Fourmi103

Actualités de Curiosity

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Bon et sinon, cette annonce de la découverte d'un fossile d' os de gloumoutz à poil dur, on en est où ?

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T'es à la masse Boystar Y aura pas d'annonce, et y a absolument rien de trouvé ni de découvert. Ce qui "figurera dans les livres d'histoires" c'est la mission toute entière. Le reste c'est juste une journaliste en mal de sensationnalisme qui a sorti une bêtise. Je pense avoir bien résumé la situation, non ?

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Non.
Le journalisme n'y est pour rien, c'est pas de sa faute si l'aut' gonz, il s'évanouit à chaque fois que Curiosity photographie un caillou... C'est un peu comme l'annonce de la NASA comme quoi Messenger a découvert un truc "bouleversant" sur Mercure, çà va un moment, d'accuser les journalisme quand les scientifiques les manipulent.

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Quelques images.

Panoramique en date des Sols 111 et 113, effectué après le léger déplacement du rover.


Et au Sol 106, enfin l'acquisition d'un panoramique en couleur complet. Bon, il manque encore pas mal d'images pour obtenir quelques chose de meilleur, mais la vue est déjà pas mal.


En suivant ce lien, vous aurez accès à la dernière position du rover sur une carte de trajet faite par Maître Phil Stook


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Bon, cette fois-ci, c'est on ne peut plus clair :

quote:
Rumors and speculation that there are major new findings from the mission at this early stage are incorrect.(...)

At this point in the mission, the instruments on the rover have not detected any definitive evidence of Martian organics.

Veronica McGregor/Guy Webster - Jet Propulsion Laboratory, Pasadena, Calif.


Tiré de la "Gale Gazette" : http://galegazette.wordpress.com/

Autres précisions sur SAM, par Emily elle-même :

quote:
Even if SAM does find carbon compounds, they are not likely to have been created by life. Meteorites called carbonaceous chondrites contain a lot of carbon, in chemicals like kerogens, amino acids, carboxylic acids, and nucleobases. A million kilograms of this material rains down on Mars every year. So near-surface carbon compounds are most likely from meteorites. Organics stuck inside rocks might be from ancient meteorites, or from Mars life.

The conservative assumption is that all the carbon is meteoric. No one will be able to make a claim for evidence of past Mars life without first eliminating the possibility that the carbon compounds came from meteorites. Since it's hard to prove a negative, there will not be any slam-dunk finding from SAM that says "Mars life was here."


Très clair aussi... mais totalement frustrant : si on est sûr que Curiosity sera dans l'impossibilité totale de discriminer un carbone météoritique d'un carbone issu de la vie,
a quoi sert-il de l'avoir envoyé sur Mars ???!!!
S'il ne peut lever définitivement les très anciennes ambigüités de Viking, à quoi bon toute cette débauche d'ultra-technologie ?

[Ce message a été modifié par Kaptain (Édité le 02-12-2012).]

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quote:
S'il ne peut lever définitivement les très anciennes ambigüités de Viking, à quoi bon toute cette débauche d'ultra-technologie ?

Tout à fait Kaptain !
Je pense que cette affaire a obligé les gens de la NASA et de l'ESA à avouer sans le vouloir leur mensonge. Curiosity n'a de sens que pour les géologues et les planétologues. Le reste, c'est de l'enfumage pour justifier les budgets.
Dans 2 ans et un peu plus, Curiosity, cela ne sera que des photos à couper le souffle, une connaissance précise de la composition des roches et une amélioration des scénarios de l'évolution géologique martienne. Point barre !

On a envoyé ce machin avec des objectifs de géologues et de planétologues, en argumentant qu'après tout, ces instruments d'analyses seraient bien capables de trouver des molécules organiques.
Mais je pense que personne à la NASA ou à l'ESA ne pensait sérieusement trouver quelque chose dans ce registre. D'une part parce que les UV nettoient tout, ensuite parce qu'au mieux, on aura affaire à des résidus météoritiques ou cométaires.

