, parce que, dans ces cas là, ce n'est pas une image, c'est la réalité, avec le froid de l'eau, le sifflement du détendeur, la réaction des palmes au mouvements, et surtout, c'est la vie qui dialogue directement avec la vie, d'espèce à espèce (enfin, surtout entre la pieuvre et moi, parce que pour le nudibranche, la communication est plus distanciée)...

Je suis aussi de ceux qui ont vu passer Spoutnik 1, depuis la galerie de l'entrée de l'appartement où je vivais. Et aussi, plus tard, je regardais, de l'appui de ma fenêtre, les passages réguliers (environ toutes les heures) d'Echo 1 (ou 2), et à l'époque, il n'y avait pas foule, là-haut, alors on ne pouvait pas se tromper... Et justement, encore une fois, ces visions, surtout celle de Spoutnik 1 m'ont plus "impacté" que toutes les images publiées dans la presse d'alors, ou bien les animations de la TV (en N&B), sur le sujet. Encore une fois, toute la différence entre le vécu direct et la distanciation audiovisuelle.

Il y a quelques années de celà, j'ai vu, au Musée de minéralogie de Grenoble des roches datant de 3,5 milliards d'années (du temps où une journée durait 6 heures...), les premières connues comme portant des traces de vie (nos ancêtres les presque plus lointains, en quelque sorte), et bien ces roches noirâtres avaient pour moi une réalité et aussi une "présence" que n'a pas une belle image de synthèse d'un documentaire, ou bien la même roche filmée pour la TV...

Je vais quand même souligner quelques exceptions à ce que je disais au sujet du fait que nous sommes devenus des spectateurs passifs de la science. Il y a quand même ces sites Internet où l'on demande à des volontaires d'examiner des clichés pour y déceler certains indices utiles à la recherche scientifique, ce qui demanderaient trop de temps pour les professionnels, et qui ne sont pas encore analysables par des logiciels automatisés.

Donc, il y a encore des sciences (astronomie, écologie, biologie, zoologie, botanique, archéologie, paléontologie...) où "l'amateur" peut apporter sa réelle contribution (et non pas de la simple "figuration"). C'est à dire, réaliser un travail à réelle portée scientifique.

Notons qu'il en fut de même (partiticipation directe et active des amateurs, à des travaux de recherche), dans les tout débuts de l'astronautique (soit environ 1957 à 1965), mais ce temps est complètement révolu.

Cordialement.

[Ce message a été modifié par Hyperfocale (Édité le 03-12-2010).]

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quote:
je ne peux m'empêcher de leur suggérer une colonisation future, que j'ai du mal à imaginer, mais qui représente une issue vers le haut pour notre espèce.

perso je pense exactement le contraire : un issue vers le haut : déjà il faut s'entendre sur "issue" : somme nous menacé d'extinction ? non ?
mais même si cela était vers le haut au sens littéral je peut l’admette, disons par haut par habut de langage mais dans la vrai vie, fuir ses problèmes plutôt qu'essayer de les régler sur place, j’appelle ça de la lâcheté, des phantames et des utopies mais certainement pas une sortie par le haut
les colon anglais qui se sont installé sur le continent américain pourront témoigner que ses problèmes, on les emportes avec sois (pis eux ils les carréments exporter aux indiens par la meme occasion)
Bref imaginer que l'espace est la solution, c'est faire erreurs sur le défis a relever et s'est faire erreur sur la nature humaine.
Mon observation du monde est la suivante : y'a les pessimiste invétéré, les optimistes idiot et la vérité et toujours qque part entre les deux.
L'argument je JLD avec l'armée US ne tiens pas : ma conclusion (toute personnelle je le reconai) est que l'armée US permet a un nombre incalculable de gens de vivre. sans cette ruineuse armée, tu transformerais illicot ces soldats... en chomeur...
et ils rapportent bien plus a l'etat fédéral de faire tourner l’économie en la subventionnement matériellement et humainement l'armée.
L'armée c'est une sorte de reliquat d'etat providence pour les US

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quote:
l’esprit pantouflard qui ramollie certaines ardeurs, le premier pas de l’homme sur Mars n’est pas pour demain…mais pour après demain sans doute !

trouve une bonne raison d'aller sur mars....
et vien m'en parler.

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La "conquête de l'espace", c'est une assez pure expression de l'esprit pantouflard, celui qui nous a fait édifier une civilisation de prothèses techniques pour nous protéger de l'aventure de la vie (jusqu'à menacer, à terme, toute le vivant ici-bas).

La véritable audace consisterait à se débarraser de ce fatras techno-industriel grotesque, et à reconstruire une culture de passions et d'aventures sur notre vaste et extraordinaire planéte.

