Kaptain

Neil Armstrong est mort...

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db

[Ce message a été modifié par Alain 31 (Édité le 28-08-2012).]

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Si certains médias n’ont pas été à la hauteur, ce n’est pas le cas pour Le Monde dans son édition de mardi : un éditorial très lucide et objectif en « Une » et deux pleines pages à l’intérieur


Editorial :

De la Terre à la Lune: le rêve et la puissance

Neil Armstrong aura décidément eu, jusqu’au bout, le sens des symboles. L’homme qui fit le premier pas sur la Lune, voila quarante-trois ans, a décidé de quitter la Terre au moment même Où le robot Curiosity commence a arpenter le sol de Mars. Les deux exploits résument l’aventure spatiale et ce rêve presque aussi vieux que l’humanité d’explorer l’univers pour mieux le comprendre. Dans le premier cas, c’est un terrien extraterrestre qui symbolisa la suprématie de l’ Amérique dans la ≪guerre≫ scientifique, technologique et stratégique alors engagée avec l’URSS. Dans le second, une machine associe des équipes de recherche de nombreux pays au service de la science. La conquête hier, l’exploration aujourd’hui. Au-delà de la part de rêve qu’elle comporte, cette aventure fut d’abord guerrière – ou, pour le moins, géostratégique. Les fusées V2 de l’alors nazi Von Braun étaient destinées a détruire Londres. Toutes les technologies spatiales civiles sont les héritières de cette obsession de puissance. Quand, moins de vingt ans plus tard, le bip-bip de Spoutnik retentit et que le russe Youri Gagarine atterrit après un tour de Terre, c’est le modèle soviétique qui démontrait son ambition et son avance technologique. La course a la Lune lancée par John Fitzgerald Kennedy en 1961 n’avait pas d’autre objectif que de laver cet affront. Et d’épuiser les russes dans cette course sans limite. Voila pourquoi la conquête de la Lune fut sans lendemain, ou presque: au total, douze hommes seulement, tous américains, ont foulé son sol entre 1969 et 1972. La démonstration était faite de la suprématie américaine, définitivement consacrée quelques années plus tard par le projet de ≪guerre des étoiles ≫. L’espace obéit, ensuite, a la realpolitik: a l’heure de la perestroïka, américains et russes choisirent, cette fois, de coopérer pour partager le coût faramineux de ces programmes. Ce sera la station spatiale internationale. L’Europe, flattée d’être admise dans ce club très ferme, acceptera de participer au financement de ce laboratoire ruineux, pour y obtenir un strapontin. Certains regrettent que le Vieux Continent ait obéré le développement de projets spatiaux utiles, comme l’observation de la Terre, les télécommunications ou la géolocalisation. Le match entre vol habite et exploration robotisée du système solaire reste d’actualité: les tenants de la machine assurent qu’elle est plus apte a glaner des données scientifiques; les champions de l’homme dans l’espace assurent que celui-ci est mieux équipé pour s’adapter a l’inconnu. Mais, aujourd’hui, le robot a pris l’avantage. Après la mise a la retraite de navettes trop coûteuses et dangereuses, les Etats-Unis n’ont même plus de moyens propres pour envoyer des astronautes dans l’espace. Ils doivent payer leur ticket pour prendre place dans les Soyouz russes, et Barack Obama a annulé le programme de retour sur la Lune.
Un seul acteur semble en mesure de prendre la relève: la Chine, a son tour décidée a marier le rêve et la puissance.


Le passage concernant la bio de Neil A, qui démontre à quel point il était de « l’étoffe des héros » (vous vous souvenez peut-être de ce beau film consacrés aux pilotes d’essais qui risquaient leur vie à chaque vol) :


