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IDans un premier temps, la meilleure façon de débuter est de se
documenter sur le sujet. On peut se
procurer des ouvrages soit en librairie, soit à la bihiothèque municipale.
Ensuite, on peut commencer l’observation du ciel
à l’œil nu ou avec une simple paire de jumelles. Rien ne sert de s’équiper d’un télescope
dernier cri, le meilleur instrument est, avant tout, nos yeux. Ne pas oublier de se couvrir, même en été
les nuits sont fraîches, prendre une lampe à lumière rouge et une carte
céleste.
Une fois sur le site, laissez vos yeux s’habituer
à l’obscurité, cela prendra environ 15 minutes. Apprenez à reconnaître les principales
constellations, admirez la voie lacté et si vous avez emporté une paire de
jumelles, essayez de repérer quelques objets célestes. Par la suite, rapprochez- vous d’un CLUB , il y en a dans chaque département.
En astronomie une des qualités importantes est la
patience, il ne faut jamais oublier que c’est nous qui
avons rendez-vous avec les astres.
Avant toute observation,
il y a trois critères primordiaux qu’il faut "avoir" :
LA DATE, LE LIEU, LA MÉTÉO
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Le premier principe de base : choisir une
nuit sans lune. En effet, celle-ci (notre satellite) diffuse autant de
lumière dans le ciel que la lumière artificielle des lampadaires d’une grande
ville.
Certains objets ne sont visibles qu’à une
certaine époque de l’année ou à une certaine heure. Il est donc préférable de choisir l’objet
quand il passe au méridien : c’est nous qui avons rendez-vous.
Définir les astres et objets célestes à l’avance
à l’aide de cartes mobiles ou éphémérides.
La lumière artificielle des lampadaires et
des enseignes lumineuses éclaircit toujours plus le ciel. En ville, parfois, on ne distingue à
peine qu’une vingtaine d’étoiles, par contre en campagne on peut en voir au
moins 2000 et apercevoir la voie lactée.
Si vous observez en ville : ne jamais le
faire derrière une vitre ou du côté d’une façade qui a été chauffée dans la
journée, cela crée de la turbulence.
Les images que vous observerez seront déformées ou vacilleront.
En règle générale il faut s’éloigner, fuir
toutes les lumières parasites et avoir un horizon sud-ouest bien dégagé.
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Les plus belles observations dépendent de
la pureté de l’atmosphère : sans aucune turbulence et un ciel
transparent (sans nuages ou brume).
Les nuages sont nos pires ennemis car ils voilent le ciel ou le
masquent complètement. Avant toute
observation, se renseigner sur la météo.
Personnellement, je n’ai jamais désespéré lorsque le temps était
couvert dans la journée, parfois le soir, il se dégageait et c’est là que
j’effectuais mes plus belles observations.
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