En fait, je pense que tout ça est même quasi-psychanalytique. On prétend chercher la vie, des traces d'une vie passée ou des signes d'environnement propice à la vie, tout en se mettant dans des conditions telles que l'on ne trouvera rien.
De cette façon, on nourrit le fantasme. Pas de déception, on ne voit jamais rien de tangible, mais on a toujours de quoi nourrir le fantasme...
Je pense que les gens qui bossent sur ces projets sont des gamins qui s'amusent avec des jouets à plusieurs myards d'euros tout en faisant du déni de réalité !

La vérité, c'est qu'ils pètent de trouille à l'idée d'économiser leur pognon pour monter une mission d'envergure sur Mars ou Europe pour découvrir Oh ! Horreur ! Qu'il n'y a réellement jamais rien eu d'autre que du sable sur Mars et de l'eau sale sur Europe.

[Ce message a été modifié par Tournesol (Édité le 02-12-2012).]

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Tu délires Tryphon .. Calme toi ...

L'Emily nous dit qu'on ne sera pas en mesure d'avoir la preuve d'une vie passée sur Mars sans d'abord éliminer la possibilité que les composés de carbone proviennent de météorites, et qu'il sera difficile de prouver le contraire..


Les molécules d'intérêt pour "SAM" sont des molécules complexes, produits de dégradation de toute forme de vie (telle que nous la connaissons). L'ADN se dégrade en bases nucléiques ou nucléotides, les acides gras vont se décomposer en acides carboxyliques, et les protéines en acides aminés. Les monomères ou les produits de dégradation de ces polymères de la vie doivent être passés au crible si l'on recherche des traces de vie. Bien sûr, comme le souligne Emily, ces molécules et macromolécules, aussi essentielles soient-elles pour la vie, peuvent aussi résulter d'une synthèse abiotique, comme en atteste leur présence dans les météorites récupérées sur Terre (il tombe encore aujourd'hui environ 50 tonnes de météorites par jour sur Mars).

Alors je récapépète ce que j'ai écrit plus haut et qui ne semble pas avoir été retenu. Je citais Michel Cabanes, co-responsable de SAM et attaché en particulier au chromatographe en phase gazeuse, le GCSM (il sait donc de quoi il parle lui, bien mieux qu'Emily en tout cas) : "si Curiosity trouve (par exemple) des acides aminés et qu'ils sont comparables aux 80 variétés recensées dans la météorite de "Murchinson", on n'aura guère de doute sur leur origine cosmique. Si, en revanche, ils ressemblent aux 22 espèces d'acides aminés que le vivant utilise, la question d'une origine biotique se posera. Ces acides aminés seront alors regardés selon un angle particulier, celui de la chiralité..

Sachant que SAM dispose d'une "case chiralité", un gros "plus", et que le monde vivant est chiral..

Alors OK, encore une fois, il ne pourra s'agir en l'état "que" d'indices forts, pas de preuves, évidemment.. La preuve ne pourra être raisonnablement constituée qu'avec l'examen d'un échantillon martien significatif... sur terre, avec des moyens terrestres impossibles à transporter sur Mars.

Allez une petite dernière, soyons fous : On peut aussi considérer que si la vitesse de l’évolution a été suffisante, la découverte des traces indubitables de vie passée sur Mars sous forme de fossiles macroscopiques est possible (J'ai bien dis "soyons fous" )..

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Sérieusement Vaufrèges... qui espère réellement détecter quelque chose en surface sous un bombardement UV constant ?

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C'est une autre question ça Tournesol, il faut bien reconnaître que les chances sont minces, mais elles existent..
Découvrir une chimie prébiotique endogène ce serait déjà le graal.. ça pourrait peut-être nous en apprendre beaucoup sur les processus qui ont opéré sur terre et dont les traces ont disparu..

Mais au delà de tous ces aspects, les instruments de Curiosity ont plusieurs années devant eux pour faire de la géologie, analyser l'atmosphère et le climat, tenter d'expliquer la géomorphologie de Gale et du mont Sharp, faire de la planétologie quoi.. Ceci permettant de mieux comprendre l'histoire de Mars, du système solaire et donc de notre terre..

Et ça, cç vaut déjà le voyage..