Né le 5 août 1930 à Wapakoneta (Ohio), Neil Alden Armstrong a très tôt vu la Terre d’en haut: à 2 ans, il assiste à sa première course aérienne. A 6, il vole pour la première fois, sur un Ford Trimotor. A 15, il a son brevet de pilote. Il n’a pas 20 ans quand il obtient le titre de pilote naval. Son engagement dans la Navy est lié au mode de financement de ses études supérieures: il doit trois années à l’armée, intercalées dans les cinq années qui feront de lui un ingénieur aéronautique. Les Etats-Unis sont alors en guerre contre la Corée. Armstrong y effectue 78missions entre1951 et 1952. Lors d’un bombardement, son appareil est touché. Il reprend le contrôle au ras du sol, heurte un poteau qui arrache une partie de sa voilure, mais parvient à regagner un territoire ami avant de s’éjecter. De retour au pays, il s’engage à 25 ans comme pilote d’essai. Depuis la base d’Edwards, en Californie, il vole sur plus de 200 appareils, dont le X-15 qui le conduit au plus près de l’espace. Avec cet avion-fusée, il atteint 63,2km d’altitude et une vitesse de 6615km/h. Ce n’était pas suffisant pour mériter l’appellation d’astronaute (il faut avoir dépassé 80kmd’altitude). Appartenir à cette phalange de pilotes d’exception, qui comptait Chuck Yeager, premier homme à avoir franchi le mur du son et frôlé la mort avec eux, sera un sésame lorsque la course à la Lune sera lancée. Pourtant, l’ingénieur-pilote a un étrange retard à l’allumage au début du programme Apollo, en 1962. L’année précédente, le président Kennedy a proposé à une Amérique meurtrie d’avoir été devancée dans l’espace par le Soviétique Gagarine d’«envoyer un homme sur la Lune et de le ramener sur Terre sain et sauf» avant la fin de la décennie. Armstrong adresse sa fiche de candidature hors délai. Un collègue de la base d’Edwards répare la bourde en glissant le formulaire au milieu de la pile. Avant Apollo11, il y a Gemini 8, une mission lancée en mars 1966, très complexe. L’arrimage avec un vaisseau inhabité a lieu comme prévu, mais l’attelage part en vrille de façon incontrôlée. Armstrong décide d’abréger la mission et de rentrer sur Terre au plus vite.
Le choix d’Armstrong pour commanderApollo11, la mission la plus emblématique, est lié à cette faculté d’analyse, cette impavidité qui lui vaut le surnom d’« Ice Commander». Alors qu’il s’entraîne sur un engin destiné à mimer la faible attraction lunaire, celui-ci devient incontrôlable. S’éjectant à 30mètres de haut, Armstrong ne doit la vie sauve qu’à sa présence d’esprit. La NASA savait qu’il ne craquerait pas sous la pression pendant la mission, mais aussi après: il fallait un tel caractère pour endosser à jamais le rôle du «premier homme ». Dernier élément du casting, Armstrong est un civil, dans un corps d’astronautes trusté par les militaires: le symbole d’une conquête pacifique de la Lune avait aussi son importance. Les dés sont jetés : «Buzz» Aldrin sera l’éternel second et Michael Collins, resté en orbite autour de la Lune dans le vaisseau principal, le perdant frustré de cette distribution. L’alunissage du module est un nouveau morceau de bravoure. Voyant que le pilote automatique le dirige vers une zone dangereuse, Armstrong repasse en manuel. A Houston, l’équipe retient son souffle: il ne reste que quelques secondes de carburant avant la panne sèche. A 20h17min39s (TU), ce 20 juillet 1969, le LEM alunit. Dans la salle de contrôle, la voix d’Armstrong retentit : «Houston, ici la base de Tranquillité. L’aigle s’est posé.» Six heures trente-neuf plus tard, son pied gauche touche la surface. Il faut vite prendre des photos, planter le drapeau américain, déposer des souvenirs en l’honneur de Gagarine et des trois astronautes américains brûlés vifs, au sol, dans l’incendie du module Apollo 1. Et récolter quelques kilogrammes de roche. A peine deux Heures et demie avant de rembarquer. L’effort de toute une nation – jusqu’à 400000 personnes travaillant sur un programme qui mobilise 4,4% du budget gouvernemental– pour quelques minutes d’éternité. Quelques traces de pas indélébiles dans la poussière d’un astre mort. Evoquant cette aventure devant le Press Club américain, en 2000, Armstrong, le technicien revendiqué, avait cité la troisième loi d’Arthur C. Clarke: «Elle semble aujourd’hui particulièrement adaptée: toute technologie suffisamment développée est indiscernable de la magie. Vraiment, cela a été un siècle magique.»

[Ce message a été modifié par jackbauer 2 (Édité le 28-08-2012).]

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M'ouarf Daniel, j'avais pas vu du tout !!!
La lecture rapide qui associe des mots probablement, "profondément dessus", ça c'est fort et honteux.

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vaufrègesI3, je dois être con mais je n'arrive pas à voir ce qui ne va pas sur l'image de la une de La Provence que tu as postée.
???