Il n'y a pas plus sinistrement morose que ces rêves d'épiciers bricoleurs d'aller coloniser des planétes pour sans doute vouloir y installer le stupide way of life de ce XXIème siècle hagard.

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Doublonus !

[Ce message a été modifié par Gordon (Édité le 14-12-2010).]

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On n'a pas colonisé l'Antarctique. Bon, on y envoie des chercheurs, mais aucune communauté ne s'y est installé à demeure, personne n'habite réellement là-bas. Pourtant on a les moyens (puisque l'occupation est permanente) - en tout cas c'est l'argement plus facile que coloniser Mars. Pourtant il est possible de trouver un but à une telle colonisation (il y a des ressources naturelles et on a besoin de place pour faire face à la surpopulation)

Ça prouve qu'il n'y a pas une tendance de l'humanité à occuper tous les territoires. C'est vrai seulement pour les territoires accueillants. Donc sûrement pas Mars.

[Ce message a été modifié par Bruno Salque (Édité le 14-12-2010).]

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Je t'aime, Bruno, ton sens de la synthèse, comme pour le film Avatar, me sidère, snif. En trois phrases, tu viens de m'épargner 15 jours de boulot pour un truc que je prépare.
Snif, merci, et pardon (çà engage à rien). Snif.

S

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Bonsoir,

En élargissant le sujet du voyage humain dans l'espace, de l'intérêt d'aller sur Mars à celui d'aller encore ailleurs, il est logique de penser que, de toutes les façons, on se heurte à un mur technologique, avec la propulsion chimique.

Et, même si l'on joue avec les effets de "frondes gravitationnelles", ou bien avec l'appui de la propulsion ionique, on n'ira toujours pas très vite, à l'échelle de la vie humaine.

On peut objecter que l'emploi de l'hibernation (et autre astuces de vie suspendue) sera la solution. Mais, d'abord, elle est encore à rendre opérationnelle, pour d'autres êtres vivants que des tardigrades et consorts... Et puis, même possible, qui acceptera de passer une décennie (ou plus) pour aller et revenir du nuage d'Oort, par exemple (je le prends comme la limite de notre système solaire, bien que l'on pourrait objecter que la vraie limite est l'héliopause...). Autrement dit, dix années sans voir ses proches, sauf en vidéo..., et confiné dans un environnement restreint et artificiel...

Déjà, il y a plus d'une année à passer en apesanteur, pour un aller et retour et quelques semaines posé sur Mars, à encore plus longtemps, pour tout ce qui est au-delà de la ceinture d'astéroïdes.

Certes, du temps de l'exploration de notre planète, à partir du 15ème siècle, les missions se comptaient également en mois et en années, mais on pouvait souvent faire immédiatement demi-tour si nécessaire, ou bien tenter sa chance sur la terre la plus proche, en cas d'avaries rendant la poursuite de la navigation impossible.

Dans l'espace, c'est impossible, et il n'y a aura pas, non plus de véhicule de secours, comme on peut le faire en orbite terrestre... Et, des gros problèmes, il peut s'en produite plein, en une année, deux années, et plus : panne de matériel, collègue qui "pête" les plombs, mini-météorite qui percute, éruption solaire intenses, etc.

Supposons que des gens acceptent tous ces risques et de rompre tout lien affectif direct avec leurs proches, pour ces explorations, et on peut toujours dire qu'avec notre technologie actuelle, nous sommes limités à notre système solaire, pour les voyages humains.

Même avec des progrès, et des vitesse multipliées par cent (ce qui serait une énorme avancée), c'est insuffisant pour le troisième saut spatial, c'est à dire les autres systèmes stellaires proches d'abord puis de plus en plus éloignés (en considérant que le premier saut était l'accès à l'espace, et le second saut l'accès aux différents corps de notre système solaire). Et, bien plus encore pour le quatrième saut : l'accès aux autres galaxies du groupe local (le cinquième saut étant l'accès à l'univers entier).

A partir du troisième saut, une ou bien de nouvelles technologies seront obligatoirement à inventer, dont j'ignore totalement la nature et l'émergence. De plus, chaque avancée de la technologie est consommatrice de toujours plus d'énergie (un avion à réaction consomme bien plus qu'un avion à hélice, et une fusée bien plus qu'un avion à réaction, etc.), et il faudra en trouver en énorme quantité, si cette règle reste valable, dans le futur.

A partir de ce troisième saut, l'humanité pourra se répandre réellement dans notre galaxie, mais j'ai des doutes sur la qualité du résultat, au vu du bordel que l'on a déjà foutu sur notre planète et celui que l'on ne manquera pas de mettre sur Mars, Titan, etc.

Cordialement.

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