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Le zouave :

"Sérieusement Vaufrèges... qui espère réellement détecter quelque chose en surface sous un bombardement UV constant ?"

Oui, OK, mais c'est pas plutôt le rayonnement cosmique, le problème ? Les UV sont arrêtés par la surface, les rayons cosmiques pénètrent à plusieurs mètres, c'est surtout ça qui doit littéralement stériliser Mars, non ?

Sinon, en gros, je pense la même chose que toi,Viking a stoppé net pendant 12 ans l'exploration martienne, et les planétologues ont re-vendu la "vie martienne", au motif que Viking était nul, pour y retourner, c'est aussi simple que ça et ça a parfaitement fonctionné.

Je re-cite un extrait d'une excellent article que j'ai trouvé sur le web :

" Pour mesurer l’immense déception des scientifiques, il suffit de considérer, avec du recul, l’histoire de l’exploration de la planète rouge… Entre 1960 et 1976, en 16 ans, 23 sondes furent lancées vers Mars. Entre 1976 et 1988, soit pendant 12 ans, aucune !
Et puis, progressivement, l’espoir est revenu, des exobiologistes ont remis en cause les expériences des Viking, désormais considérées comme mal conçues, ou bien trop peu sensibles. Certains ont même hasardé que finalement, elles auraient bien détecté de la vie sur Mars, mais qu’elles auraient été mal interprétées !"

S

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Salut à tous,

Ok pour le rayonnement UV et les rayons cosmiques stérilisants pour Mars aujourd'hui. Mais à l'époque où l'atmosphère était plus dense, que le volcanisme fonctionnait à plein régime et qu'il y avait de l'eau il y a 4 milliards d'années ? Est-ce que d'éventuels micro-organismes n'auraient pas été plus protégés du rayonnement nocif qu'actuellement ?

[Ce message a été modifié par laurent13 (Édité le 03-12-2012).]

[Ce message a été modifié par laurent13 (Édité le 03-12-2012).]

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Oui, je l'ai lu moi aussi cet article du web.. Un peu persifleur le mec non ?...
C'est un con..

Bien sûr que la surface de Mars est stérilisée par une combinaison de rayonnements UV solaires, de radiations externes et internes, d'un sol particulièrement oxydant, autant d'éléments censés supprimer toute trace de molécules organiques résiduelles à la surface de Mars.

Il faut quand même savoir que la décomposition par photolyse directe n'affecte que la première dizaine de microns de la surface du sol et des roches.

De plus, même si c'est encore très controversé, l'oxydation elle serait limitée à une couche très superficielle, et les matériaux du sol situés immédiatement sous la surface, à seulement quelques centimètres de profondeur, seraient protégés de cette oxydation.

Quant aux rayons cosmiques.. Les scientifiques rapportent que les chances de trouver des molécules organiques dans les 2 premiers centimètres du sol martien sont proches de zéro. Toutefois, dans les 5 à 10 centimètres sous la surface, la quantité de rayonnement est réduite par dix, mais ça demeure encore un environnement extrême (des molécules organiques simples ne pourraient exister à cette profondeur).

Toutefois, dans certains endroits, en particulier dans les jeunes cratères, les molécules organiques complexes pourraient demeurer intactes en surface ou en subsurface. Ceci a été démontré en modélisant le scénario complexe de l'accumulation des rayons cosmiques et de ses effets sur les molécules organiques, et en utilisant une collection de variables importantes, y compris les types de roches martiennes et la composition de son sol, des changements dans la densité atmosphérique de la planète au fil du temps, et les divers niveaux d'énergie des rayons cosmiques.

Afin de trouver ces molécules dans la faible plage de forage du rover Curiosity (1 à 5 cm), les scientifiques pensent que le meilleur pari est de rechercher de "jeunes" cratères, voire des effondrements de terrain, mettant à jour des matériaux depuis moins de 10 millions d'années. Ces cratères ou ces effondrements peuvent présenter des roches fraîchement exposées, autrefois plus profondément enfouies sous la surface. Les dernières recherches sur ce sujet indiquent que des matériaux exposés en surface (ou à quelques cm sous cette surface) dans les conditions martiennes durant une trop courte période de temps (de l'ordre de la dizaine de millions d'années donc) ne permettraient pas aux rayonnements nocifs d'effacer toutes les molécules organiques.