Pas mal l'édito du Monde sinon.

jf

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Je voudrais revenir, sur un mode moins provo - le déferlement de pleurnicherie hypocrite (Obama qui couine sur la mort de Armstrong, alors que icelui considérait le Président des Etats-Unis comme le fossoyeur du programme spatial américain, JLD et autres réclamant sans rire de la décence dans ce post, bref, ce genre de débilités)revenir, disais-je sur le pourquoi nous sommes certains ici, je pense sans les nommer nommément à Kaptain, Superfulgur et autres Astroufs, à ne pas avoir été touchés par la mort d'un homme à 82 ans quand celui-ci est considéré par certains comme une Icône De L'Humanité...
En fait, et à la réflexion, je crois que le point important, c'était que Monsieur Armstrong était interchangeable. Dans l'US Air Force, des Armstrong, il y en avait une bonne palanquée, chez les soviets, pareil, et, si la France avait été maîtresse du monde à l'époque, Armstrong aurait pu s'appeler Patrick Baudry.
Ensuite, je suis pas le seul à l'avoir noté, la qualité principale de Armstrong, c'était son courage, son absence totale de peur dans les situations les plus critiques. C'est fantastique. Non ? Vous trouvez pas que c'est la qualité primordiale d'Homos sapiens, vous, çà ?
Oui ? Non ? Pour chasser le mammouth, si ?
Plus sérieusement, en 1969, il y avait d'autres hommes et femmes, je pense à Jimi Hendrix, Jim Morrison, Janis Joplin juste pour évoquer le "flower Power" et la période fabuleuse qu'a connu l'Amérique à ce moment là, qui sont morts, aussi. Sauf que. Hendrix, Morrison, Joplin, eux, sont vraiment irremplaçables. Personne ne chantera jamais "Summertime" ou "Turtles Blues" comme Janis Joplin. Personne ne refera "L.A Woman", personne ne jouera (même si d'autres virtuoses l'ont repris) Red House comme Jimi Hendrix.
En 1969 (environ) un homme irremplaçable, lui, a écrit Le Maître du Haut Chateau, un livre d'une prescience inouïe pour son époque ; il a écrit Ubik, aussi. Personne, jamais, ne le remplacera. Et je ne parle pas des hommes et femmes VRAIMENT importants qui ont jalonné l'histoire de l'humanité, à côté d'eux, et en demandant pardon à tout le monde par avance, Neil Armstrong, pour moi, c'est peanut.
Cela dit, je suis comme vous convaincu qu'il fallait conquérer la Lune "parce qu'elle était là" comme avait dit, je crois, Hillary devant l'Everest, et à l'époque, il était légitime de penser que l'homme avait sa place (essentiellement militaire, en fait) dans l'espace.
Que cinquante ans après, contre toutes les évidences, des gonzes y croivent encore, et que les astronautes, la bouche en coeur, fassent semblant d'y croivre, juste parce qu'ils ont envie de s'envoyer en l'air aux frais de la princesse, oui, çà me gave, et je crois qu'il faut qu'on soye quelqu'uns à le dire.

[Ce message a été modifié par Superfulgur (Édité le 28-08-2012).]

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Le corps de Neil Armstrong à peine refroidi, et déjà s’affrontent sans retenue, ceux qui croyaient au ciel, et ceux qui n’y croyaient pas !!!

Je m’en doutais, tant la lecture de cet événement révèle, en filigrane, celui de la légitimité de la « conquête » spatiale, de nature à cristalliser crispations et espoirs, en des avis, plus autorisés les uns que les autres.

Je ne trouve pas globalement outrancière la position soutenue ici par le pourfendeur patenté des vols habités, ni même insultante. Elle est juste conforme à sa jurisprudence constante, qui fait de l’astronaute/cosmonaute, l’instrument d’un quasi mensonge d’Etat. Ce même Etat qui, j’en conviens, n’a aucun scrupule à célébrer le patriote exemplaire, tout en délaissant dans les faits, l’instrument devenu sans objet. Ce n’est donc pas faire injure à la mémoire de Neil Armstrong que de rendre compte de ce cynisme.

Ce que je veux relever, c’est plutôt l’inélégance ou la maladresse de certains propos en cette circonstance particulière.

Et que dire de ces réflexes presque « pavloviens » cette propension maladive aux remarques allusives, avec pour obsession la force obscure de la religion , en des
formules supposées appuyer le propos, voire le teinter d’humour. Fichtre ! Comment peut-on à ce point rater sa cible !

Ce que je veux relever, c’est que l’on commence à croire que la science enchante à ce point ce monde, qu’en toute ingénuité , on donne licence aux techno-prophètes (on les cite même !) d’éluder l’homme de chair, dans la perspective hypothétique et terrifiante d’une évasion spatiale où une future technologie à inventer et se déclinant sûrement en « ique » permettra à l’homme de voyager sans l’homme.

Pourquoi ne pas dire clairement, et plus justement que l’homme est durablement chevillé, corps et âme à sa planète, la moins hostile à des années lumières à la ronde, plutôt que de charger la science du lourd fardeau d’organiser un voyage improbable et inutile ?

Pour le moment, et durablement des engins automatiques font le job, une autopsie est d’ailleurs en cours sur le corps monotone et caillouteux à souhait de Mars.

