symaski62

Rosetta -100 jours :)

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Ouhaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii......................!

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Ouhaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii......................!

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Serge Brunier sur BFM TV : 15H50

C'est un exploit européen " Aucun pays n'avait réalisé cet exploit, même pas les états-unis!"

Ouahou ....! Super fulgurant !

[Ce message a été modifié par stanley (Édité le 14-06-2015).]

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D'abord il ne s'appelle pas Serge mais David (d'après BFMTV...)

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Youpi les affaires reprennent!
Champagne dans toutes les chaumières astro!

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Intéressantes infos de JP Bibring :
http://www.lefigaro.fr/sciences/2015/06/14/01008-20150614ARTFIG00131-philae-s-est-reveille-de-son-hibernation-sur-la-comete.php

La «conversation» n'a duré que les quelques instants durant lesquels les antennes de Philae et Rosetta étaient dans le même axe, la sonde étant située à plus de 200 kilomètres de la comète qui se fait de plus en plus active en se rapprochant du soleil. «Avec l'ESA, nous allons essayer de modifier l'orbite de Rosetta pour modifier son altitude par rapport à Philae», a expliqué au Figaro Jean-Pierre Bibring, de l'Institut d'astrophysique spatiale d'Orsay (IAS) et responsable scientifique de Philae. «Nous avons actuellement quelques minutes de communication, mais d'ici quelques semaines nous allons arriver à des heures.»
(…)
«Ces données, que Philae a collectées lui-même pour mesurer l'état de son propre système, montrent qu'il semble en pleine forme et cela nous rempli d'espoir», se réjouit Jean-Pierre Bibring. «Son système a supporté des températures descendant extrêmement bas, mais on le retrouve dans l'état dans lequel on rêvait de le retrouver! Il y a assez d'énergie dans tous les panneaux solaires, ce qui montre qu'aucun n'a été recouvert par de la poussière. Il n'y a désormais pas de raison de ne pas pouvoir reprendre les mesures scientifiques.»
(…)
Les scientifiques attendent maintenant un prochain contact avec le robot. Plus de 8000 paquets de données seraient encore cachés dans sa mémoire, qui permettraient aux équipes restées sur Terre de savoir ce qui lui est arrivé dans les derniers jours. Quand au recueil de nouvelles informations sur la comète elle-même, «nous allons commencer par les mesures les plus simples (températures, images de la comète sous d'autres angles…) qui nécessitent le moins de mouvements», a précisé Jean-Pierre Bibring.
«Dans une deuxième étape, nous pourrons utiliser la foreuse» pour prélever des échantillons sur 67P/Tchourioumov-Guerassimenko

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La température interne annoncée est de -35°C... donc les models étaient cette fois pessimistes!
Maintenant Rosetta doit modifier sa trajectoire pour pouvoir écouter Philae à chaque rotation, mais a priori tout le monde est partant!
C'est tellement fantastique si on a une nouvelle opportunité de reprendre des images de la surface, la voir évoluer de jour en jour et (re-)faire un forage!

Sans parler de repartir sur une nouvelle médiatisation de la mission Rosetta/Philae!

Mais il doit falloir compter une semaine de communications avant de lancer des programmes d'opération avec Philae, donc patience!

Nicolas

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L'article du Monde apporte quelques autres précisions :

quote:
« Philae est opérationnel », a déclaré, dimanche 14 juin, Stephan Ulamec, responsable de cet engin à l’Agence spatiale européenne (ESA). Ce mini-laboratoire, qui est posé sur la comète 67P Tchourioumov-Guerassimenko depuis le 12 novembre, a donc enfin donné de ses nouvelles. Peu avant minuit samedi, les équipes ont reçu un signal bref pendant une quarantaine de secondes en provenance de Rosetta, l’orbiteur qui scrute l’évolution de la comète depuis août 2014 et qui avait largué Philae sur son sol gelé et poussiéreux, à quelque 500 millions de kilomètres de la Terre. Une première.