Il faut noter aussi, comme le montrent les études théoriques et expérimentales sur le sujet, que les molécules constitutives des acides aminés sont connues comme étant particulièrement résistantes à la dégradation. Ces molécules, en plus d'avoir un intérêt en tant que possibles résidus d'une vie passée, peuvent se révéler comme les produits résiduels de colonies bactériennes vivantes. Et des quantités substantielles de matière organique résiduelle (donc détectables) peuvent être associées à de très faibles quantités de micro-organismes.

Par ailleurs, on ne peut pas exclure totalement le fait que l'examen minéralogique des roches puisse permettre d'identifier des structures minérales macroscopiques résultant de l'activité bactérienne (biominéraux comme, par exemple, les stromatolithes) mais aussi des microfossiles de bactéries.

Mais sans aucun doute, trouver de telles traces (si elles existent)équivaudrait à gagner au loto avec tous les chiffres requis ( .

Qui sait ?.. Au JPL, ils ont peut-être de la chance au jeu ..

[Ce message a été modifié par vaufrègesI3 (Édité le 03-12-2012).]

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Bon bin v’là :
http://www.nasa.gov/mission_pages/msl/news/msl20121203.html

Principaux extraits :

We have no definitive detection of Martian organics at this point, but we will keep looking in the diverse environments of Gale Crater," said SAM Principal Investigator Paul Mahaffy
(…)
CheMin's examination of Rocknest samples found the composition is about half common volcanic minerals and half non-crystalline materials such as glass. SAM added information about ingredients present in much lower concentrations and about ratios of isotopes. Isotopes are different forms of the same element and can provide clues about environmental changes. The water seen by SAM does not mean the drift was wet. Water molecules bound to grains of sand or dust are not unusual, but the quantity seen was higher than anticipated.
SAM tentatively identified the oxygen and chlorine compound perchlorate. This is a reactive chemical previously found in arctic Martian soil by NASA's Phoenix Lander. Reactions with other chemicals heated in SAM formed chlorinated methane compounds -- one-carbon organics that were detected by the instrument. The chlorine is of Martian origin, but it is possible the carbon may be of Earth origin, carried by Curiosity and detected by SAM's high sensitivity design

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"carried by Curiosity"

Tournesol et Superfulgur ont raison, finalement : le feuilleton de la vie sur Mars est une poule aux oeufs d'or pour la Nasa et les concepteurs de sondes spatiales. Ca peut durer encore 25 ans comme ça, avant qu'on décide que "seuls des astronautes pourront définitivement prouver que la vie a, ou n'a pas, apparute sur Mars", quand ça sera fait, on se demandera si la vie détectée n'était pas une contamination due aux excréments des astronautes derrière un Dreikanter, et on sera reparti pour 25 ans.
Elle est pas belle, la...........vie ?

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Il y avait bien "quelque chose"...

quote:
Mars: un composant organique détecté, son origine reste à confirmer

WASHINGTON - Un des instruments de la sonde américaine Curiosity a détecté en chauffant un échantillon du sol de Mars un composant organique simple qui doit encore être confirmé comme provenant bien du sol martien, ont indiqué lundi des scientifiques de la mission.

Une des substances que l'instrument SAM a testées est un des composants organiques à base de carbone et pouvant être un des ingrédients de la vie, a dit Paul Mahaffy du centre Goddard de la Nasa à Greenbelt (Maryland, est) lors d'une conférence de presse.

Mais, a-t-il ajouté, à ce stade nous n'avons aucune confirmation de matériaux organiques sur Mars. Nous allons continuer à chercher dans les environnements plus divers du cratère de Gale où s'est posée Curiosity le 6 août, a aussitôt souligné le scientifique.

Bien que cet instrument ait détecté un composant organique, il faut avant tout démontrer qu'il provient bien de Mars, a ajouté John Grotzinger, de l'Institut de Technologie de Californie (Caltec), le responsable de la mission scientifique de Curiosity.