Célébrer ce que j’appelle « la Geste des astronautes » n’est pas à mon sens faire œuvre de naïveté ou d’idôlatrie.
Elle trouve sa source probablement dans l’enfance, dans la capacité de l’événement savamment mis en scène à nous émerveiller. Il y’a dans la saga Apollo tous les ingrédients des aventures chevaleresques, dont on ne leur demande pas d’être scientifiquement fondées !

Que l’on veuille bien nous excuser de la faiblesse d’admirer davantage le chevalier, que le palefrenier méritant, ou le cartographe ingénieux qui ont, dans l’ombre, rendu le périple possible.

En posant un pied américain sur la lune, Armstrong a probablement franchi une « nouvelle frontière », mais en termes métaphoriques, au-delà même du ‘touchdown » victorieux au nez et à la barbe des russes.

« Concentrer le monde aux dimensions de l’homme, dilater l’homme aux dimensions
du monde. »

J’aime beaucoup cette formule empruntée à un philosophe allemand par la personne chargée des questions d’éthique au sein de l’ESA.

Même si elle concerne la définition de l’humanisme, elle s’accorde à merveille avec la soif d’espace qui ne nous a pas abandonné depuis les temps ancestraux du nomadisme.

Si elle est l’expression d’une rivalité entre deux blocs, je ne crois pas que l’aventure Apollo soit strictement innocente, un challenge comme un autre en période de tension internationale.


Ca n’est pas la lune par hasard.
Armstrong n’est certes pas un humaniste.

Il est comme disait Sartre : »Un homme fait de tous les hommes et qui les vaut tous"

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Merci Bruno pour la précision. Aurais-je, sans le vouloir, apporté de l'eau au moulin de SuperConquêteSpatiale en étant pas capable de voir que la personne sur la photo était Aldrin au lieu de Armstrong ? Interchangeable dons ?

Au fait, SuperAlpiniste, elle est de George Mallory la citation. Lui ça serait plus Apollo 1 que Apollo 11...

jf

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quote:
... il y avait d'autres hommes et femmes, je pense à Jimi Hendrix, Jim Morrison, Janis Joplin juste pour évoquer le "flower Power" et la période fabuleuse qu'a connu l'Amérique à ce moment là, qui sont morts, aussi. Sauf que. Hendrix, Morrison, Joplin, eux, sont vraiment irremplaçables. Personne ne chantera jamais "Summertime" ou "Turtles Blues" comme Janis Joplin. Personne ne refera "L.A Woman", personne ne jouera (même si d'autres virtuoses l'ont repris) Red House comme Jimi Hendrix.
En 1969 (environ) un homme irremplaçable, lui, a écrit Le Maître du Haut Chateau, un livre d'une prescience inouïe pour son époque ; il a écrit Ubik, aussi...

'tin , c'est l'apollo-gie de la came cette liste !

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Hamilton :

"Ce n’est donc pas faire injure à la mémoire de Neil Armstrong que de rendre compte de ce cynisme."

Merci, Hamilton, c'est exactement le sens de ma démarche...

Tu me fais penser à une anecdote... J'ai rencontré plusieurs fois Buzz Aldrin, en particulier une journée d'été en Provence, où j'ai fini par lui servir de "guide" parce qu'il (je le crois) appréciais ma compagnie... Et pourquoi ? Parce que j'étais le seul à le considérer comme un Américain en France, pas comme l'Homme Qui A Marché Sur La Lune. Je le protégeais des fans qui, maintenant, pleurent Armstrong, et qui le faisaient chier en lui présentant des Match de 69 à dédicacer, des photos, des bouquins et le harcelaient en le regardant comme une icône. Je l'ai même vu se mettre en colère devant cette pression idôlatre. Je m'honore de n'avoir pas une dédicace de Buzz Aldrin mais d'avoir partagé des moments avec lui, y compris, mais oui, sous une Lune de juillet, dont je ne lui ai évidemment pas parlé.

Tu comprendras mieux pourquoi j'emmerde les donneurs de leçons à deux balles.

S

PS : J'ajoute pour énerver tout le monde que j'ai mangé un morceau de Lune ramené par une mission Luna.

Pardon, pardon à la famille de Monsieur Armstrong, à ses amis, à ses proches, à ses fans, pardon à Bernard Nomblot, pardon à JLD, pardon à gcricourt, pardon à Bernard Bretzhel, pardon à leur famille, pardon à leurs proches, pardon à tous les astronautes, à leurs familles à leurs proches.


PS : Excellent, Philipoïde, excellent !!!!!!!!!!!!!!

[Ce message a été modifié par Superfulgur (Édité le 28-08-2012).]