Une soixantaine d’heures après l’atterrissage et après de premières expériences in situ, Philae s’était arrêté faute de batterie et était entré en hibernation. Depuis le 12 mars, les équipes de l’ESA étaient à l’écoute, chaque mois pendant environ une semaine, d’un éventuel signal qui les aurait informés de l’état de santé du robot.

La quatrième tentative a été la bonne. Le signal est finalement arrivé avec de bonnes nouvelles. Les panneaux solaires fonctionnent puisqu’ils ont pu apporter les 19 watts nécessaires à l’émission du signal. Les premières données reçues indiquent même que 24 watts sont disponibles. La température interne est passée au-dessus de - 45 °C, à partir de laquelle l’ordinateur de bord peut travailler. « Nous sommes heureux. Nous allons pouvoir travailler sur ces données et celles qui vont suivre », s’enthousiasme Jean-Pierre Bibring, responsable scientifique de Philae et astrophysicien de l’université Paris Sud (Orsay).

Seul bémol, la communication entre Rosetta et Philae est de très courte durée, quelques minutes au lieu de l’heure de contact escomptée. Les informations arrivent donc par intermittence. L’ESA indique ainsi avoir reçu 300 paquets sur les 8 000 en mémoire.

« C’est déjà un premier pas important de savoir que Philae n’est pas cassé ou recouvert de poussières. Nous retrouvons de la confiance », confie Philippe Gaudon, responsable des opérations de la mission au Centre national d’études spatiales (CNES).

« Nous essayons d’améliorer les conditions de communication entre Rosetta et Philae », explique Jean-Pierre Bibring. Rosetta est en orbite à quelque deux cents kilomètres de la surface afin de se protéger des émissions de poussières, qui s’accentuent à mesure que la comète se rapproche du Soleil.

Le 14 février, un rase-mottes à seulement six kilomètres de la surface avait constitué un record. Mais un mois plus tard, un nouveau survol, plus haut, avait un temps fait perdre le contrôle de l’orbiteur à cause des nombreuses poussières émises par le noyau. En restant donc à bonne distance, les équipes doivent analyser à quel moment l’orientation et la position sont les plus favorables pour améliorer cette communication. « A cette distance, on ne parle plus vraiment d’orbite, ce sont plutôt des successions d’allers-retours et de lignes droites, explique Philippe Gaudon. Il va donc falloir piloter différemment Rosetta afin d’améliorer la communication. » Signe de ces difficultés, douze heures après le premier signal, un second aurait dû arriver mais n’a pas été reçu.

La tâche est compliquée par le fait que la position exacte de Philae est mal connue. Le 12 juin, le CNES a cependant annoncé avoir repéré le petit engin sur la « tête » de la comète, grâce à un cliché de Rosetta. Philae se trouve coincé au pied d’une falaise et pas exactement à l’horizontale, ce qui avait compliqué la réalisation d’expériences de forage de la croûte de la comète en novembre.

Cette position, à l’ombre, a néanmoins l’avantage d’avoir protégé les systèmes électroniques de trop fortes chaleurs. Ainsi les nouvelles expériences apporteront des informations sur un noyau bien plus actif, c’est-à-dire éjectant plus de gaz et de poussières que prévu initialement. Les séquences informatiques à télécharger sur Philae sont prêtes mais ne pourront débuter que lorsque la « visibilité » avec Rosetta sera meilleure et que les communications dureront plus de trente minutes. Sans doute pas avant une semaine ou deux.

En attendant, les premiers résultats scientifiques tirés des expériences du mois de novembre sont en cours d’examens par des spécialistes, en vue de publication cet été.