Celui-ci a expliqué que des matériaux cosmiques de composition organique tombent sur la surface de toutes les planètes de type terrestre dans le système solaire, sans écarter non plus que ce composant pourrait même provenir de la Terre, transporté par le robot lui-même.

Il faudra aussi répondre à la question plus complexe de savoir s'il s'agit de matériau biologique, a poursuivi le scientifique, soulignant la très faible probabilité de trouver des signes de vie ou même un simple composant organique dans des roches.

Nous allons donc prendre notre temps et après si nous trouvons quelque chose de grande importance nous serons heureux de l'annoncer, a-t-il dit.

John Grotzinger avait provoqué une vague de spéculations sur une découverte majeure sur Mars avec des déclarations à la radio publique NPR il y a deux semaines dans lesquelles il évoquait une découverte potentielle de nature à entrer dans les livres d'histoire.

La Nasa avait de nouveau démenti jeudi dans un communiqué que Curiosity ait fait une telle découverte déclarant erronées (...) ces rumeurs et spéculations.

Lundi, John Grotzinger s'est déclaré surpris que ses propos aient eu un tel écho, estimant qu'ils avaient été mal interprétés.

(©AFP / 03 décembre 2012 20h50)


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Super > mauvais exemple, pas bon : Le carbone "carried by Curiosity" n'aurait rien de surprenant à ce stade..

Ce qu'il faut bien comprendre (mais ici c'est un peu l'autisme ), c'est que les instruments de Curiosity, et "SAM" en particulier, sont toujours en phase de test, d'étalonnage, voire même pour cette histoire de carbone... de nettoyage !..

Ce tout premier prélèvement d'échantillon a été réalisé dans une zone comportant du sable fin d'abord destiné au NETTOYAGE des surfaces intérieures des instruments en contact avec l'échantillon.. Ce sable a même été vibré à l'intérieur des chambres pour les débarrasser de ses résidus d'origine terrestre.

Là c'est clair ?..

Alors hein.. camembert !!!!..


Restons calme et lucide et arrêtons de faire les zouaves SVP..

1) Curiosity est aujourd'hui seulement en passe de devenir totalement opérationnel

2) La zone actuellement explorée n'est pas celle en objectif

[Ce message a été modifié par vaufrègesI3 (Édité le 03-12-2012).]

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En ignorant encore s'il y a un quelconque rapport avec les déclarations de John Grotzinger du 20 novembre ... ou de Joël ce midi, toujours est-il qu'une "annonce majeure" suivie d'une conférence de presse auront lieu dans la soirée et ce de la bouche même d'un grand ponte de la NASA : John Grunsfeld (ancien astronaute et actuel Associate Administrator for the Science Mission Directorate, National Aeronautics and Space Administration ...) depuis la conférence annuelle de l'AGU (American Geophysical Union) qui se déroule à San Francisco jusqu'au 7 décembre.
Je pense que Grunsfeld est la personne la plus haute placée de la NASA concernant la partie scientifique de l'agence.

De plus cette annonce non prévue vient d'être intercalée dans le meeting de l'AGU que depuis deux heures environ.

Wait & See ...

AAS Press Office ‏@AAS_Press
AGU: NASA's John Grunsfeld to make "major announcement" at 12:30 p.m. PST today in San Francisco, with press conference to follow at 4 p.m.

https://twitter.com/AAS_Press/status/275999107603120128
https://twitter.com/AAS_Press

quote:

**NEW** Media Availability with NASA Associate Administrator John Grunsfeld
Tuesday, 4 December
4 p.m.
Following a major announcement he plans to make during a NASA Town Hall (Moscone West
2010) the same day at 12:30pm PST, the agency’s Associate Administrator for the Science
Mission Directorate John Grunsfeld will discuss the announcement with press and answer
journalists’ questions.
Participants:
John Grunsfeld, Associate Administrator for the Science Mission, National Aeronautics and
Space Administration, NASA Headquarters, Washington, D.C., USA.
Session: TH22I

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