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C'est vrai ça Superhippie umpiste, ceux que tu as cités sont juste irremplaçables, tout comme l'autre Neil, le Young mis en cause, still young, même à 67 balais.
Pour la peine je t'offre un petit morceau qui le définit pas mal, au cas où certains imaginent un folkeux, s'il casse les cordes il respecte toujours sa vieille gratte. http://www.youtube.com/watch?v=GFIcQU8K4AY

Désolé pour la dérive,

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Tournesol,
Le coup de présenter Armstrong comme la première astronaute américaine ressemble beaucoup à la provocation d'une féministe toujours prête à choquer pour le service de sa cause, ce ne peut être de l'ignorance à ce point!

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quote:

@Superjenfonceleclou Armstrong a disparu dans l'anonymat, vingt ans durant, tandis que son collègue Buzz Aldrin, littéralement obsédé de n'avoir pas été le premier, mais seulement le second, sombrait dans l'alcool et la dépression.

quote:

@Superfriend Tu me fais penser à une anecdote... J'ai rencontré plusieurs fois Buzz Aldrin, en particulier une journée d'été en Provence, où j'ai fini par lui servir de "guide" parce qu'il (je le crois) appréciais ma compagnie... Je le protégeais des fans qui, maintenant, pleurent Armstrong, et qui le faisaient chier en lui présentant des Match de 69 à dédicacer, des photos, des bouquins et le harcelaient en le regardant comme une icône. Je l'ai même vu se mettre en colère devant cette pression idôlatre. Je m'honore de n'avoir pas une dédicace de Buzz Aldrin mais d'avoir partagé des moments avec lui, y compris, mais oui, sous une Lune de juillet, dont je ne lui ai évidemment pas parlé.

Tu comprendras mieux pourquoi j'emmerde les donneurs de leçons à deux balles.


Donc tu l'as réconforté dans sa dépression si je comprends bien ? Je crois qu'il ne te remerciera jamais assez de ses bons moments passés en ta compagnie ... est ce que depuis tu as reçu sa carte postale de remerciements ?

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Non, la dernière fois que je l'ai vu, c'était à Monaco, et c'est LUI qui dédicaçait MA photo du ciel pour une institution taratative...

Laisse tomber, gcricourt, décidément, on tire pas dans la même catégorie.

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Merci Hamilton pour ta poésie autant que pour ta prose.

@Super : Est-ce le gateau à la poudre de lune qui fait de toi quelqu'un d'exceptionnel ?

L'interchangabilité se discute. Chaque pilote est un être humain, chaque être humain est différent. L'inconscience n'a pas franchement cours dans le metier de pilote d'essai(en tout cas pour ceux que j'ai cotoyé). Sans quoi, par exemple, Mercury 4 aurait été le même succès que Mercury 3...
L'irremplacabilité aussi. P. K. Dick ne m'a jamais fait vibrer. Je n'aime pas les Doors.
Je ne cherche en rien a te convaincre, ni a te donner des leçons. Je ne fait que partager mes convictions. De plus, des millénaires d'évolution n'y suffiraient probablement pas et cela n'a que peu d'interêt pour moi. Mais si par le plus grand des hasards tu avait été du coté des convaincus d'un quelquonque interêt du voyage spatial habité, avec des artifices sémantiques comme ta dernière intervention, nous serions déjà établis sur Titan...

Bernard

PS1 : Même si ils n'etaient pas américains, tu a oublié dans les vrais irremplacables de l'époque Ummagumma des Pink Floyds

PS2 : Laisse ma famille tranquille... Elle, au moins ne t'a rien fait.

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quote:
@SuperSerge Non, la dernière fois que je l'ai vu, c'était à Monaco, et c'est LUI qui dédicaçait MA photo du ciel pour une institution taratative...

Laisse tomber, gcricourt, décidément, on tire pas dans la même catégorie.


Mon cher Serge à force de côtoyer des pointures des sciences et des médias tu te donnes souvent une importance que tu n'as pas et ton manque de modestie ainsi que le ton hautain que tu prends parfois horripile beaucoup de monde sur les forums. Visiblement tu n'as pas la même attitude à la radio ou dans les interviews mais cela se comprend aussi puisque tes employeurs te surveillent de près.

Juste à titre d’exemple je me demande ce que penserai ces astronautes que tu dénigres dans tes écrits ou tes reportages et ce après t’avoir accordé un peu de leur temps. Je ne parle pas non plus de ces malheureux blogueurs que tu as rembarrés à plusieurs reprises ici et que tu perçois certainement comme une concurrence déloyale.

Tu vois ici on n'est que des quidams mais surtout des passionnés et on s’attend à ce que ceux à qui ont donne la chance d'être au plus près des personnes et de l'actualité qui nous intéressent soient un peu plus modeste et surtout plus respectueux des autres qui pour certains sont éventuellement leurs lecteurs.

Donc je suis d'accord nous on ne joue pas dans la même court que toi selon tes dires, vu comment tu nous prends de haut parfois.