Rosetta a par ailleurs apporté de nombreux résultats et de nombreuses questions sur la nature de la comète. Le noyau semble très poreux, avec une densité inférieure à celle de l’eau liquide. L’eau glacée qu’elle contient n’a pas la même composition que celle des océans terrestres, écartant l’idée que notre eau aurait été apportée uniquement par des collisions avec des comètes. Les paysages géologiques sont bien plus complexes qu’attendu, alternant plaines sablonneuses, hautes falaises et gouffres insondables.

Il reste à savoir quelle est la composition exacte de la matière organique présente sur Tchourioumov-Guerassimenko, pour savoir si la vie terrestre aurait été favorisée par l’apport de ces briques élémentaires biochimiques dans une pluie de comètes de même nature.


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"Mission Rosetta : de nouveaux contacts "instables" établis avec Philae"
http://www.lepoint.fr/astronomie/mission-rosetta-de-nouveaux-contacts-instables-etablis-avec-philae-22-06-2015-1938939_1925.php


Extraits :

"En réalité, les communications avec le robot sont encore instables et relativement hachées. La durée pendant laquelle il nous envoie effectivement des données ne dépasse toujours pas les 2 minutes", rectifie Philippe Gaudon. Or, c’est cette fenêtre-là qui intéresse les scientifiques et qui doit atteindre au minimum 15 minutes pour permettre l’envoie d’ordres à Philae. "Nous sommes donc encore loin de pouvoir refaire de la science", reconnaît l’astrophysicien. "Pour cela, il nous faut encore améliorer la qualité des communications avec Philae."

Pour y parvenir, la sonde européenne Rosetta est seule à la manœuvre : elle doit absolument réussir à se positionner dans l’axe des antennes fichées sur la tête de son atterrisseur, tout du moins le plus possible.
"Le souci, c’est que nous naviguons un peu dans le brouillard. Car, d’une part, si nous pensons avoir identifié la zone où se trouve le Philae, nous n’en sommes pas sûrs à 100 %. Et d’autre part, nous ne connaissons pas non plus l’attitude exacte du robot : nous pensons qu’il n’est pas posé bien droit sur ses pieds, mais nous ignorons, par exemple, son degré d’inclinaison", confie Philippe Gaudon.

"À présent, il a été décidé de la rapprocher encore, jusqu’à 160 kilomètres de la comète", indique le chef de projet. "Une manœuvre qui devrait être achevée aux alentours de mercredi".

En attendant, les équipes de la mission Philae resteront à l’écoute, deux fois par jour, fébriles, espérant des nouvelles plus substantielles du tout premier robot à jamais s’être posé à la surface d’une comète.

[Ce message a été modifié par vaufrègesI3 (Édité le 22-06-2015).]

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http://www.esa.int/Our_Activities/Space_Science/Rosetta/Rosetta_mission_extended

Communiqué officiel de l’ESA : la mission est prolongée jusque septembre 2016, comme on pouvait s’y attendre. [COLOR="Red"]Ensuite ? L’ESA envisage très sérieusement de faire poser Rosetta sur la comète !!!
[/COLOR][B]FANTASTIQUE !!

[/B]
Extrait :

«*…The adventure continues: ESA today confirmed that its Rosetta mission will be extended until the end of September 2016, at which point the spacecraft will most likely be landed on the surface of Comet 67P/Churyumov-Gerasimenko
(…)
Rosetta and the comet will again be close to the Sun as seen from the Earth in October 2016, making operations difficult by then.
However, with Rosetta’s propellant largely depleted by that time, it makes little sense to place the spacecraft in hibernation again.
“This time, as we’re riding along next to the comet, the most logical way to end the mission is to set Rosetta down on the surface,” says Patrick Martin, Rosetta Mission Manager.
“But there is still a lot to do to confirm that this end-of-mission scenario is possible. We’ll first have to see what the status of the spacecraft is after perihelion and how well it is performing close to the comet, and later we will have to try and determine where on the surface we can have a touchdown.”
If this proposed scenario were played out, then the spacecraft would be commanded to spiral down to the comet over a period of about three months….*»