Sinon cela n’empêche pas d’être admiratif de ton travail (tes photos) même si je n’aime définitivement pas ton attitude.

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@superfulgur
En lisant les interventions ici, je me rends compte que pas mal d'intervenants pensent que même si tes idées sont pertinentes, la manière obsessionnelle, prétentieuse et cynique avec laquelle tu les exprimes dessert complétement ton discours. Cela lasse les intervenants, te décrédibilise et pollue les débats qui finissent par chavirer.

Tout le monde connait ton travail et sait que tu es capable de beaucoup mieux. Tous le monde sait que tu es journaliste et aimerait se rassurer en pensant qu'il existe de bons journalistes scientifiques capable d'aller a contresens, de critiquer les communiqués de presses officiels et les idées reçues, sans pour autant le faire avec mépris et suffisance.

Peut être est-ce le moment après 17199 messages de te remettre un peu en question. Ca soulagerait beaucoup de monde ici. Tu y gagnerais en auditoire et en respect pour ta personne et ton travail.

Tu t'en sens capable?

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Attention, SuperCherie n'a rien à voir avec le célèbre journaliste SB : le premier n'est qu'un avatar du second, y a qu'à comparer les styles littéraires et de comportement .

A mon avis, c'est tout l'intérêt d'un forum - l'anonymat permet de juger du contenu et non de conditionner son jugement par l'idée qu'on se fait du personnage social sous le pseudonyme. Sinon on arrive à des confrontations d'egos sans beaucoup d'intérêt à mon sens. Je trouve que les gens "connus" devraient rester cachés derrière leurs pseudos.

J'aime bien ce genre de discussions qui, apparemment stériles, permettent d'évoquer en vrac Sartre, Clarke, Joplin, Hendrix, Colomb et j'en passe et de stimuler les meilleures plumes du forum.

Bref, quels que soient vos arguments, je trouve que le mot extraordinaire trouve tout son sens avec Armstrong, c'est lui qui était aux commandes et qui a réussi à poser le premier LEM sur la lune, et qui donc a personnalisé cette extraordinaire magie pourtant issue du complexe militaro-industriel américain, on fait mieux en termes de poésie . En ce sens, quoiqu'on dise il est irremplaçable, à travers son geste, il a porté l'imaginaire de millions d'humains. Si personne ne chantera Summertime comme Janis Joplin, d'ailleurs cette version : http://www.youtube.com/watch?v=mzNEgcqWDG4
est, à mon goût, bien meilleure que celle-ci : http://www.youtube.com/watch?v=zrOA7dLyZlM
elle est donc irremplaçable à elle-même la Janis

Bref, que la lune ne soit plus à l'ordre du jour, n'enlève rien au tsunami d'imaginaire qu'a déclenché Armstrong par son geste et ce n'est pas une trahison envers lui de renoncer à la guerre froide et à la course à la lune.

[Ce message a été modifié par ChiCyg (Édité le 29-08-2012).]

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quote:
A mon avis, c'est tout l'intérêt d'un forum - l'anonymat permet de juger du contenu et non de conditionner son jugement par l'idée qu'on se fait du personnage social sous le pseudonyme. Sinon on arrive à des confrontations d'egos sans beaucoup d'intérêt à mon sens. Je trouve que les gens "connus" devraient rester cachés derrière leurs pseudos.

Je suis tout a fait d'accord avec ça. On a très vite des aprioris sur les personnes quand on sait qui elles sont. Seulement Superfulgur est bien Serge Brunier puisqu'il nous a présenté récemment son documentaire sur Arte sans cacher qu'il était de lui (quand on lit le fil de ses interventions). C'est donc qu'il assume son identité.
Personnellement je ne le savais pas avant. J'avais un bon apriori sur lui, avant son documentaire et avant de le lire sur ce forum. Maintenant c'est différent.

En suite, au vu de ses multiples interventions déplacées j'imagine que le choix de l'anonymat pour lui ne se s'inscrirait pas dans l’idée que tu nous présentes, mais plutôt dans la volonté de se protéger professionnellement. Ce que je comprends aussi puisque les médias et les organismes qui l'emploient utilisent aussi beaucoup internet.

Maintenant, "pour énerver tous le monde", il nous dit qu'il a mangé "un morceau de lune". Ma foi, ce qui énervera le plus, c'est qu'il en soit fier. Et puisqu'il sort de son anonymat, il faut aussi qu'il assume ses propos en tant que Serge Brunier, journaliste scientifique.

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he bien nous sommes d'accord,
certains morts te manquent et à moi aussi, seulement ce ne sont pas les mêmes.

c'est pas grave...
Et l'armstrong qui me manquera, ce n'est pas le First Man,
mais celui qui a su rester loin des projecteurs
et qui a privilégié sa vie plutot que la notoriété.

C'est l'homme qui me plait, pas l'astronaute, qui effectivement était interchangeable.

Quand à ta galerie d'alcoolo-junkie, il n'y a guère qu'Hendrix
qui surnage.
Les autres me semblent largement surévalués,mais chacun ses goûts

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Aucun des propos échangés ici ne me paraît choquant. Si d'aucun sont traumatisés par les idées de Supermartien, c'est sans doute qu'ils ne les partagent pas, mais aussi surtout parce qu'ils ne perçoivent pas, ou n'apprécient pas la part exquise de son humour rude et corrosif, son mordant, bref son côté "casse-c....les" . Pour ma part, c'est tout ce que j'aime, même si j'en été assez souvent la "victime . Ce qui est clair, c'est que Super m'a fait évoluer et a enrichi mes connaissance sur de nombreux sujets, et je ne dois pas être le seul.. Par ailleurs, je le soupçonne d'avoir d'autres centres d'intérêts, très éloignés de l'astronomie. Il suffit de voir certaines de ses images sur son site..

L'avantage indéniable d'écrire, pour nous tous, c'est que ça constitue le meilleur moyen de parler sans être interrompu , ceci en particulier quand on écrit des conneries. Ici je n'ai pas d'ennemis, mais seulement des interlocuteurs. D'ailleurs ceux qui seraient tentés de se dire mes ennemis doivent demander mon accord préalable ..

Je vais me répéter tant ce sujet a été abordé moultes fois par ici. Mais tant pis.. Je précise que le but n'est pas de convaincre, je m'exprime ici avec ma propre sensibilité, nous échangeons..

Il est bien clair que le spatial habité nécessite de mobiliser l'opinion publique, ce secteur suscitant des attitudes passionnelles de rejet ou d'adhésion . Cela se fait d'autant plus aisément que la charge émotionnelle et symbolique des projets est plus grande, et il est clair que de ce point de vu l'ISS en est quasi totalement dépourvue. Une expédition habitée vers Mars, surtout si elle devait combiner les efforts conjugués de plusieurs puissances spatiales, serait sans aucun doute plus facile à "vendre" que l'installation d'une base permanente sur la Lune. Et comme l'imagine André Lebeau, elle revêtirait plutôt , comme ce fut le cas du projet Apollo , le caractère d'une "démonstration".. Ce ne serait pas forcément la première étape d'une stratégie globale cohérente..

Concernant la pertinence des vols habités, Michel Serres s'exprime ainsi : "Quand nous abandonnons les vols habités, nous disons : ils coûtent trop cher. À l’inverse de cette évidence plate, le calcul à ces limites évalue le prix de l'Incarnation".

Il posait ainsi la question de l'évaluation de l'intérêt que représente la présence de l'homme dans l'espace (comparé aux seuls robots). "L'incarnation", c'est l'idée que l'espèce humaine puisse véritablement s'identifier (- s'incarner - dans l'espace, par sa présence concrète, de chair et de sang. Qu'elle s'y représente concrètement, hors et en sus des machines, et y apporte la plus value de son "expérience sensible". L' interrogation, c'est de se demander si l'absence totale et définitive de l'homme dans l'espace peut avoir des aspects négatifs dans la représentation que l'homme se fait de lui même et de son avenir. Mais une autre question se pose : "l'incarnation" vaut-elle le prix à payer ?

Il est patent par exemple que l'on tend tous plus ou moins à "humaniser" Opportunity et Curiosity, à leur prêter des qualités telles que la "vaillance", "l'endurance", une "bonne santé", à leur donner un diminutif, "Oppy"... Les traces de roulement des rover, leur ombre, nous touchent, car elles "humanisent" quelque peu ces engins, ainsi que leur environnement.. En tout cas, la relation familière, voire affective, que l'on peut avoir avec ces machines ou ces objets joue en ce sens …

Pour Protagoras, "l'homme est la mesure de toute choses", formule qu'Anatole France interprétait ainsi : "[i]L'homme ne connaîtra de l'univers que ce qui s'humanisera pour entrer en lui, il ne connaîtra jamais que l'humanité des choses".

Même si personnellement (je crois que ça se devine derrière mes chroniques des rovers martiens, du lander Phoenix...) je demeure fasciné par l'exploration robotique, je note qu'elle ne suscite que très très peu d'intérêt hors la communauté scientifique, quelques journalistes spécialisés, et quelques amateurs plus ou moins éclairés ici et là.. Aucun engouement véritable..

Que valent réellement nos robots spatiaux pour l’Humanité, l’intérêt scientifique, la rationalité ont ils un droit absolu de préemption pour les entreprises humaines ? Là est la question..