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Rosetta trouve des dolines (sinkholes) sur la comète: http://www.nature.com/articles/nature14564.epdf

Visiblement le processus est assez important dans l’évolution du paysage de la comète (plein de sinkholes pour une comète jeune, et la surface devient de plus en plus lisse avec le temps si j'ai bien compris).

jf

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Extrait :

"Sylvain Lodiot : Les nouvelles ne sont pas très bonnes... Nous n'avons plus de contact avec Philae depuis le 24 juin. De plus, les quelques communications qui ont eu lieu entre la sonde et l'atterrisseur depuis son réveil (les 13, 14, 19, 20, 21, 23 et 24 juin, Ndlr.) ont été courtes et interrompues régulièrement, ce qui est assez surprenant. Théoriquement, nous devrions avoir deux contacts par jour qui durent entre quelques dizaines de minutes et trois heures. Avec les collègues du Cnes et de l'Agence spatiale allemande qui contrôlent Philae, nous essayons de comprendre ce qui peut causer ces problèmes. Plusieurs raisons sont envisagées comme une panne technique du côté de l'atterrisseur, un problème d'orientation de ses antennes, ou encore un manque de puissance de sa batterie."

http://www.sciencesetavenir.fr/espace/20150701.OBS1898/sylvain-lodiot-nous-n-avons-plus-de-contact-avec-philae-depuis-le-24-juin.html

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Info erronée de France TV info?
quote:
Le contact est rétabli avec Philae
Les batteries sont pleines et le contact est rétabli. Le périple du robot Philae sur la comète Tchouri continue.
[URL=http://www.francetvinfo.fr/monde/europe/le-contact-est-retabli-avec-philae_986219.html]http://www.francetvinfo.fr/monde/europe/le-contact-est-retabli-avec-philae_986219.html[/ URL]

La vidéo est en contradiction avec le chapeau ...

[edit] Info effectivement en contradiction avec ce court message qui indique que le contact n'a pas pu être établi avec Philae. Si j'ai bien compris, nouvelle tentative vendredi : http://blogs.esa.int/rosetta/2015/07/06/lander-update-6-july/
[/edit]

[Ce message a été modifié par ChiCyg (Édité le 07-07-2015).]

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Yeeehhaaaaa !!!!

quote:
Le robot Philae, qui est sorti de sept mois de silence à la mi-juin sur la comète Tchouri, a transmis hier des données au centre des opérations de l'Agence spatiale européenne (ESA) à Darmstadt, en Allemagne.
Le robot s'est posé le 12 novembre dans une zone peu ensoleillée, ce qui l'empêchait de recharger sa batterie alimentée par des panneaux solaires. A court d'énergie, il était entré en "hibernation" après 57 heures de travail sur la comète, à plus de 500 millions de kilomètres de la Terre. Il en est sorti le 13 juin à la surprise des chercheurs, alors que la comète approchait du soleil. Depuis, les scientifiques cherchaient à établir une liaison stable avec la sonde Rosetta, nécessaire à la bonne transmission des données.
Hier soir, Philae a pu communiquer 12 minutes avec Rosetta et transmettre les données recueillies à l'aide d'un de ses instruments baptisé CONSERT, chargé de l'analyse de la structure interne de la comète. "Ce signe de vie de Philae nous prouve qu'au moins un des moyens de communication de l'atterrisseur reste opérationnel et reçoit nos commandes", s'est félicité Koen Geurts au centre des opérations spatiales de l'ESA.

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Effectivement, Philae a exécuté les commandes envoyées le 9 juillet alors qu'il était resté silencieux. L'équipe ne comprend pas les raisons du silence et de la soudaine reprise des communications interrompues depuis le 24 juin alors que l'orbite de Rosetta n'a pas changé. C'est là : http://blogs.esa.int/rosetta/2015/07/10/new-communication-with-philae-commands-executed-successfully/

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