Bien sûr, tout cela peut paraître du domaine fluent de la subjectivité pure, coupé du domaine objectif, rationnel. Il existe d'autres paramètres, d'autres priorités, économiques, politiques et sociales..
Mais l'humanité pleine et vraie, c'est à dire "incarnée", ne s'accomplit pas seulement dans une sorte "d'hyperconceptualisation théorique" permanente, mais aussi dans l'épanouissement de nos sens.. Un être véritablement humain doit harmoniser sa dualité, c'est à dire son esprit et son corps (ses sens) . Et l'éveil sensoriel n'abolit pas l'intelligence, mais la réveille dans d'autres dimensions et enrichit notre conscience, nos représentations. C'est très vrai bien sûr dans le domaine atistique : Tout artiste cherche à communiquer ce qu'il éprouve, toute oeuvre d'art est donation affective de soi, tentative de communication infinie de sentiment. L'art s'adresse directement à la sensibilité, il est populaire et universel. Il n'y a dans l'art aucun "objet", il n'y a que le sujet.

L'homme moderne pressé par le temps, submergé de toutes sortes de préoccupations immédiates et de problèmes urgents à régler, évolue dans une sorte de harcèlement permanent de pensées se voulant rationnelles, ignorant le plus souvent les subtils signaux des sens, se désincarnant ainsi lui même. Hors, nous avons fondamentalement besoin de sentir le rayonnement sensible en nous, sa présence duelle avec l'esprit.. Ceci, partout ou c'est possible, pour notre propre expérience du monde, nos représentations.

Par nature, l'humanité s'enrichit toujours et collectivement d'une part des expériences sensibles vécues par les individus, et elle s'approprie ainsi l'incarnation qu'ils ont su porter et qui, par nature, les dépasse.. Que les astronautes puissent tenir des discours souvent bêtifiants, qu'ils ne connaissent rien de l'astronomie par exemple ne fait rien à l'affaire, cet aspect est d'ailleurs vérifiable pour bien d'autres catégories "d'explorateurs". Mais est-ce là le plus important ? L'incarnation se fait de toute façon, "malgré eux", par le rêve qu'ils procurent, la construction qui s'opère ensuite dans l'imaginaire de ceux qui observent l'évènement ou en reçoivent le témoignage, par nature extraordinaire.

Enfin.. je le crois.. il me semble ..

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Très vite, parce que çà me gave de devoir à chaque fois me justifier. bingocrepuscule, tu n'aimes pas mon style, dont acte. Tu ne perçois pas le second degré ou l'autodérision, bon. Il y a quelqus années, je signais sous mon "vrai nom", çà m'a valu deux choses : deux de mes employeurs qui ont reçu des lettres anonymes d'une violence inouïe, absolument détestable, à mon encontre, et sur le Forum, des gus qui faisaient une fixette à mon encontre, tous en se cachant eux-mêmes sous un pseudo...
Bref, j'ai choisi un pseudo opaque, sans trop me cacher par ailleurs. Par ailleurs, le ton "léger" employé est du aussi au fait que nous sommes nombreux ici à nous connaitre depuis des années, voire des décennies...

Je ne réponds pas à l'autre, qui m'a fait sortir de mes gonds, un gus qui a passé près de la moitié de ses posts à défendre deux escrocs patentés, et une partie des autres à s'attaquer systématiquement, y compris dans des posts où ils n'apparaissent pas, à deux gus qui n'ont pas l'heur de lui plaire. Lui, c'est clair, c'est fini, je ne discute plus avec lui, et je revendique le ton hautain avec lequel je l'ai renvoyé à ses chères études.

Daniel, tu es le Montaigne du Forum, c'est clair. Ta dernière contribution est très belle, mais je suis en profond désaccord avec toi... Je reviendrai peut-être ce soir ou demain essayer de déconstruire ton "essai" , là, c'est apéro, knackis, pistaches grillées.

Bises à tous et pardon, pardon à vos familles, pardon à vos proches.

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Mais qui donc se cache sous ce pseudo? quel est le vrai nom de ce Superfulgur? le mystère demeure entier et total! le saurons-nous un jour? j'en doute, il est malin et habile à se déguiser le bougre! ...

signé: le bavroche masqué

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Super > "Je reviendrai peut-être ce soir ou demain essayer de déconstruire ton "essai" , là, c'est apéro, knackis, pistaches grillées"..

Prends ton temps, j'observe actuellement le ruissellement de la buée sur la bouteille glacée d'un excellent rosé de Bandol, et je crains d'avoir les idées un peu embrouillées d'ici moins d'une heure..

Pierre Alain la ramène pas hein, y'a même pas un Suisse dans la dernière fournée des futurs héros de l'espace de l'Esa..
Et les Rafales au fait ? C'est bon ??..

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